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28/01/2022Deconica subviscidaPhotoDeconica_subviscida_1999_cbor_1.jpg-Suppression photo : Copyright invalide suite au renommage de la photo
27/09/2021Pluteus cervinusConfusions possiblesRemarques : La forme albus de P. cervinus est beaucoup moins courante, pas de boucles, cheilos largement clavées à sphéropédonculées, 50-55 x 23-27 µm (détermination Thierry Duchemin). La récolte de Saint-Germain-en-Laye a été déterminée par Henri Romagnesi, au rang variétal.--
27/09/2021Pluteus cervinusConfusions possibles-Remarques : La forme albus de P. cervinus est beaucoup moins courante, pas de boucles, cheilos largement clavées à sphéropédonculées, 50-55 x 23-27 µm (détermination Thierry Duchemin). La récolte de Saint-Germain-en-Laye a été déterminée par Henri Romagnesi, au rang variétal.-
27/09/2021Pluteus cervinusVaréiétés/formesPluteus cervinus f. albus est beaucoup moins courante, pas de boucles, cheilos largement clavées à sphéropédonculées de 50-55 x 23-27 µm.--
27/09/2021Pluteus cervinusCommentaires-Remarques : La forme albus de P. cervinus est beaucoup moins courante, pas de boucles, cheilos largement clavées à sphéropédonculées, 50-55 x 23-27 µm (détermination Thierry Duchemin). La récolte de Saint-Germain-en-Laye a été déterminée par Henri Romagnesi, au rang variétal.-
27/09/2021Pluteus cervinusPhoto-Pluteus_cervinus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Pluteus cervinus fo. albus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
27/09/2021Pluteus cervinusSynonymesAgaricus cervinus Schaeffer (1774) , Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 6, tab. 10 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Agaricus pluteus Batsch (1783) , Elenchus fungorum, p. 79 Agaricus fuliginatus Batsch (1783) , Elenchus fungorum, p. 81, tab. 6, fig. 26 Agaricus atricapillus Batsch (1786) , Elenchus fungorum, continuatio prima, p. 77, tab. 16, fig. 76 Agaricus latus Bolton (1788) , An history of fungusses growing about Halifax, 1, p. 2, tab. 2 Agaricus phonospermus Bulliard (1792) , Herbier de la France, 12, tab. 534, tab. 547, fig. 1 & tab. 590 Agaricus pluteus var. ß rigens Persoon (1801) , Synopsis methodica fungorum, p. 357 Agaricus luridus Schumacher (1803) , Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 334 (nom. illegit.) Agaricus rimosus Schumacher (1803) , Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 312 (nom. illegit.) Hypophyllum umbrosum Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 287, tab. 134, fig. 3 Gymnopus pluteus (Batsch) Zawadzki (1835) , Enumeratio plantarum Galiciae & Bucowinae, p. 164, n° 2585 Agaricus cervinus subsp.* rigens(Persoon) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 140 Agaricus neesii Klotzsch (1839) , in Dietrich, Flora reigni Borussici, Flora des Königreichs Preussen, 7, tab. 459 Agaricus cervinus var. b rigens(Persoon) Rabenhorst (1844) , Deutschlands kryptogamen-flora, 1, p. 511 Pluteus cervinus (Schaeffer) P. Kummer (1871) , Der fürher in die pilzkunde, p. 99 (nom actuel) Agaricus rigens (Persoon) Fries (1874) , Hymenomycetes europaei sive epicriseos systematis mycologici, p. 186 (nom. illegit.) Pluteus cervinus var. rigens(Persoon) Gillet (1875) , Les hyménomycètes, ou description de tous les champignons (fungi) qui croissent en France, p. 393 Pluteus cervinus subsp.* rigens (Persoon) P. Karsten (1879) , Meddelanden af societas pro fauna et flora fennica, 5, p. 22 Pluteus atricapillus (Batsch) Fayod (1889) , Annales des sciences naturelles, botanique, série 7, 9, p. 364 Rhodosporus cervinus (Schaeffer) J. Schröter (1889) , in Cohn, Kryptogamen-flora von Schlesien, 3(1), p. 617 Pluteus rigens (Persoon) Laplanche (1894) , Dictionnaire iconographique des champignons supérieurs (Hyménomycètes) qui croissent en Europe, Algérie & Tunisie, p. 270 Hyporrhodius cervinus (Schaeffer) Hennings (1898) , in Engler & Prantl, Die natürlichen pflanzenfamilien, 1(1**), p. 258 Pluteus curtisii ss. Singer (1956) , Transactions of the British mycological Society, 39(2), p. 160 Agaricus cervinus Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 6, tab. 10 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Agaricus pluteus Batsch (1783), Elenchus fungorum, p. 79 Agaricus fuliginatus Batsch (1783), Elenchus fungorum, p. 81, tab. 6, fig. 26 Agaricus atricapillus Batsch (1786), Elenchus fungorum, continuatio prima, p. 77, tab. 16, fig. 76 Agaricus latus Bolton (1788), An history of fungusses growing about Halifax, 1, p. 2, tab. 2 Agaricus phonospermus Bulliard (1792), Herbier de la France, 12, tab. 534, tab. 547, fig. 1 & tab. 590 Agaricus pluteus var. ß rigens Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 357 Agaricus luridus Schumacher (1803) , Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 334 (nom. illegit.) Agaricus rimosus Schumacher (1803), Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 312 (nom. illegit.) Hypophyllum umbrosum Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 287, tab. 134, fig. 3 Gymnopus pluteus (Batsch) Zawadzki (1835), Enumeratio plantarum Galiciae & Bucowinae, p. 164, n° 2585 Agaricus cervinus subsp.* rigens(Persoon) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 140 Agaricus neesii Klotzsch (1839), in Dietrich, Flora reigni Borussici, Flora des Königreichs Preussen, 7, tab. 459 Agaricus cervinus var. b rigens(Persoon) Rabenhorst (1844), Deutschlands kryptogamen-flora, 1, p. 511 Pluteus cervinus (Schaeffer) P. Kummer (1871), Der fürher in die pilzkunde, p. 99 (nom actuel) Agaricus rigens (Persoon) Fries (1874), Hymenomycetes europaei sive epicriseos systematis mycologici, p. 186 (nom. illegit.) Pluteus cervinus var. rigens(Persoon) Gillet (1875), Les hyménomycètes, ou description de tous les champignons (fungi) qui croissent en France, p. 393 Pluteus cervinus subsp.* rigens (Persoon) P. Karsten (1879), Meddelanden af societas pro fauna et flora fennica, 5, p. 22 Pluteus atricapillus (Batsch) Fayod (1889) , Annales des sciences naturelles, botanique, série 7, 9, p. 364 Rhodosporus cervinus (Schaeffer) J. Schröter (1889) , in Cohn, Kryptogamen-flora von Schlesien, 3(1), p. 617 Pluteus rigens (Persoon) Laplanche (1894), Dictionnaire iconographique des champignons supérieurs (Hyménomycètes) qui croissent en Europe, Algérie et Tunisie, p. 270 Hyporrhodius cervinus (Schaeffer) Hennings (1898), in Engler & Prantl, Die natürlichen pflanzenfamilien, 1(1**), p. 258 Pluteus curtisii ss. Singer (1956) Transactions of the British mycological Society, 39(2), p. 160 -
27/09/2021Pluteus cervinusChair DescriptionBlanche, mince. Odeur légèrement raphanoïde ou de pomme de terre. Saveur douce à un peu amarescente.blanche, mince. Odeur légèrement raphanoïde ou de pomme de terre. Saveur douce à un peu amarescente.-
27/09/2021Pluteus cervinusLames DescriptionD'abord blanches, puis grises à rose carné, larges à peine adnées ou libres. Arêtes finement frangées et blanches sous la loupe. d'abord blanches, puis grises à rose carné, larges à peine adnées ou libres. Arêtes finement frangées et blanches sous la loupe. -
27/09/2021Pluteus cervinusStipe Description50-100 (120) x 7-20 mm, cylindrique, légèrement épaissi à la base, plein, cassant, fibreux, cortiqué. Surface lisse à légèrement striée longitudinalement, ornée de fibrilles longitudinales gris noir sur fond blanchâtre.50-100(120) x 7-20 mm, cylindrique, légèrement épaissi à la base, plein, cassant, fibreux, cortiqué. Surface lisse à légèrement striée longitudinalement, ornée de fibrilles longitudinales gris noir sur fond blanchâtre.-
27/09/2021Pluteus cervinusSpores DescriptionLargement ellipsoïdales, lisses, gris rose, 6,1-8,6 x 4,2-6,4 µm. Sporée ocre rougeâtre. Basides cylindriques ventrues, tétrasporiques, non bouclées. Cheilocystides clavées à piriformes, entremêlées de nombreuses cystides pleurocystidiales à parois épaisses, ornées de crochets ou non. Pleurocystides à parois épaisses, prolongées à l'apex par (0-)3(-4) crochets. Cuticule formée d'hyphes couchées, parallèles, larges, à pigmentation brun clair, cloisons non bouclées. largement ellipsoïdales, lisses, gris rose, 6,1-8,6 x 4,2-6,4 µm. Sporée ocre rougeâtre. Basides cylindriques, ventrues, tétrasporiques, non bouclées. Cheilocystides clavées à piriformes, entremêlées de nombreuses cystides pleurocystidiales à parois épaisses, ornées de crochets ou non. Pleurocystides à parois épaisses, prolongées à l'apex par (0-)3(-4) crochets. Cuticule formée d'hyphes couchés, parallèles, larges, à pigmentation brun clair, cloisons non bouclées. -
27/09/2021Pluteus cervinusEcologie DescriptionDans les forêts de feuillus et de conifères, sur souches ou sur bois mort jonchant le sol, sur écorces ou tas de sciures. Isolés, grégaires, en troupes ou en petits fascicules. Printemps-automne. Fréquent.Dans les forêts de feuillus et de conifères, sur souches ou sur bois mort jonchant le sol, sur écorces ou tas de sciures. Isolés, grégaires, en troupes ou en petits fascicules. Printemps-automne. Fréquent.-
26/07/2021Amanita citrinaSynonymesAgaricus stramineus Scopoli (1772), Flora carniolica, Edn 2, 2, p. 418 Agaricus citrinus Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 11, tab. 20, fig. 1-5 (nom. illegit.) Agaricus bulbosus Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 61, tab. 241 (nom. illegit.) Agaricus squamosus Lamarck (1778), Flore française ou description succincte de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, Edn 1, 1, p. 115 (nom. illegit.) Amanita verrucosa Lamarck (1783), Encyclopédie méthodique, Botanique, 1, p. 111 Agaricus mappa Batsch (1783), Elenchus fungorum, p. 57 Amanita citrina Persoon (1797), Tentamen dispositionis methodicae fungorum, p. 66 (basionyme) (nom actuel) Amanita candida Persoon (1797), Tentamen dispositionis methodicae fungorum, p. 66 Amanita bulbosa Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 250 Amanita citrina var. ß mappa (Batsch) Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 251 Hypophyllum albocitrinum Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 353, tab. 158, fig. 1-2 Amanita venenosa Persoon (1818), Traité sur les champignons comestibles, p. 178 Amanita citrina var. mappalis Gray (1821), A natural arrangement of British plants, 1, p. 599 Agaricus muscarius var. 3 albus Purton (1821), An appendix to Midland flora, 3(1), p. 201 Agaricus muscarius var. 5 stramineus (Scopoli) Purton (1821), An appendix to Midland flora, 3(1), p. 203 Agaricus phalloides var. ß citrinus (Persoon) Duby (1830), Botanicon gallicum seu synopsis plantarum in flora Gallica, Edn 2, 2, p. 850 Agaricus citrinoalbus Vittadini (1835), Descrizione dei funghi mangerecci più comuni dell'Italia e de'velenosi che possono co'medesimi confondersi, p. 70, tab. 11 Amanita mappa (Batsch) Bertillon (1866), in Dechambre, Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, série 1(3), p. 500 (nom. illegit.) Amanita mappa var. straminea (Scopoli) Roumeguère (1879), Flore mycologique du département du Tarn et Garonne, p. 49 Amanita bulbosa var. citrina (Persoon) J. Schröter (1889), in Cohn, Kryptogamen-flora von Schlesien, 3(1), p. 681 Amanita venenosa var. mappa (Batsch) Gillot & Lucand (1889), Société d'histoire naturelle d'Autun, Bulletin 2, p. 143 Amanita junquillea f. virosa Hy (1909), Bulletin de la Société mycologique de France, 25(2), p. 123 Amanita citrina f. straminea (Scopoli) E.-J. Gilbert (1918), Le Genre Amanita, p. 64 Amanita phalloides f. citrina (Persoon) E.-J. Gilbert (1918), Le Genre Amanita, p. 44 Amanita gemmata f. virosa (Hy) E.-J. Gilbert (1918), Le Genre Amanita, p. 77 Amanita mappa var. citrina (Persoon) Rea (1922), British Basidiomycetae, a handbook to the larger british fungi, p. 100 Amanita citrina var. eucitrina Maire (1937), Mémoires de la Société des sciences naturelles du Maroc, 45, p. 102 Amanitina citrina (Persoon) E.-J. Gilbert (1940), Iconographia mycologica, 27, supplément 1(1), p. 78 Amanita citrina var. gracilis A.G. Parrot (1960), Bulletin du Centre d'études et de recherches scientifiques Biarritz, 3(2), p. 193 (nom. inval.) Amanita citrina var. grisea (Hongo) Hongo, Memoirs of the Faculty of Liberal Arts of the Shiga University 9: 71 (1959) Agaricus stramineus Scopoli (1772), Flora carniolica, Edn 2, 2, p. 418 Agaricus citrinus Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 11, tab. 20, fig. 1-5 (nom. illegit.) Agaricus bulbosus Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 61, tab. 241 (nom. illegit.) Agaricus squamosus Lamarck (1778), Flore française ou description succincte de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, Edn 1, 1, p. 115 (nom. illegit.) Amanita verrucosa Lamarck (1783), Encyclopédie méthodique, Botanique, 1, p. 111 Agaricus mappa Batsch (1783), Elenchus fungorum, p. 57 Amanita citrina Persoon (1797), Tentamen dispositionis methodicae fungorum, p. 66 (basionyme) (nom actuel) Amanita candida Persoon (1797), Tentamen dispositionis methodicae fungorum, p. 66 Amanita bulbosa Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 250 Amanita citrina var. ß mappa (Batsch) Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 251 Hypophyllum albocitrinum Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 353, tab. 158, fig. 1-2 Amanita venenosa Persoon (1818), Traité sur les champignons comestibles, p. 178 Amanita citrina var. mappalis Gray (1821), A natural arrangement of British plants, 1, p. 599 Agaricus muscarius var. 3 albus Purton (1821), An appendix to Midland flora, 3(1), p. 201 Agaricus muscarius var. 5 stramineus (Scopoli) Purton (1821), An appendix to Midland flora, 3(1), p. 203 Agaricus phalloides var. ß citrinus (Persoon) Duby (1830), Botanicon gallicum seu synopsis plantarum in flora Gallica, Edn 2, 2, p. 850 Agaricus citrinoalbus Vittadini (1835), Descrizione dei funghi mangerecci più comuni dell'Italia e de'velenosi che possono co'medesimi confondersi, p. 70, tab. 11 Amanita mappa (Batsch) Bertillon (1866), in Dechambre, Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, série 1(3), p. 500 (nom. illegit.) Amanita mappa var. straminea (Scopoli) Roumeguère (1879), Flore mycologique du département du Tarn et Garonne, p. 49 Amanita bulbosa var. citrina (Persoon) J. Schröter (1889), in Cohn, Kryptogamen-flora von Schlesien, 3(1), p. 681 Amanita venenosa var. mappa (Batsch) Gillot & Lucand (1889), Société d'histoire naturelle d'Autun, Bulletin 2, p. 143 Amanita junquillea f. virosa Hy (1909), Bulletin de la Société mycologique de France, 25(2), p. 123 Amanita citrina f. straminea (Scopoli) E.-J. Gilbert (1918), Le Genre Amanita, p. 64 Amanita phalloides f. citrina (Persoon) E.-J. Gilbert (1918), Le Genre Amanita, p. 44 Amanita gemmata f. virosa (Hy) E.-J. Gilbert (1918), Le Genre Amanita, p. 77 Amanita mappa var. citrina (Persoon) Rea (1922), British Basidiomycetae, a handbook to the larger british fungi, p. 100 Amanita citrina var. eucitrina Maire (1937), Mémoires de la Société des sciences naturelles du Maroc, 45, p. 102 Amanitina citrina (Persoon) E.-J. Gilbert (1940), Iconographia mycologica, 27, supplément 1(1), p. 78 Amanita citrina var. gracilis A.G. Parrot (1960), Bulletin du Centre d'études et de recherches scientifiques Biarritz, 3(2), p. 193 (nom. inval.) réparation Amanita citrina var. grisea (Hongo) Hongo,
26/07/2021Amanita citrinaVaréiétés/formesAmanita citrina f. alba est toute blanche, mais peut avoir des reflets citrins avec l'âge et la sécheresse. Amanita citrina f. crassior est plus imposante et plus massive, est de couleur crème-citrin, est plus tardive et pousse sous Pinus pinaster (pin maritime) dans les zones dunaires littorales. Amanita citrina f. carneifolia a les lames et/ou la sporée de couleur rose. Amanita citrina f. brunneoverrucosa possède un voile général brun.Amanita citrina f. alba est toute blanche, mais peut avoir des reflets citrins avec l'âge et la sécheresse. Amanita citrina f. crassior est plus imposante et plus massive, est de couleur crème-citrin, est plus tardive et pousse sous Pinus pinaster (pin maritime) dans les zones dunaires littorales. Amanita citrina f. carneifolia a les lames et/ou la sporée de couleur rose. Amanita citrina f. brunneoverrucosa possède un voile général brun. Amanita citrina var. grisea est un sosie d'Amanita porphyria en plus gracile, mais avec un anneau jaune vif (gris noirâtre chez Amanita porphyria), la volve blanche tachée de brun et ses spores sont moins globuleuses. Espèce à part entière ? Japon, Chine.réparation Amanita citrina var. grisea (Hongo) Hongo,
18/07/2021Kuehneromyces mutabilisEtymologie-Genre dédié à Robert Kühner par Rolf Singer. Kühner trouvait cependant que c'étaient de parfaites Pholiota! Mutabilis (latin) = changeant.maintenance et syntaxe en mode fiche (pas de capitale après : ni ; et rubriques pré-formatées
18/07/2021Kuehneromyces mutabilisNoms françaisPholiote changeantePholiote changeante (en raison de sa grande variabilité). (センボンイチメガサ)maintenance et syntaxe en mode fiche (pas de capitale après : ni ; et rubriques pré-formatées
18/07/2021Kuehneromyces mutabilisComestibilitéComestibleBon comestiblemaintenance et syntaxe en mode fiche (pas de capitale après : ni ; et rubriques pré-formatées
18/07/2021Kuehneromyces mutabilisStipe Description4-10 x 0,5-0,8 cm, tenace, cylindrique, plein puis creux, subconcolore mais devenant brun à rouillé à partir du bas. Surface fibrilleuse, rayée et cannelée en haut, hérissé de mèches retroussées brunes formant une sorte d'armille floconneuse du bas jusqu'à l'anneau, puis disparaissant avec l'âge alors que le pied noirci à la base. Un petit anneau apical étroit membraneux-pelucheux, concolore au stipe mais brunissant, bientôt affaissé et plus ou moins fugace.4-10 x 0,5-0,8 cm, tenace, cylindrique, plein, puis creux, subconcolore mais devenant brun à rouillé à partir du bas. Surface fibrilleuse, rayée et cannelée en haut, hérissé de mèches retroussées brunes formant une sorte d'armille floconneuse du bas jusqu'à l'anneau, puis disparaissant avec l'âge alors que le pied noirci à la base. Petit anneau apical étroit membraneux-pelucheux, concolore au stipe mais brunissant, bientôt affaissé et plus ou moins fugace.maintenance et syntaxe en mode fiche (pas de capitale après : ni ; et rubriques pré-formatées
18/07/2021Kuehneromyces mutabilisSpores Description6-7 x 3,5-4,5 µm, pruniformes, de couleur chamois, lisses ou subtilement verruqueuses, à pore germinatif minuscule. Cystides marginales en bouteille, pas de chrysocystides. Cuticule filamenteuse. Sporée brun ferrugineux.6-7 x 3,5-4,5 µm, pruniformes, de couleur chamois, lisses ou subtilement verruqueuses, à pore germinatif minuscule. Cystides marginales en bouteille, pas de chrysocystides; cuticule filamenteuse. Sporée brun ferrugineux.maintenance et syntaxe en mode fiche (pas de capitale après : ni ; et rubriques pré-formatées
18/07/2021Kuehneromyces mutabilisEcologie DescriptionCespiteux sur souches pourrissantes de feuillus, surtout de Fagus, plus rare sur conifère. De mars à décembre. Commun.En grandes touffes ou troupes, de mars à décembre. Commun.maintenance et syntaxe en mode fiche (pas de capitale après : ni ; et rubriques pré-formatées
18/07/2021Hygrophorus inocybiformisPhotoHygrophorus_inocybiformis_1990_tt_2.jpg-Suppression photo
18/07/2021Hygrophorus inocybiformisPhotoHygrophorus_inocybiformis_1990_tt_3.jpg-Suppression photo : nom douteux
18/07/2021Hygrophorus inocybiformisPhotoHygrophorus_inocybiformis_1990_tt_1.jpg-Suppression photo : trop floue
10/07/2021Roridomyces roridusCommentaires -le premier mot d'une rubrique n'est jamais capitalisé. Reverté
10/07/2021Roridomyces roridusChair DescriptionMince, subconcolore ou pâle.mince, subconcolore ou pâle.le premier mot d'une rubrique n'est jamais capitalisé. Reverté
10/07/2021Roridomyces roridusLames DescriptionLargement adnées à décurrentes, assez peu serrées, blanchâtres.largement adnées à décurrentes, assez peu serrées, blanchâtres.le premier mot d'une rubrique n'est jamais capitalisé. Reverté
10/07/2021Roridomyces roridusSpores Description10-14 x 4-6 µm, cylindro-elliptiques, étirées, amyloïdes. Basides bisporiques, 20-35 x 5-8 µm. Cheilocystides 20-40 x 5-10 µm, fusi-lagéniformes, à col assez large, parfois clavé, souvent avec des gouttes d'exsudat peu réfringent. Trame vineuse dans le Melzer. Revêtement piléique hyméniforme, à hyphes clavées à largement capitées, x 10-25 µm. Pigment intracellulaire brun.10-14 x 4-6 µm, cylindro-elliptiques, étirées, amyloïdes. Basides bisporiques, 20-35 x 5-8 µm. Cheilocystides 20-40 x 5-10 µm, fusi-lagéniformes, à col assez large, parfois clavé, souvent avec des gouttes d'exsudat peu réfringent. Trame vineuse dans le Melzer. Revêtement piléique hyméniforme, à hyphes clavés à largement capités, x 10-25 µm. Pigment intracellulaire brun. le premier mot d'une rubrique n'est jamais capitalisé. Reverté
10/07/2021Roridomyces roridusEcologie DescriptionSur brindilles, souvent sur ronces. Espèce assez rare, quoique largement distribuée dans tout l'hémisphère Nord.sur brindilles, souvent sur ronces. Espèce assez rare, quoique largement distribuée dans tout l'hémisphère Nord.le premier mot d'une rubrique n'est jamais capitalisé. Reverté
01/07/2021Amanita erythrocephalaChapeau DescriptionMesurant 1-8 cm de diamètre, conico-convexe, puis aplani avec la marge légèrement et très courtement cannelée, rouge orangé, plus vif au centre, plus jaune à la périphérie, l'extrême marge non excédante et jaune. Revêtement lisse, sec, finement fibrilleux sous la loupe par des fibrilles radiales rouge Orangé sur fond jaune, souvent nu mais parfois avec des restes de voile sous forme de plaques, de petits flocons ou de verrues, blancs ou jaunâtres, puis crème-grisâtre, enfin gris sale à brunâtre.1-8 cm de diamètre, conico-convexe, puis aplani avec la marge légèrement et très courtement cannelée, rouge orangé, plus vif au centre, plus jaune à la périphérie, l'extrême marge non excédante et jaune. Revêtement lisse, sec, finement fibrilleux sous la loupe par des fibrilles radiales rouge Orangé sur fond jaune, souvent nu, mais parfois avec des restes de voile sous forme de plaques, de petits flocons ou de verrues, blancs ou jaunâtres, puis crème-grisâtre, enfin gris sale à brunâtre.Syntaxe réduction des doublons: "Lames : lames", "Chapeau : chapeau" etc...
01/07/2021Amanita erythrocephalaLames DescriptionLibres, serrées, de largeur moyenne, minces, avec des lamelles et lamellules, blanchâtres, nuancées de jaunâtre par endroits.libres, serrées, de largeur moyenne, minces, avec des lamelles et lamellules blanchâtres, nuancées de jaunâtre par endroits.Syntaxe réduction des doublons: "Lames : lames", "Chapeau : chapeau" etc...
01/07/2021Amanita erythrocephalaChair DescriptionBlanche, subconcolore au revêtement piléique sous ce dernier, ferme dans le chapeau et le cortex du stipe, mais cotonneuse puis creuse dans la partie médullaire du stipe. Odeur faible, saveur neutre. K-K négatif.blanche, subconcolore au revêtement piléique sous ce dernier, ferme dans le chapeau et le cortex du stipe, mais cotonneuse puis creuse dans la partie médullaire du stipe. Odeur faible, saveur neutre. K-K négatif.Syntaxe réduction des doublons: "Lames : lames", "Chapeau : chapeau" etc...
01/07/2021Amanita erythrocephalaStipe DescriptionMesurant 2-16 × 0,3-1,5 cm, lisse, élancé, parfois un peu sinueux ou tordu, subcylindrique dans la moitié supérieure, mais s'élargissant progressivement de la mi-hauteur jusqu'au bulbe basal, submarginé (jusqu'à 2,5 cm). Consistance élastique, vite creux. Anneau supère, membraneux, juponnant, fragile et fugace, blanc, puis teinté de jaune orangé, comme la partie supérieure du stipe, qui est engainée du voile partiel.2-16 × 0,3-1,5 cm, lisse, élancé, parfois un peu sinueux ou tordu, subcylindrique dans la moitié supérieure, mais s'élargissant progressivement de la mi-hauteur jusqu'au bulbe basal, submarginé (jusqu'à 2,5 cm). Consistance élastique, vite creux. Anneau supère, membraneux, juponnant, fragile et fugace, blanc, puis teinté de jaune orangé, comme la partie supérieure du stipe, qui est engainée du voile partiel.Syntaxe réduction des doublons: "Lames : lames", "Chapeau : chapeau" etc...
01/07/2021Amanita erythrocephalaSpores DescriptionOvoïdes à ellipsoïdales, parfois subglobuleuses, apicule bien délié, mesurant 6-8(-9) × 5-5,5(-6) µm, Q=1,18-1,50(-1,60), Qm=1,22(-1,33), amyloïdes, lisses, hyalines. ovoïdes à ellipsoïdales, parfois subglobuleuses, apicule bien délié, 6-8(9) x 5-5,5(6) µm, Q = 1,18-1,50(1,60), Qm= 1,22(1,33), amyloïdes, lisses, hyalines. Syntaxe réduction des doublons: "Lames : lames", "Chapeau : chapeau" etc...
01/07/2021Amanita erythrocephalaEcologie DescriptionBois humide de Castanea sativa (châtaigner commun) mêlé de Pinus pinaster (pin maritime) et quelques Quercus pubescens (chêne pubescent) et Quercus ilex (chêne vert). Été (août). Rare et localisé en Italie (Ligure). Peut-être une espèce d'origine exotique ?Bois humides de Castanea sativa (châtaigner commun) mêlés de pins maritimes (Pinus pinaster) et quelques chânes pubescens (Quercus pubescens et chênes verts (Quercus ilex. Été (août). Rare et localisé en Italie (Ligure). Peut-être une espèce d'origine exotique?Syntaxe réduction des doublons: "Lames : lames", "Chapeau : chapeau" etc...
19/06/2021Suillellus luridusEtymologie-du latin -
19/06/2021Suillellus luridusRéférencesFE 2 pl. 19 ; Bon p. 39 ; CD 1685 ; CD 1686 ; Cetto 275 ; Engel (2) 29 ; Galli p. 209 ; Marchand 160 ; MRT 86 ; Phillips p. 206 ; Eyssartier et Roux p. 98FE 2 pl. 19 ; Bon p. 39 ; CD 1685 ; CD 1686 ; Cetto 275 ; Engel (2) 29 ; Galli p. 209 ; Marchand 160 ; MRT 86 ; Phillips p. 206 ; Romagn. NA 2-129 ; Eyssartier et Roux p. 98-
19/06/2021Suillellus luridusConfusions possibles-Longtemps considéré vénéneux dans les campagnes, confondu avec le bolet Satan. Le pied réticulé la distingue de queletii et erytropus.-
19/06/2021Suillellus luridusChapeau Description6-20 cm, hémisphérique puis convexe-pulviné, à revêtement adné; sec et mat, finement feutré, jaune ocracé à brun orangé, brun rougeâtre, ou encore couleur de brique avec des nuances olivacées, marqué de bleu noirâtre dans les blessures; marge aiguë, faiblement excédante, unie, entière, régulière, concolore au chapeau.6-20 cm, hémisphérique puis convexe-pulviné, sans mamelon, à la fin presque étalé. Revêtement adné, sec et mat, finement feutré, de chamois sale, olive pâle à brun orangé, brun rougeâtre, ou encore couleur de brique avec des nuances olivacées, marqué de bleu noirâtre dans les blessures; marge aiguë, faiblement excédante, unie, entière, régulière, concolore au chapeau.-
19/06/2021Suillellus luridusChair DescriptionEpaisse, ferme puis assez molle, fibreuse dans le pied, jaune et rouge brique sous les tubes, rouge vineux dans la base du pied, très bleuissante à la coupe.épaisse, ferme puis assez molle, fibreuse dans le pied, jaune et typiquement rouge brique sous les tubes enlevés (ou visible sous forme de "ligne de Bataille" à la coupe), rouge vineux dans la base du pied, très bleuissante à la coupe.-
19/06/2021Suillellus luridusPores DescriptionFins, arrondis, formant une surface irrégulière avec de petites dépressions, jaunes puis orangé à rouge-orangé, bleuissant au toucher ; Tubes déprimés autour du pied, facilement séparables, fins, jaune olivâtre à jaune orangé vers le bord, bleuissants. petits, arrondis, formant une surface irrégulière avec de petites dépressions, jaunes puis orangé à rouge-orangé, bleuissant au toucher. Tubes déprimés autour du pied, facilement séparables, fins, jaune olivâtre à jaune orangé vers le bord, bleuissants. -
19/06/2021Suillellus luridusStipe Description8-15 (20) x 2-7 cm ; bulbeux ou en massue ou fusiforme, atténué au sommet, plein, ferme, marqué d'un réseau typique à mailles étirées rouge vineux sur fond jaune orangé vers le haut et rouge carmin (voire brunâtre olivacé vers le bas).8-15 (20) x 2-7 cm, bulbeux ou en massue ou fusiforme, atténué au sommet, plein, ferme, marqué d'un réseau typique à mailles étirées rouge vineux sur fond jaune orangé vers le haut et rouge carmin, voire brunâtre olivacé vers le bas.-
02/06/2021Boletellus emodensisConfusions possiblesBoletellus ananas, du sud de l'Amérique du Nord, mais le bolet chrysanthème se distingue par ses tons vineux dans le chapeau et le stipe, et des spores plus grandes. Boletellus ananiceps ne possède pas de tons rosés sur le champignon, mais est de couleur ocre-jaune.Plusieurs espèces affines ont été décrites en zone subtropicale, notamment Boletellus ananas, du sud de l'Amérique du Nord, mais le bolet chrysanthème se distingue par ses tons vineux dans le chapeau et le stipe, et des spores plus grandes. Boletellus ananiceps ne possède pas de tons rosés sur le champignon, mais est de couleur ocre-jaune.-
06/05/2021Hemileccinum impolitumSynonymes Tubiporus obsonium Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 372, tab. 171, fig. 2-3 Boletus impolitus Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 421 (Basionyme) Boletus obsonium (Paulet) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 421 Boletus sapidus Harzer (1842) , Naturgetreue abbildungen der vorzüglichsten essbaren, giftigen und verdächtigen pilze, p. 92, tab. 51 Boletus buxeus Rostkovius (1844) , in Sturm, Deutschlands flora, Abt. III, die pilze Deutschlands, 5(23), p. 95, tab. 30 Boletus suspectus Krombholz (1846) , Naturgetreue abbildungen und beschreibungen der essbaren, schädlichen und verdächtigen schwämme, 10, p. 21, tab. 74, fig. 10-11 (nom. illegit.) Boletus leoninus ss. Krombholz (1846) , Naturgetreue abbildungen und beschreibungen der essbaren, schädlichen und verdächtigen schwämme, 10, p. 26, tab. 76, fig. 12-14 Boletus aquosus Krombholz (1846) , Naturgetreue abbildungen und beschreibungen der essbaren, schädlichen und verdächtigen schwämme, 10, p. 27, tab. 76, fig. 18-19 Tubiporus impolitus (Fries) P. Karsten (1882) , Bidrag till kännedom af Finlands natur och folk, 37, p. 6 Versipellis obsonium (Paulet) Quélet (1886) , Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 158 Versipellis fragrans var. impolita (Fries) Quélet (1886) , Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 158 Xerocomus obsonium (Paulet) Quélet (1888) , Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 419 Xerocomus impolitus (Fries) Quélet (1888) , Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 417 Boletus obsonium var. buxeus (Rostkovius) Costantin & L.M. Dufour (1891) , Nouvelle flore des champignons, Edn 1, p. 154 Suillus obsonium (Paulet) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 536 Suillus aquosus (Krombholz) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 535 Leccinum impolitum (Fries) Bertault (1980) , Bulletin trimestriel de la Société mycologique de France, 96(3), p. 287 Hemileccinum impolitum (Fries) Šutara (2008) , Czech mycology, 60(1), p. 55 (nom actuel) Tubiporus obsonium Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p.372, tab.171, fig. 2-3 Boletus impolitus Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 421 (Basionyme) Boletus obsonium (Paulet) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p.421 Boletus sapidus Harzer (1842), Naturgetreue abbildungen der vorzüglichsten essbaren, giftigen und verdächtigen pilze, p.92, tab.51 Boletus buxeus Rostkovius (1844), in Sturm, Deutschlands flora, Abt. III, die pilze Deutschlands, 5(23), p.95, tab.30 Boletus suspectus Krombholz (1846), Naturgetreue abbildungen und beschreibungen der essbaren, schädlichen und verdächtigen schwämme, 10, p.21, tab.74, fig.10-11 (nom. illegit.) Boletus leoninus ss. Krombholz (1846), Naturgetreue abbildungen und beschreibungen der essbaren, schädlichen und verdächtigen schwämme, 10, p.26, tab.76, fig.12-14 Boletus aquosus Krombholz (1846), Naturgetreue abbildungen und beschreibungen der essbaren, schädlichen und verdächtigen schwämme, 10, p. 27, tab.76, fig.18-19 Tubiporus impolitus (Fries) P. Karsten (1882) , Bidrag till kännedom af Finlands natur och folk, 37, p.6 Versipellis obsonium (Paulet) Quélet (1886) , Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p.158 Versipellis fragrans var. impolita (Fries) Quélet (1886) , Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 158 Xerocomus obsonium (Paulet) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p.419 Xerocomus impolitus (Fries) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p.417 Boletus obsonium var. buxeus (Rostkovius) Costantin & L.M. Dufour (1891), Nouvelle flore des champignons, Edn 1, p.154 Suillus obsonium (Paulet) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p.536 Suillus aquosus (Krombholz) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p.535 Leccinum impolitum (Fries) Bertault (1980), Bulletin trimestriel de la Société mycologique de France, 96(3), p. 287 Hemileccinum impolitum (Fries) Šutara (2008), Czech mycology, 60(1), p.55 (nom actuel) -
06/05/2021Hemileccinum impolitumEtymologie-du Latin impolitus : qui n'est pas lisse, mais légèrement rugueux, feutré, ou sans éclat, sans lustre, qui est mat.description complétée
06/05/2021Hemileccinum impolitumConfusions possiblesHemileccinum depilatumTrès proche de Hemileccinum depilatum dont la structure de la cuticule, macroscopiquement glabre, est nettement subcelluleuse au microscope d'où son chapeau typiquement bosselé, martelé.description complétée
06/05/2021Hemileccinum impolitumCommentairesOdeur nettement iodée (phénolée) à la base du pied. Surtout en plaine, calcicole-sabulicole, thermophile. Très proche de Hemileccinum depilatum dont la structure de la cuticule, macroscopiquement glabre, est nettement subcelluleuse au microscope d'où son chapeau typiquement bosselé, martelé.Odeur nettement iodée (phénolée) à la base du pied. description complétée
06/05/2021Hemileccinum impolitumChapeau Description7-12-(18) cm, longtemps hémisphérique-convexe, puis étalé et plus ou moins lobé à la fin, rarement bosselé. Cuticule mate et remarquablement filamenteuse sous la loupe, à feutrage dense, imbriqué et apprimé, souvent condensé en très fines méchules aranéuses, de couleur terne et assez variable, typiquement gris-beige, gris-verdâtre, rarement rosâtre à brun-violacé ou bai, virant temporairement au violacé sombre aux vapeurs de NH3. Marge typiquement anguleuse-tranchante chez le jeune, puis un peu arrondie à la croissance complète des tubes. Marginelle variable, généralement peu développée.7-12-(18)cm, longtemps hémisphérique-convexe, puis étalé et plus ou moins lobé à la fin, rarement bosselé. Cuticule mate et remarquablement filamenteuse sous la loupe, à feutrage dense, imbriqué et apprimé, souvent condensé en très fines méchules aranéuses, de couleur assez variable, mais terne : typiquement gris-beige, gris-verdâtre, rarement rosâtre à brun-violacé ou bai, virant temporairement au violacé sombre aux vapeurs de NH3. Marge typiquement anguleuse-tranchante chez le jeune, puis un peu arrondie à la croissance complète des tubes. Marginelle variable, généralement peu développée.description complétée
06/05/2021Hemileccinum impolitumChair DescriptionFerme, presque blanche ou jaune très clair, jaune plus foncé sous les tubes, en haut du pied et parfois aussi à l'extrême base, non bleuissante (sauf rares exceptions). Base du pied souvent colorée de rougeâtre, plus rarement les morsures. Odeur nettement iodée (phénolée) à la base du stipe, saveur douce, à peine acidulée. Réactions macro-chimiques nulles. Ferme, presque blanche ou jaune très clair, plus foncé sous les tubes, en haut du pied et parfois à l'extrême base, non bleuissante (ou très rarement). Base du pied souvent colorée de rougeâtre, plus rarement les morsures. Odeur nettement iodée (phénolée) à la base du stipe. Saveur douce, à peine acidulée. Réactions macro-chimiques nulles. description complétée
06/05/2021Hemileccinum impolitumPores DescriptionConcolores aux tubes, roussissant parfois légèrement avec l'âge ou les intempéries, ouverts dès le début, fins (0,5 à 1 mm), légèrement polygonaux à maturité, non composés. Tubes sublibres, de longueur moyenne, dépassant rarement l'épaisseur de la chair à mi-rayon, jaune assez clair puis jaune verdâtre, enfin olivâtre, non bleuissants à la coupe. Concolores aux tubes, roussissant parfois légèrement avec l'âge ou les intempéries, ouverts dès le début, fins (0,5 à 1 mm), légèrement polygonaux à maturité, non composés. Tubes sublibres, de longueur moyenne, dépassant rarement l'épaisseur de la chair à mi-rayon, jaune assez clair puis jaune verdâtre, enfin olivâtre, immuables à la coupe. description complétée
06/05/2021Hemileccinum impolitumStipe DescriptionCylindracé, parfois un peu renflé vers le milieu, robuste mais non obèse à maturité, court ou long, non sinueux, à base arrondie, rarement terminée par une courte pointe. Surface rugueuse-granuleuse ou seulement floconneuse, jaune en haut, blanchâtre-rosâtre ailleurs, avec une zone annulaire rougeâtre-vineux, souvent discrète, vers le haut. Base parfois piquetée de rougeâtre, rarement envahie de rouge-vineux jusqu'à mi-pied.Cylindracé, parfois un peu renflé vers le milieu, robuste mais non obèse à maturité, court ou long, non sinueux, à base arrondie, rarement terminée par une courte pointe. Revêtement rugueux-granuleux ou seulement floconneux, jaune en haut, blanchâtre-rosâtre ailleurs, avec une zone annulaire rougeâtre-vineux, souvent discrète, vers le haut. Base parfois piquetée de rougeâtre, rarement envahie de rouge-vineux jusqu'à mi-pied.description complétée
06/05/2021Hemileccinum impolitumEcologie DescriptionEspèce peu commune, dispersée ou en petites troupes, parfois dès juin, mais surtout d'août à octobre, sous feuillus thermophiles en plaine, mais aussi talus, parcs et bords des routes, tous types de sols et d'essences (chênaies thermophiles préférentielles ?), fidèle à ses stations. Toute l'Europe et pourtour méditerranéen.Champignon peu commun, mais fidèle à ses stations, distribué dans toute l'Europe et le pourtour méditerranéen. Dispersé ou en petites troupes, parfois dès juin, mais surtout d'août à octobre. Vient sous divers feuillus thermophiles de la plaine, mais aussi talus, parcs et bords des routes, calcicole-sabulicole, surtout chênaies thermophiles.description complétée
08/01/2021Lactifluus gerardiiPhotoLactifluus_gerardii_1988_tu_1.jpg-Suppression photo : photo espèce sous copyright T. Ueda ne correspond plus à la descrption (var. ?)
28/12/2020Phaeolepiota aureaPhotoPhaeolepiota_aurea_2001_dg_1.jpg-Suppression photo : sans intérêt
27/12/2020Lactarius aurantiaco-ochraceusRéférencesFE 7 p. 374 ; Bull. Soc. Et. sci. Anjou, 1986, 12, p. 37-38FE 7 p. 374 ; Bull. Soc. étud. sci. Anjou 1986, 12, p. 37-38ajout de Bull. Soc. étud. sci. Anjou Toxicité, comme torminosus (aussi très âcre)
27/12/2020Lactarius aurantiaco-ochraceusComestibilitéSans intérêtToxiqueajout de Bull. Soc. étud. sci. Anjou Toxicité, comme torminosus (aussi très âcre)
23/12/2020Cookeina tricholomaPhotoCookeina_tricholoma_1989_mi_1.jpg-Suppression photo
21/12/2020Hygrophorus inocybiformisRéférencesKinoko Field Book p. 18Kinoko Field Book p. 18 ; https://www.mushroomexpert.com/hygrophoraceae.html ; https://www.mycoquebec.org-
21/12/2020Hygrophorus inocybiformisEcologie DescriptionSous conifères, notamment sous Tsuga spp. (tsugas), Picea spp. (épicéas) et Abies spp. (sapins). Automne. Assez fréquent en Amérique du Nord, très rare au Japon et en Europe.Sous conifères, notamment tsugas (Tsuga), épicéas (Picea) et sapins (Abies). Automne. Assez fréquent en Amérique du Nord, signalé au Japon, très rare en Europe.-
20/12/2020Atheniella adonisPhotoAtheniella_adonis_1993_dg_1.jpg-Suppression photo : atypique
12/12/2020Marasmius purpureostriatusPhotoMarasmius_purpureostriatus_1998_dg_2.jpg-Suppression photo
12/12/2020Marasmius purpureostriatusPhotoMarasmius_purpureostriatus_1958_th_1.jpg-Suppression photo
06/05/2020Russula viridirubrolimbataCommentairesD'abord décrite du Japon (Shiga et Kyôto) comme une forme rougeâtre et cocardée de Russula virescens (le palomet verdoyant est également un champignon très recherché), elle a été récoltée en Chine (Guangxi et Yunnan) par Ying dans un habitat similaire.Décrite du Japon (Shiga et Kyôto) comme une forme rougeâtre et cocardée de Russula virescens (le palomet verdoyant y est également un champignon très recherché), elle a été retrouvée en Chine (Guangxi et Yunnan) par Ying dans un habitat similaire. Mérite le rang variétal selon Bon, viva voce.-
06/05/2020Russula viridirubrolimbataLames DescriptionSublibres, serrées, blanches, parfois fourchues.sublibres, serrées, blanches, parfois fourchues.-
06/05/2020Russula viridirubrolimbataChair DescriptionAssez épaisse, plutôt compacte, blanche.assez épaisse, plutôt compacte, blanche.-
06/05/2020Russula viridirubrolimbataSpores DescriptionLargement ovoïdes, finement ponctuées de verrues discrètement réticulées, non amyloïdes, mesurant 7-8 x 5,5-6,5 µm.largement ovoïdes, finement ponctuées de verrues discrètement réticulées, non amyloïdes, mesurant 7-8 x 5,5-6,5 µm.-
06/05/2020Russula viridirubrolimbataEcologie DescriptionSolitaire ou disséminés sur le sol en forêts mixtes Pinus-Quercus.Solitaire ou disséminées sur le sol en forêts mixtes Pinus-Quercus.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraRéférencesBK 3 444 ; Bon p. 151 ; CD 417 ; Marchand 828 ; Eyssartier et Roux p. 350BK 3 444 ; Bon p. 151 ; CD 417 ; Marchand 828 ; Eyssartier et Roux p. 350 ; Doc. Mycol. Mémoire Hors-série no.2 (1991) p. 93-
24/04/2020Tricholomopsis decoraChapeau Description4-12 (15) cm, convexe, bosselé puis ombiliqué, rarement en trompette, à marge très mince, longtemps enroulée puis incurvée, concolore mais brunissante. Cuticule séparable, bientôt sèche, jaune olivacé, revêtue de fibrilles radiales groupées en touffes de petites écailles triangulaires, d'abord concolores et adnées, plus denses et noirâtres au centre, brunâtres et plus lâches au bord, noircissantes ("charbonnent") par la pointe.4-10 (12) cm, plan convexe, ou bosselé puis ombiliqué, rarement en trompette, à marge très mince, longtemps enroulée puis incurvée et flexueuse, concolore mais brunissante avec l'âge. Cuticule séparable, bientôt sèche, jaune sale ou ochracé olivâtre, revêtue de fibrilles radiales groupées en touffes de petites écailles triangulaires, d'abord concolores et adnées, plus ou moins retroussées, plus denses et noirâtres au centre, brunâtres et plus lâches au bord, noircissantes ("charbonnent") par la pointe.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraStipe Description4-8 x 0,5-1 cm, souvent excentré, courbe, plein et ferme, sec et fibrilleux, concolore au chapeau mais blanc à l'insertion des lames; revêtement moucheté de squamules brunes, mais tomenteux et blanchâtre à la base.4-7 x 0,5-0,8 cm, souvent excentré ou coudé, plein et ferme, sec et subglabre ou un peu fibrilleux, concolore au chapeau mais blanc à l'insertion des lames; revêtement moucheté de squamules brunes, mais tomenteux et blanchâtre à la base.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraSpores Description-6-7 x 4-5 μm, ovo-elliptiques, un peu jaunâtres en NH3. Cheilos. 35-60 x 10-15 μm, fusiformes ou ventrues. Pleuros. nulles ou peu évidentes.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraEcologie DescriptionPas rare en montagne d'août à fin octobre, sur souches, troncs et brindilles de conifères en décomposition.Pas rare en montagne d'août à fin octobre, sur souches, troncs et brindilles de conifères en décomposition. Plus rare en plaine.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraEtymologie-formé de Tricholoma (genre) + suffixe Grec ancien ὄψις (ópsis, « aspect, apparence »), qui aurait pu être un Tricholome, s'il n'était pas lignicole; et decora pour ses jolies couleurs.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraSynonymes Agaricus flavovirens Fries (1815) , Observationes mycologicae praecipue ad illustrandam floram suecicam, 1, p. 25 (nom. illegit.) Agaricus decorus Fries (1821) , Systema mycologicum, 1, p. 108 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Agaricus galbanus Lasch (1829) , Linnaea, Ein journal für die botanik, 4, p. 529 Agaricus bellus Secretan (1833) , Mycographie Suisse, 2, p. 386 (nom. inval.) Tricholoma galbanum (Lasch) P. Kummer (1871) , Der fürher in die pilzkunde, p. 133 Agaricus multipunctus Peck (1873) , Bulletin of the Buffalo Society of natural sciences, 1, p. 43 Clitocybe decora (Fries) Gillet (1874) , Les hyménomycètes, ou description de tous les champignons (fungi) qui croissent en France, p. 171 Pleurotus decorus (Fries) Wünsche (1877) , Die pilze. Eeine anleitung zur kenntniss derselben, p. 172 Cortinellus decorus (Fries) P. Karsten (1879) , Bidrag till kännedom af Finlands natur och folk, 32, p. 25 Tricholoma decorum (Fries) Quélet (1883) [1882], Compte rendu de l'Association française pour l'avancement des sciences, 11, p. 389 Gyrophila decora (Fries) Quélet (1886) , Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 11 Tricholoma multipunctum (Peck) Saccardo (1887) , Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 96 Dendrosarcus decorus (Fries) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 463 Tricholoma rutilans var. decorum (Fries) L. Maire (1916) , Etude synthetique sur le genre Tricholoma, p. 107 Tricholomopsis decora (Fries) Singer (1939) , Schweizerische zeitschrift für pilzkunde, 17, p. 56 (nom actuel) Agaricus flavovirens Fries (1815) , Observationes mycologicae praecipue ad illustrandam floram suecicam, 1, p. 25 (nom. illegit.) Agaricus decorus Fries (1821) , Systema mycologicum, 1, p. 108 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Agaricus galbanus Lasch (1829) , Linnaea, Ein journal für die botanik, 4, p. 529 Agaricus bellus Secretan (1833) , Mycographie Suisse, 2, p. 386 (nom. inval.) Tricholoma galbanum (Lasch) P. Kummer (1871) , Der fürher in die pilzkunde, p. 133 Agaricus multipunctus Peck (1873) , Bulletin of the Buffalo Society of natural sciences, 1, p. 43 Clitocybe decora (Fries) Gillet (1874) , Les hyménomycètes, ou description de tous les champignons (fungi) qui croissent en France, p. 171 Pleurotus decorus (Fries) Wünsche (1877) , Die pilze. Eeine anleitung zur kenntniss derselben, p. 172 Cortinellus decorus (Fries) P. Karsten (1879) , Bidrag till kännedom af Finlands natur och folk, 32, p. 25 Tricholoma decorum (Fries) Quélet (1883) [1882], Compte rendu de l'Association française pour l'avancement des sciences, 11, p. 389 Gyrophila decora (Fries) Quélet (1886) , Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 11 Tricholoma multipunctum (Peck) Saccardo (1887) , Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 96 Dendrosarcus decorus (Fries) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 463 Tricholoma rutilans var. decorum (Fries) L. Maire (1916) , Etude synthétique sur le genre Tricholoma, p. 107 Tricholomopsis decora (Fries) Singer (1939) , Schweizerische zeitschrift für pilzkunde, 17, p. 56 (nom actuel) -
24/04/2020Tricholomopsis decoraCommentaires-Joli champignon, "décoratif" le bien nommé, ne se mange que des yeux. Facile à reconnaître à ses petites squames colorées de vert olivâtre au centre, sur fond jaune, ses belles couleurs jaunes qui le font repérer de très loin. Parfois presque pleurotoïde. -
24/04/2020Tricholomopsis decoraChapeau Description-4-12 (15) cm, convexe, bosselé puis ombiliqué, rarement en trompette, à marge très mince, longtemps enroulée puis incurvée, concolore mais brunissante. Cuticule séparable, bientôt sèche, jaune olivacé, revêtue de fibrilles radiales groupées en touffes de petites écailles triangulaires, d'abord concolores et adnées, plus denses et noirâtres au centre, brunâtres et plus lâches au bord, noircissantes ("charbonnent") par la pointe.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraChair Description-très mince, jaune soufre nuancé de verdâtre, jaune orangé dans la base du pied. Odeur faible. Saveur douce, rarement un peu amère. Réaction grisâtre au sulfate de fer; orangée à l'ammoniaque.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraLames Description-adnées-décurrentes, sécédentes, assez serrées, inégales par de nombreuses lamellules intercalées, larges de 4-8 mm, arquées, jaune d'or, jaune orangé dans les sinus. Arête aiguë, concolore. Sporée blanche.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraStipe Description-4-8 x 0,5-1 cm, souvent excentré, courbe, plein et ferme, sec et fibrilleux, concolore au chapeau mais blanc à l'insertion des lames; revêtement moucheté de squamules brunes, mais tomenteux et blanchâtre à la base.-
24/04/2020Tricholomopsis decoraEcologie Habitat-Sous conifères-
24/04/2020Tricholomopsis decoraEcologie DescriptionSur conifères.Pas rare en montagne d'août à fin octobre, sur souches, troncs et brindilles de conifères en décomposition.-
16/03/2020Boletellus elatusSynonymes Boletellus elatus Nagasawa (1984) , Transactions of the mycological Society of Japan, 25, p. 361 (Basionyme) Boletellus hiratsukae Nagasawa in Singer 1986 (nom. nud.) Boletellus elatus Nagasawa (1984) , Transactions of the mycological Society of Japan, 25, p. 361 (Nom actuel) Boletellus hiratsukae Nagasawa in Singer 1986 (nom. nud.)-
14/03/2020Tricholoma matsutakePhotoTricholoma_matsutake_1989_dg_1.jpg-Suppression photo
26/01/2020Phallus indusiatusPhotoPhallus_indusiatus_1989_sy_1.jpg-Suppression photo
26/01/2020Phallus indusiatusComestibilitéSans intérêtComestible-
26/01/2020Phallus indusiatusConfusions possiblesPhallus impudicus, comprend plusieurs variétés comportant une indusie.Phallus impudicus, comprend plusieurs variétés comportant une indusie. En réalité tous les Phallus possèdent une indusie, mais elle ne dépasse guère du chapeau.-
26/01/2020Phallus indusiatusCommentairesConsommé en Chine. Frustrés de ne pas comprendre l'utilité de cette indusie spectaculaire, certains ont supposé qu'elle pourrait rendre le champignon plus visible aux insectes en mal d'odorat, ou faciliter l'escalade des rampants vers le chapeau (voilà un fungi qui ajoute du "fun") comme les "Jungle Gyms" des jardins d'enfants.Consommé en Chine.-
26/01/2020Phallus indusiatusCarpophore DescriptionOeuf plus ou moins sphérique, 3-4-(6) cm de diamètre, blanc ou rarement se teintant de brun rougeâtre ou de mauve au frottement, munit d'un cordon mycélien et d'une touffe de rhizoïdes à la base. L'éclosion commence généralement dans les premières heures de la journée par la rupture du péridium sous la poussée du carpophore en expansion rapide (2-4 heures selon la température ambiante en zone pénétropicale). Chapeau conique, 1,5-4 cm, nettement distinct du stipe, fortement réticulé en relief, formant des cratères qui retiendront la gléba, rappelant à la fois les alvéoles des morilles et les mailles de son indusie qui en sera bientôt le prolongement. Sommet percé d'un méat circulaire, parfois saillant.Oeuf plus ou moins sphérique, 3-4-(6) cm de diamètre, blanc ou rarement se teintant de brun rougeâtre ou de mauve au frottement, munit d'un cordon mycélien et d'une touffe de rhizoïdes à la base. L'éclosion commence généralement dans les premières heures de la journée par la rupture du péridium sous la poussée du carpophore en expansion rapide (2-4 heures selon la température ambiante en zone subtropicale). Chapeau conique, 1,5-4 cm, nettement distinct du stipe, fortement réticulé en relief, formant des cratères qui retiendront la gléba, rappelant à la fois les alvéoles des morilles et les mailles de son indusie qui en sera bientôt le prolongement. Sommet percé d'un méat circulaire, parfois saillant.-
26/01/2020Phallus indusiatusGléba DescriptionBrun verdâtre à vert glauque, olive foncé, très visqueuse, épousant étroitement le relief du chapeau réticulé-alvéolé, à odeur nauséabonde et incommodante.brun verdâtre à vert glauque, olive foncé, très visqueuse, épousant étroitement le relief du chapeau réticulé-alvéolé, à odeur nauséabonde et incommodante.-
26/01/2020Phallus indusiatusStipe DescriptionCylindrique, 15-20-(25) cm x 1,5-3 cm, blanc, poreux et tubulaire, de consistance spongieuse, fait de 2 ou 3 couches de cellules aérées, aussi léger que du polystyrène. Sa vitesse de croissance est de 1-2 mm par minute selon la température et humidité ambiante. Le tricotage de l'indusie émerge du bord du chapeau, sous la gléba, pour descendre en cloche grillagée de dentelle blanche, jusqu'au contact du sol. Sa vitesse de croissance est de 2-4 mm/mn.cylindrique, 15-20-(25) cm x 1,5-3 cm, blanc, poreux et tubulaire, de consistance spongieuse, fait de 2 ou 3 couches de cellules aérées, aussi léger que du polystyrène. Sa vitesse de croissance est de 1-2 mm par minute selon la température et humidité ambiante. Le tricotage de l'indusie émerge du bord du chapeau, sous la gléba, pour descendre en cloche grillagée de dentelle blanche, jusqu'au contact du sol. Sa vitesse de croissance est de 2-4 mm/mn.-
11/01/2020Amanita sychnopyramisSynonymes Amanita sychnopyramis Corner & Bas (1962) , Persoonia, 2(3), p. 291 (Basionyme) Amanita sychnopyramis f. subannulata Hongo (1971) , 滋賀大學學藝學部紀要. 人文科学・社会科学・教育科学 Memoirs of the Faculty of liberal arts and education, Shiga University natural science, 21, p. 63 Amanita sychnopyramis Corner & Bas (1962) , Persoonia, 2(3), p. 291 (Basionyme) Amanita sychnopyramis f. subannulata Hongo (1971) , Memoirs of the Faculty of liberal arts and education, Shiga University natural science, 21, p. 63 -
11/01/2020Amanita sychnopyramisCommentaires --
07/01/2020Russula flavoviridisPhoto-Russula_flavoviridis_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula flavoviridis, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
07/01/2020Russula flavoviridisPhotoRussula_flavoviridis_1990_dg_1.jpg-Suppression photo : couleur saturée
07/01/2020Russula flavoviridisRéférencesSarnari p. 241Russules Romagnesi REAN p. 243 ; Sarnari p. 241-
07/01/2020Russula flavoviridisConfusions possibles-Cette Russule fait bien plutôt penser sur le terrain, par sa couleur citrine à R. heterophylla et surtout sa var. chlora, qu'à une forme du groupe cyanoxantha. Elle montre une spore plus petite et à verrues plus fortes que le type et la f. Peltereaui (à laquelle Sarnari l'avait primitivement rattachée). L'absence du pigment granulaire des Heterophyllae est aussi intéressante ; On pourrait penser a priori que cette espèce a pour synonyme la R. chloroxantha Blum, puisque cet auteur la place dans le même groupe que cyanoxantha, mais la spore est trop différente par sa taille et son ornementation, et surtout les indications données sur la cuticule montrent à l'évidence, qu'il ne s'agit pas d'une Indolentinae; la réaction au FeSO4 passe d'ailleurs à un orangé pâle au bout de quelques minutes. Ce champignon est sans doute une Piperinae douce du côté d'atropurpurea; un bon dessin de l'épicutis eût permis de déterminer sa position.-
07/01/2020Russula flavoviridisCommentaires-de Sarnari, loc. cit. Espèce moyenne ou grosse. Chapeau souvent lobé, irrégulier, flexueux, assez épais, uniquement verte, surtout vers olive, mais clair ou foncé, puis se décolorant, tendant par places vers un bistre ochracé, à cuticule séparable, rugueuse, veinée radialement, non brillante. Stipe plus ou moins robuste, blanc, lisse. Chair douce; réaction faible ou très faible à la teinture de Gaïac, presque nulle au FeSO4, puis tendant au bout de quelques minutes vers un orange léger. Lamelles plus espacées que chez cyanoxantha et surtout nettement friables, cassantes, parfois presque décurrentes, assez épaisses, plus ou moins larges, blanches. Sporée blanche. Spores assez grosse, 8-9-(10) µm, avec de petites épines bien visibles, reliées par un réseau dense et complet surtout fait de lignes reliantes fines, plus rarement un peu épaisses, mais sans crêtes manifestes, comme chez certaines atropurpurea. Cuticule avec hyphes cylindracées larges de 3-4 µm, et des dermatocystides réagissant nettement aux réactifs, fortement clavulées vers leur extrémité jusqu'à 10 µm - Sous feuillus.-
07/01/2020Russula flavoviridisChapeau Description-9-14,5 cm, charnu, mais peu rigide, bientôt étalé et alors largement et même assez profondément creusé au centre, à marge obtuse, régulière ou un peu lobée çà et là, non sillonnée, d'un jaune vert (K 216), parfois plus foncé sur le pourtour, vers K 207-232, et plus pâle au centre, K 221 à 203 D, plus rarement tout pâle; cuticule adnée, séparable seulement au bord, un peu ridée ou comme munie de petites aspérités ou bosselures, mais lisse, brillante, et unie au centre.-
07/01/2020Russula flavoviridisLames Description-serrées, mais assez épaisses, fortement fourchues et même anastomosées à tous les niveaux (surtout contre le stipe), décurrentes, plutôt aiguës à l'avant, larges de 7-10 mm, blanches, blanc de lait, à arête entière et concolore, assez fortement interveinées, de consistance lardacée. -
07/01/2020Russula flavoviridisStipe Description-5-6 x 2,5-2,7 cm, charnu, égal ou faiblement bulbeux, bientôt farci-spongieux, blanc, tendant à devenir plus ou moins cendré, bientôt très ridé. -
07/01/2020Russula flavoviridisChair Description-épaisse, au début presque dure, et restant ferme tant qu'elle est intacte, blanche; odeur nulle; saveur douce, faiblement âpre dans les lames. Réaction très faible, subnulle au FeSO4, et énergiquement positive à la teinture de Gaïac. -
07/01/2020Russula flavoviridisSpores Description-Sporée blanche (I a). plus petites que chez cyanoxantha, 6,5-7,5-(8,5) x 5,7-6,5-(6,7) µm, pustuleuses-piquetées, avec cependant quelques fins connexifs; verrues espacées, hémisphériques, atteignant 1 µm de large et 0,75 µm de long, assez souvent partiellement amyloïdes; appendice hilifère conique, obtus, 1-1,5 x 1 µm; plage supra-appendiculaire à petites verrues non amyloïdes. Basides 46-48 x 7,5-8,5 µm. Cystides 75-100 x 6-7,5 µm, subfusiformes ou cylindracées, souvent avec un petit bouton ou col au sommet, noires en haut (sur 40 µm environ) dans la SV. Cuticule d'hyphes grêles, très serrées (larges de 2,5-3,5 µm), émettant un épicutis de poils obtus, grêles, formant une couche confuse, à parois minces, accompagnées de très grêles dermatocystides (2,7-3 µm), éparses, difficiles à voir. Pas de pigment granulaire. - Type: n° 51-78.-
07/01/2020Russula flavoviridisEcologie Description-Dans les bois feuillus (chênes, tilleuls), semble rare. Les exemplaires ici décrits proviennent de Chaumontel (S.-et-O.), non loin du lieu dit «Le Caillou-Blanc ». Nous l'avions vue auparavant en forêt de Marly (S.-et-O.), mais l'avions négligée comme simple anomalie de cyanoxantha, certainement à tort.-
27/12/2019Leucoagaricus rubrotinctusSynonymes Agaricus rubrotinctus Peck (1884) [1882], Annual report of the New York state Museum of natural history, 35, p. 155 (Basionyme) Lepiota rubrotincta (Peck) Peck (1891) [1890], Annual report of the New York state Museum of natural history, 44, p. 67 Lepiota tonkinensis Patouillard (1892) , Bulletin de la Société mycologique de France, 8(2), p. 46 Mastocephalus carneoannulatus Clements (1896) , Botanical survey of Nebraska, 4, p. 17 Lepiota carneoannulata (Clements) Saccardo (1899) , Sylloge fungorum omnium hucusque cogitorum, 14, p. 67 Leucoagaricus rubrotinctus (Peck) Singer (1948) , Sydowia : Annales mycologici, editi in notitiam scientiae mycologicae universalis, series II, 2(1-6), p. 36 (nom actuel) Leucocoprinus japonicus (Kawamura) S. Ito (1959) , Mycological Flora of Japan, 2(5), p. 272 Lepiota japonica Kawamura ex Hongo (1959) , Memoirs of the Faculty of liberal arts and education, Shiga University natural science, 9, p. 75 Agaricus rubrotinctus Peck (1884) [1882], Annual report of the New York state Museum of natural history, 35, p. 155 (Basionyme) Lepiota rubrotincta (Peck) Peck (1891) [1890], Annual report of the New York state Museum of natural history, 44, p. 67 Lepiota tonkinensis Patouillard (1892) , Bulletin de la Société mycologique de France, 8(2), p. 46 Mastocephalus carneoannulatus Clements (1896) , Botanical survey of Nebraska, 4, p. 17 Lepiota carneoannulata (Clements) Saccardo (1899) , Sylloge fungorum omnium hucusque cogitorum, 14, p. 67 Leucoagaricus rubrotinctus (Peck) Singer (1948) , Sydowia : Annales mycologici, editi in notitiam scientiae mycologicae universalis, series II, 2(1-6), p. 36 (nom actuel) Leucocoprinus japonicus (Kawamura) S. Ito (1959) , Mycological Flora of Japan, 2(5), p. 272 Lepiota japonica Kawamura (1954) , Icones of Japanese Fungi 4 : 175, fig. 455 (nom. nud.) ; Lepiota japonica Kawamura ex Hongo (1959) , Memoirs of the Faculty of liberal arts and education, Shiga University natural science, 9, p. 75 -
27/12/2019Leucoagaricus rubrotinctusConfusions possibles-MIGLIOZZI & COCCIA, 1994 : 84-86, ont conclu que les récoltes italiennes appartenaient à un taxon différent de L. rubrotinctus mais avec une aspect macroscopique permet­tant de le confondre avec ce dernier, d'où le nom de Leucoagaricus rubroconfusus qu'ils ont donné à cette espèce. Ces auteurs font remarquer que L. rubroconfusus est le seul taxon européen présentant des dermatocystides dans son revêtement pi­léique et ils en font l'espèce type d'une sous-section : Dermatocystidiati.-
27/12/2019Leucoagaricus rubrotinctusChapeau Descriptionplan convexe ou largement mamelonné à revêtement glabre ou lisse plus ou moins lubrifié, plus ou moins visqueux au disque et fifrillo-rimeux à plus ou moins excorié vers la marge à la fin.(1,5) 2-2,5 (3) cm, campanulé-convexe, mamelonné, lubrifié au disque, squameux, surtout vers la périphérie, de couleur brun rouge à cuivre orangé, toujours plus intense au niveau du mamelon central, mais avec l'âge, s'éclaircissant en beige clair, ou blanchâtre vers la marge qui est rimeuse, fissurée.-
27/12/2019Leucoagaricus rubrotinctusChair Descriptionimmuable à odeur et saveur banaleblanche, de saveur douce, d'odeur banale ou nulle.-
27/12/2019Leucoagaricus rubrotinctusLames Descriptionblanches à arêtes floconneuses parfois roséeslibres, épaisses, blanches, ventrues avec partie la plus large centrale ou plus proche du stipe, plus ou moins serrées, à arêtes floconneuses parfois rosées,-
27/12/2019Leucoagaricus rubrotinctusStipe DescriptionAnneau plus ou moins fragile3-4,5 x 0,2-0,4 cm, cylindro-clavé à base épaissie, bulbilleuse, blanc, soyeux. Anneau : ascendant, situé sur la moitié supérieure du stipe, blanchâtre, plus ou moins bordé de brun-rouge.-
27/12/2019Leucoagaricus rubrotinctusSpores Description7-9 x 4.5-6 µm, ovoïdes à sommet plus ou moins étiré(6) 7-9 (10) x 5-6 µm, à paroi épaisse, lisses, hyalines, dextrinoïdes, elliptiques, à sommet plus ou moins étiré, subpapillé à citriforme, sans pore germi­natif, et avec un apicule net (fig. 1A). Basides : 40-30 x 8-11 µm, tétrasporiques et clavées. Cystides : cheilocystides 20-30 (47) x 7-10 (12) µm, très nombreuses, cla­vées, mais souvent également fusiformes ventrues, subcylindriques ou sphéropé­donculées, portant presque toutes à leur sommet de petits cristaux plus ou moins nombreux (fig. 1B). Pleurocystides absentes.-
27/12/2019Leucoagaricus rubrotinctusEcologie DescriptionThermophile, lieux riches en humus dans les bois, jardins, bambouseraie, bord des routes. Amérique du Nord, Japon, littoral méditerranéen ? Thermophile, lieux riches en humus dans les bois, jardins, bambouseraie, bord des routes. Amérique du Nord, Japon, littoral méditerranéen. En France, dans les jardins publics de la digue d'Orry en bordure de la rivière Têt, altitude 25­30 m, Perpignan (Pyrénées orientales, France). Quatre récoltes sur terre nue, et une sur une pelouse le 23.09.2001, 4 exemplaires sous chênes pubescents (Quercus pubescens) ; ii) le 25.09.2001, 1 exemplaire sous noisetier (Corylus avellana) ; iii) Le 03.10.2001, 1 exemplaire sous chênes verts (Quercus ilex) et chênes pubescents ; iv) le 13.10.2001, 1 exemplaire sous lauriers-tins (Viburnum tenus). Exsiccatum Herbier NEVILLE 02.01.04.05.-
27/12/2019Coltricia cinnamomeaRéférencesMarchand n° 319 ; N.A.P. ; Jülich p. 268 ; BK 2 298 ; IH 779 ; IOH 467 ; Patrice Tanchaud (2014)Marchand n° 319 ; N.A.P. ; Jülich p. 268 ; BK 2 298 ; IH2 779 ; IOH 467 ; Patrice Tanchaud (2014)-
27/12/2019Coltricia cinnamomeaRéférencesMarchand n° 319 ; N.A.P. ; Jülich p. 268 ; BK 2 298 ; IH 779 ; IOH 467 ;Marchand n° 319 ; N.A.P. ; Jülich p. 268 ; BK 2 298 ; IH 779 ; IOH 467 ; Patrice Tanchaud (2014)-
27/12/2019Coltricia cinnamomeaCommentaires-Description selon Patrice Tanchaud 2014 (récoltes de Charentes)-
27/12/2019Coltricia cinnamomeaSpores Description6,5-7,5 x 4,5-5 μm. Boucles absentes ; hyphes de la surface du chapeau sans ramifications dichotomiques . 6,5-7,5 x 4,5-5 μm, ou 6-10 x 4,5-7 μm (dimensions variables selon les ouvrages) ; Boucles absentes; hyphes de la surface du chapeau sans ramifications dichotomiques. -
25/12/2019Chiua virensComestibilitéSans intérêtInconnu-
25/12/2019Chiua virensCommentairesCe tylopile non amer, à sporée rose est remarquable par l'évolution de la couleur du chapeau (vert dans la jeunesse, jaune à brun olivacé en vieillissant), évoquant des espèces différentes pour le néophyte.Ce "tylopile" non amer, à sporée rose est remarquable par l'évolution de la couleur du chapeau (vert dans la jeunesse, jaune à brun olivacé en vieillissant), évoquant des espèces différentes pour le néophyte. Comestibilité non documentée.-
25/12/2019Chiua virensNoms françaisBolet amer verdoyant (ミドリニガイグチ)Tylopile verdoyant (ミドリニガイグチ)-
25/12/2019Chiua virensEcologie DescriptionChine, Bornéo, Japon en été-automne, isolé ou en petits groupes, à terre, sous Keteleeria en Chine, sous Pinus densiflora mêlés à Castanopsis/QuercusChine, Bornéo, Japon en été-automne, isolé ou en petits groupes, à terre, sous Keteleeria en Chine, sous Pinus densiflora mêlés à Castanopsis cuspidata/Quercus accutissima-
05/11/2019Pluteus cervinusPhotoPluteus_cervinus_1987_dg_1.jpg-Suppression photo : la partie de la fiche liée a ces formes blanches récoltées avec Romagnesi ayant été supprimée par Bouet (je suppose avec de sérieuses raisons), la photo doit l'être aussi :)
20/10/2019Boletus quercinusPhotoBoletus_quercinus_1975_then_1.jpg-Suppression photo
20/10/2019Boletus quercinusPhotoBoletus_quercinus_1989_th_1.jpg-Suppression photo
16/10/2019Coprinopsis acuminataChapeau DescriptionMamelon proéminent.glandiforme conservant longtemps un mamelon proéminent quand il s'étale, et à écailles peu nettes ou plus fugaces (que chez C. atramentaria).-
16/10/2019Coprinopsis acuminataChair DescriptionTrès déliquescent.Très déliquescente.-
16/10/2019Coprinopsis acuminataSpores Description-plus étroites que celles de C. atramentaria, 8,5-10,7 x 4-4,5 µm-
16/10/2019Coprinopsis acuminataEcologie Description-sur débris ligneux, parfois terrestre.-
27/09/2019Pycnoporus coccineusComestibilitéSans intérêtInconnuUsage médicinal confirmé empêche la mention "sans intérêt"
12/04/2019Gymnopilus spectabilisCommentairesJaune vif et amers, les Gymnopiles diffèrent des vraies pholiotes par la couleur de la sporée et du carpophore, les spores fortement verruqueuses. En Asie, où l'amertume n'est pas un obstacle à la consommation, cette espèce est traditionnellement considérée comme psychodysleptique, comme en atteste par exemple les noms japonais étudiés par R. Imazéki : [ - Oo-waraï-také [Oowaraitake] 大笑茸, オオワライタケ, Grand champignon hilarant, Grand Waraïtaké. - Doko (Yamagata). どこ、ドコ, abbréviation d'Odoko, variante patoisante d'Otoko, « Homme, mâle ». - Odori-také (Yamagata), 踊り茸、オドリタケ、« Champignon qui danse / qui fait danser ». - Otoko-maï-také (Yamagata), 男舞茸、オトコマイタケ、« Maïtaké mâle ». Il s'agit d'une espèce hallucinogène, commune à Yamagata. Le nom vernaculaire Odori-také, tout comme le nom national, renseigne sur ce qui se produit quand on le consomme. Quant à Otoko-maï-také, ainsi que son abbréviation Doko, bien qu'on puisse les traduire par " Champignon danseur mâle ", ils signifient plus simplement "Grifola frondosa mâle", ou "Coq de bois" pour sa ressemblance avec la Poule de bois, qui vient aussi en grosse touffe à partir d'une base commune. ]Jaune vif et amers, les Gymnopiles diffèrent des vraies pholiotes par la couleur de la sporée et du carpophore, les spores fortement verruqueuses. En Asie, où l'amertume n'est pas un obstacle à la consommation, cette espèce est traditionnellement considérée comme psychodysleptique, comme en atteste par exemple le noms japonais "Oo-waraï-také" = Grand champignon hilarant. -
12/04/2019Gymnopilus spectabilisChapeau DescriptionChapeau épais et charnu, de 5 à 15 cm de diamètre, hémisphérique ou obtusément conique, puis convexe, parfois bossu au centre, à marge fortement enroulée dans la jeunesse, très sec, glabre, soyeux, non hygrophane, tout vergeté de petites écailles rougeâtres (apprimées et non dressées comme chez les pholiotes), puis finement gercé, d'une belle couleur jonquille ou dorée (qui lui a valu son nom) et enfin fauve, roux orangé à roux.épais et charnu, de 5 à 15 cm de diamètre, hémisphérique ou obtusément conique, puis convexe, parfois bossu au centre, à marge fortement enroulée dans la jeunesse, très sec, glabre, soyeux, non hygrophane, tout vergeté de petites écailles rougeâtres (apprimées et non dressées comme chez les pholiotes), puis finement gercé, d'une belle couleur jonquille ou dorée (qui lui a valu son nom) et enfin fauve, roux orangé à roux.-
12/04/2019Gymnopilus spectabilisChair DescriptionChair épaisse, ferme et très amère, du même jaune safrané vif que le chapeau, se tachant de brun rouge au toucher. Odeur faible. Saveur amère.épaisse, ferme et très amère, du même jaune safrané vif que le chapeau, se tachant de brun rouge au toucher. Odeur faible. Saveur amère.-
12/04/2019Gymnopilus spectabilisLames DescriptionLames pas très serrées, inégales, en fer de faux, adnées à échancrées, un peu uncinées (décurrentes en filet), sulphurines puis fauve doré, avec l'arête plus jaune, enfin safrané rouillé par les spores, de consistance tenace (impossible à fendre transversalement).pas très serrées, inégales, en fer de faux, adnées à échancrées, un peu uncinées (décurrentes en filet), sulphurines puis fauve doré, avec l'arête plus jaune, enfin safrané rouillé par les spores, de consistance tenace (impossible à fendre transversalement).-
12/04/2019Gymnopilus spectabilisStipe DescriptionStipe mesurant 8-15 x 1-3 cm, ventru (un peu atténué en haut et en bas, renflé dans la partie moyenne), courbé, plein, ferme et presque dur, farineux et striolé au sommet, glabrescent, d'un superbe jaune d'or clair, muni près des lames d'un anneau membraneux bien développé, assez mince, strié, jaune puis rouille.8-15 x 1-3 cm, ventru (un peu atténué en haut et en bas, renflé dans la partie moyenne), courbé, plein, ferme et presque dur, farineux et striolé au sommet, glabrescent, d'un superbe jaune d'or clair, muni près des lames d'un anneau membraneux bien développé, assez mince, strié, jaune puis rouille.-
12/04/2019Gymnopilus spectabilisSpores DescriptionSpores de couleur fauve rouillé en masse, mesurant 8-11,5 x 5-7 µm, subamygdaliformes à pruniformes, granulées de fortes verrues, sans pore germinatif, jaune fauve vif sous le microscope. Petites cystides lagéniformes à suc jaune, difficiles à voir entre les basides. Cuticule filamenteuse.de couleur fauve rouillé en masse, 8-11,5 x 5-7 µm, subamygdaliformes à pruniformes, granulées de fortes verrues, sans pore germinatif, jaune fauve vif sous le microscope. Petites cystides lagéniformes à suc jaune, difficiles à voir entre les basides. Cuticule filamenteuse.-
04/04/2019Russula clusiiRéférencesBull. Soc. Et. sci. Anjou, 1986, 12, p. 37-38Bull. Soc. Et. sci. Anjou, 1986, 12, p. 39-40 ; -
04/04/2019Russula clusiiConfusions possibles-Décrite à l'origine comme une sous-espèce de Russula emetica , mais Fries insiste sur le jaunissement de la chair, ce qui a conduit certains auteurs comme Quélet à l'interpréter comme une Sanguininae , ( Russula luteotacta ). D'autres, comme Blum, l'ont synonymisée à Russula knauthii (en tant que forme de R. fragilis ). Russula clusii ss. Ruots. (Kytövuori et al. 2005) a été renommée Russula suecica et Sarnari considère R. clusii comme nomen dubium.-
04/04/2019Russula clusiiCommentaires-Fiche établie d'après Jean Mornand et Marcel Bon (1986, loc. cit.)-
04/04/2019Russula clusiiStipe Description5 x 3-4 cm, trapu, sillonné, bosselé, déformé avec des fossettes à la base, caverneux, crème ocracé, brunissant à la base. 5 x 3-4 cm, trapu, sillonné, bosselé, déformé avec des fossettes à la base, caverneux, crème ocracé, brunissant à la base. Sporée blanche.-
04/04/2019Russula clusiiRéférences-Bull. Soc. Et. sci. Anjou, 1986, 12, p. 37-38-
04/04/2019Russula clusiiChapeau Description-jusqu'à 10 cm, creusé, ombiliqué parfois plissé ou fendu par endroits vers la marge. Cuticule rose à rouge écarlate au centre. Marge arrondie, infléchie voire incurvée, verruqueuse. Cuticule se diffractant en petites plages ou verrues vers la marge, colorées sur fond crème.-
04/04/2019Russula clusiiLames Description-plus ou moins serrées par suite de nombreuses déformations, crispées, fortement interveinées, crème ocre ; jusqu'à 1,5 cm de large avec quelques furcations. Arête entière, brunissante dans la vétusté. -
04/04/2019Russula clusiiStipe Description-5 x 3-4 cm, trapu, sillonné, bosselé, déformé avec des fossettes à la base, caverneux, crème ocracé, brunissant à la base. -
04/04/2019Russula clusiiChair Description-blanche, fragile. Gaïac faible presque nul. FeSO4 gris rosâtre faible. Odeur fruitée. Saveur nettement âcre.-
04/04/2019Russula clusiiSpores Description-(7) 8,5 - 9,5 (11) x 7 - 8 µm, fortement crêtées avec quelques rares verrues isolées, réticulées formant de fines mailles assez serrées. Tache supra-hilaire étroite.-
04/04/2019Russula clusiiEcologie Description-Rare et tardive, deux récoltes en ANJOU à la mi-décembre sous chênes en 1982 et 1984 à ECOUFLANT, en terrain sablonneux acide.-
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusRéférencesFE 7 p. 374FE 7 p. 374 ; Bull. Soc. Et. sci. Anjou, 1986, 12, p. 37-38-
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusConfusions possiblesDiffère de Lactarius mairei par la teinte orangée vive; la cuticule non zonée; la toison non brunissante; la taille plus grande; les spores plus grandes; l'habitat bétulicole strict ou dominant.Diffère de Lactarius mairei par la teinte orangée plus vive; la cuticule non zonée; la toison non brunissante; la taille plus grande; les spores plus grandes; l'habitat bétulicole strict ou dominant. Voir également Lactarius torminosus dont ce pourrait être une variété ?-
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusCommentaires-Fiche établie d'après Jean Mornand et Marcel Bon (1986, loc. cit.)-
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusChapeau Description-(8)10-12 cm, creusé dès le jeune âge. Marge incurvée puis faiblement arrondie chez l'adulte, laineuse sur les deux tiers du rayon, barbue avec mèches pouvant être concolores ou plus foncées, orangé fauvâtre laissant voir la chair sous-cuticulaire plus pâle. Nous [Mornand et Bon], 1986) n'avons jamais observé de teinte rosée, carnée ou briquetée sur cette espèce.-
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusLames Description-serrées, minces, incurvées, à peine décurrentes, crème-orangé. Arête aiguë, entière. Sporée crème pâle, vers 1b du code Romagnesi.-
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusStipe Description-subconcolore, plus pâle à la base et à l'extrême sommet, 5 x 2-2,5 cm, cylindracé ou épaissi clavé à la base, creux, non ou peu scrobiculé, mais présentant quelques fossettes à la base.-
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusChair Description-dure, élastique puis cassante, ocracée. Lait immuable ou jaunissant peu et lentement en quelques minutes. Odeur fruitée. Saveur très âcre.-
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusSaveur-Acre-
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusSpores Description-(7,5) 8,5 - 9 (10) x (6) 6,5 - 7 (7,8) µm, zébrées, crêtées, sans verrues libres, en général complètement réticulées, les crêtes étant reliées par de fins trabécules. Crêtes et épines inférieures à 0,5 µm. -
03/04/2019Lactarius aurantiaco-ochraceusEcologie Description-Première récolte en Maine-et-Loire (27-10-1980) en taillis de feuillus au bois du Lac à CORNILLE-les-CAVES, puis en octobre 1981 à PELLOUAILLES, et en octobre 1984 à TIERCE, toujours sous feuillus. Marcel Bon la récoltait simultanémen dans le Nord, à MAUBEUGE et AMIENS en octobre 1981.-
20/03/2019Tricholoma stiparophyllumChapeau DescriptionChapeau mesurant (3-)7-12(-15) cm de diamètre, convexe ou submamelonné, à marge enroulée et un peu crénelée avec l'âge ; revêtement soyeux, mat à plus ou moins glacé, blanc pur, puis plus ou moins taché d'ochracé roussâtre ou de verdâtre sale à la manipulation, pouvant devenir entièrement mastic.(3-)7-12(-15) cm de diamètre, convexe ou submamelonné, à marge enroulée et un peu crénelée avec l'âge ; revêtement soyeux, mat à plus ou moins glacé, blanc pur, puis plus ou moins taché d'ochracé roussâtre ou de verdâtre sale à la manipulation, pouvant devenir entièrement mastic.-
20/03/2019Tricholoma stiparophyllumChair DescriptionChair blanche. Odeur forte terreuse, dite de "poussière de grange", ou d'insecticide (Lindane, HCH). Saveur âcre-amère. TL4 et sulfoformol verts, gaïac lentement positif (+).blanche. Odeur forte terreuse, dite de "poussière de grange", ou d'insecticide (Lindane, HCH). Saveur âcre-amère. TL4 et sulfoformol verts, gaïac lentement positif (+).-
20/03/2019Tricholoma stiparophyllumLames DescriptionLames échancrées, assez serrées et régulières, blanches à plus ou moins ocracées avec l'âge, crème ou même rosâtre.échancrées, assez serrées et régulières, blanches à plus ou moins ocracées avec l'âge, crème ou même rosâtre.-
20/03/2019Tricholoma stiparophyllumStipe DescriptionStipe mesurant (4-)8-12(-13) x 0,8-1,5(-2) cm, subégal, blanchâtre, se tachant souvent d'ochracé ou de rosâtre.(4-)8-12(-13) x 0,8-1,5(-2) cm, subégal, blanchâtre, se tachant souvent d'ochracé ou de rosâtre.-
20/03/2019Tricholoma stiparophyllumSpores DescriptionSpores mesurant (5) 5,5-6,5 (7) x 3,5-4 (4,5) µm, elliptiques à ovo-amygdaloïdes, lisses.(5) 5,5-6,5 (7) x 3,5-4 (4,5) µm, elliptiques à ovo-amygdaloïdes, lisses.-
20/03/2019Russula mariaeSynonymes Russula mariae Peck (1872) [1871], Annual report of the New York state Museum of natural history, 24, p. 74 (Basionyme) Russula alachuana Murrill (1938) , Mycologia, 30(4), p. 362 Russula subviridella Murrill (1943) , Lloydia, 6, p. 218 Russula subcyanoxantha Murrill (1943) , Lloydia, 6, p. 217 Russula mariae Peck (1872) [1871], Annual report of the New York state Museum of natural history, 24, p. 74 (Basionyme) Russula alachuana Murrill (1938) , Mycologia, 30(4), p. 362 Russula subviridella Murrill (1943) , Lloydia, 6, p. 218 Russula subcyanoxantha Murrill (1943) , Lloydia, 6, p. 217 non ss. Singer nec Hongo (= R. bella) ; R. amoena ss. Hongo 1967, 1989, non Quél. ; R. punctata Krombh. ss. Kawamura 1929, 1954 -
20/03/2019Russula omiensisEtymologie-Russule sise dans la commune de Ōmi, aujourd'hui rattachée à la ville de Maibara (département de Shiga)-
20/03/2019Russula omiensisNoms françaisRussule d'Ômi ; Russule violette âcre (カラムラサキハツ)Russule d'Ōmi ; Russule violette âcre (カラムラサキハツ)-
19/03/2019Austroboletus subvirensConfusions possiblesAustroboletus fusisporus est très proche, mais facile à séparer par la grande taille des carpophores, le chapeau olivacé, l'absence d'odeur et les spores plus étroites. Chiua virens décrit par Chiu en 1948, s'en éloigne également par son réseau noirâtre sur le stipe et ses spores hyalines, ellipsoïdes, mesurant 11-14 x 5,5-6 µm.< fiche>Austroboletus fusisporus est très proche, mais facile à séparer par la grande taille des carpophores, le chapeau olivacé, l'absence d'odeur et les spores plus étroites. Chiua virens décrit par Chiu en 1948, s'en éloigne également par son réseau noirâtre sur le stipe et ses spores hyalines, ellipsoïdes, mesurant 11-14 x 5,5-6 µm.-
19/03/2019Austroboletus subvirensEcologie Descriptionau Japon (type), vient de juillet à septembre, dans les bois mixtes de Castanopsis/Pinus ou Quercus/Pinus, solitaire ou grégaire, sur le sol parmi les feuilles mortes. Récolté à Taïwan en juin sous Quercus (Cyclobalanopsis) glauca. Distribution: Japon, Taïwan, Chine, Nouvelle-Guinée. au Japon (type), vient de juillet à septembre, dans les bois mixtes de Castanopsis-Pinus ou Quercus-Pinus, solitaire ou grégaire, sur le sol parmi les feuilles mortes. Récolté à Taïwan en juin sous Quercus (Cyclobalanopsis) glauca. Distribution: Japon, Taïwan, Chine, Nouvelle-Guinée. -
19/03/2019Austroboletus subvirensPhotoAustroboletus_subvirens_1987_enth_1.jpg-Suppression photo
06/03/2019Setchelliogaster tenuipesComestibilitéSans intérêtInconnu-
06/03/2019Setchelliogaster tenuipesPhotoSetchelliogaster_tenuipes_2004_sp_1.jpg-Suppression photo
06/03/2019Austroboletus fusisporusEtymologie-Le nom japonais de -
06/03/2019Austroboletus fusisporusSynonymes Strobilomyces fusisporus Kawamura (1954) , Icones of Japanese Fungi, 2, p. 282 (nom. inval.) Porphyrellus fusisporus Kawamura ex Imazeki & Hongo (1960) , Acta phytotaxonomica et geobotanica, Kyoto, 18(4), p. 110 (Basionyme) Austroboletus fusisporus (Kawamura ex Imazeki & Hongo) Wolfe (1980) [1979], Bibliotheca mycologica, 69, p. 96 (nom actuel) Strobilomyces fusisporus Kawamura (1954) , Icones of Japanese Fungi, 2, p. 282 (nom. inval.) Porphyrellus fusisporus Kawamura ex Imazeki & Hongo (1960) , Acta phytotaxonomica et geobotanica, Kyoto, 18(4), p. 110 (Basionyme) Austroboletus fusisporus (Kawamura ex Imazeki & Hongo) Wolfe (1980) [1979], Bibliotheca mycologica, 69, p. 96 (nom actuel) -
06/03/2019Austroboletus fusisporusComestibilitéSans intérêtInconnu-
06/03/2019Austroboletus fusisporusCommentairesRemarquable par son pied fortement et grossièrement réticulé, devenant visqueux par temps humide, son odeur forte et agréable, et ses spores fusiformes. La sporée est brun vineux sans aucune nuance olivacée. Le nom japonais de "Yasha" fait référence aux Yaksha, ces esprits plus ou moins bienveillants, dont les statues imposantes, souvent portant une armure écailleuse, protègent les accès aux temples bouddhiques. http://fr.wikipedia.org/wiki/Yaksha Remarquable par son pied fortement et grossièrement réticulé, devenant visqueux par temps humide, son odeur forte et agréable, et ses spores fusiformes. La sporée est brun vineux sans aucune nuance olivacée-
15/02/2019Phallus rugulosusCommentairesSur compost forestier ou rudéral, surtout écorces et chablis. Très fréquent par endroits, haies et lisières des jardins d'agrément, jusqu'à épuisement du compost.--
15/02/2019Phallus rugulosusCarpophore DescriptionŒuf sphérique, 2 cm, blanchâtre mais brunissant. Deux fois plus mince que P. impudicus mais assez long sur pied: 7-15 x 2-3 cm. Souvent cassé ou plié en deux au tiers inférieur, le chapeau fortement englué par la gléba restant collé à la volve.Œuf sphérique, 2 cm, blanchâtre mais brunissant. Carpophore adulte deux fois plus mince que P. impudicus mais assez long sur pied, rouge orangé.-
15/02/2019Phallus rugulosusStipe Description- 7-15 x 2-3 cm. Souvent cassé ou plié en deux au tiers inférieur, le chapeau fortement englué par la gléba restant collé à la volve.-
15/02/2019Phallus rugulosusEcologie Description-Sur compost forestier ou rudéral, surtout écorces et chablis. Très fréquent par endroits, haies et lisières des jardins d'agrément, jusqu'à épuisement du compost.-
15/02/2019Phylloporus bellusRéférencesIH1 532 ; IOH p. 296Nova Hedwigia 20:793-822 - Corner, E.J.H. 1970 : Phylloporus Quél. and Paxillus Fr. in Malaya and Borneo ; IH1 532 ; IOH p. 296-
15/02/2019Phylloporus bellusEcologie DescriptionSemble être l'espèce la plus cosmopolite du genre. Asie du Sud-Est (Indonésie, Singapour), Japon, Costa-Rica, Mexique, en forêts de feuillus (Fagus, Quercus, Castanopsis). Assez commun au Japon été-automne dans les hêtraies pures ou mêlées de Quercus-Castanopsis ou de Pinus.Semble être l'espèce la plus cosmopolite du genre. Asie du Sud-Est (Indonésie, Singapour), Japon, Costa-Rica, Mexique, en forêts de feuillus. Assez commun au Japon été-automne dans les hêtraies pures ou mêlées de Quercus-Castanopsis ou de Pinus.-
15/02/2019Pholiota aurivellaPhotoPholiota_aurivella_1997_mi_1.jpg-Suppression photo
09/02/2019Pulveroboletus raveneliiPhotoPulveroboletus_ravenelii_2000_dg_1.jpg-Suppression photo
07/02/2019Lactarius gracilisLames DescriptionLames adnées-décurrentes, souvent fourchues, assez serrées à assez espacées, crème carné pâle, se tachant de brun orangé au froissement, 2 mm de large. Latex blanc, immuable, vite tari.adnées-décurrentes, souvent fourchues, assez serrées à assez espacées, crème carné pâle, se tachant de brun orangé au froissement, 2 mm de large. Latex blanc, immuable, vite tari.-
07/02/2019Lactarius gracilisStipe DescriptionStipe 2-7 x 0,2-0,3(0,6)cm. Mince et long, égal ou atténué au sommet, creux, à revêtement brun rougeâtre avec des poils brun jaunâtre pâle à la base.2-7 x 0,2-0,3(0,6)cm. Mince et long, égal ou atténué au sommet, creux, à revêtement brun rougeâtre avec des poils brun jaunâtre pâle à la base.-
07/02/2019Lactarius gracilisChair DescriptionChair mince, légèrement teintée de brun pâle. Saveur un peu mentholée comme l'odeur, faible de punaise ou de pélargonium.mince, légèrement teintée de brun pâle. Saveur un peu mentholée comme l'odeur, faible de punaise ou de pélargonium.-
07/02/2019Amanita virgineoidesEtymologie-Fausse Amanite vierge-
07/02/2019Amanita virgineoidesNoms français-Démon blanc hirsute (シロオニタケ)-
07/02/2019Amanita virgineoidesComestibilitéComestible--
07/02/2019Amanita virgineoidesChair Description-blanche, tendre, saveur douce. Comestibilité discutée en Chine, mais aucun incident imputé à ce jour au Japon.-
07/02/2019Amanita virgineoidesStipe Descriptioncentral, 8-20 × 2-3 cm, massif, blanc, couvert de verrues coniques. Anneau membraneux, blanc, fragile. Volve bulbeuse, blanche, couvertes de verrues coniques.central, 8-20 × 2-3 cm, souvent clavé, massif, blanc, couvert de verrues coniques. Anneau membraneux, blanc, fragile. Volve bulbeuse, blanche, couvertes de verrues coniques.-
07/02/2019Amanita virgineoidesEcologie HabitatSous feuillusSous feuillus ou Sous conifères-
07/02/2019Amanita virgineoidesEcologie DescriptionSous feuillus, Japon, Chine, Corée du SudSous feuillus ou sous Pinus, Japon, Chine, Corée du Sud-
07/02/2019Amanita virgineoidesChapeau DescriptionChapeau 7-15 cm, hémisphérique puis convexe, longtemps blanc, ochracé pâle dans la vieillesse, entièrement couvert de verrues blanches coniques à pyramidales.7-15 cm, hémisphérique puis convexe, longtemps blanc, ochracé pâle dans la vieillesse, entièrement couvert de verrues blanches coniques à pyramidales.-
07/02/2019Amanita virgineoidesLames DescriptionLames libres, serrées, inégales, blanches, entières.libres, serrées, inégales, blanches, entières.-
07/02/2019Amanita virgineoidesStipe DescriptionStipe central, 8-20 × 2-3 cm, massif, blanc, couvert de verrues coniques. Anneau membraneux, blanc, fragile. Volve bulbeuse, blanche, couvertes de verrues coniques.central, 8-20 × 2-3 cm, massif, blanc, couvert de verrues coniques. Anneau membraneux, blanc, fragile. Volve bulbeuse, blanche, couvertes de verrues coniques.-
07/02/2019Amanita virgineoidesSpores DescriptionSpores largement ellipsoïdes, hyalines, lisses, amyloïdes 7,5-10 × 6-8 μm, hyphes non bouclées.largement ellipsoïdes, hyalines, lisses, amyloïdes 7,5-10 × 6-8 μm, hyphes non bouclées.-
06/02/2019Tapinella atrotomentosaPhotoTapinella_atrotomentosa_1990_dg_2.jpg-Suppression photo
06/02/2019Tapinella atrotomentosaPhotoTapinella_atrotomentosa_1990_dg_1.jpg-Suppression photo
03/02/2019Neocudoniella albicepsApothécie Description1-4 cm de hauteur, 0,5-1,5 cm de diamètre, à tête bien différenciée, globuleuse, bosselée irrégulière, parfois déprimée au centre ou cyathiforme, de consistance gélatineuse, d'un blanc opalescent à gris translucide, souvent rosé à brun roux.de 1-4 cm de hauteur, 0,5-1,5 cm de diamètre, à tête bien différenciée, globuleuse, bosselée irrégulière, parfois déprimée au centre ou cyathiforme, de consistance gélatineuse, d'un blanc opalescent à gris translucide, souvent rosé à brun roux.-
03/02/2019Neocudoniella albicepsChair Descriptiongélatineuse, concolore. Saveur acidule.très gélatineuse, concolore. Saveur acidule.-
03/02/2019Neocudoniella albicepsStipe Description0,5-2,5 x 0,5-1,5 cm, gommeux, évasé au sommet et à la base, brun rougeâtre foncé, recouvert d'une couche de gélin translucide.de 0,5-2,5 x 0,5-1,5 cm, gommeux, évasé au sommet et également à la base, brun rougeâtre foncé, recouvert d'une couche de gélin translucide.-
03/02/2019Neocudoniella albicepsSpores Descriptionfusiformes-ellipsoïdes, 5-8 x 2-3 µmfusiformes à ellipsoïdes, 5-8 x 2-3 µm-
03/02/2019Neocudoniella albicepsRéférencesKinoko Field Book p. 301 ; CQ ;Kinoko Field Book p. 301 ; CQ Roland Labbé & Jacqueline Labrecque, mai 2014-
03/02/2019Neocudoniella albicepsComestibilitéSans intérêtInconnu-
03/02/2019Neocudoniella albicepsRéférencesKinoko Field Book p. 301Kinoko Field Book p. 301 ; CQ ;-
03/02/2019Neocudoniella albicepsCommentairesLe genre Neocudoniella fut créé par le mycologue japonais Sanshi Imaï en 1941, Journal of the Faculty of agriculture Hokkaido university, 45, p. 233Le genre Neocudoniella fut créé par le mycologue japonais Sanshi Imaï, Journal of the Faculty of Agriculture of the Hokkaido Imperial University 45 (4): 233 (1941)-
03/02/2019Neocudoniella albicepsEcologie DescriptionAssez rare à très rare, sur le bois pourri de feuillus ou conifère, en été et début d'automne. Amérique du Nord, Corée, Japon...Assez rare à très rare, sur le bois pourri de feuillus ou de conifères, en été et début d'automne. Amérique du Nord, Corée, Japon...-
01/02/2019Boletellus elatusComestibilitéSans intérêtInconnuComestibilité inconnue! Citez vos sources et discutez avant de jouer à la roulette russe...
01/02/2019Heimioporus japonicusPhotoHeimioporus_japonicus_2000_dg_1.jpg-Suppression photo
01/02/2019Heimioporus japonicusPhotoHeimioporus_japonicus_1989_im_1.jpg-Suppression photo
01/02/2019Heimioporus japonicusSynonymes Heimiella japonica Hongo (1969) , Journal of Japanese botany, 44, p. 237 (Basionyme) Boletellus japonicus (Hongo) L.D. Gómez (1997) [1996], Revista de biología tropical, International journal of tropical biology and conservation, 44 (suppl. 4), p. 71 Heimioporus japonicus (Hongo) E. Horak (2004) , Sydowia : An international journal of mycology, 56(2), p. 238 (nom actuel) Boletellus retisporus ss. Hongo Heimiella japonica Hongo (1969) , Journal of Japanese botany, 44, p. 237 (Basionyme) Boletellus japonicus (Hongo) L.D. Gómez (1997) [1996], Revista de biología tropical, International journal of tropical biology and conservation, 44 (suppl. 4), p. 71 Heimioporus japonicus (Hongo) E. Horak (2004) , Sydowia : An international journal of mycology, 56(2), p. 238 (nom actuel) Boletellus retisporus (Pat. & Baker) Sing. ss. Hongo, non Pat. & Baker;la comestibilité n'est pas connue. Affirmer qu'elle est sans intérêt revient à la déclarer comestible. Citez vos sources ou dites honnêtement qu'on ne sait pas :)
01/02/2019Heimioporus japonicusComestibilitéSans intérêtInconnula comestibilité n'est pas connue. Affirmer qu'elle est sans intérêt revient à la déclarer comestible. Citez vos sources ou dites honnêtement qu'on ne sait pas :)
25/01/2019Abundisporus roseoalbusNoms françaisPolypore flexible (ホウネンタケ)Polypore flexibleFiche crée basée sur les récoltes d'Imazeki et Otani, ne correspondant plus au taxon renommé
25/01/2019Abundisporus roseoalbusRéférencesIOH p. 481 ;-Fiche crée basée sur les récoltes d'Imazeki et Otani, ne correspondant plus au taxon renommé
25/01/2019Abundisporus roseoalbusChapeau/Dessus DescriptionBasidiome perenne, solitaire ou rarement 2-3 confluents et imbriqués, semi-circulaires, largement fixé au support, légèrement conchoïde, presque unguliforme, rarement plan, parfois effusé-réfléchi, à consistance de liège, léger sur le sec. Chapeau 2,5-6,5 x 4-11 x 0,5-3 cm; surface non zonée dans la jeunesse mais ensuite avec une large zone marginale ou discrètement zonée concentriquement et légèrement sillonnée, à base inégale, fauve orangé, ambré ou brun datte foncé, avec la base à la fin noirâtre; zone marginale parfois argile fauve. Croûte présente chez les individus pérennes, dure, épaisse de 0,03-0,15 mm, noire et brillante à la coupe. Marge aiguë ou mince mais arrondie.-Fiche crée basée sur les récoltes d'Imazeki et Otani, ne correspondant plus au taxon renommé
25/01/2019Abundisporus roseoalbusPores/Dessous DescriptionSurface porée glauque ou bai avec une touche vineuse, orange fauve au froissement, bientôt, fauve brunâtre à brun de datte ou chocolat; pores ronds, 6,5-8,5 par mm, à parois minces. -Fiche crée basée sur les récoltes d'Imazeki et Otani, ne correspondant plus au taxon renommé
25/01/2019Abundisporus roseoalbusChair Description 5-20 mm d'épaisseur (1-3 mm dans la portion résupinée, densément cotonneuse ou subéreuse, non ou discrètement zonée, fauve brunâtre ou ambre.-Fiche crée basée sur les récoltes d'Imazeki et Otani, ne correspondant plus au taxon renommé
25/01/2019Abundisporus roseoalbusSpores Description 4-5 x 2,5-3,5 µm, ellipsoïdes, aplaties d'un côté, légèrement anguleuse, quelques rares spores presque tronquées, généralement avec 1-2 guttules, à cloisons épaisses, plus ou moins jaunâtre, légèrement dextrinoïde. Cystides nulles; basides 13-17 x 5-5,5 µm.-Fiche crée basée sur les récoltes d'Imazeki et Otani, ne correspondant plus au taxon renommé
25/01/2019Abundisporus roseoalbusEcologie DescriptionDistribution : Brésil, Cuba, Kenya, Malawi, Tanzanie, Venezuela, Japon, Corée, Australie.-Fiche crée basée sur les récoltes d'Imazeki et Otani, ne correspondant plus au taxon renommé
25/01/2019Abundisporus roseoalbusPhotoAbundisporus_roseoalbus_1993_dg_1.jpg-Suppression photo
16/01/2019Mutinus elegansCommentairesSous le basionyme de Corynites elegans, il fut décrit pour la première fois par le mycologue explorateur Camille Montagne en 1850 (Herbier inédit), publié en 1856 dans son ouvrage Sylloge Cryptogamarum. L'espèce fut ensuite recombinée dans le genre Mutinus par Eduard Fischer dans l'ouvrage de Saccardo, Sylloge Fungorum 7 (1), p.13. Anglais : Elegant stinkhorn, Dog stinkhorn, Devil's dipstick. Japonais : タヌキノベニエフデ (écriture katakana), 狸紅絵 (écriture kanji), prononcé « Tanuki-no-béni-éfudé » signifie « Pinceau rouge de blaireau ».Sous le basionyme de Corynites elegans, il fut décrit pour la première fois par le mycologue explorateur Camille Montagne en 1850 (Herbier inédit), publié en 1856 dans son ouvrage Sylloge Cryptogamarum1. L'espèce fut ensuite recombinée dans le genre Mutinus par Eduard Fischer dans l'ouvrage de Saccardo, Sylloge Fungorum 7 (1), p.13. Il se différencie du banal satyre du chien (Mutinus caninus) par sa taille plus robuste, appointie au sommet, sa partie fertile colorée de rouge écarlate et peu différenciée du réceptacle (on n'ose pas dire pied, vu l'absence de chapeau ). Ce dernier n'ayant pas d'alvéoles sur la face externe, est simplement ponctué de pores. -
16/01/2019Pulveroboletus raveneliiNoms françaisBolet de Ravenel ; Bolet soufré pulvérulentBolet de Ravenel ; Bolet soufré pulvérulent ; -
16/01/2019Pulveroboletus raveneliiComestibilitéSans intérêtComestible-
16/01/2019Pulveroboletus raveneliiCommentairesVient souvent à la base des souches de conifères, entre les racines, suggérant un champignon lignicole et à ce titre considéré comme saprophyte par certains auteurs. Comestible peu estimé en Asie mais aurait été utilisé en pharmacopée chinoise et en teinturerie. Vient souvent à la base des souches de conifères, entre les racines, suggérant un champignon lignicole et à ce titre considéré comme saprophyte par certains auteurs. Comestible peu estimé en Asie. Aurait été utilisé en pharmacopée chinoise et en teinturerie. -
13/01/2019Boletellus elatusNoms françaisBolet à pied élancé (アシナガイグチ) ; Bolet de HiratsukaBolet à pied élancé (アシナガイグチ) ; Bolet du Professeur Hiratsuka-
13/01/2019Boletellus elatusCommentairesEspèce peu commune mais largement distribuée et facile à reconnaître sur le terrain à son pied élancé et pruineux à la base épaissie, son chapeau et stipe colorés d'un brun chaud, sa chair et ses tubes immuables. La morphologie sporale le place dans la section Chrysentheroidei Singer.Espèce peu commune mais largement distribuée et facile à reconnaître sur le terrain à son pied élancé et pruineux à la base épaissie, son chapeau et stipe colorés d'un brun chaud, sa chair et ses tubes immuables. La morphologie sporale le place dans la section Chrysentheroidei Singer. Fiche établie gracieusement par Nagasawa Eiji selon D.O.-1984, Trans. Mycol. Soc. Japan 25(4) p. 361-366 ;-
10/01/2019Inonotus mikadoiComestibilitéSans intérêtInconnu-
06/01/2019Lysurus mokusinPhotoLysurus_mokusin_1999_dg_3.jpg-Suppression photo
20/12/2018Macrocybe giganteaSynonymes Tricholoma giganteum Massee (1912) , Bulletin of miscellaneous information - Royal botanic Gardens, Kew, 1912(6), p. 254 (Basionyme) Macrocybe gigantea (Massee) Pegler & Lodge (1998) , Mycologia, 90(3), p. 497 (nom actuel) ? Tricholoma lobayense Heim 1970 ? Tricholoma spectabilis Peerally et Sutra 1973 Tricholoma giganteum Massee (1912) , Bulletin of miscellaneous information - Royal botanic Gardens, Kew, 1912(6), p. 254 (Basionyme) Macrocybe gigantea (Massee) Pegler & Lodge (1998) , Mycologia, 90(3), p. 497 (nom actuel) Tricholoma lobayense Heim (1970) , Rev. Mycol. 34 : 346 Tricholoma spectabilis Peerally et Sutra (1973) , Rev. Agr. et Sucrière de l'Île Maurice 53 : 117-
20/12/2018Macrocybe giganteaCommentairesDécrit par Massee depuis l'Inde en 1912, puis récoltée régulièrement au sud du Japon depuis 1978, cette espèce de très grande taille et relativement élancée, a été recombinée en 1998 dans le genre Macrocybe. Cultivé depuis peu en Inde, Chine, Japon. Aurait des propriétés anti-tumorales...Décrit par Massee depuis l'Inde en 1912, puis de l'ile Maurice et du Nigeria par Heim, Peerally et Sutra, enfin récoltée régulièrement au sud du Japon depuis 1978, cette espèce de très grande taille et relativement élancée, a été recombinée en 1998 dans le genre Macrocybe. Cultivée depuis peu en Inde, Chine, Japon. Aurait des propriétés anti-tumorales...-
17/11/2018Tolypocladium capitatumNoms françaisCordyceps capité, Cordyceps du Canada (ヌメリタンポタケ)Cordyceps capité, Cordyceps du Canada-
17/11/2018Tolypocladium capitatumPhotoTolypocladium_capitatum_1994_sytk_1.jpg-Suppression photo : Copyright infringement
17/11/2018Tylopilus rigensPhotoTylopilus_rigens_1979_th_1.jpg-Suppression photo
17/11/2018Tylopilus vinosobrunneusPhotoTylopilus_vinosobrunneus_2001_dg_1.jpg-Suppression photo
17/11/2018Heimioporus japonicusPhotoHeimioporus_japonicus_1987_hn_1.jpg-Suppression photo
17/11/2018Russula japonicaCommentairesUn sosie de Russula delica, à lames extrêmement serrées et étroites, un pied toujours très court et appointi à la base (comme la Russula flavispora de Blum ex Romagnesi) et chair insipide ou très légèrement amère. Hongo la décrit comme espèce nouvelle en 1954, puis la synonymise à la pseudodelica de Lange en 1965. En 1982, elle retrouve son statut d'espèce endémique. Donnée comme comestible en 1965 (IHx vol. 2 p. 193), puis la toxicité est dite "variable selon les individus" en 1989 (IOH 579). Or, en juin 2001 à Kumamoto, il a suffi à deux ramasseurs d'en goûter et de recracher un petit morceau pour souffrir pendant 10 jours d'un œdème de la langue et de la bouche, accompagné de paresthésies de tout le corps avec affaiblissement général. Comble de traîtrise, la saveur était agréable! Ces récoltes toxiques évoquent l'existence de "races chimiques" dans le complexe de Russula japonica ! Un sosie de Russula delica, à lames extrêmement serrées et étroites, un pied toujours très court et appointi à la base (comme la Russula flavispora de Blum ex Romagnesi) et chair insipide ou très légèrement amère. Hongo la décrit comme espèce nouvelle en 1954, puis la synonymise à la pseudodelica de Lange en 1965. En 1982, elle retrouve son statut d'espèce endémique. Donnée comme comestible en 1965 (Imazeki & Hongo, vol. 2 p. 193), puis la toxicité est dite "variable selon les individus" en 1989 (cf. Imazeki, Otani & Hongo p.579). Or, en juin 2001 à Kumamoto, il a suffi à deux ramasseurs d'en goûter et de recracher un petit morceau pour souffrir pendant 10 jours d'un œdème de la langue et de la bouche, accompagné de paresthésies de tout le corps avec affaiblissement général. Comble de traîtrise, la saveur était agréable! Ces récoltes toxiques évoquent l'existence de "races chimiques" dans le "complexe Russula japonica"!-
17/11/2018Russula japonicaConfusions possiblesRussula delica possède un diamètre du chapeau supérieur (20 cm), moins creusé et contrastant avec le pied très court, une marge souvent festonnée-ondulée, le serrage extrême de ses lames (au point de simuler une surface unie), des lames très étroites (1-4 mm), vite tachées d'ocre-rouille, mais jamais de reflets bleuâtre dans les lames et une sporée plus foncée, ocre, visible dans la couleur des lames à maturité. Se distingue de R. delica par: - le diamètre du chapeau supérieur (20 cm), moins creusé et contrastant avec le pied très court - la marge souvent festonnée-ondulée - le serrage extrême des lames (au point de simuler une surface unie) - des lames très étroites (1-4 mm), vite tachées d'ocre-rouille - jamais de reflets bleuâtre dans les lames - une sporée plus foncée, ocre, visible dans la couleur des lames à maturité. -
17/11/2018Russula japonicaCommentairesCe champignon est un sosie nippon de Russula delica, à lames extrêmement serrées et étroites, un pied toujours très court et appointi à la base (comme la Russula flavispora de Blum ex Romagnesi) et chair insipide ou très légèrement amère. Hongo la décrit comme espèce nouvelle en 1954, puis la synonymise à la pseudodelica de Lange en 1965. En 1982, elle retrouve son statut d'espèce endémique. Donnée comme comestible en 1965 (IHx vol. 2 p. 193), puis la toxicité est dite "variable selon les individus" en 1989 (IOH 579). Or, en juin 2001 à Kumamoto, il a suffi à deux ramasseurs d'en goûter et de recracher un petit morceau pour souffrir pendant 10 jours d'un œdème de la langue et de la bouche, accompagné de paresthésies de tout le corps avec affaiblissement général. Comble de traîtrise, la saveur était agréable! Ces récoltes toxiques évoquent l'existence de chémotypes dans le complexe de Russula japonica ! Un sosie de Russula delica, à lames extrêmement serrées et étroites, un pied toujours très court et appointi à la base (comme la Russula flavispora de Blum ex Romagnesi) et chair insipide ou très légèrement amère. Hongo la décrit comme espèce nouvelle en 1954, puis la synonymise à la pseudodelica de Lange en 1965. En 1982, elle retrouve son statut d'espèce endémique. Donnée comme comestible en 1965 (IHx vol. 2 p. 193), puis la toxicité est dite "variable selon les individus" en 1989 (IOH 579). Or, en juin 2001 à Kumamoto, il a suffi à deux ramasseurs d'en goûter et de recracher un petit morceau pour souffrir pendant 10 jours d'un œdème de la langue et de la bouche, accompagné de paresthésies de tout le corps avec affaiblissement général. Comble de traîtrise, la saveur était agréable! Ces récoltes toxiques évoquent l'existence de "races chimiques" dans le complexe de Russula japonica ! Revert diagnose princeps
17/11/2018Russula japonicaLames DescriptionLibres puis, le chapeau s'ouvrant, souvent décurrentes, blanches puis crème ocracé pâle (mais plus foncé que R. delica), enfin beige sordide (jamais de reflet bleuâtre), vite tachées d'ocre-rouille très serrées, étroites (1-4 mm).libres puis, le chapeau s'ouvrant, souvent décurrentes, blanches puis crème ocracé pâle (mais plus foncé que R. delica), enfin beige sordide (jamais de reflet bleuâtre), vite tachées d'ocre-rouille très serrées, étroites (1-4 mm).Revert diagnose princeps
17/11/2018Russula japonicaStipe DescriptionTrapu, 3-6 x 1,2-2 cm, cylindrique ou atténué à la base, surface ridulée ou ruguleuse, blanc, plein puis spongieux.trapu, 3-6 x 1,2-2 cm, cylindrique ou atténué à la base, surface ridulée ou ruguleuse, blanc, plein puis spongieux.Revert diagnose princeps
17/11/2018Russula japonicaChair DescriptionEpaisse dans le chapeau, dure, blanche, presque insipide, parfois amariuscule.épaisse dans le chapeau, dure, blanche, presque insipide, parfois amariuscule.Revert diagnose princeps
17/11/2018Russula japonicaSpores DescriptionSporée crème à ocre pâle. Spore ovoïdes 6-7(8) x 4,7-6 µm, ornées de verrues minuscules plus ou moins coniques, parfois reliées entre elles. Cheilocystides et pleurocystides 40-60 x 9-10 µm, cylindriques à fusiformes ou en massue, atténuées en pointe au sommet, très allongées, minces et mucronées.Sporée crème à ocre pâle. Spore ovoïdes 6-7(8) x 4,7-6 µm, ornées de verrues minuscules plus ou moins coniques, parfois reliées entre elles; Cheilocystides et pleurocystides 40-60 x 9-10 µm, cylindriques à fusiformes ou en massue, atténuées en pointe au sommet, très allongées, minces et mucronées.Revert diagnose princeps
17/11/2018Russula japonicaEcologie DescriptionÉté-automne, pas rare en forêts tempérées à chaude et humides, formant des rond-de-fées sous divers feuillus, surtout Quercus serrata (chêne denté), Quercus acutissima (chêne du Japon) et Castanopsis cuspidata. Japon.Été-automne, pas rare en forêts tempérées à chaude et humides, formant des rond-de-fées sous divers feuillus, surtout Quercus serrata, Quercus acutissima et Castanopsis cuspidata. Japon.Revert diagnose princeps
17/11/2018Russula japonicaPhotoRussula_japonica_2001_dg_1.jpg-Suppression photo
17/11/2018Russula japonicaPhotoRussula_japonica_2000_dg_1.jpg-Suppression photo
17/11/2018Russula japonicaPhotoRussula_japonica_1999_dg_1.jpg-Suppression photo
17/11/2018Psilocybe argentipesPhotoPsilocybe_argentipes_1987_ht_1.jpg-Suppression photo
17/11/2018Psilocybe argentipesRéférencesIOH no. 357 ; Tohoku Journ. Exp. Med. 1986 Jan. 148(1):73-8 -Poisoning by hallucinogenic mushroom hikageshibiretake (Psilocybe argentipes K. Yokoyama) indigenous to Japan. Musha M, Ishii A, Tanaka F, Kusano G.IH1 no. 357 ; Tohoku Journ. Exp. Med. 1986 Jan. 148(1):73-8 -Poisoning by hallucinogenic mushroom hikageshibiretake (Psilocybe argentipes K. Yokoyama) indigenous to Japan. Musha M, Ishii A, Tanaka F, Kusano G.-
17/11/2018Psilocybe argentipesPhotoPsilocybe_argentipes_1996_mi_1.jpg-Suppression photo
27/10/2018Gymnopilus liquiritiaePhotoGymnopilus_liquiritiae_2000_dg_2.jpg-Suppression photo
25/10/2018Boletinellus merulioidesRéférencesIOH p. 298 ; BSMF 113 Atlas pl. 326 ; RTMI 39 p. 3-6 (2001)IOH p. 298 ; BSMF 113 Atlas pl. 326 (Pascal HERIVEAU, 1997) ; RTMI 39 p. 3-6 (2001) -
24/10/2018Amanita citrinaVaréiétés/formesAmanita citrina fo. alba est toute blanche, mais peut avoir des reflets citrins avec l'âge et la sécheresse. Amanita citrina fo. crassior est plus imposante et plus massive, est de couleur crème-citrin, est plus tardive et pousse sous Pinus pinaster (pin maritime) dans les zones dunaires littorales. Amanita citrina fo. carneifolia dont les lames et/ou la sporée sont de couleur rose. Amanita citrina var. grisea est un sosie d'Amanita porphyria en plus gracile mais avec un anneau jaune vif (gris noirâtre chez Amanita porphyria), la volve blanche tachée de brun et ses spores sont moins globuleuses. Espèce à part entière ? Japon, Chine.Amanita citrina fo. alba est toute blanche, mais peut avoir des reflets citrins avec l'âge et la sécheresse. Amanita citrina fo. crassior est plus imposante et plus massive, est de couleur crème-citrin, est plus tardive et pousse sous Pinus pinaster (pin maritime) dans les zones dunaires littorales. Amanita citrina fo. carneifolia dont les lames et/ou la sporée sont de couleur rose. Amanita citrina var. grisea Hongo (Japon et Chine) est un sosie d'Amanita porphyria en plus gracile mais munie d'un anneau jaune vif (gris noirâtre chez Amanita porphyria), une volve blanche tachée de brun et des spores moins globuleuses. Peut-être considérée comme une espèce à part entière ? -
23/10/2018Amanita rufoferrugineaLames DescriptionLibres, serrées, blanches, ventrues, 4-7 mm de largeur, subtilement floconneuses sur l'arête, lamellules tronquées. libres, serrées, blanches, ventrues, 4-7 mm de largeur, subtilement floconneuses sur l'arête, lamellules tronquées. Retour au texte princeps de l'Holotype. Copyright Hongo
23/10/2018Amanita rufoferrugineaStipe Description9-12 cm de long, 0,4-1 cm d'épaisseur au sommet, 1,3-2 cm à la base qui présente un bulbe oboval ou fusiforme, atténué au sommet, farci ou creux, annulé, entièrement couvert au dessus comme au dessous de l'anneau, de particules poudreuses ou farineuses, subconcolores (plus clair que "fauve ocracé"), la base ornée débris de volve formant 3-5 bracelets incomplets, pulvérulents et fugaces. Anneau plutôt ample, pendant en jupette à 1,5-2,5 cm du sommet, membraneux, blanc et strié à la face supérieure, fauve ocracé et floconneux-poudré en dessous, souvent déchiré, évanescent. 9 - 12 cm de long, 0,4 - 1 cm d'épaisseur au sommet, 1,3-2 cm à la base qui présente un bulbe oboval ou fusiforme, atténué au sommet, farci ou creux, annulé, entièrement couvert au dessus comme au dessous de l'anneau, de particules poudreuses ou farineuses, subconcolores (plus clair que "fauve ocracé"), la base ornée débris de volve formant 3-5 bracelets incomplets, pulvérulents et fugaces. Anneau plutôt ample, pendant en jupette à 1,5-2,5 cm du sommet, membraneux, blanc et strié à la face supérieure, fauve ocracé et floconneux-poudré en dessous, souvent déchiré, évanescent. Retour au texte princeps de l'Holotype. Copyright Hongo
23/10/2018Amanita rufoferrugineaSpores DescriptionHyalines, globuleuses à subglobuleuses, 7-9 µm, lisses, non amyloïdes. Basides tétrasporiques. Boucles absentes. Cellules marginales globuleuses, ellipsoïdes ou un peu piriformes, 14-25 µm de large, étroitement cloisonnées, très abondantes, formant une large marge stérile le long de l'arête des lames. Granulations du chapeau constituées de courtes chaînes de cellules globuleuses à courtement ellipsoïdes de 17-47 µm de large, à sécrétion mielleuse.hyalines, globuleuses à subglobuleuses, 7-9 µm, lisses, non amyloïdes. Basides tétrasporiques. Boucles absentes. Cellules marginales globuleuses, ellipsoïdes ou un peu piriformes, 14-25 µm de large, étroitement cloisonnées, très abondantes, formant une large marge stérile le long de l'arête des lames. Granulations du chapeau constituées de courtes chaînes de cellules globuleuses à courtement ellipsoïdes de 17-47 µm de large, à sécrétion mielleuse.Retour au texte princeps de l'Holotype. Copyright Hongo
23/10/2018Amanita rufoferrugineaEcologie DescriptionVient surtout en forêts mixtes de Pinus densiflora (pin rouge du Japon) et Quercus serrata (chêne denté). Au sol. Solitaire ou épars. Eté-début d'automne. Assez rare. Japon (à l'ouest du Kantō, principalement Hiroshima, Kyōto et Shiga). Également signalée en Chine occidentale et en Corée du Sud.Au sol, solitaire ou épars, en été-début d'automne, assez rare, vient surtout en forêts mixtes de Pinus densiflora-Quercus serrata, au Japon (à l'ouest du Kantô, principalement Hiroshima, Kyôto et Shiga). Également signalée en Chine occidentale et en Corée du SudRetour au texte princeps de l'Holotype. Copyright Hongo
23/10/2018Amanita rufoferrugineaPhotoAmanita_rufoferruginea_1993_dg_1.jpg-Suppression photo
22/10/2018Baorangia pseudocalopusComestibilitéSans intérêtInconnu-
22/10/2018Baorangia pseudocalopusConfusions possibles-L'épithète "pseudocalopus" suggère une affinité avec Caloboletus calopus de l'ex-section Calopodes du genre Boletus maintenant classée dans le genre Caloboletus, mais la ressemblance par ses couleurs est superficielle. Il s'en distingue aisément par sa saveur douce et son réseau confiné au sommet du stipe. Baorangia emilei s'en distingue aussi par son pied finement réticulé et son chapeau rose. Cette espèce pourrait être rattachée à la section Luridi (Subpruinosi ss. Singer 1962) aux côtés de Baorangia bicolor Peck.-
22/10/2018Baorangia pseudocalopusCommentairesL'épithète "pseudocalopus" suggère une affinité avec Caloboletus calopus de l'ex-section Calopodes du genre Boletus maintenant classée dans le genre Caloboletus, mais la ressemblance par ses couleurs est superficielle. Il s'en distingue aisément par sa saveur douce et son réseau confiné au sommet du stipe. Baorangia emilei s'en distingue aussi par son pied finement réticulé et son chapeau rose. Cette espèce pourrait être rattachée à la section Luridi (Subpruinosi ss. Singer 1962) aux côtés de Baorangia bicolor Peck.--
22/10/2018Baorangia pseudocalopusChair DescriptionChair très épaisse, jusqu'à 2,5 cm, jaunâtre, immuable ou virant faiblement au bleu verdâtre chez les jeunes. Saveur douce, odeur plaisante. Chair du stipe d'un jaune plus soutenu, immuable en général, souvent tachée de rouge à la base, rouge brunâtre dans les galeries des larves.très épaisse, jusqu'à 2,5 cm, jaunâtre, immuable ou virant faiblement au bleu verdâtre chez les jeunes. Saveur douce, odeur plaisante. Chair du stipe d'un jaune plus soutenu, immuable en général, souvent tachée de rouge à la base, rouge brunâtre dans les galeries des larves.-
22/10/2018Baorangia pseudocalopusPores DescriptionTubes adnés à brièvement décurrents, en continuité avec le réticulum apical du stipe, jaune d'ambre puis jaune ocracé, virant assez rapidement au bleu verdâtre à la coupe, courts par rapport à la taille du chapeau, de 3 à 6 mm de long; pores concolores aux tubes, subanguleux à anguleux, 1-3 par mm, bleuissant au froissement comme les tubes.pores concolores aux tubes, subanguleux à anguleux, 1-3 par mm, bleuissant au froissement comme les tubes. Tubes adnés à brièvement décurrents, en continuité avec le réticulum apical du stipe, jaune d'ambre puis jaune ocracé, virant assez rapidement au bleu verdâtre à la coupe, courts par rapport à la taille du chapeau, de 3 à 6 mm de long; -
22/10/2018Baorangia pseudocalopusPhotoBaorangia_pseudocalopus_1989_then_1.jpg-Suppression photo : Copyright infringment Tsuguo Hongo et Eiji Nagasawa
22/10/2018Baorangia pseudocalopusPhotoBaorangia_pseudocalopus_1989_dg_1.jpg-Suppression photo
21/10/2018Panellus pusillusRéférencesIH1 p. 95 ; Kinoko Field Book p. 54IH1 p. 95 ; Kinoko Field Book p. 54 ; Kobayashi, Yoshio. in Bull. Nat. Science Museum Vol 6, No. 3: 357-364 (1963) ; Imazeki & Hongo volume 1 : 95 (description sans illustration) ;-
21/10/2018Panellus pusillusSynonymes Gloeoporus pusillus Persoon (1844) , in Léveillé, Annales des sciences naturelles, botanique, série 3, 2, p. 195 (Basionyme) Polyporus rhipidium Berkeley (1847) , in W.J. Hooker, The London journal of botany, 6, p. 319 Polystictus rhipidium (Berkeley) Fries (1851) , Nova acta regiae Societatis scientiarum Upsaliensis, series 3, 1, p. 74 Favolus rhipidium (Berkeley) Montagne (1854) , Annales des sciences naturelles, botanique, série 4, 1, p. 136 Favolus granulosus Léveillé (1863) , Annales des sciences naturelles, botanique, série 4, 20, p. 286 Polyporus subpulverulentus Berkeley & M.A. Curtis (1867) [1869], The journal of the linnean Society, botany, 10(45), p. 306 Laschia guaranitica Spegazzini (1884) , Anales de la Sociedad científica Argentina, 17(2), p. 70 Favolus rhipidium subsp.* subpulverulentus(Berkeley & M.A. Curtis) Saccardo (1888) , Sylloge fungorum omnium hucusque cogitorum, 6, p. 397 Gloeoporus guaraniticus (Spegazzini) Spegazzini (1889) , Boletín de la Academia nacional de ciencias en Córdoba, 11(4), p. 452 Gloeoporus rhipidium (Berkeley) Spegazzini (1889) , Boletín de la Academia nacional de ciencias en Córdoba, 11(4), p. 452 Favolaschia rhipidium (Berkeley) Patouillard (1893) , Bulletin de la Société mycologique de France, 9(2), p. 130 Favolaschia subpulverulenta (Berkeley & M.A. Curtis) Patouillard (1893) , Bulletin de la Société mycologique de France, 9(2), p. 130 Polyporus diminutus Massee (1896) , The journal of botany, british and foreign, 34, p. 153 Favolaschia guaranitica (Spegazzini) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 476 Dictyopanus subpulverulentus (Berkeley & M.A. Curtis) Patouillard (1900) , Essai taxonomique sur les familles et les genres des hyménomycètes, p. 137 Dictyopanus rhipidium (Berkeley) Patouillard (1900) , Essai taxonomique sur les familles et les genres des hyménomycètes, p. 137 Dictyopanus copelandii Patouillard (1914) , Leaflets of Philippine botany, 6(104), p. 2254 Petaloides rhipidium (Berkeley) Torrend (1924) , Brotéria, revista de sciencias naturaes do Collegio de S. Fiel, serie botânica, 21(1), p. 21 Polyporus rhipidium var. pusillus (Persoon) Kobayasi (1937) , Bulletin of the biogeographical Society of Japan, 7(1), p. 3 Polyporus rhipidium f. pusillus (Persoon) S. Ito & S. Imai (1940) , Transactions of the Sapporo natural history Society, 16(3), p. 121 Dictyopanus pusillus var. rhipidium (Berkeley) Singer (1945) , Lloydia, 8, p. 225 Dictyopanus pusillus (Persoon) Singer (1945) , Lloydia, 8, p. 224 Dictyopanus gloeocystidiatus Corner (1954) , Transactions of the British mycological Society, 37(3), p. 258 Panellus pusillus (Persoon) Burdsall & O.K. Miller (1975) , Beihefte zur Nova Hedwigia, 51, p. 85 (nom actuel) Panellus copelandii (Patouillard) Burdsall & O.K. Miller (1975) , Beihefte zur Nova Hedwigia, 51, p. 88 Panellus gloeocystidiatus (Corner) Corner (1986) , Garden's bulletin, Singapore, 39(2), p. 131 Gloeoporus pusillus Persoon (1844) , in Léveillé, Annales des sciences naturelles, botanique, série 3, 2, p. 195 (Basionyme) Polyporus rhipidium Berkeley (1847) , in W.J. Hooker, The London journal of botany, 6, p. 319 Polystictus rhipidium (Berkeley) Fries (1851) , Nova acta regiae Societatis scientiarum Upsaliensis, series 3, 1, p. 74 Favolus rhipidium (Berkeley) Montagne (1854) , Annales des sciences naturelles, botanique, série 4, 1, p. 136 Favolus granulosus Léveillé (1863) , Annales des sciences naturelles, botanique, série 4, 20, p. 286 Polyporus subpulverulentus Berkeley & M.A. Curtis (1867) [1869], The journal of the linnean Society, botany, 10(45), p. 306 Laschia guaranitica Spegazzini (1884) , Anales de la Sociedad científica Argentina, 17(2), p. 70 Favolus rhipidium subsp.* subpulverulentus(Berkeley & M.A. Curtis) Saccardo (1888) , Sylloge fungorum omnium hucusque cogitorum, 6, p. 397 Gloeoporus guaraniticus (Spegazzini) Spegazzini (1889) , Boletín de la Academia nacional de ciencias en Córdoba, 11(4), p. 452 Gloeoporus rhipidium (Berkeley) Spegazzini (1889) , Boletín de la Academia nacional de ciencias en Córdoba, 11(4), p. 452 Favolaschia rhipidium (Berkeley) Patouillard (1893) , Bulletin de la Société mycologique de France, 9(2), p. 130 Favolaschia subpulverulenta (Berkeley & M.A. Curtis) Patouillard (1893) , Bulletin de la Société mycologique de France, 9(2), p. 130 Polyporus diminutus Massee (1896) , The journal of botany, british and foreign, 34, p. 153 Favolaschia guaranitica (Spegazzini) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 476 Dictyopanus subpulverulentus (Berkeley & M.A. Curtis) Patouillard (1900) , Essai taxonomique sur les familles et les genres des hyménomycètes, p. 137 Dictyopanus rhipidium (Berkeley) Patouillard (1900) , Essai taxonomique sur les familles et les genres des hyménomycètes, p. 137 Dictyopanus copelandii Patouillard (1914) , Leaflets of Philippine botany, 6(104), p. 2254 Petaloides rhipidium (Berkeley) Torrend (1924) , Brotéria, revista de sciencias naturaes do Collegio de S. Fiel, serie botânica, 21(1), p. 21 Polyporus rhipidium var. pusillus (Persoon) Kobayasi (1937) , Bulletin of the biogeographical Society of Japan, 7(1), p. 3 Polyporus rhipidium f. pusillus (Persoon) S. Ito & S. Imai (1940) , Transactions of the Sapporo natural history Society, 16(3), p. 121 Dictyopanus pusillus var. rhipidium (Berkeley) Singer (1945) , Lloydia, 8, p. 225 Dictyopanus pusillus (Persoon) Singer (1945) , Lloydia, 8, p. 224 Dictyopanus gloeocystidiatus Corner (1954) , Transactions of the British mycological Society, 37(3), p. 258 Panellus pusillus (Persoon) Burdsall & O.K. Miller (1975) , Beihefte zur Nova Hedwigia, 51, p. 85 (nom actuel) Panellus copelandii (Patouillard) Burdsall & O.K. Miller (1975) , Beihefte zur Nova Hedwigia, 51, p. 88 Panellus gloeocystidiatus (Corner) Corner (1986) , Garden's bulletin, Singapore, 39(2), p. 131 -
21/10/2018Panellus pusillusChair DescriptionDissépiments blanc crayeux, d'épaisseur variable 100-140 µm, convexes.à dissépiments blanc crayeux, d'épaisseur variable 100-140 µm, convexes.-
21/10/2018Panellus pusillusLames DescriptionHyménophore poré. Pores petits, luminescents, disposés plus ou moins radialement, polygonaux, plus ou moins allongés et plus petits vers la marge, 7 pores/2mm. Tubes 0,4-0,5 mm de large et de long.Hyménophore poré. Pores petits 7 pores/2mm, luminescents, disposés plus ou moins radialement, polygonaux, plus ou moins allongés et plus petits vers la marge. Tubes 0,4-0,5 mm de large et de long.-
21/10/2018Panellus pusillusSpores Descriptionovoïdes, 3,8-4,9 x 2,5-3 µm, faiblement amyloïdes. Boucles présentes. Pleurocystides nulles. Gloeocystides irrégulièrement réparties, cylindriques, 2-4µm; ovoïdes, 3,8 - 4,9 x 2,5 - 3 µm, faiblement amyloïdes. Boucles présentes. Pleurocystides nulles. Gloeocystides irrégulièrement réparties, cylindriques, 2-4µm; -
21/10/2018Panellus pusillusEcologie DescriptionCespiteux sur branches mortes et souches de divers feuillus, rarement sur Bambous. Commun dans le sud du Japon (sous le nom de souzoumé-také スズメタケ), Taïwan, Australie, Nouvelle-Zélande...Cespiteux sur branches mortes et souches de divers feuillus, rarement sur Bambous. Commun dans le sud du Japon (sous le nom de souzoumé-také スズメタケ), Taïwan, Australie, Nouvelle-Zélande...-
21/10/2018Panellus pusillusComestibilité-Sans intérêt-
21/10/2018Panellus pusillusEcologie DescriptionCespiteux sur branches mortes et souches de divers feuillus, rarement sur Bambous. Commun dans le sud du Japon(sous le nom de souzoumé-také スズメタケ), Taïwan, Australie, Nouvelle-Zélande...Cespiteux sur branches mortes et souches de divers feuillus, rarement sur Bambous. Commun dans le sud du Japon (sous le nom de souzoumé-také スズメタケ), Taïwan, Australie, Nouvelle-Zélande...-
21/10/2018Panellus pusillusPhotoPanellus_pusillus_1994_ikeh_1.jpg-Suppression photo
15/10/2018Amanita sychnopyramisSynonymes Amanita sychnopyramis Corner & Bas (1962) , Persoonia, 2(3), p. 291 (Basionyme) Amanita sychnopyramis f. subannulata Hongo (1971) , Memoirs of the Faculty of liberal arts and education, Shiga University natural science, 21, p. 63 Amanita sychnopyramis Corner & Bas (1962) , Persoonia, 2(3), p. 291 (Basionyme) Amanita sychnopyramis f. subannulata Hongo (1971) , 滋賀大學學藝學部紀要. 人文科学・社会科学・教育科学 Memoirs of the Faculty of liberal arts and education, Shiga University natural science, 21, p. 63 -
15/10/2018Amanita sychnopyramisConfusions possibles-Cette espèce ressemblant à A. pantherina (plus grande taille, verrues de forme différente et spores plus grandes et différentes) fut décrite de Singapour par Corner & Bas, puis signalée en Malaisie, mais toujours sans voile partiel. -
15/10/2018Amanita sychnopyramisVaréiétés/formes-La f. subannulata est pour l'instant connue du Japon, et de Chine (= A. kwangsiensis Wang ?)-
15/10/2018Amanita sychnopyramisCommentairesCette espèce ressemblant à A. pantherina (plus grande taille, verrues de forme différente et spores plus grandes et différentes) fut décrite de Singapour par Corner & Bas, puis signalée en Malaisie, mais toujours sans voile partiel. La f. subannulata est pour l'instant connue du Japon, et de Chine (= A. kwangsiensis Wang ?) -
15/10/2018Amanita sychnopyramisStipe Description3,5-12 x 0,4-1 cm, égal ou un peu atténué au sommet, muni d'un bulbe basal obovoïde de 1-2 cm de diamètre, blanchâtre à chamois rosâtre pâle, souvent grisâtre vers la base, le haut du bulbe bagué de petites verrues jaune d'ivoire en cercles concentriques; farci ou creux. Volve adnée. La forme subannulata hongo 1971 possède un anneau blanc, ténu, très mince, garni de flocons grisâtres à la marge, persistant ou fugace.3,5 - 12 x 0,4 - 1 cm, égal ou un peu atténué au sommet, muni d'un bulbe basal obovoïde de 1-2 cm de diamètre, blanchâtre à chamois rosâtre pâle, souvent grisâtre vers la base, le haut du bulbe bagué de petites verrues jaune d'ivoire en cercles concentriques; farci ou creux. Volve adnée. La forme subannulata hongo 1971 possède un anneau blanc, ténu, très mince, garni de flocons grisâtres à la marge, persistant ou fugace.-
15/10/2018Amanita sychnopyramisSpores Descriptionhyalines, non amyloïdes, globuleuses à subglobuleuses, 6,5-9 x 6-7,5 µm, lisses, à cloisons minces; basides tétrasporiques; hyalines, non amyloïdes, globuleuses à subglobuleuses, 6,5 - 9 x 6 - 7,5 µm, lisses, à cloisons minces; basides tétrasporiques; -
15/10/2018Amanita sychnopyramisEcologie DescriptionPas très commun, en été, grégaire sur le sol dans les bois de feuillus persistants à Castanopsis cuspidata, probablement mycorhizien. Pas très commun, vient en été, grégaire sur le sol dans les bois de feuillus persistants à Castanopsis cuspidata, probablement mycorhizien. -
15/10/2018Amanita sychnopyramisEtymologie-Amanite forêt de pyramides-
15/10/2018Amanita sychnopyramisNoms françaisAmanite forêt de pyramides (テングタケダマシ)Fausse Amanite panthère (テングタケダマシ)-
15/10/2018Amanita sychnopyramisChair DescriptionChair blanche, mince, plutôt fragile, saveur douce, odeur agréable.blanche, mince, plutôt fragile, saveur douce, odeur agréable.-
15/10/2018Russula subnigricansPhotoRussula_subnigricans_1990_dg_1.jpg-Suppression photo
14/10/2018Marasmius pulcherripesPhoto-Marasmius_pulcherripes_1889_jf_1.jpgAjout photo type Dessin pour Marasmius pulcherripes Harmas, sur Ligustrum japonicum, Copyright (c) 1889 Jean-Henri Fabre
14/10/2018Marasmius pulcherripesPhoto-Marasmius_pulcherripes_2000_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Marasmius pulcherripes, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
14/10/2018Marasmius pulcherripesRéférencesIH1 160IH1 160 ; Mycotaxon 4:38,1976 ; René Lebeuf et Yves Lamoureux, mycoquebec.org.-
14/10/2018Marasmius pulcherripesConfusions possibles-Marasmius siccus, très semblable, diffère par ses basidiomes plus grands, son chapeau foncé, ne pâlissant pas avec l'âge, son pied jamais violacé et ses spores jusqu'à 16-22 µm de longueur. Donc, observer les grandes spores est le caractère discriminant.-
14/10/2018Marasmius pulcherripesVaréiétés/formes-Il existe une forme au chapeau rosé et une autre au chapeau orange brunâtre, au pied jaune vers l'apex, aux spores 13-17 µm et pleurocystides rares, non réfringentes. Un variant fréquent n'a pas de teinte rose typique sur le chapeau et le pied, mais est autrement semblable dans tous ses aspects. Microscopiquement, les variants sont indistinguables. Les formes roses et brun jaunâtre pâle peuvent être récoltées dans la même localité, bien qu'elles n'occupent pas les mêmes aires. René Lebeuf et Yves Lamoureux, mycoquebec.org. -
14/10/2018Marasmius pulcherripesCommentairesSosie de Marasmius siccus qui est plus orangé. -
14/10/2018Marasmius pulcherripesPhoto-Marasmius_pulcherripes_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Marasmius pulcherripes forme au chapeau jaune orangé brunâtre, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
13/10/2018Rhodocollybia butyraceaChair DescriptionLa chair est rousse, mais blanchit avec le temps. Saveur fade et odeur de beurre rance peu engageante.La chair est rousse, mais blanchit avec le temps. La saveur fade et l'odeur de beurre rance est peu engageante.syntaxe
13/10/2018Rhodocollybia butyraceaStipe DescriptionLe pied, de 6 à 10 cm de haut, est spongieux, cortiqué, creux, conique quand il est court, appointi au sommet et bien renflé et laineux à la base, strié, roux ou bistré, de couleur chamois à brun ochracé vers le sommet devenant brun rougeâtre à vineux vers la base.Le pied, de 6 à 10 cm de haut, est spongieux, cortiqué, creux, conique quand il est court, appointi au sommet et bien renflé et laineux à la base. Le revêtement est strié, roux ou bistré, de couleur chamois à brun ochracé vers le sommet, devenant brun rougeâtre à vineux vers la base.syntaxe
13/10/2018Rhodocollybia butyraceaEcologie DescriptionEn été et automne dans les bois, souvent en troupes le long des sentiers. Elle affectionne aussi les sapinières dont elle est l'un des premiers occupants.Cette espèce vient en été et en automne dans les bois, souvent en troupes le long des sentiers. Elle affectionne aussi les sapinières dont elle est l'un des premiers occupants.syntaxe
09/10/2018Pleurotus salmoneostramineusComestibilitéSans intérêtComestible-
09/10/2018Pleurotus salmoneostramineusConfusions possibles-Cette espèce est désormais considérée au sens (trop?) large, synonymisant P. eous aux lames blanches à crème (Inde, très thermophile), la var. roseus à sporée blanche, etc.-
09/10/2018Pleurotus salmoneostramineusVaréiétés/formesSynonyme de Pleurotus djamor (Rumphius ex Fries) Boedijn (1959) Cette espèce est désormais considérée au sens (trop?) large, synonymisant P. eous aux lames blanches à crème (Inde, très thermophile), la var. roseus à sporée blanche, etc.Synonyme de Pleurotus djamor (Rumphius ex Fries) Boedijn (1959) -
09/10/2018Pleurotus salmoneostramineusRéférencesIH1 5 ; CD 150 ; IOH p. 17 ; DM 100 p. 242-243IH1 5 ; CD 150 ; IOH p. 17 ; DM 100 p. 242-243 ; FMDS 129 p. 5-7-
09/10/2018Pleurotus salmoneostramineusVaréiétés/formes-Synonyme de Pleurotus djamor (Rumphius ex Fries) Boedijn (1959) Cette espèce est désormais considérée au sens (trop?) large, synonymisant P. eous aux lames blanches à crème (Inde, très thermophile), la var. roseus à sporée blanche, etc.-
09/10/2018Pleurotus salmoneostramineusCommentairesSynonyme de Pleurotus djamor (Rumphius ex Fries) Boedijn (1959) Cette espèce est désormais considérée au sens (trop?) large, synonymisant P. eous aux lames blanches à crème (Inde, très thermophile), la var. roseus à sporée blanche, etc. Note sur les récoltes japonaises: Vient sur saules, peupliers, charmes... ici fructifiant sur blessure d'un tronc de glycine. Facile à cultiver, cf. Japan Times 94-97 et G. Fourré et D. Guez in Bull. Féder. Mycol. Dauphiné-Savoie 129 p. 5-7, cette espèce n'est plus commercialisée au Japon en raison de sa couleur dissuasive et sa comestibilité douteuse.Note sur les récoltes japonaises: Vient sur saules, peupliers, charmes... ici fructifiant sur blessure d'un tronc de glycine. Facile à cultiver, cf. Japan Times 94-97 et G. Fourré et D. Guez in Bull. Féder. Mycol. Dauphiné-Savoie 129 p. 5-7, cette espèce n'est plus commercialisée au Japon en raison de sa couleur dissuasive et sa comestibilité douteuse.-
08/10/2018Tylopilus fumosipesRéférences-IOH p. 334-
08/10/2018Tylopilus fumosipesCommentairesIOH p. 334--
08/10/2018Tylopilus vinosobrunneusPhotoTylopilus_vinosobrunneus_1979_th_1.jpg-Suppression photo
01/10/2018Calvatia craniiformisPhotoCalvatia_craniiformis_2000_dg_1.jpg-Suppression photo
01/10/2018Phallus rubrovolvatusPhotoPhallus_rubrovolvatus_2000_dg_4.jpg-Suppression photo
01/10/2018Phallus rubrovolvatusPhotoPhallus_rubrovolvatus_1988_en_5.jpg-Suppression photo
30/09/2018Tylopilus rigensConfusions possibles-Tylopilus otsuensis Hongo (1966) lui ressemble mais sa chair est douce et ses spores moins longues. Tylopilus alutaceoumbrinus Hongo (1971) a une taille plus modeste, des couleurs différentes et des spores un peu plus petites,-
30/09/2018Tylopilus rigensCommentairesCette espèce plutôt robuste, se distingue aisément à son chapeau brun olivacé, son pied rigide et sa saveur amère. Tylopilus otsuensis Hongo (1966) lui ressemble mais sa chair est douce et ses spores moins longues. Tylopilus alutaceoumbrinus Hongo (1971) a une taille plus modeste, des couleurs différentes et des spores un peu plus petites,Cette espèce plutôt robuste, se distingue aisément à son chapeau brun olivacé, son pied rigide et sa saveur amère.-
30/09/2018Tylopilus rigensPores DescriptionTubes adnés, puis légèrement déprimés autour du stipe, blanchâtres puis roses, 4-8 mm de longueur; pores blanchâtres puis isabelle (citrin pâle et sale), brunissants légèrement au toucher, petits, 2-3 par mm, semblant fermés au début.blanchâtres puis isabelle (citrin pâle et sale), brunissants légèrement au toucher, petits, 2-3 par mm, semblant fermés au début. Tubes adnés, puis légèrement déprimés autour du stipe, blanchâtres puis roses, 4-8 mm de longueur; -
30/09/2018Tylopilus rigensSpores DescriptionSporée brun foncé. Spores 8,5-14(17) x 3,5-4,5(5,5) µm, oblongues à subfusoïdes, jaune paille sub microscopio; basides tétrasporiques; pleurocystides 25-38 x 7,5-10 µm, cheilocystides abondantes de 25-50 x 5-8,5 µm, étroites, fusoïdes-ventrues, trame bilatérale de type Boletorum<8,5-14(17) x 3,5-4,5(5,5) µm, oblongues à subfusoïdes, jaune paille sub microscopio; sporée brun foncé. Basides tétrasporiques; pleurocystides 25-38 x 7,5-10 µm, cheilocystides abondantes de 25-50 x 5-8,5 µm, étroites, fusoïdes-ventrues, trame bilatérale de type Boletorum<-
30/09/2018Abundisporus roseoalbusConfusions possibles-Abundisporus subflexibilis a été synonymisé avec A. roseoalbus (= A. fuscopurpureus) par Ryvarden (Ryvarden et Johansen, 1980), une espèce très voisine distincte par ses spores plus courtes (jusqu'à 4 µm de longueur), et des hyphes gonflant fortement in KOH. A. violaceus est une autre espèce proche, séparable par des spores plus grandes (4,5-5,5 x 2,8-3,5 µm) et une marge molle, sans cortex. Les différences de taille sporale entre les récoltes cubaines, africaines et sud-américaines font également de A. pubertatis une possible variété de A. subflexibilis.-
30/09/2018Abundisporus roseoalbusCommentairesAbundisporus subflexibilis a été synonymisé avec A. roseoalbus (= A. fuscopurpureus) par Ryvarden (Ryvarden et Johansen, 1980), une espèce très voisine distincte par ses spores plus courtes (jusqu'à 4 µm de longueur), et des hyphes gonflant fortement in KOH. A. violaceus est une autre espèce proche, séparable par des spores plus grandes (4,5-5,5 x 2,8-3,5 µm) et une marge molle, sans cortex. Les différences de taille sporale entre les récoltes cubaines, africaines et sud-américaines font également de A. pubertatis une possible variété de A. subflexibilis.--
30/09/2018Abundisporus roseoalbusSpores Description 4-5 x 2,5-3,5 µm, ellipsoïde, aplaties d'un côté, légèrement anguleuse, quelques rares spores presque tronquées, généralement avec 1-2 guttules, à cloisons épaisses, plus ou moins jaunâtre, légèrement dextrinoïde. Cystides nulles; basides 13-17 x 5-5,5 µm. 4-5 x 2,5-3,5 µm, ellipsoïdes, aplaties d'un côté, légèrement anguleuse, quelques rares spores presque tronquées, généralement avec 1-2 guttules, à cloisons épaisses, plus ou moins jaunâtre, légèrement dextrinoïde. Cystides nulles; basides 13-17 x 5-5,5 µm.-
30/09/2018Abundisporus roseoalbusEtymologiedu Latin --
30/09/2018Abundisporus roseoalbusRéférencesIOH p. 481IOH p. 481 ;-
30/09/2018Abundisporus roseoalbusPores/Dessous DescriptionSurface porée glauque ou bai avec une touche vineuse, orange fauve au froissement, bientôt, fauve brunâtre à brun de datte ou chocolat; pores ronds, 6,5-8,5 par mm, à parois minces.Surface porée glauque ou bai avec une touche vineuse, orange fauve au froissement, bientôt, fauve brunâtre à brun de datte ou chocolat; pores ronds, 6,5-8,5 par mm, à parois minces. -
30/09/2018Abundisporus roseoalbusChair Description5-20 mm d'épaisseur (1-3 mm dans la portion résupinée, densément cotonneuse ou subéreuse, non ou discrètement zonée, fauve brunâtre ou ambre. 5-20 mm d'épaisseur (1-3 mm dans la portion résupinée, densément cotonneuse ou subéreuse, non ou discrètement zonée, fauve brunâtre ou ambre.-
30/09/2018Abundisporus roseoalbusSpores DescriptionSpore 4-5 x 2,5-3,5 µm, ellipsoïde, aplatie d'un côté, légèrement anguleuse, quelques rares spores presque tronquées, généralement avec 1-2 guttules, à cloisons épaisses, plus ou moins jaunâtre, légèrement dextrinoïde. Cystides nulles; basides 13-17 x 5-5,5 µm. 4-5 x 2,5-3,5 µm, ellipsoïde, aplaties d'un côté, légèrement anguleuse, quelques rares spores presque tronquées, généralement avec 1-2 guttules, à cloisons épaisses, plus ou moins jaunâtre, légèrement dextrinoïde. Cystides nulles; basides 13-17 x 5-5,5 µm.-
30/09/2018Abundisporus roseoalbusEcologie DescriptionBrésil, Cuba, Kenya, Malawi, Tanzanie, Venezuela, Japon, Corée, Australie.Distribution : Brésil, Cuba, Kenya, Malawi, Tanzanie, Venezuela, Japon, Corée, Australie.-
28/09/2018Strobilomyces seminudusComestibilitéSans intérêtInconnu-
28/09/2018Strobilomyces seminudusConfusions possibles-Cette espèce se distingue des autres par un stipe avec une zone annulaire, distinctement épaissi près du sommet et ocellé d'écailles apprimées-tomenteuses près de la base. Les squames disséminées apprimées sur le chapeau diffèrent nettement de celle de S. confusus, qui est recouvert d'écailles rigides et épineuses (Singer 1948).-
28/09/2018Strobilomyces seminudusCommentairesRemarques. Cette espèce se distingue des autres par un stipe avec une zone annulaire, distinctement épaissi près du sommet et ocellé d'écailles apprimées-tomenteuses près de la base. Les squames disséminées apprimées sur le chapeau diffèrent nettement de celle de S. confusus, qui est recouvert d'écailles rigides et épineuses (Singer 1948).--
28/09/2018Strobilomyces seminudusEcologie DescriptionSolitaires ou éparpillés sur le sol dans les forêts mixtes de Castanopsis cuspidata et de chênes verts (Quercus serrata, Q. glauca, etc.). Japon (ouest de Honshu et Kyushu). Solitaires ou éparpillés sur le sol dans les forêts mixtes de Castanopsis cuspidata et de chênes verts (Quercus serrata, Q. glauca, etc.). Japon (ouest de Honshū et Kyūshū). -
27/09/2018Retiboletus ornatipesNoms françaisBolet à pied orné (キアミアシイグチ)Bolet à pied orné-
27/09/2018Retiboletus ornatipesSpores Descriptionsporée brun olivacé. Spores 8-14 x 3-4 µm, subfusoïdes, lisses; pleurocystides fusoïdes-ventrues, à col empli de substance jaunâtre lors du regonflage de matériel d'herbier dans KOH.Sporée brun olivacé. Spores 8-14 x 3-4 µm, subfusoïdes, lisses; pleurocystides fusoïdes-ventrues, à col empli de substance jaunâtre lors du regonflage de matériel d'herbier dans KOH.-
27/09/2018Retiboletus ornatipesPhotoRetiboletus_ornatipes_1989_dg_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Retiboletus ornatipesPhotoRetiboletus_ornatipes_1989_yhn_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Retiboletus ornatipesPhotoRetiboletus_ornatipes_1999_dg_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Gyroporus longicystidiatusSynonymes Gyroporus longicystidiatus Nagasawa & Hongo (2001) , Reports of the Tottori mycological Institute, 39, p. 18 (Basionyme) Gyroporus longicystidiatus Nagasawa & Hongo (2001) , Reports of the Tottori Mycological Institute, 39, p. 18 (Basionyme)-
27/09/2018Gyroporus longicystidiatusRéférencesRTMI 39 p. 1-27 RTMI 39 p. 1-27 Nagasawa, E. 2001. Taxonomic studies of Japanese boletes. I. The genera Boletinellus, Gyrodon and Gyroporus. -
27/09/2018Gyroporus longicystidiatusConfusions possibles-espèce caractérisée par ses cheilocystides longues et volumineuses, proéminentes chez les jeunes carpophores, par lesquelles on la sépare facilement de Gyroporus castaneus, d'habitus similaire par ailleurs. Les autres différences sont basidiospores à Qm= 1,5 +/-0,1, la stature robuste, la couleur un peu cannelle et des tubes relativement courts.-
27/09/2018Gyroporus longicystidiatusCommentairesespèce caractérisée par ses cheilocystides longues et volumineuses, proéminentes chez les jeunes carpophores, par lesquelles on la sépare facilement de Gyroporus castaneus, d'habitus similaire par ailleurs. Les autres différences sont basidiospores à Qm= 1,5 +/-0,1, la stature robuste, la couleur un peu cannelle et des tubes relativement courts.--
27/09/2018Gyroporus longicystidiatusPores DescriptionTubes relativement courts, jusqu'à 8 mm de long, émarginés-adnexés à libres, d'abord blancs, puis jaune pastel à la maturité. Pores minuscules, 2-3/mm, concolores aux tubes, avec des taches de bronze ça et là dans la vieillesse.minuscules, 2-3/mm, concolores aux tubes, avec des taches de bronze ça et là dans la vieillesse. Tubes relativement courts, jusqu'à 8 mm de long, émarginés-adnexés à libres, d'abord blancs, puis jaune pastel à la maturité. -
27/09/2018Cortinarius nigrosquamosusPhotoCortinarius_nigrosquamosus_1990_dg_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Cortinarius nigrosquamosusPhotoCortinarius_nigrosquamosus_1987_th_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Tylopilus neofelleusPhotoTylopilus_neofelleus_2001_dg_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Tylopilus neofelleusPhotoTylopilus_neofelleus_1989_thdg_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Amanita pseudogemmataNoms françaisFausse amanite jonquille ; Fausse amanite à pierreries (イボコガネテングタケ) Fausse amanite jonquille ; Fausse amanite à pierreriesRétablissement description originale de Hongo (copyright)
27/09/2018Amanita pseudogemmataComestibilité-InconnuRétablissement description originale de Hongo (copyright)
27/09/2018Amanita pseudogemmataRéférencesIH 1 199BSLL 43 p. 189 (Hongo, T. 1974. Two new species of Amanita from Castanopsis forests in Japan. Bulletin Mensuel de la Société Linnéenne de Lyon. 43:189-193) ; IH1 199Rétablissement description originale de Hongo (copyright)
27/09/2018Amanita pseudogemmataConfusions possiblesAmanita orientigemmata Amanita citrina possède des spores amyloïdes et une odeur de rave. Amanita junquillea est plus claire, ses verrues sont de couleur blanche (sauf chez Amanita junquillea var. amici), à un anneau blanc plus fugace, possède des hyphes bouclées et des spores plus grandes.Amanita junquillea est plus claire, ses verrues sont de couleur blanche (sauf chez Amanita junquillea var. amici), à un anneau blanc plus fugace, possède des hyphes bouclées et des spores plus grandes. Amanita orientigemmata Amanita citrina possède des spores amyloïdes et une odeur de rave. Rétablissement description originale de Hongo (copyright)
27/09/2018Amanita pseudogemmataCommentaires-Ressemble à l'amanite citrine par ses couleurs et l'aspect de sa volve, mais se distingue facilement par ses spores non amyloïdes et l'absence d'odeur de rave. Amanita gemmata (junquillea) est taxonomiquement la plus proche, mais pseudogemmata se distingue par des verrues de couleur plus foncée (et non blanches) sur le chapeau, un anneau jaune et plus persistant, et des spores plus petites.Rétablissement description originale de Hongo (copyright)
27/09/2018Amanita pseudogemmataLames DescriptionLibres, serrées, intercalées de lamellules tronquées, blanc-crème, assez larges (5-6 mm), marge finement fimbriée. libres, serrées, intercalées de lamellules tronquées, blanc-crème, assez larges (5-6 mm), marge finement fimbriée. Rétablissement description originale de Hongo (copyright)
27/09/2018Amanita pseudogemmataChair DescriptionBlanche, jaunâtre sous la cuticule piléique, mince, odeur nulle.blanche, jaunâtre sous la cuticule piléique, mince, odeur nulle.Rétablissement description originale de Hongo (copyright)
27/09/2018Amanita pseudogemmataSpores DescriptionHyalines, subglobuleuses, 7,5-10 x 6-8,5 µm, lisses, non amyloïdes. Basides tétrasporiques. Cellules marginales 29-35 x 13-14 µm, ellipsoïdes, piriformes ou clavées, à cloisons minces. hyalines, subglobuleuses, 7,5-10 x 6-8,5 µm, lisses, non amyloïdes. Basides tétrasporiques. Cellules marginales 29-35 x 13-14 µm, ellipsoïdes, piriformes ou clavées, à cloisons minces. Rétablissement description originale de Hongo (copyright)
27/09/2018Amanita pseudogemmataEcologie DescriptionSous Castanopsis cuspidata. Dans les forêts de Fagaceae. Juillet-septembre. Longtemps considéré endémique (Kyōto et Shiga), elle est à présent signalé en Chine.Sous Castanopsis cuspidata. Dans les forêts de Fagaceae. Juillet-septembre. Longtemps considérée endémique (Kyōto et Shiga), elle est à présent signalée en Chine.Rétablissement description originale de Hongo (copyright)
27/09/2018Phaeolepiota aureaConfusions possibles-Ne pas confondre avec Gymnopilus spectabilis, qui est toxique.-
27/09/2018Phaeolepiota aureaCommentairesLongtemps considéré comme comestible, il est maintenant classé toxique car sa chair contient des traces de cyanure d'hydrogène. La cuisson réduit la toxicité, c'est sans doute la raison pour laquelle il était considéré comestible dans le passé. Ne pas confondre avec Gymnopilus spectabilis, qui est toxique.Longtemps considéré comme comestible, il est maintenant classé toxique car sa chair contient des traces de cyanure d'hydrogène. La cuisson réduit la toxicité, c'est sans doute la raison pour laquelle il était considéré comestible dans le passé. -
27/09/2018Phaeolepiota aureaPhotoPhaeolepiota_aurea_1996_mi_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Chlorophyllum molybditesCommentairesPrincipal responsable d'intoxication chez les Européens vivant en région tropicale (en raison de sa ressemblance avec Chlorophyllum rachodes).Principal responsable d'intoxication chez les Européens vivant en région tropicale (en raison de sa ressemblance avec Chlorophyllum rhacodes).-
27/09/2018Chlorophyllum molybditesPhotoChlorophyllum_molybdites_1997_dg_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Chlorophyllum molybditesPhotoChlorophyllum_molybdites_1998_dg_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Chlorophyllum molybditesPhotoChlorophyllum_molybdites_1988_mi_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Boletellus obscurecoccineusPhotoBoletellus_obscurecoccineus_1989_dg_1.jpg-Suppression photo
27/09/2018Boletellus obscurecoccineusPhotoBoletellus_obscurecoccineus_1970_hni_1.jpg-Suppression photo
26/09/2018Trichoderma cornu-damaeNoms françaisCornes de daim rutilantes ; Champignon flamboyant (カエンタケ)--
26/09/2018Trichoderma cornu-damaeCommentairesChampignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Emblème des Samouraïs par sa forme de Kabuto et sa couleur de feu, ce champignon continue cependant de défier et punir les impudents ou les imprudents qui le consomment. Un seul gramme, même macéré dans l'eau de vie, emporte invariablement celle du macho avec d'horribles souffrances ! Au Japon, l' "Atlas de Materia Medica", datant de la période de l'ère bunsei (1818-1829) parle déjà de "poison foudroyant" du Kaen-také, avec description d'un empoisonnement mortel. La dose létale est extrêmement faible, seulement 3 g (poids frais des fructifications). 6 cas d'empoisonnement au Japon, dont 3 sont décédés. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau. Trois mycotoxines ont été identifiées en 2001 par Melle SAIKAWA Y., OKAMOTO H. & INUI Y., de type trichotecene: roridine E, verrucarine J, et satratoxine H. Pour les détails, voir http://enfantdesarbres.canalblog.com/archives/2015/05/16/32063732.html Toxic principles of a poisonous mushroom Podostroma cornu-damae, Saikawa Y.; Okamoto H.; Inui T.; Makabe M.; Okuno T.; Suda T.; Hashimoto K.1; Nakata M., Tetrahedron, Volume 57, Number 39, 24 September 2001 , pp. 8277-8281 Champignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau.-
26/09/2018Trichoderma cornu-damaePhotoTrichoderma_cornu-damae_1992_mi_1.jpg-Suppression photo : Copyright infringement Izawa
26/09/2018Trichoderma cornu-damaePhotoTrichoderma_cornu-damae_2001_ysea_1.jpg-Suppression photo : Copyright infringement
26/09/2018Trichoderma cornu-damaePhotoTrichoderma_cornu-damae_1988_mi_1.jpg-Suppression photo : Renommage portant atteinte au Copyright, à la demande de M. Izawa
25/09/2018Hypholoma fascicularePhotoHypholoma_fasciculare_1993_dg_1.jpg-Suppression photo
25/09/2018Hypholoma fascicularePhotoHypholoma_fasciculare_1984_dg_1.jpg-Suppression photo
22/09/2018Amanita spissaceaChapeau Description5,5-7 cm, vite plan, recouvert de squames apprimées brun foncé, souvent rompues, ocellée, évoquant la peau d'un serpent (inde nomen); marge égale, striée.5,5 - 7 cm, vite plan, recouvert de squames apprimées brun foncé, souvent rompues, ocellée, évoquant la peau d'un serpent (inde nomen); marge égale, striée.-
22/09/2018Amanita spissaceaComestibilitéSans intérêtInconnuRetour au texte original de la diagnose princeps pour la description (copyright IH 1989)... les commentaires et autres rubriques sont amendables mais sujettes à référence explicite
22/09/2018Amanita spissaceaLames DescriptionLibres, serrées, inégales, blanches, entières.libres, serrées, inégales, blanches, entières.Retour au texte original de la diagnose princeps pour la description (copyright IH 1989)... les commentaires et autres rubriques sont amendables mais sujettes à référence explicite
22/09/2018Amanita spissaceaStipe DescriptionStipe central, 5-15 × 0,8-1,5 cm, fistuleux, blanc à brun grisâtre, glabre, maculés de brunâtre fuligineux ou chiné. Anneau membraneux, gris, fragile, strié. Bulbe basal napiforme, tiqueté-chiné de restes de volve en squames concentriques brunes.central, 5-15 × 0,8-1,5 cm, fistuleux, blanc à brun grisâtre, glabre, maculés de brunâtre fuligineux. Anneau membraneux, gris, fragile, strié. Bulbe basal napiforme, tiqueté-chiné de restes de volve en squames concentriques brunes.Retour au texte original de la diagnose princeps pour la description (copyright IH 1989)... les commentaires et autres rubriques sont amendables mais sujettes à référence explicite
22/09/2018Amanita spissaceaSpores DescriptionSpores amyloïdes largement ellipsoïdes, hyalines, lisses, 8-10,5 × 7-7,5 μm. Cystides clavées, hyphes non bouclées.amyloïdes largement ellipsoïdes, hyalines, lisses, 8-10,5 × 7-7,5 μm. Cystides clavées, hyphes non bouclées.Retour au texte original de la diagnose princeps pour la description (copyright IH 1989)... les commentaires et autres rubriques sont amendables mais sujettes à référence explicite
22/09/2018Amanita spissaceaEcologie DescriptionQuercus spp. (chênes) Castanopsis spp. (castanopsis), Fagus spp. (hêtres), etc. Dans les forêts. Japon, Chine, Corée.Forêts mixtes à Quercus - Castanopsis , Fagus., etc. Japon, Chine, Corée.Retour au texte original de la diagnose princeps pour la description (copyright IH 1989)... les commentaires et autres rubriques sont amendables mais sujettes à référence explicite
22/09/2018Amanita spissaceaPhotoAmanita_spissacea_1989_dg_2.jpg-Suppression photo
22/09/2018Amanita spissaceaPhotoAmanita_spissacea_1998_dg_1.jpg-Suppression photo
22/09/2018Amanita spissaceaPhotoAmanita_spissacea_1989_dg_1.jpg-Suppression photo
22/09/2018Amanita rubrovolvataPhotoAmanita_rubrovolvata_1993_gdma_1.jpg-Suppression photo
22/09/2018Amanita rubrovolvataPhotoAmanita_rubrovolvata_1997_dg_1.jpg-Suppression photo
22/09/2018Amanita rubrovolvataPhotoAmanita_rubrovolvata_1988_dg_1.jpg-Suppression photo
22/09/2018Amanita rubrovolvataLames DescriptionLames libres, blanchâtre, intercalées de lamelles tronquées.libres, blanchâtres, intercalées de lamelles tronquées.-
22/09/2018Amanita rubrovolvataChair DescriptionMince, blanchâtre à isabelle, fragile et orange pâle sur les specimens népalais.mince, blanchâtre à isabelle, fragile et orange pâle sur les specimens népalais.-
22/09/2018Amanita rubrovolvataSpores DescriptionSporée blanche à légèrement crème. Spores globuleuses 7-8,5 x 6-7,5 µm (7,5-10 µm pour les récoltes népalaises), apiculées, à grosse guttule, non amyloïdes. Boucles absentes.en masse, blanches à légèrement crème. Spores globuleuses 7-8,5 x 6-7,5 µm (7,5-10 µm pour les récoltes népalaises), apiculées, à grosse guttule, non amyloïdes. Boucles absentes.-
22/09/2018Amanita hongoiCommentairesSection Lepidella, stirpe Perpasta, espèce découverte au Japon (Honshū) par Hongo, d'abord rapportée à Amanita echinocephala ou Amanita virgineoides avant d'être publiée comme espèce nouvelle par Bas, d'après les notes et planches de Hongo.Section Lepidella, stirpe Perpasta, espèce découverte au Japon par Hongo, d'abord rapportée à Amanita echinocephala ou Amanita virgineoides avant d'être publiée comme espèce nouvelle par Bas, d'après les notes et planches de Hongo.-
22/09/2018Amanita hongoiEcologie DescriptionÉté-automne dans les bois de Quercus serrata et Castanopsis cuspidata. Espèce rare au Japon (Shiga, Kyōto, Kōbé, Ōita), à présent signalée en Corée du Sud, Chine continentale.Été-automne dans les bois de Quercus serrata - Castanopsis cuspidata. Espèce rare au Japon (Shiga, Kyōto, Kōbé, Ōita), à présent signalée en Corée du Sud, Chine continentale.-
22/09/2018Amanita hongoiLames DescriptionLibres, serrées, blanches à crème pâle;libres, serrées, blanches à crème pâle;-
22/09/2018Amanita hongoiChair DescriptionEpaisse, dense et ferme, blanche.épaisse, dense et ferme, blanche.-
22/09/2018Amanita hongoiEcologie DescriptionÉté-automne dans les bois de Quercus serrata (chêne denté) et Castanopsis cuspidata. Espèce rare au Japon (Shiga, Kyōto, Kōbé, Ōita), à présent signalée en Corée du Sud, Chine continentale.Été-automne dans les bois de Quercus serrata et Castanopsis cuspidata. Espèce rare au Japon (Shiga, Kyōto, Kōbé, Ōita), à présent signalée en Corée du Sud, Chine continentale.-
22/09/2018Amanita hongoiPhotoAmanita_hongoi_1965_th_1.jpg-Suppression photo
22/09/2018Russula veternosaPhotoRussula_veternosa_1987_dg_1.jpg-Suppression photo
21/09/2018Amanita griseofarinosaPhotoAmanita_griseofarinosa_1998_thdg_1.jpg-Suppression photo
21/09/2018Amanita pantherinaPhotoAmanita_pantherina_2004_tnp_1.jpg-Suppression photo
21/09/2018Amanita abruptaLames DescriptionLibres, serrées, inégales; blanches, puis crème rosâtre.libres, serrées, inégales; blanches, puis crème rosâtre.-
21/09/2018Amanita abruptaChair DescriptionBlanche, odeur rance, désagréable.blanche, à odeur rance, désagréable.-
21/09/2018Amanita abruptaEcologie DescriptionDans les forêts de feuillus, sous Fagus spp. (hêtres), Betula spp. (bouleaux), Abies spp. (sapin), Tsuga spp. (tsuga), Quercus spp. (chênes), Pinus spp. (pins) et Populus spp. (peupliers). Eté-début d'automne. Peu fréquent. Amérique du Nord orientale, Japon.Peu fréquent en été et en début d'automne en forêts de feuillus, mycorhizes fréquentes avec les Fagacées; Amérique du Nord orientale, Japon : Fagus spp. (hêtres), Betula spp. (bouleaux), Abies spp. (sapin), Tsuga spp. (tsuga), Quercus spp. (chênes), Pinus spp. (pins) et Populus spp. (peupliers). -
21/09/2018Xerocomus parvulusPhotoXerocomus_parvulus_1990_enedg_1.jpg-Suppression photo
21/09/2018Cortinarius subalboviolaceusPhotoCortinarius_subalboviolaceus_1987_th_1.jpg-Suppression photo
17/09/2018Amanita neoovoideaConfusions possiblesAmanita ovoidea possède une volve en sac et a des spores plus grandes.Même aspect, couleur et habitat qu'Amanita ovoidea , mais la volve n'est pas en sac et les spores plus petites. A. neoovoidea est remarquable par ses gros fragments de volve ocracé pâle et son anneau membrano-floconneux, souvent rompu en stalactites pendants aux bord du chapeau-
17/09/2018Amanita neoovoideaCommentairesMême aspect, couleur et habitat qu'A. ovoidea, mais la volve n'est pas en sac et les spores plus petites. A. neoovoidea est remarquable par ses gros fragments de volve ocracé pâle et son anneau membrano-floconneux, souvent rompu en stalactites pendants aux bord du chapeau--
17/09/2018Amanita neoovoideaPhotoAmanita_neoovoidea_1987_ht_1.jpg-Suppression photo : Copyright
17/09/2018Amanita neoovoideaPhotoAmanita_neoovoidea_1975_ht_1.jpg-Suppression photo : Copyright
17/09/2018Amanita neoovoideaNoms françaisAmanite ovoïde du Nouveau-Monde--
17/09/2018Amanita neoovoideaCommentairesAmanita neoovoidea est remarquable par ses gros fragments de volve ocracé pâle et son anneau membrano-floconneux, souvent rompu en stalactites pendants aux bord du chapeauMême aspect, couleur et habitat qu'A. ovoidea, mais la volve n'est pas en sac et les spores plus petites. A. neoovoidea est remarquable par ses gros fragments de volve ocracé pâle et son anneau membrano-floconneux, souvent rompu en stalactites pendants aux bord du chapeau-
17/09/2018Amanita neoovoideaLames DescriptionLibres mais effleurant le pied par une ligne décurrente, blanchâtres à crème, serrées, 7-10 mm de large, arête finement floconneuse.libres mais effleurant le pied par une ligne décurrente, blanchâtres à crème, serrées, 7-10 mm de large, arête finement flocculeuse.-
17/09/2018Amanita neoovoideaChair DescriptionBlanche à blanchâtre, épaisse au disque, de plus en plus mince vers la marge. Saveur douce, odeur agréable.blanche à blanchâtre, épaisse au disque, de plus en plus mince vers la marge. Saveur douce, odeur agréable.-
17/09/2018Amanita neoovoideaEcologie DescriptionSous Pinus densiflora (pin rouge du Japon) et Quercus serrata (chêne denté). Dans les forêts mixtes. Japon (Honshū).de juillet à octobre en forêts mixtes (Pinus densiflora et Quercus serrata, etc.), Japon (Honshû)-
17/09/2018Amanita neoovoideaPhotoAmanita_neoovoidea_1989_dg_1.jpg-Suppression photo
17/09/2018Amanita pseudogemmataPhotoAmanita_pseudogemmata_1999_thtudg_1.jpg-Suppression photo : espèce différente
17/07/2018Caloboletus radicansNoms françaisBolet radicantBolet radicant ; Bolet blanchâtre-
17/07/2018Caloboletus radicansCommentaires-C'est une belle espèce atteignant couramment 15 à 20 cm de diamètre, poussant principalement sous chênes et hêtres, souvent dans l'herbe (où elle atteint sa taille maximale), sur les lisières, dans les clairières. On la trouve surtout en juillet-août après les orages dans la zone tempérée, plus tard dans les régions méridionales. Ce bolet n'est sans doute pas toxique, mais sa chair amère le rend impropre à la consommation. Les caractères botaniques du chapeau sont assez constants alors que le pied, au contraire, est très variable, plus ou moins radicant, plus ou moins jaune, plus ou moins taché ou ponctué de rougeâtre vineux et assez facilement déformé par temps sec. De cette variabilité résulte la création de divers noms pour ce qui n'est en réalité, qu'une seule espèce. -
17/07/2018Caloboletus radicansChapeau Descriptionjusqu'à 20 cm, velouté, puis gris beige plus ou moins taché de verdâtre ou gris bleuté.jusqu'à 15 à 20 cm, d'aspect mat, velouté (soyeux fibrilleux au toucher), blanchâtre à gris clair (comme le bolet satan) puis gris beige plus ou moins taché de verdâtre ou gris bleuté. La marge est ondulée lobée, légèrement rabattue sur les tubes.-
17/07/2018Caloboletus radicansChair Descriptionbleuissant rapidement puis palissante. Odeur plutôt désagréable.blanchâtre, bleuissant rapidement dans le chapeau puis pâlissante. Rougeâtre la moitié inférieure du pied. Odeur plutôt désagréable. Saveur généralement amère.-
17/07/2018Caloboletus radicansPores Descriptiontubes jaune clair, puis verdâtre. Pores petits, jaune vif puis salis de brunâtre ou de verdâtre, bleuissant au toucher. tubes séparés du pied par une vallécule, jaune clair, puis verdâtre. Pores petits, jaune vif puis salis de brunâtre ou de verdâtre, bleuissant au toucher, mais ce bleuissement est souvent fugace, à peine perceptible par temps très sec.-
17/07/2018Caloboletus radicansStipe Descriptionjusqu'à 12 x 7 cm, souvent à base apointie, concolore, mais jaune vif en haut, réticulé de jaunâtre, puis de brunâtre, parfois rougeâtre, bleuissant.assez court, jusqu'à 12 x 7 cm, irrégulier et variable par temps sec, subradicant, souvent à base appointie, concolore (blanchâtre, grisonnant par places, légèrement taché de rougeâtre), mais jaune vif en haut, réticulé de jaunâtre, puis de brunâtre, parfois rougeâtre, bleuissant. Le réseau, très fin, peut passer inaperçu. -
17/07/2018Caloboletus radicansEcologie DescriptionLe plus souvent à l'étage collinéen. Tendance calcicole.Le plus souvent à l'étage collinéen. Espèce calciphile qui s'accomode parfois cependant de terrains neutres, et thermophile, fréquente dans toute la zone méridionale et tempérée, se réfugiant sur les coteaux bien exposés au fur et à mesure que l'on remonte vers le nord.-
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaEcologie DescriptionTerricole. Cespisteux ou en cercles sous ormes, bambous, Japon.-espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude, nouvelle description doit être faite pour valider la conformité avec le Taxon des auteurs italiens
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaNoms françaisPoison des Sasa (ドクササコ) ; Champignon aux brûlures (ヤケドキン)-espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude, une nouvelle étude est nécessaire pour téblier la conformité
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaRéférencesIH1 86 ; IOH p. 68 ; FMDS 116 p. 12-16 ; Eyssartier et Roux p. 42Eyssartier et Roux p. 42espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude, une nouvelle étude est nécessaire pour téblier la conformité
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaCommentairesAvec Paralepistopsis amoenolens, cette espèce est la seule connue à ce jour pour provoquer, trois jours environ après ingestion, une érythermalgie ou acromélalgie (rougissement et élévation de température) des extrémités (doigts, orteils, pénis) avec paresthésie (sensation de fourmillement) et œdèmes, puis des douleurs aiguës sous forme de sensations de brûlures intolérables, réalisant une véritable torture au fer rouge, résistant aux antalgiques, mais temporairement soulagées par l'eau glacée. La marche, le sommeil et peu à peu tous les actes de la vie normale étant empêchés ou perturbés, l'hospitalisation est nécessaire. Les troubles, généralement non mortels, régressent lentement au bout de plusieurs mois (3-6 mois pour la douleur, jusqu'à un an pour les paresthésies). Toxines : une douzaine de toxines ont été isolées au Japon, dont des acides aminés proches de l'acide kaïnique, agoniste du glutamate : acide acromélique A et B, clitidine, etc.-espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude, une nouvelle étude est nécessaire pour téblier la conformité
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaChapeau Description3-10 cm, en entonnoir à dépression centrale large et peu profonde. Cuticule entièrement séparable sur le frais, glabre, lisse, jaune orangé à rouge brique, visqueuse par l'humidité, recouverte d'une pruine blanchâtre sur le sec. Marge longtemps enroulée puis étalée, costulée, hygrophane. Marginelle subconcolore à blanchâtre.-espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude, une nouvelle étude est nécessaire pour téblier la conformité
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaLames DescriptionSerrées à très serrées (12-16 L/cm), longuement décurrentes, minces, inégales (autant de lamellules que de lames à la marge). Couleur blanchâtre à crème orangé pâle. Arête concolore.-espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude, une nouvelle étude est nécessaire pour téblier la conformité
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaChair DescriptionMince, fibreuse dans le pied, odeur fruitée agréable, saveur fongique de Shii-také, voire amariuscule. Couleur jaunâtre sale. Gaiac nul sur la chair, vert sombre rapide sur les revêtements, lent sur les faces mais immédiat sur l'arête des lames.-espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude, une nouvelle étude est nécessaire pour téblier la conformité
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaStipe Description3-7 x 0,7-1,5cm, cylindrique, sinueux, atténué à la base, de consistance fibreuse, plein puis fistuleux. Revêtement concolore d'apparence lisse, mais givré par endroits et plus ou moins pubescent de fibrilles longitudinales sous la loupe. Base pruineuse bien enfoncée dans la litière.-espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude, une nouvelle étude est nécessaire pour téblier la conformité
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaSpores Description1,6-4/2-3 µ, subglobuleuses, blanches, lisses, guttulées.-espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude, une nouvelle étude est nécessaire pour téblier la conformité
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaPhotoParalepistopsis_acromelalga_1999_dg_1.jpg-Suppression photo : espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaPhotoParalepistopsis_acromelalga_2001_dg_1.jpg-Suppression photo : espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaPhotoParalepistopsis_acromelalga_1999_dg_3.jpg-Suppression photo : espèce renommée ne correspond plus avec le matériel de notre étude
11/07/2018Paralepistopsis acromelalgaPhotoParalepistopsis_acromelalga_1999_dg_2.jpg-Suppression photo
05/07/2018Panus conchatusPhoto-Panus_conchatus_1985_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Panus conchatus jeunes, Copyright (c) 1985 Daniel Guez
05/07/2018Amanita griseofarinosaConfusions possibles-Amanita lutescens Hongo est très voisine mais diffère par son anneau membraneux blanc, le jaunissement de la chair et des spores un peu plus étroites (9-10.5×5.5-6.5 µm).description complétée
05/07/2018Amanita griseofarinosaCommentairesBas (1969) a placé cette espèce dans la stirpe Cinereoconia de la section Lepidella. Hongo (1987) la place très proche de A. vestita Corner et Bas.Cette amanite est caractérisée par son voile universel copieusement poudreux qui recouvre le chapeau et le stipe, ainsi que son anneau poudreux évanescent. Bas (1969) a placé cette espèce dans la stirpe Cinereoconia de la section Lepidella. Hongo (1987) la place très proche de A. vestita Corner et Bas.description complétée
05/07/2018Amanita griseofarinosaChapeau Description3-6,5 (-15!) cm, convexe puis plan, grisâtre, gris brunâtre, rarement blanchâtre. Finement recouvert de restes de volve farineux ou verruqueux grisâtres, plus ou moins foncé. Marge lisse, appendiculée. Contexte blanc.3-6,5 (-10!) cm, convexe puis plan, grisâtre, gris brunâtre, rarement blanchâtre. Surface sèche et terne, finement recouverte de restes de voile universel pulvérulents très denses, farineux ou verruqueux grisâtres, plus ou moins foncé, souvent agrégés en verrues fugaces. Marge lisse, non striée, appendiculée. Contexte blanc. description complétée
05/07/2018Amanita griseofarinosaLames Description3-7 mm de large, assez serrées à subespacées, libres, blanches à arête poudrée de grisâtre, lamellules atténuées au pied. 3-7 mm de large, assez serrées à subespacées, libres, blanches à arête quelque peu fimbriée et poudrée de grisâtre, lamellules atténuées au pied. description complétée
05/07/2018Amanita griseofarinosaChair DescriptionChair mince, blanche, douce, inodore.Chair brusquement mince vers la marge, mais assez épaisse près du stipe, blanche, assez cassante, douce, inodore.description complétée
05/07/2018Amanita griseofarinosaStipe Description7-12 (-25!) x 0,3-0,8 cm, subcylindrique, revêtement grisâtre à blanchâtre sale, couvert de squamules grises, farineuses, floconneuses ou fibrilleuses. épaissi à la base qui est parfois ventrue bulbeuse, orné de restes de volve floconneux-farineux gris à brunâtre. Anneau gris, fugace.7-12 (-25!) x 0,3-0,8 cm, subcylindrique ou atténué au sommet, et obovalement bulbeux (10-14 mm) à la base; solide, terne, revêtement grisâtre à blanchâtre sale, couvert de squamules grises, farineuses, floconneuses ou fibrilleuses. épaissi à la base qui est parfois ventrue bulbeuse, orné de restes de volve floconneux-farineux gris à brunâtre. Anneau gris, fugace.description complétée
05/07/2018Amanita griseofarinosaSpores Description9-11,5 x 7,5-9,5 µm, largement ellipsoïdes à subglobuleuses, amyloïdes, boucles absentes.9-11,5 x 7,5-9,5 µm, largement ellipsoïdes à subglobuleuses, halines sous le microscope, lisses, amyloïdes, basides 4-spores, boucles absentes.description complétée
05/07/2018Amanita griseofarinosaEcologie Descriptionen été-automne au Japon, dans les bois de feuillus mêlés de Castanopsis-Quercus. Récemment retrouvé en Corée du Sud et en Chine continentale. Plutôt commun en petits groupes ou épars parmi la mousse ou les feuilles mortes, en été-automne au Japon central (Shiga), dans les bois de feuillus mêlés de Castanopsis cuspidata-Quercus serrata, etc.. Récemment retrouvé en Corée du Sud et en Chine continentale. description complétée
01/07/2018Cyptotrama asprataNoms français-Lépiote dorée-ébouriffée ; Parasol orangé (ダイダイガサ)-
01/07/2018Cyptotrama asprataRéférencesIH1 193 ; YK p. 137 ; AmericanMushrooms.com: Golden-scruffy CollybiaIH1 193 ; IOH p. 137 -
01/07/2018Cyptotrama asprataChapeau DescriptionLes squames épineuses sont caractéristiques sur les spécimens jeunes. Remarquable couleur jaune plus ou moins orangé, mêlé de vermillon au disque, hérissé de squamules dressées, allure de pholiota squarrosa, mais chapeau vite plan.0, 5- 3 cm, convexe pulviné, surface sèche. Les squames épineuses dressées sont caractéristiques des spécimens jeunes, se brisant avec l'âge, ce qui lui donne un aspect poilu ou laineux. Remarquable par sa couleur jaune plus ou moins orangé, mêlé de vermillon au disque, hérissé de squamules dressées qui lui donne une allure de Pholiota squarrosa, mais le chapeau devient vite plan. Marge enroulée, puis droite.-
01/07/2018Cyptotrama asprataLames Descriptionsubdécurrentes, remarquablement plissées et interveinées au fond.espacées, adnées à subdécurrentes, remarquablement plissées et interveinées au fond, toucher gras sur le sec.-
01/07/2018Cyptotrama asprataChair Descriptionjaune pâle, très mince, dure et cassante.blanchâtre à jaune pâle, très mince, dure et cassante. Sans odeur ni saveur particulière.-
01/07/2018Cyptotrama asprataStipe Descriptionconcolore et revêtu d'écailles. Anneau très fugace, souvent absent.1-7 x 0,3- 0,5 cm, légèrement épaissi à la base, concolore au chapeau et également revêtu d'écailles granuleuses. Anneau en forme de bandeau, très fugace, souvent manquant.-
01/07/2018Cyptotrama asprataEcologie Descriptionplutôt isolé sur bois pourri et débris ligneux ou litière de feuilles et surtout racines affleurantes de bambous. Été-automne, assez commun au Japon dans les bambouseraies et en zone tropicale à subtropicale, depuis le Canada du Sud jusqu'en Afrique du Sud, y compris montagnes tropicales jusqu'à 3000m (i.e.Nouvelle Guinée).Espèce pantropicale, décrite à l'origine de Ceylan, puis D'Amérique, Australie, Hawaï, saprophyte plutôt isolé sur bois pourri et débris ligneux de feuillus ou de conifères, ou litière de feuilles et surtout racines affleurantes de bambous. Été-automne, assez commun au Japon dans les bambouseraies et en zone tropicale à subtropicale, depuis le Canada du Sud jusqu'en Afrique du Sud, y compris montagnes tropicales jusqu'à 3000m (i.e.Nouvelle Guinée).-
28/06/2018Aureoboletus thibetanusPhotoAureoboletus_thibetanus_1989_then_1.jpg-Suppression photo
28/06/2018Aureoboletus thibetanusNoms françaisBolet tibétain (ヌメリコウジタケ) Bolet tibétain ; Bolet frère visqueux (ヌメリコウジタケ) -
28/06/2018Aureoboletus thibetanusChapeau Description2,5-7,5 cm, d'abord convexe à conico-convexe, s'étalant avec l'âge, surface visqueuse à poisseuse dans la jeunesse ou par temps humide, mais vite sec, plus ou moins fibrilleux ou ruguleux sous le gélin, brun rougeâtre, puis chatin clair à brun orangé ou orangé grisâtre avec l'âge2,5-7,5 cm, d'abord convexe à conico-convexe, s'étalant avec l'âge, surface visqueuse à poisseuse dans la jeunesse ou par temps humide, mais vite sec, plus ou moins fibrilleux ou ruguleux sous le gélin, brun rougeâtre, puis châtain clair à brun orangé ou orangé grisâtre avec l'âge.-
28/06/2018Aureoboletus thibetanusSpores Description10-15-(18) x 4-5,5 µm, ellipsoïde-fusiforme à fusiforme vue de face, jaune grisâtre pâle, ou parfois orangé grisâtre dans KOH.10-15-(18) x 4-5,5 µm, ellipsoïde-fusiformes à fusiformes vus de face, jaune grisâtre pâle, ou parfois orangé grisâtre dans KOH.-
27/06/2018Antrodiella zonataComestibilitéSans intérêtInconnu-
27/06/2018Antrodiella zonataCommentairesPas rare mais absent d'Europe. Largement distribué : Nouvelle Zélande, Australie, Argentine (sud), Inde, Chine, Japon, Taïwan, Vietnam, Russie d'Extrême-Orient. Les récoltes asiatiques sont acystidiées ! Pas rare mais absent d'Europe. Largement distribué : Nouvelle Zélande, Australie, Argentine (sud), Inde, Chine, Japon, Taïwan, Vietnam, Russie d'Extrême-Orient.-
27/06/2018Antrodiella zonataSpores DescriptionBasidiospores oblongues-ellipsoïdes ( 4,5 )-5-6 x ( 2,5 )-3-3,5µm. Basides claviformes à 4 stérigmates. Cystides, lisses, minces, tubulaires ou ventrues, hyalines, à base renflées, souvent difficile à détecter. Hyphes génératrices, hyalines à parois minces. Hyphes squelettiques abondantes, hyalines, non ramifiées, lisses, à parois épaisses.Basidiospores oblongues-ellipsoïdes (4,5)-5-6 x (2,5 )-3-3,5µm. Basides claviformes à 4 stérigmates. Cystides, lisses, minces, tubulaires ou ventrues, hyalines, à base renflées, souvent difficile à détecter, ou absentes (Les récoltes asiatiques sont acystidiées ! ) Hyphes génératrices, hyalines à parois minces. Hyphes squelettiques abondantes, hyalines, non ramifiées, lisses, à parois épaisses.-
26/06/2018Sutorius obscureumbrinusPhotoSutorius_obscureumbrinus_1968_th_1.jpg-Suppression photo : Holotype renommé...
26/06/2018Sutorius obscureumbrinusPhotoSutorius_obscureumbrinus_2011_k_1.jpg-Suppression photo : renomage sans préavis, l'auteur n'est pas d'accord
26/06/2018Sutorius obscureumbrinusNoms françaisBolet terre d'ombre, Grand bolet brun-brûlé(オオコゲチャイグチ)Bolet terre d'ombre, Grand bolet brun-brûlé (オオコゲチャイグチ)-
26/06/2018Sutorius obscureumbrinusChapeau Description5-11(15)cm, hémisphérique, puis pulviné, marge involutée, sèche, finement veloutée, brun terre d'ombre à ombre brûlée (presque "brun momie").5-11 (15) cm, hémisphérique, puis pulviné, marge involutée, sèche, finement veloutée, brun terre d'ombre à ombre brûlée (presque "brun momie").-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaRéférencesPatrice Tanchaud (2014) ; Marchand n° 319 ; N.A.P. ; Jülich p. 268Patrice Tanchaud (2014) ; Marchand n° 319 ; N.A.P. ; Jülich p. 268 ; BK 2 298 ; IH 779 ; IOH 467 ;-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaConfusions possiblesA comparer avec Coltricia perennis, généralement plus grand, à chapeau plus terne, brun jaunâtre à grisâtre et dont les spores sont légèrement moins larges, également les hyphes de la surface du chapeau présentent de nombreuses ramifications dichotomiquesA comparer avec Coltricia perennis, généralement plus grand, à chapeau plus terne, brun jaunâtre à grisâtre et dont les spores sont légèrement moins larges, également les hyphes de la surface du chapeau présentent de nombreuses ramifications dichotomiques.-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaChapeau/Dessus Description1,5-4 cm, satiné brillant, zoné concentriquement et finement ridé radialement, brun rougeâtre foncé à brun rouillé puis brun cannelle ; marge mince, aiguë, entière à incisée.1,5-4 cm, plat ou cyathiforme, satiné brillant, subtilement zoné concentriquement et finement ridé radialement, brun rougeâtre foncé à brun rouillé puis brun cannelle ; marge mince, aiguë, droite, entière à incisée.-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaPores/Dessous Description Pores variables, plus ou moins anguleux, jaune ochracé, brunissant avec l’âge. Pores variables, plus ou moins anguleux, jaune ochracé, brunissant avec l’âge. -
16/06/2018Coltricia cinnamomeaChair Description-dure et coriace, brun rouille à orangé, séchant très rapidement après la récolte. -
16/06/2018Coltricia cinnamomeaStipe DescriptionStipe feutré, brun rouillé.1-6 x 0,1-0,5 cm, égal ou élargi au sommet feutré, brun rouillé.-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaEcologie DescriptionAssez rare, dans les bois de feuillus ou de conifères, dans l’humus ou sur bois pourri, sous l'écorce, parfois dans les brûlis. Fréquent en Asie, Amérique du Nord, assez rare en Europe, dans les bois de feuillus ou de conifères, dans la mousse ou plus rarement sur bois pourri, sous l'écorce, parfois dans les brûlis. -
16/06/2018Coltricia cinnamomeaRéférencesMarchand 319Patrice Tanchaud (2014) ; Marchand n° 319 ; N.A.P. ; Jülich p. 268-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaConfusions possibles-A comparer avec Coltricia perennis, généralement plus grand, à chapeau plus terne, brun jaunâtre à grisâtre et dont les spores sont légèrement moins larges, également les hyphes de la surface du chapeau présentent de nombreuses ramifications dichotomiques-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaCommentaires-Fiche établie selon Patrice Tanchaud (récoltes de Charente)-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaChapeau/Dessus CouleurBrun, Crème, JauneBrun, Crème, Jaune, Rouge-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaChapeau/Dessus Description-1,5-4 cm, satiné brillant, zoné concentriquement et finement ridé radialement, brun rougeâtre foncé à brun rouillé puis brun cannelle ; marge mince, aiguë, entière à incisée.-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaPores/Dessous Description- Pores variables, plus ou moins anguleux, jaune ochracé, brunissant avec l’âge. -
16/06/2018Coltricia cinnamomeaStipe Description-Stipe feutré, brun rouillé.-
16/06/2018Coltricia cinnamomeaSpores Description-6,5-7,5 x 4,5-5 μm. Boucles absentes, spores 6-10 x 4,5-7 μm (dimensions variables selon les ouvrages) ; hyphes de la surface du chapeau sans ramifications dichotomiques . -
16/06/2018Coltricia cinnamomeaEcologie Description-Assez rare, dans les bois de feuillus ou de conifères, dans l’humus ou sur bois pourri, sous l'écorce, parfois dans les brûlis. -
15/06/2018Pluteus cervinusVaréiétés/formesLa f. albus est beaucoup moins courante, pas de boucles, cheilos largement clavées à sphéropédonculées, 50-55 x 23-27 µm.La f. albus est beaucoup moins courante, pas de boucles, cheilos largement clavées à sphéropédonculées, 50-55 x 23-27 µm ). La récolte de Saint-Germain-en-Laye a été déterminée par Henri Romagnesi. Son odeur de rave avait permis d'écarter Pluteus pellitus, qui a une faible odeur de fleurs de sureau.Réparation texte tronqué.
09/05/2018Coprinopsis strossmayeriSynonymes Coprinus strossmayeri Schulzer (1879) [1878], Verhandlungen der kaiserich-königlichen zoologisch-botanischen Gesellschaft in Wien, 28, p. 430 (Basionyme) Coprinus rhizophorus Kawamura ex Hongo & K. Yokoyama (1976) , Transactions of the mycological Society of Japan, 17(2), p. 140 Coprinus tomentosus ss. M.M. Moser (1983) , Kleinen kryptogamenflora von mitteleuropa, band 2b/2, Edn 5, p. Coprinus populicola Mornand (1998) , Documents mycologiques, 28(109-110), p. 69 Coprinus strossmayeri var. populicola (Mornand) Bon (2002) , Documents mycologiques, 31(124), p. 20 Coprinopsis strossmayeri (Schulzer) Redhead, Vilgalys & Moncalvo (2001) , Taxon, 50(1), p. 231 (nom actuel) Coprinus strossmayeri Schulzer (1879) [1878], Verhandlungen der kaiserich-königlichen zoologisch-botanischen Gesellschaft in Wien, 28, p. 430 (Basionyme) Coprinus rhizophorus Kawamura (1954) , Icones of Japanese Fungi 5: 559 Coprinus rhizophorus Kawamura ex Hongo & K. Yokoyama (1976) , Transactions of the mycological Society of Japan, 17(2), p. 140 Coprinus tomentosus ss. M.M. Moser (1983) , Kleinen kryptogamenflora von mitteleuropa, band 2b/2, Edn 5, p. Coprinus populicola Mornand (1998) , Documents mycologiques, 28(109-110), p. 69 Coprinus strossmayeri var. populicola (Mornand) Bon (2002) , Documents mycologiques, 31(124), p. 20 Coprinopsis strossmayeri (Schulzer) Redhead, Vilgalys & Moncalvo (2001) , Taxon, 50(1), p. 231 (nom actuel) -
16/02/2018Amanita citrinaSynonymes Agaricus stramineus Scopoli (1772) , Flora carniolica, Edn 2, 2, p. 418 Agaricus bulbosus Schaeffer (1774) , Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 61, tab. 241 (nom. illegit.) Agaricus citrinus Schaeffer (1774) , Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 11, tab. 20, fig. 1-5 (Basionyme) Agaricus squamosus Lamarck (1778) , Flore française ou description succincte de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, Edn 1, 1, p. 115 (nom. illegit.) Amanita verrucosa Lamarck (1783) , Encyclopédie méthodique, Botanique, 1, p. 111 Agaricus mappa Batsch (1783) , Elenchus fungorum, p. 57 Amanita citrina (Schaeffer) Persoon (1797) , Tentamen dispositionis methodicae fungorum, p. 66 (nom actuel) Amanita candida Persoon (1797) , Tentamen dispositionis methodicae fungorum, p. 66 Amanita bulbosa Persoon (1801) , Synopsis methodica fungorum, p. 250 Amanita citrina var. ß mappa (Batsch) Persoon (1801) , Synopsis methodica fungorum, p. 251 Hypophyllum albocitrinum Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 353, tab. 158, fig. 1-2 Amanita venenosa Persoon (1818) , Traité sur les champignons comestibles, p. 178 Amanita citrina var. mappalis Gray (1821) , A natural arrangement of British plants, 1, p. 599 Agaricus muscarius var. 3 albus Purton (1821) , An appendix to Midland flora, 3(1), p. 201 Agaricus muscarius var. 5 stramineus (Scopoli) Purton (1821) , An appendix to Midland flora, 3(1), p. 203 Agaricus phalloides var. ß citrinus (Schaeffer) Duby (1830) , Botanicon gallicum seu synopsis plantarum in flora Gallica, Edn 2, 2, p. 850 Agaricus citrinoalbus Vittadini (1835) , Descrizione dei funghi mangerecci più comuni dell'Italia e de'velenosi che possono co'medesimi confondersi, p. 70, tab. 11 Amanita mappa (Batsch) Bertillon (1866) , in Dechambre, Dictionnaire encyclopédique des sciences medicinales, Edn 13, p. 500 Amanita mappa var. straminea (Scopoli) Roumeguère (1879) , Flore mycologique du département du Tarn et Garonne, p. 49 Amanita bulbosa var. citrina (Schaeffer) J. Schröter (1889) , in Cohn, Kryptogamen-flora von Schlesien, 3(1), p. 681 Amanita junquillea f. virosa Hy (1909) , Bulletin de la Société mycologique de France, 25(2), p. 123 Amanita citrina f. straminea (Scopoli) E.-J. Gilbert (1918) , Le Genre Amanita, p. 64 Amanita phalloides f. citrina (Schaeffer) E.-J. Gilbert (1918) , Le Genre Amanita, p. 44 Amanita gemmata f. virosa (Hy) E.-J. Gilbert (1918) , Le Genre Amanita, p. 77 Amanita mappa var. citrina (Schaeffer) Rea (1922) , British Basidiomycetae, a handbook to the larger british fungi, p. 100 Amanita citrina var. eucitrina Maire (1937) , Mémoires de la Société des sciences naturelles du Maroc, 45, p. 102 Amanitina citrina (Schaeffer) E.-J. Gilbert (1940) , Iconographia mycologica, 27, supplément 1(1), p. 78 Amanita citrina var. gracilis A.G. Parrot (1960) , Bulletin du Centre d'études et de recherches scientifiques Biarritz, 3(2), p. 193 (nom. inval.) Agaricus stramineus Scopoli (1772) , Flora carniolica, Edn 2, 2, p. 418 Agaricus bulbosus Schaeffer (1774) , Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 61, tab. 241 (nom. illegit.) Agaricus citrinus Schaeffer (1774) , Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 11, tab. 20, fig. 1-5 (Basionyme) Agaricus squamosus Lamarck (1778) , Flore française ou description succincte de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, Edn 1, 1, p. 115 (nom. illegit.) Amanita verrucosa Lamarck (1783) , Encyclopédie méthodique, Botanique, 1, p. 111 Agaricus mappa Batsch (1783) , Elenchus fungorum, p. 57 Amanita citrina (Schaeffer) Persoon (1797) , Tentamen dispositionis methodicae fungorum, p. 66 (nom actuel) Amanita candida Persoon (1797) , Tentamen dispositionis methodicae fungorum, p. 66 Amanita bulbosa Persoon (1801) , Synopsis methodica fungorum, p. 250 Amanita citrina var. ß mappa (Batsch) Persoon (1801) , Synopsis methodica fungorum, p. 251 Hypophyllum albocitrinum Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 353, tab. 158, fig. 1-2 Amanita venenosa Persoon (1818) , Traité sur les champignons comestibles, p. 178 Amanita citrina var. mappalis Gray (1821) , A natural arrangement of British plants, 1, p. 599 Agaricus muscarius var. 3 albus Purton (1821) , An appendix to Midland flora, 3(1), p. 201 Agaricus muscarius var. 5 stramineus (Scopoli) Purton (1821) , An appendix to Midland flora, 3(1), p. 203 Agaricus phalloides var. ß citrinus (Schaeffer) Duby (1830) , Botanicon gallicum seu synopsis plantarum in flora Gallica, Edn 2, 2, p. 850 Agaricus citrinoalbus Vittadini (1835) , Descrizione dei funghi mangerecci più comuni dell'Italia e de'velenosi che possono co'medesimi confondersi, p. 70, tab. 11 Amanita mappa (Batsch) Bertillon (1866) , in Dechambre, Dictionnaire encyclopédique des sciences medicinales, Edn 13, p. 500 Amanita mappa var. straminea (Scopoli) Roumeguère (1879) , Flore mycologique du département du Tarn et Garonne, p. 49 Amanita bulbosa var. citrina (Schaeffer) J. Schröter (1889) , in Cohn, Kryptogamen-flora von Schlesien, 3(1), p. 681 Amanita junquillea f. virosa Hy (1909) , Bulletin de la Société mycologique de France, 25(2), p. 123 Amanita citrina f. straminea (Scopoli) E.-J. Gilbert (1918) , Le Genre Amanita, p. 64 Amanita phalloides f. citrina (Schaeffer) E.-J. Gilbert (1918) , Le Genre Amanita, p. 44 Amanita gemmata f. virosa (Hy) E.-J. Gilbert (1918) , Le Genre Amanita, p. 77 Amanita mappa var. citrina (Schaeffer) Rea (1922) , British Basidiomycetae, a handbook to the larger british fungi, p. 100 Amanita citrina var. eucitrina Maire (1937) , Mémoires de la Société des sciences naturelles du Maroc, 45, p. 102 Amanitina citrina (Schaeffer) E.-J. Gilbert (1940) , Iconographia mycologica, 27, supplément 1(1), p. 78 Amanita citrina var. gracilis A.G. Parrot (1960) , Bulletin du Centre d'études et de recherches scientifiques Biarritz, 3(2), p. 193 (nom. inval.) Amanita citrina var. grisea (Hongo) Hongo, Memoirs of the Faculty of Liberal Arts of the Shiga University 9: 71 (1959) -
16/02/2018Amanita citrinaCommentairesOdeur de pomme de terre (rave). La fo. alba est toute blanche. la var. grisea est un sosie de A. porphyria mais avec un anneau jaune vif (gris noirâtre chez porphyria), la volve blanche tachée de brun et la spore moins globuleuse. Peu toxique en réalité mais plutôt comestible médiocre, l'amanite citrine est cependant classée toxique car peut être confondue avec l'amanite phalloide (mortelle).Odeur de pomme de terre (rave). La fo. alba est toute blanche. la var. grisea Hongo est un sosie de A. porphyria mais avec un anneau jaune vif (gris noirâtre chez porphyria), la volve blanche tachée de brun et la spore moins globuleuse. Peu toxique en réalité mais plutôt comestible médiocre, l'amanite citrine est cependant classée toxique car peut être confondue avec l'amanite phalloide (mortelle).-
02/02/2018Abundisporus roseoalbusEtymologie-du Latin ATTENTION : le nom "Abundisporus roseoalbus" n'a pas été trouvé comme nom correct ou synonyme dans la base INPN ATTENTION : le nom "Abundisporus roseoalbus" n'est pas le nom correct en cours dans la base MycoBank
02/02/2018Abundisporus roseoalbusSynonymes Polyporus roseoalbus Junghuhn (1839) [1838], Verhandelingen van het bataviaash Genootsch, van Kunsten en Wettenschappen, 17(2), p. 43 (Basionyme) Polyporus vibratilis Berkeley & M.A. Curtis (1867) [1869], The journal of the linnean Society, botany, 10(45), p. 314 Polyporus subflexibilis Berkeley & M.A. Curtis (1867) [1869], The journal of the linnean Society, botany, 10(45), p. 311 Polyporus endapalus Berkeley (1872) [1873], The journal of the linnean Society, botany, 13, p. 163 Polyporus exotephrus Berkeley (1878) [1877], The journal of the linnean Society, botany, 16(89), p. 49 Fomes subflexibilis (Berkeley & M.A. Curtis) Cooke (1885) , Grevillea, 14(69), p. 18 Fomes exotephrus (Berkeley) Cooke (1885) , Grevillea, 14(69), p. 19 Fomes endapalus (Berkeley) Cooke (1885) , Grevillea, 14(69), p. 20 Polystictus vibratilis (Berkeley & M.A. Curtis) Cooke (1886) , Grevillea, 14(71), p. 86 Poria roseoalba (Junghuhn) Cooke (1886) , Grevillea, 14(72), p. 110 Microporus vibratilis (Berkeley & M.A. Curtis) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 497 Scindalma exotephrum (Berkeley) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 518 Scindalma subflexibile (Berkeley & M.A. Curtis) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 519 Scindalma endapalum (Berkeley) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 518 Phellinus subflexibilis (Berkeley & M.A. Curtis) Patouillard (1900) , Essai taxonomique sur les familles et les genres des hyménomycètes, p. 97 Polyporus purpureoalbus Rostrup (1902) , Botanisk tidsskrift, udgivet af den botaniske forening i Kioebenhavn, 24(3), p. 360 Polystictus purpureoalbus (Rostrup) Saccardo (1905) , Sylloge fungorum omnium hucusque cogitorum, 17, p. 128 Coriolopsis copelandii Murrill (1908) , Bulletin of the Torrey botanical Club, 35(8), p. 392 Coriolopsis vibratilis (Berkeley & M.A. Curtis) Murrill (1908) , North American flora, 9(2), p. 76 Fomes roseoalbus (Junghuhn) Bresadola (1910) , Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 8(6), p. 587 Polystictus copelandii (Murrill) Saccardo & Trotter (1912) , Sylloge fungorum omnium hucusque cogitorum, 21, p. 322 Fomes intertextus Lloyd (1922) , Mycological writings, 7, mycological notes n° 66, p. 1111 Trametes roseoporus Lloyd (1922) , Mycological writings, 7, mycological notes n° 66, p. 1116 Fomes awhitu G. Cunningham (1948) , New Zealand Department of scientific and industrial research. Plant diseases division. Bulletin, 79, p. 16 Phellinus endapalus (Berkeley) G. Cunningham (1965) , New Zealand Department of scientific and industrial research. Plant diseases division. Bulletin, 164, p. 237 Nigroporus roseoalbus (Junghuhn) Ryvarden (1972) , Norwegian journal of botany, 19(3-4), p. 233 Loweporus roseoalbus (Junghuhn) Ryvarden (1980) , A preliminary polypore flora of East Africa, Fungiflora (Oslo), p. 415 Abundisporus roseoalbus (Junghuhn) Ryvarden (1999) [1998], Belgian journal of botany, 131(2), p. 154 (nom actuel) Abundisporus subflexibilis (Berkeley & M.A. Curtis) Parmasto (2000) , Karstenia, 40(1-2), p. 134 Cerrena vibratilis (Berkeley & M.A. Curtis) Zmitrovich (2001) , Mycena (Minsk St Petersburg), 1(1), p. 92 Polyporus roseoalbus Junghuhn (1839) [1838], Verhandelingen van het bataviaash Genootsch, van Kunsten en Wettenschappen, 17(2), p. 43 (Basionyme) Polyporus vibratilis Berkeley & M.A. Curtis (1867) [1869], The journal of the linnean Society, botany, 10(45), p. 314 Polyporus subflexibilis Berkeley & M.A. Curtis (1867) [1869], The journal of the linnean Society, botany, 10(45), p. 311 Polyporus endapalus Berkeley (1872) [1873], The journal of the linnean Society, botany, 13, p. 163 Polyporus exotephrus Berkeley (1878) [1877], The journal of the linnean Society, botany, 16(89), p. 49 Fomes subflexibilis (Berkeley & M.A. Curtis) Cooke (1885) , Grevillea, 14(69), p. 18 Fomes exotephrus (Berkeley) Cooke (1885) , Grevillea, 14(69), p. 19 Fomes endapalus (Berkeley) Cooke (1885) , Grevillea, 14(69), p. 20 Polystictus vibratilis (Berkeley & M.A. Curtis) Cooke (1886) , Grevillea, 14(71), p. 86 Poria roseoalba (Junghuhn) Cooke (1886) , Grevillea, 14(72), p. 110 Microporus vibratilis (Berkeley & M.A. Curtis) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 497 Scindalma exotephrum (Berkeley) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 518 Scindalma subflexibile (Berkeley & M.A. Curtis) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 519 Scindalma endapalum (Berkeley) Kuntze (1898) , Revisio generum plantarum, 3, p. 518 Phellinus subflexibilis (Berkeley & M.A. Curtis) Patouillard (1900) , Essai taxonomique sur les familles et les genres des hyménomycètes, p. 97 Polyporus purpureoalbus Rostrup (1902) , Botanisk tidsskrift, udgivet af den botaniske forening i Kioebenhavn, 24(3), p. 360 Polystictus purpureoalbus (Rostrup) Saccardo (1905) , Sylloge fungorum omnium hucusque cogitorum, 17, p. 128 Coriolopsis copelandii Murrill (1908) , Bulletin of the Torrey botanical Club, 35(8), p. 392 Coriolopsis vibratilis (Berkeley & M.A. Curtis) Murrill (1908) , North American flora, 9(2), p. 76 Fomes roseoalbus (Junghuhn) Bresadola (1910) , Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 8(6), p. 587 Polystictus copelandii (Murrill) Saccardo & Trotter (1912) , Sylloge fungorum omnium hucusque cogitorum, 21, p. 322 Fomes intertextus Lloyd (1922) , Mycological writings, 7, mycological notes n° 66, p. 1111 Trametes roseoporus Lloyd (1922) , Mycological writings, 7, mycological notes n° 66, p. 1116 Fomes awhitu G. Cunningham (1948) , New Zealand Department of scientific and industrial research. Plant diseases division. Bulletin, 79, p. 16 Phellinus endapalus (Berkeley) G. Cunningham (1965) , New Zealand Department of scientific and industrial research. Plant diseases division. Bulletin, 164, p. 237 Nigroporus roseoalbus (Junghuhn) Ryvarden (1972) , Norwegian journal of botany, 19(3-4), p. 233 Loweporus roseoalbus (Junghuhn) Ryvarden (1980) , A preliminary polypore flora of East Africa, Fungiflora (Oslo), p. 415 Abundisporus roseoalbus (Junghuhn) Ryvarden (1999) [1998], Belgian journal of botany, 131(2), p. 154 (nom actuel) Abundisporus subflexibilis (Berkeley & M.A. Curtis) Parmasto (2000) , Karstenia, 40(1-2), p. 134 Cerrena vibratilis (Berkeley & M.A. Curtis) Zmitrovich (2001) , Mycena (Minsk St Petersburg), 1(1), p. 92 ATTENTION : le nom "Abundisporus roseoalbus" n'a pas été trouvé comme nom correct ou synonyme dans la base INPN ATTENTION : le nom "Abundisporus roseoalbus" n'est pas le nom correct en cours dans la base MycoBank
23/01/2018Pycnoporus coccineusCommentairesDeux substances antibiotiques ont été isolées dans ce champignon lors de tests menés suite à leur utilisation par les populations aborigènes d'Australie, notamment pour curer les ulcères de la bouche.Deux substances antibiotiques ont été isolées dans ce champignon lors de tests menés suite à leur utilisation par les populations aborigènes d'Australie, notamment pour curer les ulcères de la bouche. En Amérique du Sud, le Pycnoporus coccineus est utilisé par les indiens du Brésil pour traiter les hémorragies et les troubles utérins (LEVI-STRAUSS, 1946, p. 485). Dans l'est du Chaco argentin, les indiens Tobas utilisent le Pycnoporus sanguineus sec, réduit en poudre et mélangé avec du corcho (bouchon) comme hémostatique (CROVETTO, 1964, p. 322). Nous voyons dans ces deux cas des applications de la théorie des signatures, la couleur rouge de ces polypores étant associée à la couleur du sang. Selon MARTENS (in FIDALGO, 1965, p. 3), les indiens du Brésil attribuent aux plantes de couleur rouge une relation avec le sang, expliquant l'utilisation du Pycnoporus sanguineus contre l'hémoptysie.-
23/01/2018Inonotus obliquusComestibilitéSans intérêtInconnu-
23/01/2018Inonotus obliquusCommentairesDe préférence sur bouleau. Ce n'est qu'après la mort de l'arbre que le champignon donne naissance à la forme parfaite, avec pores et basides sous l'écorce. Tout au long de l'année. Rare. Annuel. PS: Communément connu sous le nom vernaculaire de "polypore cendre" ou de "Chaga", une latinisation du terme russe "Yara"De préférence sur bouleau. Ce n'est qu'après la mort de l'arbre que le champignon donne naissance à la forme parfaite, avec pores et basides sous l'écorce. Tout au long de l'année. Rare. Annuel. PS: Communément connu sous le nom vernaculaire de "polypore cendre" ou de "Chaga", une latinisation du terme russe "Yara" Inonotus obliquus est un polypore parasite obligatoire des feuillus, surtout du bouleau et du hêtre, à distribution circum-boréale et alpine. Connu en Russie sous le nom de chaga ou tchaga, il est utilisé en médecine populaire comme remède contre certains cancers et d'autres maladies depuis le XVIe et le XVIIe siècles (REID, 1976). Ce polypore comporte un stade hyménial parfait (forme porée) et un stade imparfait (voir REID, 1976 ; ROY, 1977 et CERNY, 1979 pour la description des deux stades). Seule la forme du bouleau qui présente toujours des excroissances stériles serait utilisée pour ses vertus antitumorales (ROY, op. cit.). C'est à ce champignon que SOLJENITSYNE fait allusion dans Le Pavillon des cancéreux : « on trouve sur les vieux bouleaux des sortes de verrues ; ce sont d'horribles excroissances, on dirait des sortes d'échines, c'est noir par-dessous et marron à l'intérieur... ». MASLENNIKOV (cité par ROY) aurait observé que les paysans du nord de la Russie, pour faire des économies, préparaient un thé avec le tchaga et qu'aucun d'eux n'est atteint par le cancer. On trouvera des renseignements complémentaires sur les utilisations du tchaga en Union Soviétique dans la note de DUNN (1973). Depuis 1955, un extrait aqueux du tchaga est entré officiellement dans la pharmacopée soviétique sous le nom de Befunginum. La substance active est un composé polyphénolique à action oxydoréductrice.-
23/01/2018Fomitopsis officinalisComestibilitéSans intérêtInconnu-
23/01/2018Fomitopsis officinalisCommentairesRare. (in litt. commun ). Tout au long de l'année. Remarques :Longtemps utilisé dans l'apothicairerie populaire pour confectionner des médecines amères à base d'herbes en raison de ses propriétés laxatives et son action freinant la sudation. Ce parasite de blessure peut vivre de 60 à 70 ans et atteindre le poids de 10 kg. Pourriture peu active, cubique, et brune.Rare. (in litt. commun ). Tout au long de l'année. Remarques :Longtemps utilisé dans l'apothicairerie populaire pour confectionner des médecines amères à base d'herbes en raison de ses propriétés laxatives et son action freinant la sudation. Ce parasite de blessure peut vivre de 60 à 70 ans et atteindre le poids de 10 kg. Pourriture peu active, cubique, et brune. Le polypore officinal ou polypore du mélèze a également connu ses lettres de noblesse dans diverses contrées. D'après DONK (1974), ce polypore doit s'appeler Agaricum officinale mais il est connu sous bien d'autres noms qui sont des synonymes tels que Polyporus officinalis, Fomes laricis, F. officinalis, Boletus purgans, Fomitopsis officinalis, Laricifomes officinalis... C'est encore l'Agaric femelle ou l'Agarikon de DIOSCORIDE, l 'Agaricum de PLINE, nom qui d'après HARDUIN aurait persisté dans les montagnes du Dauphiné (BULLER, op. cit.). A l'instigation des Arabes, les médecins considérèrent longtemps l'Agaric officinal uniquement comme un cholagogue et un phlegmagogue propre à chasser les humeurs peccantes et surabondantes, à combattre, suivant l'expression de Thibault LESPLEIGNEY, « pluralité de maladie congrégée en l'humaine peau ». Ce n'est qu'au XVIIIe siècle que furent reconnues ses propriétés antisudorales (LECLERC, 1966, p. 93). Le bolet du mélèze (Agaricum officinale) est mentionné à plusieurs reprises dans le Vienna Codex, manuscrit médical de l'an 512. DIOSCORIDE dans De medica recommandait l' Agarikon pour traiter les fractures, la dysenterie, l'épilepsie, comme antidote des poisons, pour soulager des morsures de serpents, etc. (NICOT, 1971). Selon HARTWELL (op. cit.), le polypore officinal est mentionné dans divers Antidotarium du IXe et Xe siècle comme remède contre divers cancers. GALIEN en fait mention. On le retrouve dans la Farmacopea bergamosca qui date de 1580. L'agaric officinal entrait dans la composition de diverses antiques formules telles la teinture d'aloès composé ou Élixir de longue vie qui comporte 2,5 g par litre de poudre d'agaric et qui est un purgatif efficace. Ses vertus laxatives furent évoquées par le mycologue anglais PERSOON en 1801, qui le nomma Boletus purgans. D'après CORDIER (op. cit.), les paysans suisses s'en servaient pour purger les vaches et les habitants du Piémont prenaient un petit morceau de ce polypore, avec addition d'un peu de poivre, quand ils avaient avalé quelque sangsue dont les eaux de leur pays abondent. Les habitants de Balen (Belgique) l'employaient réduit en poudre pour guérir les pustules et les furoncles de leur bétail. L'agaric officinal a figuré dans bon nombre de Codex pharmaceutiques jusque vers les années 1950. L'agaric officinal était surtout récolté dans les forêts de mélèze de Russie, puis exporté vers Hambourg (EMMONS, 1961) d'où il était distribué en Europe et aux États-Unis. Ses propriétés anti-sudorales ont été mises à profit au XVIIIe siècle pour lutter contre les sueurs nocturnes des phtisiques et tout récemment dans la préparation d'un désodorisant réputé naturel. Les carpophores pelés et séchés sont encore employés par les Aïnous de Hokkaïdô comme antihydrotique pour soigner les douleurs d'estomac (MITSUHASHI, 1976). L'agaric officinal se développe principalement sur les troncs de mélèze, mais il connu également sur Pinus, Abies, Cedrus. On le rencontre dans les forêts alpines, les montagnes de l'Europe méridionales et du Proche-Orient, les forêts sibériennes, et vraisemblablement aussi au Japon et en Amérique du Nord. Selon RYVARDEN (1976), l'espèce n'existerait pas en Fennoscandie. Du temps de DIOSCORIDE, l'agaric officinal croissait en Sarmatie, une ancienne région de Russie (BULLER, op. cit.). L'agaric officinal semble rare dans ses stations et MARCHAND (1975, p. 262) raconte qu'il y a un demi-siècle, les carpophores se montraient de si bonne vente dans les officines, que les montagnards tenaient secrètes les stations et que les arbres porteurs étaient très surveillés ! Aujourd'hui, l'usage des polypores est tombé en désuétude presque partout ; tout au plus HEIM (1969) signale encore son utilisation en Russie septentrionale et YOKOHAMA (1975) son usage médicinal par les Aïnous qui le nomment Skiu-karush (champignon amer) ou Kiu-kurush, de kiu, le mélèze des Kouriles (Larix dahulica var. japonica), c'est-à-dire le champignon du mélèze. BRAUN (1968) le signale cependant encore dans un ouvrage destiné aux médecins et pharmaciens. Tandis que VOORHOEVE (1965) fait état de l'utilisation de Boletus laricis ( = Agaricum officinale) dans son traité pratique d'homéopathie.-
23/01/2018Heterobasidion annosumComestibilitéSans intérêtInconnu-
23/01/2018Heterobasidion annosumRéférencesCD 88 ; Bon p. 319 ; Marchand 275 ; BK 2 p. 314 ; BG 604CD 88 ; Bon p. 319 ; Marchand 275 ; BK 2 p. 314 ; BG 604 ; BSMF 1983 Usage medinal des Polypores-
23/01/2018Heterobasidion annosumCommentairesVoir cette documentation du ministère de l'agriculture. Tout au long de l'année. Pérenne. Fréquent. Voir cette documentation du ministère de l'agriculture. Heterobasidion annosum était employé par les paysans suédois contre les morsures de serpents (CORDIER, p. 225). Ils exposaient à la fumée du champignon le membre blessé. Au dire de FRIES, la guérison ne se faisait pas attendre ! Polyporus serpentarius Pers., un synonyme ancien d'H. annosum rappelle les vertus de ce polypore. H. annosum a également été utilisé en médecine populaire contre le cancer en Karélie du Sud, Russie et Suède (HARTWELL, 1971, p. 419).-
23/01/2018Heterobasidion annosumEcologie DescriptionCavités des troncs, racines et souches, sur conifères, en particulier Picea, sur Abies, Pinus, etc.. , plus rarement sur feuillus, Acer, Bétula, Carpinus etc..Tout au long de l'année. Pérenne. Fréquent dans les cavités des troncs, racines et souches, sur conifères, en particulier Picea, sur Abies, Pinus, etc.. , plus rarement sur feuillus, Acer, Bétula, Carpinus etc..-
19/01/2018Tremella fuciformisCommentairesConsommée en Chine, surtout en soupe. fuciforme n'est pas fusiforme ! = trémelle en forme de fucus (souple et coriace comme l'algue marine), nous explique Panckoucke (1808) dans le volume 8 de Botanique<Consommée en Chine, surtout en soupe. fuciforme n'est pas fusiforme ! " trémelle en forme de fucus (souple et coriace comme l'algue marine) ", nous explique Panckoucke (1808) dans le volume 8 de Botanique.-
17/01/2018Amanita hongoiNoms françaisAmanite de Hongo ; Fausse amanite épineuse (シロオニタケモドキ)Amanite de Hongo ; Faux démon blanc hirsute (シロオニタケモドキ)-
17/01/2018Amanita hongoiCommentairesSection Lepidella, stirpe Perpasta, espèce découverte au Japon par Hongo, d'abord rapportée à A. echinocephala avant d'être publiée comme espèce nouvelle par Bas, d'après les notes et planches de Hongo.Section Lepidella, stirpe Perpasta, espèce découverte au Japon par Hongo, d'abord rapportée à Amanita echinocephala ou Amanita virgineoides avant d'être publiée comme espèce nouvelle par Bas, d'après les notes et planches de Hongo.-
15/01/2018Clathrus bicolumnatusCommentairesStation riche en espèces de gastéromycètes, se déplaçant d'année en année de quelques mètres seulement. Cette année, Linderia bicolumnata est nouvelle sur la station, jusqu'ici occupée par Lysurus mokusin et Phallus rugulosus. Par contre, les Lysurus sont absents (substitution par concurrence ?), et les Phallus rugulosus semblent plus luxuriants (grande taille, plus souvent intacts) que les trois années précédentes. Il n'est pas facile de distinguer les oeufs des deux espèces in situ mais les oeufs de Phallus rugulosus sont plus sphériques et d'une blancheur vite salie de gris brunâtre. Ceux de Linderia bicolumnata sont plus apointis-ovoïdes (peut-être dû à la croissance des doubles stipes réunis en pointe au sommet à l'intérieur de l'oeuf ?). à la coupe cependant la différence est très nette d'un genre à l'autre. Pour bicolumnata, la gléba centrale est encadré par les deux stipes déjà colorés de rouge orangé (couleur d'écrevisse ou de crabe cuit (cf. le nom japonais "pince de crabe"). Quant à Phallus rugulosus, comme tous les Phallus, le pied est encore blanc, central, entouré par la gléba.Station riche en espèces de gastéromycètes, se déplaçant d'année en année de quelques mètres seulement. Cette année, Clathrus bicolumnatus est nouvelle sur la station, jusqu'ici occupée par Lysurus mokusin et Phallus rugulosus. Par contre, les Lysurus sont absents (substitution par concurrence ?), et les Phallus rugulosus semblent plus luxuriants (grande taille, plus souvent intacts) que les trois années précédentes. Il n'est pas facile de distinguer les œufs des espèces in situ mais les œufs de Phallus rugulosus sont plus sphériques et d'une blancheur vite salie de gris brunâtre. Ceux de Clathrus bicolumnatus sont plus apointis-ovoïdes (peut-être dû à la croissance des doubles stipes réunis en pointe au sommet à l'intérieur de l'oeuf ?). À la coupe cependant la différence est très nette d'un genre à l'autre. Pour bicolumnatus, la gléba centrale est encadré par les deux stipes déjà colorés de rouge orangé (couleur d'écrevisse ou de crabe cuit (cf. le nom japonais "pince de crabe"). Quant à Phallus rugulosus, comme tous les Phallus, le pied est encore blanc, central, entouré par la gléba.-
15/01/2018Clathrus bicolumnatusEcologie DescriptionCette espèce saprophyte vient volontiers en troupe, en automne, dans les jardins, les bois clairs, sur sol riche en humus organique. Longtemps considéré endémique au Japon, puis signalé en Chine et en Amérique du Nord. Introduit récemment à Hawaï où il semble suivre les résidences secondaires des japonais! Kansai. Etage planitiaire (35 m). Plantation urbaine (Jardin, Parc), arbres ornementaux. Substrat: Terricole (à terre), humus riche et débris ligneux, sol amendé d'écorces etc..Cette espèce saprophyte vient volontiers en troupe, en automne, dans les jardins, les bois clairs, sur sol riche en humus organique. Longtemps considéré endémique au Japon, puis signalé en Chine et en Amérique du Nord. Introduit récemment à Hawaï où il semble suivre les résidences secondaires des Japonais! Kansaï. Étage planitiaire (35 m). Plantation urbaine (Jardin, Parc), arbres ornementaux. Substrat: Terricole (à terre), humus riche et débris ligneux, sol amendé d'écorces etc..-
22/12/2017Psilocybe argentipesRéférencesIOH no. 357IOH no. 357 ; Tohoku Journ. Exp. Med. 1986 Jan. 148(1):73-8 -Poisoning by hallucinogenic mushroom hikageshibiretake (Psilocybe argentipes K. Yokoyama) indigenous to Japan. Musha M, Ishii A, Tanaka F, Kusano G.-
21/12/2017Psilocybe argentipesEcologie DescriptionVient en groupe ou fasciculés sur les sols riches en débris ligneux. Affinité notable pour Cryptomeria japonica, Quercus glauca et Pinus taeda. Japan (Kyôto, Ôsaka, Shiga, Saitama, Niigata, et Miyagi)Vient en groupe ou fasciculés sur les sols riches en débris ligneux. Affinité notable pour Cryptomeria japonica, Quercus glauca et Pinus taeda. Japon (Kyôto, Ôsaka, Shiga, Saitama, Niigata et Miyagi)-
21/12/2017Psilocybe argentipesRéférencesTMSJ Yokoyama, K. 1976. A new hallucinogenic mushroom, Psilocybe argentipes K. Yokoyama sp. nov. from Japan. Transactions of the Mycological Society of Japan 17 p. 349-354 ; TMSJ Yokoyama, K. 1976. A new hallucinogenic mushroom, Psilocybe argentipes K. Yokoyama sp. nov. from Japan. Transactions of the Mycological Society of Japan 17 p. 349-354 ; IOH no. 357-
21/12/2017Psilocybe argentipesPhoto-Psilocybe_argentipes_1987_ht_1.jpgAjout photo type Dessin pour Psilocybe argentipes, Copyright (c) 1987 Hongo Tsuguo
21/12/2017Psilocybe argentipesPhoto-Psilocybe_argentipes_1996_mi_1.jpgAjout photo type Macro pour Psilocybe argentipes, Copyright (c) 1996 Masana Izawa
21/12/2017Psilocybe argentipesEcologie DescriptionHabitat and distribution This species grows in groups, or clustered together on the ground on soil that is rich in woody debris. It has been noted to grow near the tree species Cryptomeria japonica, Sous Quercus glauca et Pinus taeda. Japan (Kyôto, Ôsaka, Shiga, Saitama, Niigata, et Miyagi)Vient en groupe ou fasciculés sur les sols riches en débris ligneux. Affinité notable pour Cryptomeria japonica, Quercus glauca et Pinus taeda. Japan (Kyôto, Ôsaka, Shiga, Saitama, Niigata, et Miyagi)-
18/12/2017Cortinarius cinnamomeoluteusPhoto-Cortinarius_cinnamomeoluteus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius cinnamomeoluteus var. porphyrovelatus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
07/12/2017Xerocomus parvulusSynonymes Xerocomus parvulus Hongo (1963) , Journal of Japanese botany, 38, p. 238 (Basionyme) Boletus parvulus (Hongo) Har. Takahashi (1992) , Nippon Kingakkai nyusu, 19, p. 39 (nom. illegit.) Tubosaeta parvulus (ヒメアワタケ) ad int. Xerocomus parvulus Hongo (1963) , Journal of Japanese botany, 38, p. 238 (Basionyme) Boletus parvulus (Hongo) Har. Takah. (1992) , MSJ News 19, p.39 (nom. illegit.) Tubosaeta parvulus (ヒメアワタケ) ad int. -
07/12/2017Xerocomus parvulusNoms français-Bolet pitchounet(ヒメアワタケ)-
07/12/2017Xerocomus parvulusRéférencesIH2 538IH2 538 ; JJB Hongo, T. 1963 : Notes on Japanese larger fungi (16), Journal of Japanese Botany 38:233-240-
07/12/2017Xerocomus parvulusCommentairesLa combinaison de caractères microscopiques isolent cette espèce hors du genre Boletus sensu lato. Un nouveau genre, Tubosaeta, a été proposé pour l'accueillir...Petite taille. La combinaison de caractères microscopiques isolent cette espèce hors du genre Boletus sensu lato. Un nouveau genre, Tubosaeta, a été proposé pour l'accueillir...-
03/12/2017Amanita abruptaSynonymes Amanita abrupta Peck (1897) , Bulletin of the Torrey botanical Club, 24(3), p. 138 (Basionyme) (nom actuel) Lepiota abrupta (Peck) E.-J. Gilbert & Kühner (1928) , Bulletin de la Société mycologique de France, 44, p. 151 Aspidella abrupta (Peck) E.-J. Gilbert (1940) , Iconographia mycologica, 27, supplément 1(1), p. 79 Amanita abrupta Peck (1897) , Bulletin of the Torrey botanical Club, 24(3), p. 138 (Basionyme) (nom actuel) Lepiota abrupta (Peck) E.-J. Gilbert & Kühner (1928) , Bulletin de la Société mycologique de France, 44, p. 151 Aspidella abrupta (Peck) E.-J. Gilbert (1940) , Iconographia mycologica, 27, supplément 1(1), p. 79 Amanita sphaerobulbosa Hongo (1969), Journal of Japanese Botany 44, p. 230 un Synonyme incontournable restauré
27/11/2017Clitocybe phyllophilaCommentairesIl existe de nombreuses formes ou variétés : - à saveur amère ou poivrée (amara, piperata), - plus robuste ou cespiteuse et saveur anisée (ornamentalis), - plus grêle et ochracé à odeur de fraise (tenuis), - sosie du nébuleux (pseudonebularis), etc.Il existe de nombreuses formes ou variétés : - à saveur amère ou poivrée (amara, piperata), - plus robuste ou cespiteuse et saveur anisée (ornamentalis), - plus grêle et ochracé à odeur de fraise (tenuis), - sosie du nébuleux (pseudonebularis), - f. candicans , - f. difformis , - f. sericea , - var. fusispora, etc..-
27/11/2017Clitocybe phyllophilaNoms françaisClitocybe des feuillesClitocybe des feuilles ; Faux meunier-
27/11/2017Clitocybe phyllophilaCommentairesIl existe de nombreuses formes ou variétés, à saveur amère ou poivrée (amara, piperata), plus robuste ou cespiteuse et à saveur anisée (ornamentalis), plus grêle et ochracé à odeur de fraise (tenuis), sosie du nébuleux (pseudonebularis), etc.Il existe de nombreuses formes ou variétés : - à saveur amère ou poivrée (amara, piperata), - plus robuste ou cespiteuse et saveur anisée (ornamentalis), - plus grêle et ochracé à odeur de fraise (tenuis), - sosie du nébuleux (pseudonebularis), etc.-
21/11/2017Crucibulum crucibuliformeCommentairesSeule espèce connue en Europe sur les trois citées dans la monographie du genre par Brodie.Seule espèce connue en Europe sur les trois citées dans la monographie du genre par Brodie. Fiche établie selon Jean Mornand (1985)Paternité de la description rendue à Jean Mornand
21/11/2017Crucibulum crucibuliformeExtérieur DescriptionCarpophore formé de petits gobelets grégaires dont le diamètre dépasse rarement 0,8 mm. Initialement recouvert d'un tomentum fauve foncé d'hyphes ramifiées, épineuses, qui disparaît ensuite à la partie supérieure, laissant apparaître l'épiphragme blanc, qui après déchirure met à nu une dizaine de péridioles jaunâtres de 1,5 à 2,5 mm de diamètre.Carpophore formé de petits gobelets grégaires dont le diamètre dépasse rarement 0,8 mm. Initialement recouvert d'un tomentum fauve foncé d'hyphes ramifiées, épineuses, qui disparaît ensuite à la partie supérieure, laissant apparaître l'épiphragme blanc, qui, après déchirure, met à nu une dizaine de péridioles jaunâtres de 1,5 à 2,5 mm de diamètre.Paternité de la description rendue à Jean Mornand
21/11/2017Crucibulum crucibuliformeEcologie DescriptionPousse sur plantes pourrissantes ou débris ligneux de toute nature. Relativement commune et cosmopolite de répartition mondiale. Des variétés ont été créées ( v. patelliforme, exigum, cyathiforme), qui ne sont que des formes sans grande valeur taxinomique, les dimensions des carpophores et des péridioles pouvant varier du simple au double en fonction de l'imbibition, comme pour Cyathus.Pousse sur plantes pourrissantes ou débris ligneux de toute nature. Relativement commune et cosmopolite de répartition mondiale. Des variétés ont été créées (v. patelliforme, exigum, cyathiforme), qui ne sont que des formes sans grande valeur taxinomique, les dimensions des carpophores et des péridioles pouvant varier du simple au double en fonction de l'imbibition, comme pour Cyathus.Paternité de la description rendue à Jean Mornand
15/11/2017Inonotus mikadoiSynonymesPolyporus cuticularis var. mikadoi (Lloyd) A. Kawam., Icones of Japanese Fungi 1: 125 (1954) ; Polyporus mikadoi Lloyd, Mycol. Writ. 4 (Letter 43): 3 (1912) Polyporus cuticularis var. mikadoi (Lloyd) A. Kawam., Icones of Japanese Fungi 1: 125 (1954) ; Polyporus mikadoi Lloyd, Mycol. Writ. 4 (Letter 43): 3 (1912) -
15/11/2017Inonotus mikadoiCommentaires-Cette belle espèce est caractérisée par ses petits basidiocarpes, l'absence totale de setae, et l'hôte exclusif (pruniers et cerisiers du Japon)-
15/11/2017Inonotus mikadoiChapeau/Dessus DescriptionBasidiocarpes annuels, dimidiés à subongulés, à base contractée, jusqu'à 2,5 x 4 x 1 cm; surface piléique "brun soudan" à "brun mars", striée radialement, marge aiguë, défléchie; Petits basidiocarpes annuels, dimidiés à subongulés, à base contractée, 1,5 - 2,5 x 0,5 - 1 cm; surface piléique "brun soudan" à "brun mars", striée radialement, marge aiguë, réfléchie; -
15/11/2017Inonotus mikadoiPores/Dessous Descriptionsurface porée concave, brun à grisâtre, un peu brillante, pores 2-3 par mm, tubes jusqu'à 7 mm de long, dissépiments épais, farineux; surface porée concave, brun à grisâtre, un peu brillante, pores 2-3 par mm, tubes concolores jusqu'à 7 mm de long, dissépiments épais, farineux; -
15/11/2017Inonotus mikadoiChair Descriptioncontexte brun clair, fibreux, légèrement brillant, jusqu'à 7 mm d’épaisseur.contexte mince (<2mm), brun rouille, fibreux, légèrement brillant, avec une base granuleuse jusqu'à 5 mm de diamètre.-
15/11/2017Inonotus mikadoiEcologie DescriptionSur Prunus spp. vivants Distribution. climats chauds ou tempérés, Japon, Corée, Taïwan. Sur Prunus spp. vivants Distribution: climats chauds ou tempérés, Japon, Corée, Taïwan. -
13/11/2017Inonotus mikadoiPhoto-Inonotus_mikadoi_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Inonotus mikadoi, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeAuteur(Bull. ex DC) Kambly 1936(Huds.) Kambly 1936-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeSynonymesCrucibulum crucibuliforme (Scop.) V.S. White 1902 ; Crucibulum vulgare Tul. & C. Tul. 1844Crucibulum crucibuliforme (Scop.) V.S. White 1902 ; Crucibulum vulgare Tul. & C. Tul. 1844 ; Nidularia levis Bull. (?) ; Peziza crucibuliformis Scop. (1772) ; Peziza levis Huds. (1778) ; Peziza pyxis Batsch (1783) ; Cyathus cylindricus Willd. (1787) ; Cyathus crucibuliformis (Scop.) Hoffm. (1790) ; Nidularia laevis Bull. (1790) ; Nidularia laevis (Huds.) With. (1792) ; Cyathus crucibulum Pers. (1801) ; Cyathella laevis (Huds.) Brot. (1804) ; Nidularia crucibulum (Pers.) Sw. (1814) ; Crucibulum crucibuliforme (Scop.) V.S. White (1902) ; Peziza scutellaris O.F. Müll. (1777) ; Crucibulum vulgare Tul. & C. Tul. (1844) ; Cyathus pezizoides Berk. (1881) ; Cyathus atrofuscus Velen. (1947)-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeRéférencesDM 61 p. 36, illustr. no.1 p. 38, J. Mornand ; Bon p. 301 ; BK 2 493 ; CD 1740 ; Eyssartier et Roux p. 1052 ; Guinberteau p. 48DM 61 p. 36, illustr. no.1 p. 38, Jean Mornand (1985) ; Bon p. 301 ; BK 2 493 ; CD 1740 ; Eyssartier et Roux p. 1052 ; Guinberteau p. 48-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeCommentaires-Seule espèce connue en Europe sur les trois citées dans la monographie du genre par Brodie.-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeEcologie DescriptionPousse sur plantes pourrissantes ou débris ligneux de toute nature.Pousse sur plantes pourrissantes ou débris ligneux de toute nature. Relativement commune et cosmopolite de répartition mondiale. Des variétés ont été créées ( v. patelliforme, exigum, cyathiforme), qui ne sont que des formes sans grande valeur taxinomique, les dimensions des carpophores et des péridioles pouvant varier du simple au double en fonction de l'imbibition, comme pour Cyathus.-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeExtérieur DescriptionCarpophore initialement recouvert d'un tomentum fauve foncé d'hyphes ramifiées, épineuses. Le tomentum disparaît ensuite à la partie supérieure, laissant apparaître l'épiphragme blanc, qui après déchirure met à nu une dizaine de péridioles jaunâtres de 1,5 à 2,5 mm de diamètre.Carpophore formé de petits gobelets grégaires dont le diamètre dépasse rarement 0,8 mm. Initialement recouvert d'un tomentum fauve foncé d'hyphes ramifiées, épineuses, qui disparaît ensuite à la partie supérieure, laissant apparaître l'épiphragme blanc, qui après déchirure met à nu une dizaine de péridioles jaunâtres de 1,5 à 2,5 mm de diamètre.-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeIntérieur Description-Le funicule simple, court, fugace, est inexistant à maturité. Péridium constitué d'une seule couche d'hyphes, sans couche pseudo-parenchymateuse, ce qui le différencie du genre Cyathus.-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeEcologie Description-Pousse sur plantes pourrissantes ou débris ligneux de toute nature.-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeSpores Description-ellipsoïdes, 8-12 x 4-6 µm, lisses et non mêlées de filaments.-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeSynonymesCrucibulum crucibuliforme (Scop.) V.S. White 1902Crucibulum crucibuliforme (Scop.) V.S. White 1902 ; Crucibulum vulgare Tul. & C. Tul. 1844-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeNoms français-Crucibule lisse-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeRéférencesBon p. 301 ; BK 2 493 ; CD 1740 ; Eyssartier et Roux p. 1052 ; Guinberteau p. 48DM 61 p. 36, illustr. no.1 p. 38, J. Mornand ; Bon p. 301 ; BK 2 493 ; CD 1740 ; Eyssartier et Roux p. 1052 ; Guinberteau p. 48-
07/10/2017Crucibulum crucibuliformeExtérieur Description-Carpophore initialement recouvert d'un tomentum fauve foncé d'hyphes ramifiées, épineuses. Le tomentum disparaît ensuite à la partie supérieure, laissant apparaître l'épiphragme blanc, qui après déchirure met à nu une dizaine de péridioles jaunâtres de 1,5 à 2,5 mm de diamètre.-
30/09/2017Ganoderma neojaponicumCommentairesSe distingue aisément de G. lucidum par ses spores plus élancées, ses carpophores plus sombres, son stipe plus long et mince et son habitat limité aux conifères.Se distingue aisément de G. lucidum par ses spores plus élancées, ses carpophores plus sombres, son stipe plus long et mince et son habitat limité aux conifères. Si on tient ce champignon par la base de son long pied, avec la tête en bas, montrant sa face inférieure concave, la ressemblance avec une louche est flagrante. D'où les nombreux noms vernaculaires intégrant le mot louche. Sur le plan ésotérique, Ganoderma lucidum sensu lato a une longue réputation et usage de talisman ou de symbole de porte-bonheur.-
30/09/2017Ganoderma neojaponicumRéférencesIH1 830 ; IOH 485Imazeki 1939, Bull. Tokyo Sci. Mus. 1: 37 ; IH1 830 ; IOH 485-
30/09/2017Ganoderma neojaponicumNoms français-Louche de petit-enfant(マゴジャクシ)-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusPhoto-Boletus_obscureumbrinus_2011_k_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus obscureumbrinus, Copyright (c) 2011 KMC
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusPhoto-Boletus_obscureumbrinus_1968_th_1.jpgAjout photo type Dessin pour Boletus obscureumbrinus, Copyright (c) 1968 Tsuguo Hongo
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusChapeau Description-5-11(15)cm, hémisphérique, puis pulviné, marge involutée, sèche, finement veloutée, brun terre d'ombre à ombre brûlée (presque "brun momie").-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusChair CouleurBlancBlanc, Jaune-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusChair ImmuableOuiNon-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusChair Description-très épaisse, ferme, jaune pâle, bleuissant faiblement à la coupe. Saveur douce, odeur agréable.-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusPores ImmuablesOuiNon-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusPores Description-Tubes adnés à subdéprimés, jaune sulfurin pâle à jaune de miel pâle, faiblement bleuissants au froissement, 3-9 mm de long; pores minuscules, 2-3 par mm, arrondis, subargilacés (entre “ocre jaune” et “brun Nerprun”).-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusStipe CouleurJaune, RougeBrun, Jaune, Rouge-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusStipe SurfaceSublissePonctué, Sublisse-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusStipe Description-5-10 x 2-3cm , épaissi à la base 3-4,5 cm, robuste, ovoïde-bulbeux, robuste, finement velouté, jaunâtre au sommet, ailleurs concolore au chapeau, puis plus pâle, non réticulé.-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusSpores Description-jaune de miel sub microscopio, 9,5-11×4-5 µm, ellipsoïdes-fusoïdes; basides tétrasporiques; cystides poreuses, très nombreuses, 26-34 x 3-5,5 µm, subcylindriques à subventrues, jaune de mie; trame de l'hyménophore bilatérale de type Bolet; épicutis en trichodermes palissadiques.-
28/09/2017Sutorius obscureumbrinusPhoto-Boletus_obscureumbrinus_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus obscureumbrinus, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
28/07/2017Tricholoma fulvumCommentairesTrès proche avec ses lames son cortex du pied jaunes, mais non bétulicole, voir Tricholoma pseudonictitans Bon.Très proche avec ses lames et son cortex du pied jaunes, mais non bétulicole, voir Tricholoma pseudonictitans Bon.-
28/07/2017Tricholoma fulvumSynonymesT. flavobrunneumTricholoma flavobrunneum (Fr.) P. Kumm. (1871) ; Agaricus fulvus Bull. (1792) ; Gyrophila fulva (Fr.) Quél. (1886) ; Agaricus incertus Schaeff. (1774) ; Agaricus nictitans Fr. (1821) ; Agaricus transmutans Peck (1878) ; Clitocybe marginata Peck (1902) ; Monadelphus marginatus (Peck) Murrill (1915) ; -
28/07/2017Tricholoma fulvumNoms françaisTricholome fauveTricholome fauve ; Tricholome jaune et brun-
28/07/2017Tricholoma fulvumRéférencesBK 3 420 ; Bon p. 159 ; CD 406 ; Cetto 140 ; Marchand 889 ; FE 3 p. 539 ; Eyssartier et Roux p. 512BK 3 420 ; Bon p. 159 ; CD 406 ; Cetto 140 ; IH1 p. 72 ; Marchand 889 ; FE 3 p. 539 ; Eyssartier et Roux p. 512-
28/07/2017Tricholoma fulvumCommentaires-Très proche avec ses lames son cortex du pied jaunes, mais non bétulicole, voir Tricholoma pseudonictitans Bon.-
28/07/2017Tricholoma fulvumChapeau DescriptionMarge nettement cannelée.5-10(12)cm, largement convexe puis étalé, bossu à mamelonné, marge irrégulière, enroulée puis presque droite, opaque, nettement cannelée, parfois sur 3 cm. Cuticule entièrement séparable, mince et peu tenace, visqueuse et brillante, puis fibrillo-squamuleuse, brun roux tirant sur le brun jaune à la périphérie et sur le brun sombre au disque, souvent craquelée et découvrant alors la chair blanchâtre.-
28/07/2017Tricholoma fulvumEcologie DescriptionSous bouleaux.Pas rare d'août à novembre, solitaire ou en troupes, sous bouleaux (acidophile?).-
20/07/2017Tricholoma matsutakePhoto-Tricholoma_matsutake_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tricholoma matsutake, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
17/07/2017Hygrophorus fagiPhoto-Hygrophorus_fagi_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hygrophorus fagi, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
10/07/2017Hygrophorus pinetorumRéférencesIH1 25 ; IOH p. 36IH1 25 ; IOH p. 36 ; JJB 33: 97 (1958) Hongo, T. Studies on the Agaricales of Japan 1. The genus Hygrophorus in Shiga-Prefecture (1)-
26/06/2017Amanita erythrocephalaSynonymes? Amanita flavoconia Atk. ? Amanita flavoconia Atk. -
26/06/2017Amanita erythrocephalaCommentairesRare et localisé en Italie (Ligure). Récolte type de Ciatti (Savona) en 1996, puis en 2002.Origine exotique? Rare et localisé en Italie (Ligure). Trois récoltes sur la même station, dont le type de Ciatti (Savona) en 1996, puis en 2002. Appartiendrait à la sect. Validae mais ses couleurs vives et ses spores et basides de petite taille la rapproche de l'espèce américaine Amanita flavoconia.-
26/06/2017Amanita erythrocephalaSpores Description-ovoïdes à ellipsoïdales, parfois subglobuleuses, apicule bien délié, 6-8(9) x 5-5,5(6) µm, Q = 1,18-1,50(1,60), Qm= 1,22(1,33), amyloïdes, lisses, hyalines.-
26/06/2017Amanita erythrocephalaChair Description-Blanche, subconcolore au revêtement piléique sous ce dernier, ferme dans le chapeau et le cortex du stipe, mais cotonneuse puis creuse dans la partie médullaire du stipe. Odeur faible, saveur neutre.-
26/06/2017Amanita erythrocephalaStipe Description-2-16 x 0,3-1,5 cm, lisse, élancé, parfois un peu sinueux ou tordu, subcylindrique dans la moitié supérieure, mais s'élargissant progressivement de la mi-hauteur jusqu'au bulbe basal, submarginé (jusqu'à 2,5 cm). Consistance élastique, vite creux. Anneau supère, membraneux, juponnant, fragile et fugace, blanc, puis teinté de jaune orangé, comme la partie supérieure du stipe, qui est engainée du voile partiel.-
26/06/2017Amanita erythrocephalaSynonymes-? Amanita flavoconia Atk. -
26/06/2017Amanita erythrocephalaComestibilité-Inconnu-
26/06/2017Amanita erythrocephalaRéférencesFE 9 photo 74 Aet BFAMM N. S. 23 (2003) : 33-42 ; FE 9 photo 74 A et B-
26/06/2017Amanita erythrocephalaCommentairesRécoltes italiennes.Rare et localisé en Italie (Ligure). Récolte type de Ciatti (Savona) en 1996, puis en 2002.-
26/06/2017Amanita erythrocephalaChapeau Description-1-8 cm, conico-convexe, puis aplani avec la marge légèrement et très courtement cannelée, rouge orangé, plus vif au centre, plus jaune à la périphérie, l'extrême marge non excédante et jaune. Revêtement lisse, sec, finement fibrilleux sous la loupe par des fibrilles radiales rouge orangé sur fond jaune, souvent nu mais parfois avec des restes de voile sous forme de plaques, de petits flocons ou de verrues, blancs ou jaunâtres, puis crème-grisâtre, enfin gris sale à brunâtre.-
26/06/2017Amanita erythrocephalaLames Description-Libres, serrées, de largeur moyenne, minces, avec des lamelles et lamellules, blanchâtres, nuancées de jaunâtre par endroits.-
26/06/2017Amanita erythrocephalaEcologie Description-Bois humide de châtaigniers mêlé de pins maritimes et quelques chênes pubescents et chênes verts. -
26/06/2017Amanita erythrocephalaPhoto-Amanita_erythrocephala_1996_fa_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita erythrocephala, Copyright (c) 1996 Fabio Aste
27/05/2017Russula omiensisCommentairesTrès précoce, nous l'avons longtemps surnommée la russule du 1er avril. Ressemble à R. fragilis, avec une microscopie proche de la fo. fallax, selon Marcel Bon en 1998, mais le chapeau est pruineux, la spore plus grande, et la fructification printanière, puis quasi-hivernale la distingue.Très précoce, nous l'avons longtemps surnommée la russule du 1er avril. Ressemble à R. fragilis, avec une microscopie proche de knauthii selon Dagron (1990), ou de la fo. fallax, selon Marcel Bon en 1998, mais le chapeau est pruineux, la spore plus grande, et la fructification printanière, puis quasi-hivernale la distingue.micro étoffée suite à ajout de photos
27/05/2017Russula omiensisSpores Descriptionassez grandes, ovoïdes, 10,5-12 x 9,5-11 µm, ornées de verrues épineuses reliées en réseau. Spores ovoïdes, plus grandes et plus arrondies que knauthii,10,5-12 x 9,5-11 µm,10,5-12 x 9,5-11 µm, ornées de verrues épineuses plus grosses reliées en réseau moins régulier, plus lâche et à mailles plus entourées, avec des membranes très minces reliant les spinules.Tache supra-appendiculaire remplacée par une fine résille. Manque d'amyloïdité variable. PC cylindracées en très grand nombre, largement multi-cloisonnées, des clavulées moins fréquentes. micro étoffée suite à ajout de photos
27/05/2017Russula omiensisPhoto-Russula_omiensis_1990_dgcd_3.jpgAjout photo type Micro pour Russula omiensis, Copyright (c) 1990 Daniel Guez & Christian Dagron
27/05/2017Russula omiensisPhoto-Russula_omiensis_1990_dgcd_2.jpgAjout photo type Micro pour Russula omiensis, Copyright (c) 1990 Daniel Guez & Christian Dagron
27/05/2017Russula omiensisPhoto-Russula_omiensis_1990_dgcd_1.jpgAjout photo type Micro pour Russula omiensis, Copyright (c) 1990 Daniel Guez & Christian Dagron
21/05/2017Pholiota highlandensisPhotoPholiota_highlandensis_1993_dg_1.jpg-Suppression photo : erreur de déterùination
18/05/2017Cyptotrama asprataPhoto-Cyptotrama_asprata_2011_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cyptotrama asprata, Copyright (c) 2011 Daniel Guez
01/04/2017Boletellus elatusRéférencesNagasawam Eiji -1984, Trans. Mycol. Soc. Japan 25(4) p. 361-366 ; IH1 512 ; IOH p. 354 (gauche)Nagasawa Eiji -1984, Trans. Mycol. Soc. Japan 25(4) p. 361-366 ; IH1 512 ; IOH p. 354 (gauche)-
26/03/2017Boletellus elatusRéférencesIH1 512 ; IOH p. 354 (gauche)Nagasawam Eiji -1984, Trans. Mycol. Soc. Japan 25(4) p. 361-366 ; IH1 512 ; IOH p. 354 (gauche)biblio amendée suite à modification simplificatrice de N.Schwab
03/12/2016Abundisporus roseoalbusPhoto-Fomes_subflexibilis_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Fomes subflexibilis, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
02/12/2016Suillus sibiricusPhoto-Suillus_sibiricus_1993_pm_1.jpgAjout photo type Macro pour Suillus sibiricus, Copyright (c) 1993 Pierre-Arthur Moreau
02/12/2016Leccinum variicolorPhoto-Leccinum_variicolor_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Leccinum variicolor var. Bertauxii, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
01/12/2016Pseudoboletus parasiticusPhoto-Xerocomus_parasiticus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Xerocomus parasiticus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
01/12/2016Picipes melanopusPhoto-Polyporus_melanopus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Polyporus melanopus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
01/12/2016Inocutis rheadesPhoto-Inonotus_rheades_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Inonotus rheades, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
01/12/2016Boletopsis leucomelaenaPhoto-Boletopsis_leucomelaena_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletopsis leucomelaena, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
30/11/2016Phaeotremella foliaceaPhoto-Tremella_foliacea_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tremella foliacea, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
30/11/2016Phaeotremella foliaceaSynonymesExidia foliacea ( Pers.) P.Karst. 1889 ; Tremella mesenteriformis Bull. 1791 ; Tremella nigrescens Fr. 1849 ; Gyraria foliacea ( Pers.) Gray 1821 ; Ulocola foliacea ( Pers.) Bref. 1888 ; Tremella verticalis Bull. 1786 ; Tremella ferrufinea ( Sm.) Gray 1821 ; Naematelia foliacea ( Pers.) Bonord. 1864 ; Phaeotremella pseudofoliacea Rea 1911Exidia foliacea ( Pers.) P.Karst. 1889 ; Tremella mesenteriformis Bull. 1791 ; Tremella nigrescens Fr. 1849 ; Gyraria foliacea ( Pers.) Gray 1821 ; Ulocola foliacea ( Pers.) Bref. 1888 ; Tremella verticalis Bull. 1786 ; Tremella ferruginea ( Sm.) Gray 1821 ; Naematelia foliacea ( Pers.) Bonord. 1864 ; Phaeotremella pseudofoliacea Rea 1911-
30/11/2016Hymenochaete cyclolamellataPhoto-Hymenochaete_cyclolamellata_1999_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Hymenochaete cyclolamellata, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
30/11/2016Hymenochaete cyclolamellataPhoto-Hymenochaete_cyclolamellata_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hymenochaete cyclolamellata, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
30/11/2016Bankera fuligineoalbaAuteur(Schmidt : Fr.) Coker & Beers ex Pouzar 1955(J.C. Schmidt : Fr.) Coker & Beers ex Pouzar 1955-
30/11/2016Bankera fuligineoalbaSynonymesSarcodon fuligineoalbum Hydnum fuligineoalbum J.C. Schmidt 1817 ; Tyrodon fuligineoalbus (J.C. Schmidt) P. Karst. 1882 ; Sarcodon fuligineoalbus (J.C. Schmidt) Quél. 1886 ; Bankera fuligineoalba (J.C. Schmidt) Coker & Beers ex Pouzar 1955 ; Nom correct : Phellodon fuligineoalbus (J.C. Schmidt) Baird, Fundal Diversity 62: 63 2013 ; Hydnum fragile Fr. 1852 ; Hydnum sparsoaculeatum Britzelm. 1894 ; Sarcodon reticulatus Banker 1906 ; Hydnum virginianum Murrill 1940 -
30/11/2016Bankera fuligineoalbaRéférencesBon p. 313 ; BK 2 272BG p. 719 ; Bon p. 313 ; BK 2 272 ; IH2 254-
30/11/2016Bankera fuligineoalbaCommentaires-Comme les autres espèces de Bankera, ce champignon ressemble à un Sarcodon, mais se distingue par son odeur de fenugrec ou de Maggi en séchant, et ses spores hyalines (et non brunes).-
30/11/2016Bankera fuligineoalbaChapeau CouleurBlanc, Brun, CrèmeBlanc, Brun, Crème, Jaune, Rouge-
30/11/2016Bankera fuligineoalbaChapeau Description-4-8 cm, tomenteux au début par de fines squamules sur fond blanchâtre, puis lisse, se colorant de rouge brunâtre ou de brun jaune carné à partir du centre, la marge plus claire.-
30/11/2016Bankera fuligineoalbaChair Description-ocracée, moyennement épaisse, non zonée, non amère/ odeur forte de fenugrec en séchant.-
30/11/2016Bankera fuligineoalbaSpores Description-Hyphes non bouclées.-
30/11/2016Bankera fuligineoalbaEcologie Description-dans la litière des aiguilles de conifères (Pins et épicéas surtout). Europe, Asie, etc mais assez rare.-
30/11/2016Bankera fuligineoalbaPhoto-Bankera_fuligineoalba_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Bankera fuligineoalba, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
27/11/2016Tremella fuciformisNoms français-Trémelle en forme de fucus ; Méduse-des-arbres blanche (シロキクラゲ)-
27/11/2016Tremella fuciformisComestibilitéSans intérêtComestible-
27/11/2016Tremella fuciformisRéférencesBerkeley, M.J., 1856, Hooker's Journal of Botany and Kew Garden Miscellany 8: 277Berkeley, M.J., 1856, Hooker's Journal of Botany and Kew Garden Miscellany 8: 277 ; IOH p. 531-
27/11/2016Tremella fuciformisCommentaires-Consommée en Chine, surtout en soupe. fuciforme n'est pas fusiforme ! = trémelle en forme de fucus (souple et coriace comme l'algue marine), nous explique Panckoucke (1808) dans le volume 8 de Botanique<-
27/11/2016Tremella fuciformisPhoto-Tremella_fuciformis_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tremella fuciformis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
27/11/2016Atheliachaete sanguineaPhoto-Phanerochaete_sanguinea_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phanerochaete sanguinea Conidies, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
27/11/2016Coltricia cinnamomeaPhoto-Coltricia_cinnamomea_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Coltricia cinnamomea, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
27/11/2016Deflexula fascicularisPhoto-Deflexula_fascicularis_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Deflexula fascicularis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
27/11/2016Stereostratum corticioidesSynonymesPuccinia corticoides Berk & Broome 1878 Dicaeoma corticoides ( Berk. & Broome ) Kuntze 1898Puccinia corticoides Berk. & Broome 1878 ; Dicaeoma corticoides (Berk. & Broome) Kuntze 1898-
27/11/2016Stereostratum corticioidesNoms français-Rouille du bambou -
27/11/2016Stereostratum corticioidesCommentairesA compléterLa "rouille du bambou", Stereostratum corticioides (Berk. & Br.). Magn. appartient au genre monospécifique établi par Magnus en 1899 à partir de matériel récolté au Japon. Signalé en Chine. Nos récoltes venaient sur Nezasa ネザサ(Pleioblastus nezasa), commun au printemps dans l'ouest de Hondo, plus fréquent in litt. sur P. simonii, Phyllostachys, Pseudosasa, Sasa, Arundinaria... メダケ-
27/11/2016Stereostratum corticioidesMacroscopie CouleurJauneBrun, Jaune, Orange-
26/11/2016Ganoderma applanatumCommentairesTout au long de l'année. Pérenne. PS: Les tubes sont souvent attaqués par les larves de la diptère Agathowya wankowici, qui introduisent la galle en formes de cônes (voir photo N°3).Tout au long de l'année. Pérenne. PS: Les tubes sont souvent déformés par des pustules (cécidies) causées par les larves d'un insecte diptère Agathomya wankowiczi, qui introduisent leur galles en forme de cônes (voir photo N°3).-
26/11/2016Neofavolus alveolarisPhoto-Polyporus_mori_1990_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Polyporus mori, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
26/11/2016Neofavolus alveolarisPhotoPolyporus_mori_1990_dg_1.jpg-Suppression photo
26/11/2016Neofavolus alveolarisPhoto-Polyporus_mori_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Polyporus mori, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
26/11/2016Ganoderma lucidumPhotoGanoderma_lucidum_2013_dg_1.jpg-Suppression photo : double
26/11/2016Ganoderma lucidumPhoto-Ganoderma_lucidum_2013_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Ganoderma lucidum jeunes (Japon), Copyright (c) 2013 Daniel Guez
26/11/2016Ganoderma lucidumPhoto-Ganoderma_lucidum_2013_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Ganoderma lucidum, Copyright (c) 2013 Daniel Guez
26/11/2016Sarcodon imbricatusPhotoSarcodon_imbricatum_1988_dgst_1.jpg-Suppression photo : couleur douteuse
26/11/2016Sarcodon imbricatusPhoto-Sarcodon_imbricatum_1988_dgst_2.jpgAjout photo type Macro pour Sarcodon imbricatum, Copyright (c) 1988 Daniel Guez & Shoji Tanaka
26/11/2016Hydnellum ferrugineumCommentairesSouvent confondu avec d'autres Hydnes, surtout Hydnellum peckii dont les jeunes chapeaux blancs exsudent également des gouttes rouges, mais notre champignon prend à partir du centre sa couleur brun ferrugineux, sauf la marge. Idem pour les aiguillons. La chair qui jute son suc rouge si on la comprime, finit par grisonner en laissant des taches allongées.Souvent confondu avec d'autres Hydnes, surtout Hydnellum peckii dont les jeunes chapeaux blancs exsudent également des gouttes rouges, mais notre champignon prend à partir du centre sa couleur brun ferrugineux, sauf la marge. Idem pour les aiguillons. La chair qui jute son suc rouge si on la comprime, finit par grisonner en laissant des taches allongées.-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumNoms françaisHydne ferrugineux ; Hydnelle couleur de rouille (オオサビハリタケ)Hydne ferrugineux ; Hydne rouillé (オオサビハリタケ)-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumRéférencesCD 71 ; BK 2 262 ; Marchand 344 ; Eyssartier et Roux p. 998CD 71 ; BK 2 262 ; Marchand 344 ; IH2 255 ; Eyssartier et Roux p. 998-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumCommentaires-Souvent confondu avec d'autres Hydnes, surtout Hydnellum peckii dont les jeunes chapeaux blancs exsudent également des gouttes rouges, mais notre champignon prend à partir du centre sa couleur brun ferrugineux, sauf la marge. Idem pour les aiguillons. La chair qui jute son suc rouge si on la comprime, finit par grisonner en laissant des taches allongées.-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumChapeau CouleurBlanc, Brun, Jaune, Orange, RougeBlanc, Brun, Jaune, Rouge-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumChapeau Description3-10 cm, pulviné puis vite étalé à infundibuliforme, souvent inégal, bosselé, irrégulièrement arrondi, cyathiforme à la fin, parfois soudés ou surmonté de chapeaux secondaires à demi avortés (piléoles), velouté puis fortement tomenteux-feutré, plus ou moins ridé-radié, scrobiculé, avec ou sans zones concentriques, blanchâtre à rose, dans la jeunesse et par temps humide exsudant des gouttes de suc rouge sang, puis brun-jaune à rouge-brun; la marge restant longtemps blanc de craie, mince et sinueuse crénelée, tomenteuse, incurvée puis droite ou dressée et concolore, englobant souvent des débris végétaux.3-10 cm, pulviné puis vite étalé à infundibuliforme, souvent inégal, bosselé, irrégulièrement arrondi, cyathiforme à la fin, parfois soudés ou surmonté de chapeaux secondaires à demi avortés (piléoles), velouté puis fortement tomenteux-feutré, plus ou moins ridé-radié, scrobiculé, avec ou sans zones concentriques, blanchâtre à rose, dans la jeunesse et par temps humide exsudant des gouttes de suc rouge sang (vermillon), puis brun-jaune à rouge-brun; la marge restant longtemps blanc de craie, mince et sinueuse crénelée, tomenteuse, incurvée puis droite ou dressée et concolore, englobant souvent des débris végétaux.-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumAiguillons Couleur-Blanc, Brun, Saumon-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumAiguillons Description3,5-4,5 mm de long, inégaux, décurrents, 3,5-5 mm de long, fins (0,2 mm) inégaux, décurrents, serrés, fragiles, blancs bientôt rose carné brunâtre à pointe pâle, enfin brun rouillé. Sporée brun clair.-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumStipe Couleur-Brun, Jaune, Rouge-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumStipe Description-2-4(5) x 1-3 cm, plein, irrégulier, comprimé, tomenteux, glabrescent, englobant des particules du substrat, épaissi en une base spongieuse, concolore au chapeau.-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumSpores Description-4-6 x 3,5-4,5 µm, subglobuleuses à largement ellipsoïdes, parfois guttulées, brunâtres, à apicule oblique. Basides 20-30 x 5-7 µm, à 4-stérigmates de 3,75 µm. Structure monomitique. Boucles nulles.-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumOdeur-Farine-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumEcologie DescriptionSous conifères.Pas si commun (à moins de confusion avec les espèces voisines !) de juillet à novembre, en Europe et au Japon, dans la litière d'aiguilles de conifères, surtout Pinus et Picea.-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumChapeau Couleur-Blanc, Brun, Jaune, Orange, Rouge-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumChapeau Description3-10 cm, pulviné puis vite étalé, souvent inégal, bosselé, irrégulièrement arrondi, cyathiforme à la fin, parfois soudés ou surmonté de chapeaux secondaires à demi avortés (piléoles), velouté puis fortement tomenteux-feutré, plus ou moins ridé-radié, scrobiculé, sans zones concentriques, blanchâtres à roses, dans la jeunesse et par temps humide exsudant des gouttes de suc rouge sang, puis brun-jaune à rouge-brun, à la marge restant longtemps blanc de craie, 3-10 cm, pulviné puis vite étalé à infundibuliforme, souvent inégal, bosselé, irrégulièrement arrondi, cyathiforme à la fin, parfois soudés ou surmonté de chapeaux secondaires à demi avortés (piléoles), velouté puis fortement tomenteux-feutré, plus ou moins ridé-radié, scrobiculé, avec ou sans zones concentriques, blanchâtre à rose, dans la jeunesse et par temps humide exsudant des gouttes de suc rouge sang, puis brun-jaune à rouge-brun; la marge restant longtemps blanc de craie, mince et sinueuse crénelée, tomenteuse, incurvée puis droite ou dressée et concolore, englobant souvent des débris végétaux.-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumChair Description-à double trame, vaguement zonée concentriquement, spongieuse puis subéreuse, brun rose carné à rouge-brun pâle dans le chapeau, brun pourpre dans le pied, grisonnant à la dessication, marquée d'une foule de petites taches plus pâles. Odeur faible de farine; saveur presque douce.-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumAiguillons Description-3,5-4,5 mm de long, inégaux, décurrents, -
26/11/2016Hydnellum ferrugineumSynonymesCalodon ferrugineumHydnum hybridum Bull. (1790) ; Hydnum ferrugineum Fr. (1815) ; Hydnum carbunculus Secr. (1833) ; Calodon ferrugineus (Fr.) P. Karst. (1881) ; Phaeodon ferrugineus (Fr.) J. Schröt. (1888) ; Hydnellum sanguinarium Banker (1906) ; Calodon hybridus (Bull.) Lindau (1911) ; Hydnellum hybridum (Bull.) Banker (1913) ; Hydnellum pineticola K.A. Harrison (1964)-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumNoms françaisHydne ferrugineuxHydne ferrugineux ; Hydnelle couleur de rouille (オオサビハリタケ)-
26/11/2016Hydnellum ferrugineumChapeau Description-3-10 cm, pulviné puis vite étalé, souvent inégal, bosselé, irrégulièrement arrondi, cyathiforme à la fin, parfois soudés ou surmonté de chapeaux secondaires à demi avortés (piléoles), velouté puis fortement tomenteux-feutré, plus ou moins ridé-radié, scrobiculé, sans zones concentriques, blanchâtres à roses, dans la jeunesse et par temps humide exsudant des gouttes de suc rouge sang, puis brun-jaune à rouge-brun, à la marge restant longtemps blanc de craie, -
26/11/2016Tylopilus rigensNoms français-Bolet de fiel rigide (オクヤマニガイグチ)-
25/11/2016Hydnellum ferrugineumPhoto-Hydnellum_ferrugineum_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hydnellum ferrugineum, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
25/11/2016Phellodon melaleucusSynonymesnom correct : Phellodon tomentosus ; Phellodon melaleucus ; Calododon graveolensnom correct : Phellodon tomentosus ; Phellodon melaleucus ; Calodon graveolens-
25/11/2016Phellodon melaleucusPhoto-Phellodon_connatus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phellodon connatus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
25/11/2016Phellodon melaleucusSynonymes? tomentosus, ? melaleucusnom correct : Phellodon tomentosus ; Phellodon melaleucus ; Calododon graveolens-
25/11/2016Phellodon melaleucusRéférencesEyssartier et Roux p. 994IH2 731 (s.n. Phellodon melaleucus) ; Eyssartier et Roux p. 994-
25/11/2016Phellodon melaleucusChair DescriptionPotasse décolore la chair en vertPotasse décolore la chair en vert. Odeur de fenugrec en séchant.-
25/11/2016Auriscalpium vulgareNoms françaisHydne cure-oreilleHydne cure-oreille ; Hydne cure-oreilles-
25/11/2016Auriscalpium vulgareSpores Description 4,5-5,5 x 3,5-4,5 µm, ellipsoïdes, finement verruqueuses, spinuleuses, amyloïdes. Basides bi- ou tétrasporiques, 10-25 x 5-6 µm, cylindro-clavées. Cystides 20-45 x 3-6 µm, fusi-clavées, à contenu granuleux réfringent. Dimitique, 4,5-5,5 x 3,5-4,5 µm, ellipsoïdes, finement verruqueuses, spinuleuses, amyloïdes. Basides bi- ou tétrasporiques, 10-25 x 5-6 µm, cylindro-clavées. Cystides 20-45 x 3-6 µm, fusi-clavées, à contenu granuleux réfringent. Dimitique. -
25/11/2016Auriscalpium vulgareEcologie DescriptionSur cônes de conifères, surtout de pins (Pinus)toute l'année mais surtout de juillet à décembre, sur cônes de conifères, surtout de pins (Pinus)-
25/11/2016Auriscalpium vulgareNoms françaisHydne cure-oreillesHydne cure-oreille-
25/11/2016Auriscalpium vulgareChapeau Description0,5-2 cm, plan convexe, hémi-circulaire ou réniforme, entièrement couvert par un velours gris-brun à brun-roux0,5-2 cm, plan convexe, semi-circulaire, souvent spatulé ou réniforme, feutré à hispide, entièrement couvert par un velours gris-brun à brun-roux.-
25/11/2016Auriscalpium vulgareChair DescriptionBlanchâtre, coriacemince, blanchâtre, coriace.-
25/11/2016Auriscalpium vulgareAiguillons CouleurBlanc, Brun, Crème, GrisBlanc, Brun, Crème, Gris, Saumon-
25/11/2016Auriscalpium vulgareAiguillons DescriptionCourts, peu serrés, épais, blanc à gris-brunâtreCourts, 1-3 mm, peu serrés, épais, blancs puis vite beige rosé à gris-brun foncé.-
25/11/2016Auriscalpium vulgareStipe Description2-6 x 0,1-0,3 cm, brun noir, velouté, latéral, villeux2-6(15) x 0,1-0,4 cm, brunâtre à brun foncé, velouté, latéral, villeux à hispide.-
25/11/2016Auriscalpium vulgareSpores Description 4,5-5,5 x 3,5-4,5 µm, ellipsoïdes, finement verruqueuses, spinuleuses, amyloïdes. Basides bi- ou tétrasporiques, 10-25 x 5-6 µm, 4,5-5,5 x 3,5-4,5 µm, ellipsoïdes, finement verruqueuses, spinuleuses, amyloïdes. Basides bi- ou tétrasporiques, 10-25 x 5-6 µm, cylindro-clavées. Cystides 20-45 x 3-6 µm, fusi-clavées, à contenu granuleux réfringent. Dimitique, -
25/11/2016Auriscalpium vulgareRéférencesBon p. 313 ; CD 74 ; Marchand 334 ; Eyssartier et Roux p. 994Becker p. 308 ; Bon p. 313 ; CD 74 ; Marchand 334 ; Eyssartier et Roux p. 994-
25/11/2016Auriscalpium vulgareCommentaires-[par Georges Becker] Cette petite espèce, très curieuse et photogénique, et qui ressemble à une brosse minuscule, a un chapeau brun ou roux, velouté, fibrilleux surtout sur les bords, convexe, mince, toujours dimidié (c'est-à-dire, porté par un pied excentré, particularité qui n'existe d'habitude que chez les espèces qui croissent contre les troncs d'arbres), de 1 à 2 cm de diamètre. Il porte en dessous de nombreux aiguillons allongés, jaunâtres ou d'un gris brunâtre. Le pied est latéral et forme un angle droit avec le chapeau, qui, de ce fait, est plus souvent réniforme que circulaire. Ce pied est long, grêle, hérissé de poils bruns à la base qui est prolongée par une sorte de racine. Il est extrêmement tenace et élastique. La spore est de 6 à 7 µ, aculéolée. On le trouve toute l'année sur les cônes de pins surtout, où se développe son mycélium. Ces cônes peuvent souvent être profondément enterrés et le champignon en émerge au moyen d'une longue pseudorrhize noirâtre, dont la longueur dépend évidemment de la profondeur à laquelle le cône est enfoui.-
25/11/2016Auriscalpium vulgareSpores Description 4,5-5,5 x 3,5-4,5 µm, ellipsoïdes, finement verruqueuses 4,5-5,5 x 3,5-4,5 µm, ellipsoïdes, finement verruqueuses, spinuleuses, amyloïdes. Basides bi- ou tétrasporiques, 10-25 x 5-6 µm, -
25/11/2016Auriscalpium vulgareEcologie DescriptionSur cônes de conifères, surtout de pins (Pinus)Sur cônes de conifères, surtout de pins (Pinus)-
25/11/2016Auriscalpium vulgareSynonymes-Hydnum atrotomentosum Schwalb (1891) ; Hydnum fechtneri Velen. (1922)-
25/11/2016Auriscalpium vulgarePhoto-Auriscalpium_vulgare_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Auriscalpium vulgare, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
24/11/2016Tylopilus vinosobrunneusPhoto-Tylopilus_vinosobrunneus_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tylopilus vinosobrunneus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
23/11/2016Tylopilus rigensPhoto-Tylopilus_rigens_1979_th_1.jpgAjout photo type Dessin pour Tylopilus rigens, Copyright (c) 1979 Tsuguo Hongo
23/11/2016Tylopilus rigensPhoto-Tylopilus_rigens_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tylopilus rigens, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
21/11/2016Tylopilus neofelleusPhoto-Tylopilus_neofelleus_1989_thdg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Tylopilus neofelleus, Copyright (c) 1989 Tsugo Hongo & Daniel Guez
20/11/2016Leucocoprinus castroiSpores Description-à compléterGenre erroné, doit être placé en Leucocoprinus
20/11/2016Leucocoprinus castroiComestibilité-Toxique-
20/11/2016Leucocoprinus castroiRéférenceshttp://revistes.iec.cat/index.php/RCMic/article/viewFile/3658/49652 http://revistes.iec.cat/index.php/RCMic/article/viewFile/3658/49652 ; RCM Revista Catalana de Micologia 25: 41 (2003) -
20/11/2016Leucocoprinus castroiCommentaires-Dédiée au Dr. Castro, mycologue Galicien. Confusions possibles avec Leucocoprinus birnbaumii, aux couleurs plus vives et à lames jaunes, Leucocoprinus fragilissimus, qui vient dans les lieux riches en humus, dans les forêts mixtes, Leucocoprinus brebissonii. -
20/11/2016Leucocoprinus castroiChapeau Description-petit 2-4 cm, conique à campanulé, puis plan, à disque central bien marqué, plissé, marge blanche ondulée. Cutis fragile, de couleur jaune citrin, plus intense au centre, cotonneuse, profondément striée chez l'adulte.-
20/11/2016Leucocoprinus castroiChair Description-Blanchâtre, peu charnue, odeur vaguement anisée, insipide. -
20/11/2016Leucocoprinus castroiLames Description-Lames libres, espacées, blanchâtres.-
20/11/2016Leucocoprinus castroiStipe Description-mince, cylindrique, cassant, fistuleux, jaune citrin, verdâtre en bas; anneau supérieur (juste sous les lames), jaune, fugace, simple, membraneux. -
20/11/2016Leucocoprinus castroiEcologie Description-D'origine tropicale, vient en Été-Automne, après les premières pluies à la fin de l'été en climat tempéré. Localement fréquent (Galicie). Croissance rapide et fugace. Prairies, pinèdes atlantiques, ou rudéral en lieux abrités (serres, pots). -
20/11/2016Tylopilus neofelleusNoms français-Faux Bolet amer (ニガイグチモドキ)-
20/11/2016Tylopilus neofelleusPhoto-Tylopilus_neofelleus_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tylopilus neofelleus, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
20/11/2016Tylopilus neofelleusRéférencesJJB 42 p. 154-155 ; Bull. natn. Sci. Mus. Tokyo 16 no. 3 p. 553-554 (1973, 3ème exploration de la Nouvelle-Guinée) ; IH2 566JJB 42 p. 154-155 ; Bull. natn. Sci. Mus., Tokyo 16 no. 3 p. 553-554 (1973, 3ème exploration de la Nouvelle-Guinée) ; IH2 566-
20/11/2016Tylopilus neofelleusCommentairesD'abord endémique de Hondo (Japon), il fut retrouvé par Hongo en Nouvelle-Guinée, puis signalé de Corée. Diffère de T. plumbeoviolaceusD'abord endémique de Hondo (Japon), il fut retrouvé par Hongo en Nouvelle-Guinée, puis signalé de Chine (Sichuan,Yunnan), Corée et Taïwan. Diffère de Tylopilus plumbeoviolaceus par ses couleurs noisette, brun olivacé, et ses spores plus courtes (versus 9–12 x 3.4–4.5 µ) Tylopilus felleus montre un chapeau brun jaunâtre à gris olivacé et un réseau remarquable sur le stipe jaunâtre, des spores plus petites et des pleurocystides plus longues.-
20/11/2016Tylopilus neofelleusRéférencesJJB 42 p. 154-155 ; IH2 566JJB 42 p. 154-155 ; Bull. natn. Sci. Mus. Tokyo 16 no. 3 p. 553-554 (1973, 3ème exploration de la Nouvelle-Guinée) ; IH2 566-
20/11/2016Tylopilus neofelleusCommentaires-D'abord endémique de Hondo (Japon), il fut retrouvé par Hongo en Nouvelle-Guinée, puis signalé de Corée. Diffère de T. plumbeoviolaceus-
20/11/2016Tylopilus neofelleusStipe Description6-11 x 1,5-2,4 cm, épais et solide, souvent épaissi à la base (atténué à la base pour les récoltes de Nouvelle-Guinée), finement tomenteux, brun rougeâtre à brun grisâtre, ou subconcolore au chapeau (brun fauve olivacé), jaune de miel au sommet, plus pâle ou blanchâtre aux deux bouts, subvelouté, non réticulé, ou avec un subtil réseau formé de pores descendants sur le sommet (Nouvelle-Guinée), parfois ruguleux6-11 x 1,5-2,4 cm, épais et solide, souvent épaissi à la base (atténué à la base pour les récoltes de Nouvelle-Guinée), finement tomenteux, brun rougeâtre à brun grisâtre, ou subconcolore au chapeau (brun fauve olivacé), jaune de miel au sommet, plus pâle ou blanchâtre aux deux bouts, subvelouté, non réticulé, ou avec un subtil réseau formé de pores descendants sur le sommet (Nouvelle-Guinée), parfois ruguleux. Base à tomentum blanchâtre.-
20/11/2016Tylopilus neofelleusSpores DescriptionSporée rosâtre sale à brun vineux. Spores (6,5)7,5-9,5 x 3,5-4(4,5) µm, (7-8,5 x 3-3,5 µm pour les récoltes de Nouvelle-Guinée), ellipsoïdes-subfusiformes, Spores en masse rosâtre sale à brun vineux, lavées de jaune de miel sous le microscope, (6,5)7,5-9,5 x 3,5-4(4,5) µm, (7-8,5 x 3-3,5 µm pour les récoltes de Nouvelle-Guinée), ellipsoïdes-subfusiformes; Basides tétrasporiques, 30 x 7,5 µm, cystides nombreuses, 20-50 x 5-7,5 µm, subcylindracées à subfusoïdes, à paroi mince, jaunâtres. Trame bilatérale de type Boletorum. Boucles absentes.-
20/11/2016Tylopilus neofelleusEcologie Description-en été-automne, dans les bois mêlés de Pinus densiflora-Quercus serrata au Japon et en Corée du Sud, Catastanopsis-Quercus-Araucaria, etc. en Nouvelle-Guinée.-
20/11/2016Tylopilus neofelleusStipe FormeRadicant/Fusiforme, Trapu/ObèseTrapu/Obèse-
20/11/2016Tylopilus neofelleusStipe Description6-11 x 1,5-2,4 cm, épais et solide, souvent atténué à la base, finement tomenteux, brun rougeâtre à brun grisâtre, ou subconcolore au chapeau, plus pâle ou blanchâtre aux deux bouts, avec un réseau de pores descendants au sommet.6-11 x 1,5-2,4 cm, épais et solide, souvent épaissi à la base (atténué à la base pour les récoltes de Nouvelle-Guinée), finement tomenteux, brun rougeâtre à brun grisâtre, ou subconcolore au chapeau (brun fauve olivacé), jaune de miel au sommet, plus pâle ou blanchâtre aux deux bouts, subvelouté, non réticulé, ou avec un subtil réseau formé de pores descendants sur le sommet (Nouvelle-Guinée), parfois ruguleux-
20/11/2016Tylopilus neofelleusSpores Description-Sporée rosâtre sale à brun vineux. Spores (6,5)7,5-9,5 x 3,5-4(4,5) µm, (7-8,5 x 3-3,5 µm pour les récoltes de Nouvelle-Guinée), ellipsoïdes-subfusiformes, -
19/11/2016Imleria obscurebrunneaPhoto-Xerocomus_obscurebrunneus_1979_th_1.jpgAjout photo type Dessin pour Xerocomus obscurebrunneus, Copyright (c) 1979 Tsuguo Hongo
17/11/2016Austroboletus fusisporusSynonymesPorphyrellus fusisporus Kawam. ex Imazeki & Hongo 1957 ; Strobilomyces fusisporus Kawam. (nom. nud.)Porphyrellus fusisporus Kawam. ex Imazeki & Hongo 1957 ; Strobilomyces fusisporus Kawam. (nom. nud.)-
17/11/2016Austroboletus fusisporusComestibilitéInconnuSans intérêt-
17/11/2016Austroboletus fusisporusCommentairesRemarquable par son pied fortement et grossièrement réticulé, devenant visqueux par temps humide, son odeur forte et agréable, et ses spores fusiformes. La sporée est brun vineux sans aucune nuance olivacée. Le nom japonais de "Yassha" fait référence aux Yaksha, ces esprits plus ou moins bienveillants, dont les statues imposantes, souvent portant une armure écailleuse, protègent les accès aux temples bouddhiques. http://fr.wikipedia.org/wiki/Yaksha Remarquable par son pied fortement et grossièrement réticulé, devenant visqueux par temps humide, son odeur forte et agréable, et ses spores fusiformes. La sporée est brun vineux sans aucune nuance olivacée. Le nom japonais de "Yasha" fait référence aux Yaksha, ces esprits plus ou moins bienveillants, dont les statues imposantes, souvent portant une armure écailleuse, protègent les accès aux temples bouddhiques. http://fr.wikipedia.org/wiki/Yaksha -
17/11/2016Austroboletus fusisporusEcologie DescriptionSolitaire ou en petits groupes sur le sol ou sur débris bien décomposés, en forêt de feuillus (Castanopsis, etc.). Japon.Solitaire ou en petits groupes sur le sol ou sur débris bien décomposés, en forêt de feuillus (Castanopsis, etc.). Japon.-
17/11/2016Austroboletus subvirensRéférencesActa Phytotax. Geobot 18-4 (1960) p. 110-112 ; IH1 506 ; IOH p. 348J-APG 18-4 (1960) p. 110-112 ; IH1 506 ; IOH p. 348-
17/11/2016Austroboletus subvirensEcologie Descriptionau Japon (type), vient de juillet à septembre, dans les bois mixtes de Castanopsis/Pinus ou Quercus/Pinus<.i>, solitaire ou grégaire, sur le sol parmi les feuilles mortes. Récolté à Taïwan en juin sous Cyclobalanopsis glauca. Distribution : Japon, Taïwan, Chine, Nouvelle-Guinée. au Japon (type), vient de juillet à septembre, dans les bois mixtes de Castanopsis/Pinus ou Quercus/Pinus, solitaire ou grégaire, sur le sol parmi les feuilles mortes. Récolté à Taïwan en juin sous Cyclobalanopsis glauca. Distribution: Japon, Taïwan, Chine, Nouvelle-Guinée. -
17/11/2016Austroboletus subvirensPhoto-Austroboletus_subvirens_1987_enth_1.jpgAjout photo type Macro pour Austroboletus subvirens, Copyright (c) 1987 E. Nagasawa & T. Hongo
17/11/2016Austroboletus subvirensPhoto-Austroboletus_subvirens_2000_nihdg_1.jpgAjout photo type Macro pour Austroboletus subvirens, Copyright (c) 2000 Nagasawa In Hongo & Daniel Guez
17/11/2016Austroboletus fusisporusPhoto-Austroboletus_fusisporus_1996_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Austroboletus fusisporus, Copyright (c) 1996 Daniel Guez
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusCommentairesespèce caractérisée par ses cheilocystides longues et volumineuses, proéminentes chez les jeunes carpophores, par lesquelles on la sépare facilement de Gyroporus castaneus, d'habitus similaire par ailleurs. Les autres différences sont basidiospores à Qm= 1,5 +/-0,1, la stature robuste, la couleur un peu cannelle et des tubes relativement courts.espèce caractérisée par ses cheilocystides longues et volumineuses, proéminentes chez les jeunes carpophores, par lesquelles on la sépare facilement de Gyroporus castaneus, d'habitus similaire par ailleurs. Les autres différences sont basidiospores à Qm= 1,5 +/-0,1, la stature robuste, la couleur un peu cannelle et des tubes relativement courts.-
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusChapeau Descriptionjusqu'à 8 cm, largement convexe à presque plan avec l'âge, revêtement tomenteux à floconneux-squamuleux, brun clair à brun, devenant brun orangé à brun grisâtre vers la marge, souvent taché ça et là de brun jaunâtre.jusqu'à 8 cm, largement convexe à presque plan avec l'âge, revêtement tomenteux à floconneux-squamuleux, brun clair à brun, devenant brun orangé à brun grisâtre vers la marge, souvent taché ça et là de brun jaunâtre. Marge légèrement révolutée chez les vieux carpophores.-
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusPores CouleurBlanc, CrèmeBlanc, Crème, Jaune-
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusPores Description-Tubes relativement courts, jusqu'à 8 mm de long, émarginés-adnexés à libres, d'abord blancs, puis jaune pastel à la maturité. Pores minuscules, 2-3/mm, concolores aux tubes, avec des taches de bronze ça et là dans la vieillesse.-
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusStipe CouleurBrun, CrèmeBlanc, Brun, Crème, Orange-
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusStipe Description-jusqu'à 7,5 x 1,3 cm, et 2,8 cm à la base clavée, spongieux-farci, puis creux, surface sèche, rugueuse-raboteuse, subtomenteuse à mate subfibrilleuse, plus pâle que le chapeau, ou presque concolore intégralement, mais le plus souvent teinté de blanchâtre à orangé pâle au sommet.-
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusSpores DescriptionSporée jaune pâle sur le frais. Spores 7,2-9,6 x 4,8-6 µm, elliptiques à plus ou moins oblongues, parfois subréniformes de profil, lisses, à paroi d'épaisseur variable, à grosse guttule huileuse, jaune pâle in KOH, non-amyloïde, parfois dextrinoïdes.Sporée jaune pâle sur le frais. Spores 7,2-9,6 x 4,8-6 µm, elliptiques à plus ou moins oblongues, parfois subréniformes de profil, lisses, à paroi d'épaisseur variable, à grosse guttule huileuse, jaune pâle in KOH, non-amyloïde, parfois dextrinoïdes. Cheilocystides typiquement fusiformes à lagéniformes, 30-126 x 8-18 µm, rarement elliptiques (16-36 x 10-16 µm), lisses, à paroi mince. Pleurocystides nulles.-
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusNoms français-Faux bolet châtain (クリイロイグチモドキ) -
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusChapeau Description-jusqu'à 8 cm, largement convexe à presque plan avec l'âge, revêtement tomenteux à floconneux-squamuleux, brun clair à brun, devenant brun orangé à brun grisâtre vers la marge, souvent taché ça et là de brun jaunâtre.-
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusPhoto-Gyroporus_longicystidiatus_2001_nhg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Gyroporus longicystidiatus, Copyright (c) 2001 Nagasawa, Hongo & Guez
16/11/2016Gyroporus longicystidiatusPhoto-Gyroporus_longicystidiatus_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Gyroporus longicystidiatus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
16/11/2016Tylopilus fumosipesSynonymesCeriomyces fumosipes (Peck) Murrill 1909 ; Porphyrellus fumosipes (Peck) Snell 1945 ; ? Tylopilus sordidus (Frost) A.H. Sm. & Thiers 1968 ; Tylopilus fumosipes var. glabripes Wolfe 1980Ceriomyces fumosipes (Peck) Murrill 1909 ; Porphyrellus fumosipes (Peck) Snell 1945 ; ? Tylopilus sordidus (Frost) A.H. Sm. & Thiers 1968 ; Tylopilus fumosipes var. glabripes Wolfe 1980-
16/11/2016Tylopilus fumosipesNoms français-Bolet à pied enfumé ; Bolet porphyre bleuissant (アイゾメクロイグチ)-
16/11/2016Tylopilus fumosipesChapeau CouleurBrunBrun, Gris-
16/11/2016Tylopilus fumosipesChapeau ImmuableOuiOui ou Non-
16/11/2016Tylopilus fumosipesChapeau Description4-8,5 cm, convexe à presque plan, finement tomenteux, rivuleux à maturité, brun foncé olivacé.4-8,5 cm, convexe à presque plan, finement tomenteux, non visqueux, gercé rivuleux à maturité, brun foncé à brun grisâtre, parfois teinté de bleu verdâtre.-
16/11/2016Tylopilus fumosipesPores DescriptionTubes 0,5-0,7 mm de long, plan ou parfois déprimés à maturité, d'abord blanc grisâtre, puis jaune grisâtre plus clair à brun grisâtre, lavés de rouge à la coupe. Pores 0,1-0,2 mm, blanchâtres dans la jeunesse, brun jaunâtre en vieillissant, virant au brun vineux au toucher.Tubes 0,5-0,7 mm de long, plans ou parfois déprimés à maturité, d'abord blanc grisâtre, puis jaune grisâtre plus clair à brun grisâtre, lavés de rouge à la coupe. Pores 0,1-0,2 mm, blanchâtres dans la jeunesse, brun jaunâtre en vieillissant, bleuissants puis virant au brun vineux au toucher.-
16/11/2016Tylopilus fumosipesStipe FormeCylindracéCylindracé, Radicant/Fusiforme-
16/11/2016Tylopilus fumosipesEcologie Descriptionsolitaire ou en groupes sur le sol sous feuillus, surtout Quercus, mais aussi sous conifères; juillet-octobre, peu Commun. Amérique du Nord, Taïwan, Japon.solitaire ou en groupes sur le sol sous feuillus, surtout Quercus, mais aussi sous conifères; juillet-octobre, peu Commun. Amérique du Nord, Taïwan, Japon.-
16/11/2016Cryptoporus volvatusCommentairesNous l'avons toujours trouvé hébergeant des coléoptères xylophages (Scolytinae) dans la crypte, qui semblent se régaler de l'hyménium, à en juger par le vacarme que font leurs mandibules la nuit suivant la récolte et sur les tables d'exposition. Transformée en mangeoire dès que l'ouverture le permet, la résonance semble être très amplifiée par la cavité, tendue d'une membrane souple comme une peau de tambour, une membrane de stéthoscope. Le champignon semble étroitement associé à ces insectes qui creusent des galeries, provoquant la « carie blanc-grisâtre de l'aubier », ils facilitent certainement la propagation du mycélium, l'ouverture de la crypte coïncidant avec la maturité des spores.Nous l'avons toujours trouvé hébergeant des coléoptères xylophages (Scolytinae) dans la crypte, qui semblent se régaler de l'hyménium, à en juger par le vacarme que font leurs mandibules la nuit suivant la récolte et sur les tables d'exposition. Transformée en mangeoire dès que l'ouverture le permet, la résonance semble être très amplifiée par la cavité, tendue d'une membrane souple comme une peau de tambour (une vraie membrane de stéthoscope!) Le champignon semble étroitement associé à ces insectes qui creusent des galeries, provoquant la « carie blanc-grisâtre de l'aubier », ils facilitent certainement la propagation du mycélium, l'ouverture de la crypte coïncidant avec la maturité des spores.-
16/11/2016Cryptoporus volvatusEcologie DescriptionAnnuel ou bis-annuel, végète toute l'année en saprophyte sur divers conifères moribonds ou morts l'année précédente, surtout Pinus, mais aussi Abies, Larix, Picea, Pinus, Pseudotsuga, Tsuga... Amérique du Nord, Japon, Chine, Asie du Sud-Est.Annuel ou bis-annuel, végète toute l'année en saprophyte sur divers conifères moribonds ou morts l'année précédente, surtout Pinus, mais aussi Abies, Larix, Picea, Pseudotsuga, Tsuga... Amérique du Nord, Japon, Chine, Asie du Sud-Est.-
16/11/2016Cryptoporus volvatusSynonymesPolyporus volvatus Peck 1875 Fomes v. (Peck) Cooke 1885 Scindalma volvatum (Peck) Kuntze 1898 Ungulina volvata (Peck) Pat., 1900Polyporus volvatus Peck 1875 ; Fomes v. (Peck) Cooke 1885 ; Scindalma volvatum (Peck) Kuntze 1898 ; Ungulina volvata (Peck) Pat., 1900-
16/11/2016Cryptoporus volvatusCommentairesNous l'avons toujours trouvé hébergeant des coléoptères xylophages (Scolytinae) dans la crypte, qui semblent se régaler de l'hyménium, à en juger par le vacarme que font leurs mandibules la nuit suivant la récolte et sur les tables d'exposition. Transformée en mangeoire dès que l'ouverture le permet, la résonance semble être très amplifiée par la cavité, tendue d'une membrane souple comme une peau de tambour. Le champignon semble étroitement associé à ces insectes qui creusent des galeries, provoquant la « carie blanc-grisâtre de l'aubier », ils facilitent certainement la propagation du mycélium, l'ouverture de la crypte coïncidant avec la maturité des spores.Nous l'avons toujours trouvé hébergeant des coléoptères xylophages (Scolytinae) dans la crypte, qui semblent se régaler de l'hyménium, à en juger par le vacarme que font leurs mandibules la nuit suivant la récolte et sur les tables d'exposition. Transformée en mangeoire dès que l'ouverture le permet, la résonance semble être très amplifiée par la cavité, tendue d'une membrane souple comme une peau de tambour, une membrane de stéthoscope. Le champignon semble étroitement associé à ces insectes qui creusent des galeries, provoquant la « carie blanc-grisâtre de l'aubier », ils facilitent certainement la propagation du mycélium, l'ouverture de la crypte coïncidant avec la maturité des spores.-
16/11/2016Cryptoporus volvatusChapeau/Dessus DescriptionD'abord noduleuse-globuleuse, puis semblable à un gros marron de 2,5-5 cm de long, 1-3 cm de projection, 1-2,5 cm d'épaisseur. Surface piléique glabre et lisse, brillante-vernissée, crème blanchâtre à grisâtre chez le jeune, devenant jaune-brun à châtain foncé à maturité. D'abord noduleuse-globuleuse, puis semblable à un gros marron de 2,5-5 cm de long, 1-3 cm de projection, 1-2,5 cm d'épaisseur. Surface piléique glabre et lisse, brillante-vernissée, crème blanchâtre à grisâtre chez le jeune, devenant jaune-brun à châtain foncé à maturité.-
16/11/2016Cryptoporus volvatusPores/Dessous DescriptionFace infère plus plane, constituée d'une enveloppe épaisse à consistance de cuir (d'où l'épithète "« volvatus »), crème, enfermant complètement l'hyménium. Hermétiquement close chez le jeune, la cavité se ménage bientôt un orifice plus ou moins circulaire de 3-10 mm de diamètre, à proximité du point d'attache (d'où le nom générique de « Crypte aux pores »), contre l'écorce de l'hôte. Tubes 2-6 mm de long, blancs puis isabelle à gris-brun sale. Pores minuscules, 3-5 au mm, gris-brunâtre.Face infère plus plane, constituée d'une enveloppe épaisse à consistance de cuir (d'où l'épithète "« volvatus »), crème, enfermant complètement l'hyménium. Hermétiquement close chez le jeune, la cavité se ménage bientôt un orifice plus ou moins circulaire de 3-10 mm de diamètre, à proximité du point d'attache (d'où le nom générique de « Crypte aux pores »), contre l'écorce de l'hôte. Tubes 2-6 mm de long, blancs puis isabelle à gris-brun sale. Pores minuscules, 3-5 au mm, gris-brunâtre.-
16/11/2016Cryptoporus volvatusEcologie DescriptionAnnuel ou bis-annuel, végète toute l'année en saprophyte sur divers conifères moribonds ou morts l'année précédente, surtout Pinus, mais aussi Abies, Larix, Picea, Pinus, Pseudotsuga, Tsuga... Amérique du Nord, Japon, Chine, Asie du Sud-Est.Annuel ou bis-annuel, végète toute l'année en saprophyte sur divers conifères moribonds ou morts l'année précédente, surtout Pinus, mais aussi Abies, Larix, Picea, Pinus, Pseudotsuga, Tsuga... Amérique du Nord, Japon, Chine, Asie du Sud-Est.-
15/11/2016Pseudomerulius curtisiiPhoto-Pseudomerulius_curtisii_1988_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Pseudomerulius curtisii, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
15/11/2016Pseudomerulius curtisiiPhoto-Pseudomerulius_curtisii_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Pseudomerulius curtisii, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
15/11/2016Pseudomerulius curtisiiPhoto-Pseudomerulius_curtisii_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Pseudomerulius curtisii, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
15/11/2016Chiua virensCommentaires-Ce tylopile non amer, à sporée rose est remarquable par l'évolution de la couleur du chapeau (vert dans la jeunesse, jaune à brun olivacé en vieillissant), évoquant des espèces différentes pour le néophyte.-
15/11/2016Chiua virensChapeau Description(2,5)4,5-6(8) cm, convexe puis plan, à revêtement verdâtre, de fines squamules vert olive s'aréolant à jaune moutarde ou brun jaune olivacé avec l'âge.(2,5)4,5-6(8) cm, convexe puis plan, à revêtement verdâtre, de fines squamules vert olive s'aréolant à jaune moutarde ou brun jaune olivacé avec l'âge, viscidule seulement par temps humide.-
15/11/2016Chiua virensChair CouleurCrèmeCrème, Jaune-
15/11/2016Chiua virensChair Description-jaune pâle, immuable; odeur et saveur neutre. -
15/11/2016Chiua virensStipe CouleurJaune, VertJaune, Rouge, Vert-
15/11/2016Chiua virensSaveurAmère/PiquanteDouce-
15/11/2016Chiua virensSpores Description-Spores roses en masse, 9,5-14 x 4-6 µm. Cystides 18-27 x 4,5-6,5 µm. -
15/11/2016Chiua virensEcologie HabitatSous feuillusSous feuillus, Sous conifères-
15/11/2016Chiua virensEcologie Description-Chine, Bornéo, Japon en été-automne, isolé ou en petits groupes, à terre, sous Keteleeria en Chine, sous Pinus densiflora mêlés à Castanopsis/Quercus-
15/11/2016Chiua virensChair CouleurBlanc, Crème, RougeCrème-
15/11/2016Chiua virensChair ImmuableNonOui-
15/11/2016Chiua virensPores CouleurJaune, SaumonSaumon-
15/11/2016Chiua virensStipe CouleurJauneJaune, Vert-
15/11/2016Chiua virensStipe Description(2)6-8 x 0,7-1,5 cm(2)6-8 x 0,7-1,5 cm, jaune pâle plus ou moins réticulé de veines olivacées, parfois lavé de rougeâtre par endroits, et de jaune à la base-
15/11/2016Chiua virensChapeau Description-(2,5)4,5-6(8) cm, convexe puis plan, à revêtement verdâtre, de fines squamules vert olive s'aréolant à jaune moutarde ou brun jaune olivacé avec l'âge.-
15/11/2016Chiua virensPores Description-jusqu'à 2 cm de longueur, d'un rose Congo, ventrus bientôt anguleux, libres ou déprimés autour du stipe; pores 1-2 mm ( x 4 mm avec l'âge), concolores aux tubes, circulaires.-
15/11/2016Chiua virensStipe CouleurBlancJaune-
15/11/2016Chiua virensStipe Description-(2)6-8 x 0,7-1,5 cm-
15/11/2016Chiua virensPhoto-Tylopilus_virens_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tylopilus virens, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
14/11/2016Chlorophyllum molybditesSynonymesAgaricus molybdites (G.Mey.) Sacc. 1887 ; Mastocephalus molybdites ( G.Mey.) Kuntze 1891 ; Leucocoprinus molybdites (G.Mey.) Pat. 1899 ; Macrolepiota molybdites ( G.Mey.) Moreno 1995 ; Lepiota morganii Peck 1887 ; Chlorophyllum esculentum Massée 1898 ; Annularia camporum Speg. 1898 ; Agaricus guadelupensis Pat. 1899 Agaricus molybdites (G.Mey.) Sacc. 1887 ; Mastocephalus molybdites ( G.Mey.) Kuntze 1891 ; Leucocoprinus molybdites (G.Mey.) Pat. 1899 ; Macrolepiota molybdites ( G.Mey.) Moreno 1995 ; Lepiota morganii Peck 1887 ; Chlorophyllum esculentum Massee 1898 ; Annularia camporum Speg. 1898 ; Agaricus guadelupensis Pat. 1899 -
14/11/2016Chlorophyllum molybditesCommentairesRare. Remarques : Une seule espèce principale ,exotique ou rarement récoltée dans les serres en Europe. Principal responsable d'intoxication chez les métropolitains vivant en région tropicale (en raison de sa ressemblance avec Macrolepiota rhacodes)Une seule espèce principale, exotique et rarement récoltée dans les serres en Europe. Principal responsable d'intoxication chez les Européens vivant en région tropicale (en raison de sa ressemblance avec Chlorophyllum rhacodes).-
14/11/2016Chlorophyllum molybditesChapeau DescriptionDe 3 jusqu'à 15 cm de diamètre, convexe ou à mamelon calotté, orné de squames plus ou moins velouté, brun sombre sur fond beige, à peine excorié vers l'extérieur. De 3 jusqu'à 15 cm de diamètre, convexe ou à mamelon calotté, orné de squames, plus ou moins velouté, brun sombre sur fond beige, à peine excorié vers l'extérieur. -
14/11/2016Chlorophyllum molybditesChair DescriptionBlanche à plus ou moins rougeâtre. Odeur et saveur, pas de caractères distinctifs.Blanche à plus ou moins rougeâtre. Odeur et saveur sans caractères distinctifs.-
14/11/2016Chlorophyllum molybditesEcologie DescriptionSur pelouse ( Amérique, Océanie, Afrique, Asie, etc...), uniquement en serre en jardins botaniques ou en pots de fleurs en climat tempéré. Remarques : ( voir liste des récoltes )Sur pelouse et dans les parcs ( Amérique, Océanie, Afrique, Asie, etc...), uniquement en serre en jardins botaniques ou en pots de fleurs en climat tempéré. Remarques : ( voir listes de récoltes )-
14/11/2016Tylopilus fumosipesSynonymesCeriomyces fumosipes (Peck) Murrill 1909 ; Porphyrellus fumosipes (Peck) Snell 1945 ; Tylopilus fumosipes var. glabripes Wolfe 1980Ceriomyces fumosipes (Peck) Murrill 1909 ; Porphyrellus fumosipes (Peck) Snell 1945 ; ? Tylopilus sordidus (Frost) A.H. Sm. & Thiers 1968 ; Tylopilus fumosipes var. glabripes Wolfe 1980-
14/11/2016Tylopilus fumosipesPhoto-Tylopilus_fumosipes_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tylopilus fumosipes, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
14/11/2016Boletinellus merulioidesChapeau CouleurBrun, Jaune, Rouge, VertBrun, Jaune, Orange, Vert-
14/11/2016Boletinellus merulioidesPores CouleurJaune, VertGris, Jaune-
14/11/2016Boletinellus merulioidesStipe CouleurBrun, JauneBrun, Jaune, Orange-
14/11/2016Boletinellus merulioidesPhoto-Boletinellus_merulioides_1988_hhn_1.jpgAjout photo type Mixte pour Boletinellus merulioides, Copyright (c) 1988 Hongo, Hériveau & Nagasawa
14/11/2016Boletinellus merulioidesPhotoBoletinellus_merulioides_2001_nhi_1.jpg-Suppression photo : errata graviora
14/11/2016Boletinellus merulioidesCommentairesLa présence d'un sclérote noir associé aux racines de Fraxinus, non retrouvé sous les autres essences, a conduit à rejeter la thèse d'une ecto-mycorrhize au profit d'une association entre le champignon et un insecte aphidien, Meliarhizophagus fraxinifolii parasitant les racines de frêne.La présence d'un sclérote noir associé aux racines de Fraxinus, mais non retrouvé sous les autres essences, a conduit Brundrett & Kendrick (1987) à rejeter la thèse d'une ecto-mycorrhize au profit d'une association entre le champignon et un insecte aphidien, Meliarhizophagus fraxinifolii parasitant les racines de frêne.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesChapeau Descriptionpresque circulaire à réniforme, (5)7-10(15) x 5-7,5(12) cm, convexe, bientôt convexe étalé ou légèrement déprimé avec l'âge. Marge incurvée, involutée chez le jeune, souvent irrégulièrement ondulée à la fin. Surface glabre à subveloutée, sèche et brillante, viscidule par temps humide, brun jaunâtre à brun (parfois un peu olivâtre), avec des zones ou taches brun sombre dans les blessures et au frottement, parfois entièrement brun foncé à brun grisâtre, souvent avec une pruine évanescente.presque circulaire à réniforme, (5)7-10(15) x 5-7,5(12) cm, convexe, bientôt convexe étalé, légèrement déprimé avec l'âge. Marge incurvée, involutée chez le jeune, souvent irrégulièrement ondulée à la fin. Surface glabre à subveloutée, sèche et brillante, viscidule par temps humide, brun jaunâtre à brun (parfois un peu olivâtre), avec des zones ou taches brun sombre dans les blessures et au frottement, parfois entièrement brun foncé à brun grisâtre, souvent avec une pruine évanescente.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesCommentaires-La présence d'un sclérote noir associé aux racines de Fraxinus, non retrouvé sous les autres essences, a conduit à rejeter la thèse d'une ecto-mycorrhize au profit d'une association entre le champignon et un insecte aphidien, Meliarhizophagus fraxinifolii parasitant les racines de frêne.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesEcologie DescriptionCette rare espèce est grégaire ou cespiteuse, de juillet à septembre. Sous frênes et hêtres en Amérique du Nord et en Asie, mais aussi sur sol nu ou herbeux, pelouses, parcs ou vergers, surtout Osmanthus, Fraxinus, Lingustrum, Rhododendron, Euonymus, la présence d'un sclérote noir associé aux racines de Fraxinus, non retrouvé sous les autres essences, a conduit à rejeter la thèse d'une ecto-mycorrhize au profit d'une association entre le champignon et un insecte aphidien, Meliarhizophagus fraxinifoliiCette rare espèce est grégaire ou cespiteuse, de juillet à septembre. Sous frênes et hêtres en Amérique du Nord et en Asie, mais aussi sur sol nu ou herbeux, pelouses, parcs ou vergers, surtout Osmanthus, Fraxinus, Lingustrum, Rhododendron, Euonymus.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesSpores DescriptionSporée brun foncé sur le frais. Spores 7,2-10,8 x 5,1-6,6 µm, largement elliptiques, rarement subglobuleuses, à parois moyennement épaisse, lisses, typiquement avec une grosse goutte huileuse, brun jaunâtre à brun clair in KOH, non amyloïdes mais légèrement dextrinoïdes. Basides 25-32 x 9-10,4 µm, clavées, à 2 et 4 spores, rarement 1 ou 3, hyalines in KOH et Melzer, bouclées à la base. Trame des tubes bilatérale, à médiostrate étroit et strate large et latéral. Pleurocystides comme les cystidioles, peu fréquentes, éparses, subclavées, avec un large mucron, 26-36 x 9-11 µm, hyalines in KOH et Melzer. Marge des tubes fertile, constituée principalement de basides éparses et de basidioles. Boucles présentes dans tous les tissus.Sporée brun foncé sur le frais. Spores 7,2-10,8 x 5,1-6,6 µm, largement elliptiques, rarement subglobuleuses, à paroi moyennement épaisse, lisses, typiquement avec une grosse goutte huileuse, brun jaunâtre à brun clair in KOH, non amyloïdes mais légèrement dextrinoïdes. Basides 25-32 x 9-10,4 µm, clavées, à 2 et 4 spores, rarement 1 ou 3, hyalines in KOH et Melzer, bouclées à la base. Trame des tubes bilatérale, à médiostrate étroit et strate large et latéral. Pleurocystides comme les cystidioles, peu fréquentes, éparses, subclavées, avec un large mucron, 26-36 x 9-11 µm, hyalines in KOH et Melzer. Marge des tubes fertile, constituée principalement de basides éparses et de basidioles. Boucles présentes dans tous les tissus.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesEcologie DescriptionCette rare espèce est grégaire ou cespiteuse, de juillet à septembre. Sous frênes et hêtres en Amérique du Nord et en Asie, mais aussi sur sol nu ou herbeux, pelouses, parcs ou vergers, surtout Osmanthus, Fraxinus, Lingustrum, Rhododendron, Euonymus, la présence d'un sclérote noir associé aux racines de Fraxinus, non retrouvé sous les autres essencesCette rare espèce est grégaire ou cespiteuse, de juillet à septembre. Sous frênes et hêtres en Amérique du Nord et en Asie, mais aussi sur sol nu ou herbeux, pelouses, parcs ou vergers, surtout Osmanthus, Fraxinus, Lingustrum, Rhododendron, Euonymus, la présence d'un sclérote noir associé aux racines de Fraxinus, non retrouvé sous les autres essences, a conduit à rejeter la thèse d'une ecto-mycorrhize au profit d'une association entre le champignon et un insecte aphidien, Meliarhizophagus fraxinifolii-
14/11/2016Boletinellus merulioidesEcologie DescriptionGrégaire ou cespiteux de juillet à septembre. Sous frênes et hêtres en Amérique du Nord et en Asie, mais aussi sur sol nu ou herbeux, pelouses, parcs ou vergers, surtout Osmanthus, Fraxinus, Lingustrum, Rhododendron, Euonymus, Cette rare espèce est grégaire ou cespiteuse, de juillet à septembre. Sous frênes et hêtres en Amérique du Nord et en Asie, mais aussi sur sol nu ou herbeux, pelouses, parcs ou vergers, surtout Osmanthus, Fraxinus, Lingustrum, Rhododendron, Euonymus, la présence d'un sclérote noir associé aux racines de Fraxinus, non retrouvé sous les autres essences-
14/11/2016Boletinellus merulioidesSpores DescriptionSporée brun foncé sur le frais. Spores 7,2-10,8 x 5,1-6,6 µm, largement elliptiques, rarement subglobuleuses, à parois moyennement épaisse, lisses, typiquement avec une grosse goutte huileuse, brun jaunâtre à brun clair in KOH, non amyloïdes mais légèrement dextrinoïdes.Sporée brun foncé sur le frais. Spores 7,2-10,8 x 5,1-6,6 µm, largement elliptiques, rarement subglobuleuses, à parois moyennement épaisse, lisses, typiquement avec une grosse goutte huileuse, brun jaunâtre à brun clair in KOH, non amyloïdes mais légèrement dextrinoïdes. Basides 25-32 x 9-10,4 µm, clavées, à 2 et 4 spores, rarement 1 ou 3, hyalines in KOH et Melzer, bouclées à la base. Trame des tubes bilatérale, à médiostrate étroit et strate large et latéral. Pleurocystides comme les cystidioles, peu fréquentes, éparses, subclavées, avec un large mucron, 26-36 x 9-11 µm, hyalines in KOH et Melzer. Marge des tubes fertile, constituée principalement de basides éparses et de basidioles. Boucles présentes dans tous les tissus.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesEcologie DescriptionSous frênes.Grégaire ou cespiteux de juillet à septembre. Sous frênes et hêtres en Amérique du Nord et en Asie, mais aussi sur sol nu ou herbeux, pelouses, parcs ou vergers, surtout Osmanthus, Fraxinus, Lingustrum, Rhododendron, Euonymus, -
14/11/2016Boletinellus merulioidesSynonymesGyrodon merulioides (Schwein.) Singer 1938 ; Paxillus porosus Berk. in Lea 1849 ; Boletinus porosus (Berk. in Lea) Peck 1889Gyrodon merulioides (Schwein.) Singer 1938 ; Paxillus porosus Berk. in Lea 1849 ; Boletinus porosus (Berk. in Lea) Peck 1889 ; Boletus lateralis Bundy-
14/11/2016Boletinellus merulioidesChapeau ImmuableOuiOui ou Non-
14/11/2016Boletinellus merulioidesChapeau Descriptionpresque circulaire à réniforme, 10 x 7,5 cm, convexe, puis plan-convexe ou légèrement déprimé avec l'âge. Marge incurvée, involutée chez le jeune, souvent irrégulièrement ondulée à la fin. Surface glabre à subveloutée, sèche et brillante, viscidule par temps humide, brun jaunâtre à brun (parfois un peu olivâtre), avec des zones ou taches brun sombre dans les blessures et au frottement, parfois entièrement brun foncé à brun grisâtre, souvent avec une pruine évanescente.presque circulaire à réniforme, (5)7-10(15) x 5-7,5(12) cm, convexe, bientôt convexe étalé ou légèrement déprimé avec l'âge. Marge incurvée, involutée chez le jeune, souvent irrégulièrement ondulée à la fin. Surface glabre à subveloutée, sèche et brillante, viscidule par temps humide, brun jaunâtre à brun (parfois un peu olivâtre), avec des zones ou taches brun sombre dans les blessures et au frottement, parfois entièrement brun foncé à brun grisâtre, souvent avec une pruine évanescente.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesStipe SurfaceSublisseRéticulé, Sublisse-
14/11/2016Boletinellus merulioidesStipe Descriptioncourt, jusqu'à 2,5 x 0,7 cm, souvent excentrique, voire latéral, rarement central, souvent conné à la base, subcylindracé ou atténué à la base, généralement élargi au sommet, souvent courbé vers l'apex ou la base; surface réticulée au sommet en raison des terminaisons des tubes décurrents, jaune à jaune-orangé au sommet, ailleurs concolore au chapeau, glabre, velouté à la base.court, jusqu'à 2,5 x 0,7 cm, souvent excentrique, voire latéral, rarement central, souvent conné à la base, subcylindracé ou atténué à la base, généralement élargi au sommet, souvent courbé vers l'apex ou la base; surface réticulée au sommet en raison des terminaisons des tubes décurrents avortés, jaune à jaune-orangé au sommet, ailleurs concolore au chapeau, glabre, velouté à la base.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesSpores Description-Sporée brun foncé sur le frais. Spores 7,2-10,8 x 5,1-6,6 µm, largement elliptiques, rarement subglobuleuses, à parois moyennement épaisse, lisses, typiquement avec une grosse goutte huileuse, brun jaunâtre à brun clair in KOH, non amyloïdes mais légèrement dextrinoïdes.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesChair ImmuableOui ou NonNon-
14/11/2016Boletinellus merulioidesChair Descriptionépaisse, jusqu'à 2 cm au centre du chapeau, jaune pâle à jaune clair ou légèrement teintée de blanc orangé à rouge grisâtre chez les jeunes, parfois teintée de jaune olivacé au dessus des tubesépaisse, jusqu'à 2 cm au centre du chapeau, jaune pâle à jaune clair ou légèrement teintée de blanc orangé à rouge grisâtre chez les jeunes, parfois teintée de jaune olivacé au dessus des tubes avec l'âge, bleuissant faiblement à la coupe, puis lentement brunissante; teintée d'orangé grisâtre terne à rouge grisâtre dans le stipe chez les jeunes, brunissante avec l'âge, la base tachée de rougeâtre foncé à brun noirâtre, bleuissant à l'apex comme dans le chapeau. Odeur faible, insipide.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesChair Description-épaisse, jusqu'à 2 cm au centre du chapeau, jaune pâle à jaune clair ou légèrement teintée de blanc orangé à rouge grisâtre chez les jeunes, parfois teintée de jaune olivacé au dessus des tubes-
14/11/2016Boletinellus merulioidesPores DescriptionHyménophore poroïde-lamellé, longuement décurrent sur le stipe, avec des cloisons radiales de tubes bien développées, jusqu'à 7 mm de hauteur, 1-2 mm d'intervalle entre les cloisons radiales, immuables ou le plus souvent faiblement bleuissants au frottement. Pores de grande taille, angulaires, subdivisés en pores plus petits, de taille variable, 0,5-1,5(2) x 0,5-11,5 mm, jaunes puis jaune grisâtre, teinté de brun pâle vers le stipe avec l'âge, se tachant de brun ou de noir dans les blessures.Hyménophore tubulé-lamellé (tubes reliés à des veines radiales), longuement décurrent sur le stipe, avec des cloisons radiales de tubes bien développées, jusqu'à 7 mm de hauteur, 1-2 mm d'intervalle entre les cloisons radiales, immuables ou le plus souvent faiblement bleuissants au frottement. Pores de grande taille, angulaires, subdivisés en pores plus petits, de taille variable, 0,5-1,5(2) x 0,5-11,5 mm, jaunes puis jaune grisâtre, teinté de brun pâle vers le stipe avec l'âge, se tachant de brun ou de noir dans les blessures.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesChapeau Descriptionpresque circulaire à réniforme, 10 x 7,5 cm, convexe, puis plan-convexe ou légèrement déprimé avec l'âge. Marge incurvée, involutée chez le jeune, souvent irrégulièrement ondulée à la fin. Surface glabre à subveloutée, sèche et brillante, viscidule par temps humide, brun jaunâtre à brun, avec des zones ou taches brun sombre dans les blessures et au frottement, parfois entièrement brun foncé à brun grisâtre, souvent avec une pruine évanescente.presque circulaire à réniforme, 10 x 7,5 cm, convexe, puis plan-convexe ou légèrement déprimé avec l'âge. Marge incurvée, involutée chez le jeune, souvent irrégulièrement ondulée à la fin. Surface glabre à subveloutée, sèche et brillante, viscidule par temps humide, brun jaunâtre à brun (parfois un peu olivâtre), avec des zones ou taches brun sombre dans les blessures et au frottement, parfois entièrement brun foncé à brun grisâtre, souvent avec une pruine évanescente.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesPores DescriptionHyménophore poroïde-lamellé, longuement décurrents sur le stipe, avec des cloisons radiales de tubes bien développées, jusqu'à 7 mm de hauteur, 1-2 mm d'intervalle entre les cloisons radiales, immuables ou le plus souvent faiblement bleuissants au frottement. Pores de grande taille, angulaires, subdivisés en pores plus petits de taille variable, 0,5-1,5(2) x 0,5-11,5 mm, jaunes puis jaune grisâtre, teinté de brun pâle vers le stipe avec l'âge,Hyménophore poroïde-lamellé, longuement décurrent sur le stipe, avec des cloisons radiales de tubes bien développées, jusqu'à 7 mm de hauteur, 1-2 mm d'intervalle entre les cloisons radiales, immuables ou le plus souvent faiblement bleuissants au frottement. Pores de grande taille, angulaires, subdivisés en pores plus petits, de taille variable, 0,5-1,5(2) x 0,5-11,5 mm, jaunes puis jaune grisâtre, teinté de brun pâle vers le stipe avec l'âge, se tachant de brun ou de noir dans les blessures.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesStipe Description-court, jusqu'à 2,5 x 0,7 cm, souvent excentrique, voire latéral, rarement central, souvent conné à la base, subcylindracé ou atténué à la base, généralement élargi au sommet, souvent courbé vers l'apex ou la base; surface réticulée au sommet en raison des terminaisons des tubes décurrents, jaune à jaune-orangé au sommet, ailleurs concolore au chapeau, glabre, velouté à la base.-
14/11/2016Boletinellus merulioidesPores Descriptionimmuable ou devenant lentement bleu-vertHyménophore poroïde-lamellé, longuement décurrents sur le stipe, avec des cloisons radiales de tubes bien développées, jusqu'à 7 mm de hauteur, 1-2 mm d'intervalle entre les cloisons radiales, immuables ou le plus souvent faiblement bleuissants au frottement. Pores de grande taille, angulaires, subdivisés en pores plus petits de taille variable, 0,5-1,5(2) x 0,5-11,5 mm, jaunes puis jaune grisâtre, teinté de brun pâle vers le stipe avec l'âge,-
13/11/2016Boletinellus merulioidesPhoto-Boletinellus_merulioides_2001_nhi_1.jpgAjout photo type Mixte pour Boletinellus merulioides, Copyright (c) 2001 Nagasawa, Hongo & Izawa
13/11/2016Boletinellus merulioidesSynonymesGyrodon merulioides (Schwein.) Singer 1938 ; Paxillus porosus Berk. in Lea 1849 ; Boletinus porosus (Berk. in Lea) Peck 1889Gyrodon merulioides (Schwein.) Singer 1938 ; Paxillus porosus Berk. in Lea 1849 ; Boletinus porosus (Berk. in Lea) Peck 1889-
13/11/2016Boletinellus merulioidesChapeau Descriptionconvexe, puis étalépresque circulaire à réniforme, 10 x 7,5 cm, convexe, puis plan-convexe ou légèrement déprimé avec l'âge. Marge incurvée, involutée chez le jeune, souvent irrégulièrement ondulée à la fin. Surface glabre à subveloutée, sèche et brillante, viscidule par temps humide, brun jaunâtre à brun, avec des zones ou taches brun sombre dans les blessures et au frottement, parfois entièrement brun foncé à brun grisâtre, souvent avec une pruine évanescente.-
13/11/2016Boletinellus merulioidesSynonymesGyrodon merulioidesGyrodon merulioides (Schwein.) Singer 1938 ; Paxillus porosus Berk. in Lea 1849 ; Boletinus porosus (Berk. in Lea) Peck 1889-
13/11/2016Boletinellus merulioidesRéférencesWilkipédiaIOH p. 298 ; BSMF 113 Atlas pl. 326 (Pascal Hériveau 1997) ; RTMI 39 p. 3-6 (2001) ; Wilkipédia-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensStipe Description7-15 x (1)1,5-2(3) cm, clavé à la base, farci, revêtement blanc à grisâtre pâle.7-15 x (1)1,5-2(3) cm, clavé à la base, farci, revêtement blanc à grisâtre pâle, réticulé scabreux.-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensStipe Description7-15 x (1)1,5(2) cm7-15 x (1)1,5-2(3) cm, clavé à la base, farci, revêtement blanc à grisâtre pâle.-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensChapeau CouleurBrunBrun, Gris, Vert-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensChapeau VisqueuxNonOui ou Non-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensChapeau Description(3)5-13(15) cm, hémisphérique puis convexe, enfin plan, onduleux à faiblement déprimé, à cuticule un peu visqueuse par temps humide, gris-brun à brun sombre olivacé. (3)5-13(15) cm, hémisphérique puis convexe, enfin plan, onduleux à faiblement déprimé, à cuticule un peu visqueuse par temps humide, gris-brun à brun sombre olivacé, tomenteux, puis glabre, plus pâle vers la marge. -
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensStipe Description-7-15 x (1)1,5(2) cm-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensEcologie DescriptionBois mêlés de Pinus densiflora/Quercus serrata, ou de feuillus Quercus/Castanopsis. Japon, Chine, Singapour, Malaisie, Bornéoisolé ou en troupes dans les bois mêlés de Pinus densiflora/Quercus serrata, ou de feuillus Quercus/Castanopsis. Japon, Chine, Singapour, Malaisie, Bornéo-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensChapeau Description5-13 cm(3)5-13(15) cm, hémisphérique puis convexe, enfin plan, onduleux à faiblement déprimé, à cuticule un peu visqueuse par temps humide, gris-brun à brun sombre olivacé. -
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensChapeau Description-5-13 cm-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensEcologie DescriptionJapon, Chine, Singapour, Malaisie, BornéoBois mêlés de Pinus densiflora/Quercus serrata, ou de feuillus Quercus/Castanopsis. Japon, Chine, Singapour, Malaisie, Bornéo-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensSynonymesBoletus albellus Massee 1909 non Peck ; Boletus valens Corner 1972 ; Boletus valens var. macrosporus Corner 1972Boletus albellus Massee 1909 non Peck ; Boletus valens Corner 1972 ; Boletus valens var. macrosporus Corner 1972 ; Pseudoaustroboletus valens Yan C. Li et Zhu L. Yang 2014-
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensRéférencesIH1 569RTMI Reports of the Tottori Mycological Institute 14: 87 (1976) ; IH1 569 -
13/11/2016Pseudoaustroboletus valensEcologie Description-Japon, Chine, Singapour, Malaisie, Bornéo-
13/11/2016Leucoinocybe taniaeSynonymesPseudoomphalina flavoaurantia Contu (2003) ; Pseudoomphalina flavoaurantia Contu (2003) ; -
13/11/2016Leucoinocybe taniaeRéférencesSydowia 63(1) p. 85-104 Sydowia 63 (1) p. 85-104-
13/11/2016Clitocybe vibecinaAuteur(Fries : Fries) Qélet 1872(Fries : Fries) Quélet 1872-
13/11/2016Clitocybe vibecinaSynonymesOmphalia vibecina (Fries) Quélet 1886 ; Pseudolyophyllum vibecinum (Fr.) Raithelh. 1979 ; Clitocybe langei Singer 1942 ; C. pausiaca ss. D. Lamoure, Moser pp.Omphalia vibecina (Fries) Quélet 1886 ; Pseudolyophyllum vibecinum (Fr.) Raithelh. 1979 ; Clitocybe langei Singer 1942 ; C. pausiaca ss. D. Lamoure, Moser pp.-
13/11/2016Clitocybe vibecinaAuteur(Fries : Fr.) Qélet 1872(Fries : Fries) Qélet 1872-
13/11/2016Clitocybe vibecinaSynonymes-Omphalia vibecina (Fries) Quélet 1886 ; Pseudolyophyllum vibecinum (Fr.) Raithelh. 1979 ; Clitocybe langei Singer 1942 ; C. pausiaca ss. D. Lamoure, Moser pp.-
13/11/2016Clitocybe vibecinaRéférencesCD 306 ; Bon p. 141 ; Eyssartier et Roux p. 568DM Hors-série 4 p. 81 ; Cetto 1044 ; CD 306 ; Bon p. 141 ; Eyssartier et Roux p. 568-
13/11/2016Clitocybe vibecinaCommentaires-la pruine abondante évoque Clitocybe ditopa. La var. langei, un peu plus brunâtre, à marge lisse et stipe ponctué de blanchâtre, est plus précoce, voire printanière.-
13/11/2016Clitocybe vibecinaChapeau Description-3-6 cm, vite ombiliqué ou déprimé, à marge un peu striée; revêtement gris brun, puis gris souris pâle ou sale à blanchâtre en séchant.-
13/11/2016Clitocybe vibecinaLames Description-arquées à plus ou moins décurrentes, moyennement serrées, subconcolores ou plus pâles.-
13/11/2016Clitocybe vibecinaChair Description-Odeur farineuse à la coupe, puis rance.-
13/11/2016Clitocybe vibecinaStipe Description-3-7(8) x 0,2-0,5 cm, concolore, lisse (sauf var. floccipes, à squamules blanchâtres).-
13/11/2016Clitocybe vibecinaOdeurFarineFarine, Rance-
13/11/2016Clitocybe vibecinaSpores Description-6-7(8) x 3-4(4,5) µm, ovo-ellipsoïdes ou étirées à subfusiformes. Suprapellis plus ou moins diverticulé ou confus. -
13/11/2016Clitocybe vibecinaEcologie Description-Conifères mêlés, parfois hygrophiles, tardif.-
13/11/2016Clitocybe vibecinaPhoto-Clitocybe_vibecina_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Clitocybe vibecina, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
13/11/2016Clitocybe cerussataCommentairesC'est le type le plus vigoureux d'une série de Clitocybes blancs dont plusieurs contiennent de la muscarine (intoxications non mortelles mais désagréables). Risque de confusion avec Clitocybe connata, espèce plus grande à lames décurrentes, également en touffes sous épicéas.C'est le type le plus vigoureux d'une série de Clitocybes blancs dont plusieurs contiennent de la muscarine (intoxications non mortelles mais désagréables). Risque de confusion avec Lyophyllum connatum, espèce plus grande à lames décurrentes, en touffes également sous épicéas.-
13/11/2016Clitocybe cerussataCommentairesC'est le type le plus vigoureux d'une série de Clitocybes blancs dont plusieurs contiennent de la muscarine (intoxications non mortelles mais désagréable).C'est le type le plus vigoureux d'une série de Clitocybes blancs dont plusieurs contiennent de la muscarine (intoxications non mortelles mais désagréables). Risque de confusion avec Clitocybe connata, espèce plus grande à lames décurrentes, également en touffes sous épicéas.-
13/11/2016Clitocybe cerussataSpores Description-5-6(7) x 3-4(5) µm, blanches en masse, non cyanophiles. Epicutis banal, à hyphes noduleuses ou fourchues, pas toujours évidentes.-
13/11/2016Clitocybe cerussataEcologie Descriptionen cercles souvent fournis, mais peu étendus, dans les bois de hêtres ou de conifères.en cercles souvent fournis, mais peu étendus, dans les bois de conifères, surtout Picea.-
13/11/2016Clitocybe cerussataChapeau Description(5)6-8(9) cm, glabre, humide, d'un beau blanc mat, lustré à la marge, pruineux au centre, typiquement mamelonné ou un peu turbiné au début, puis longtemps convexe, (5)6-8(9) cm, glabre, humide, d'un beau blanc mat, presque pur, lustré à la marge, pruineux-glacé au centre, rarement avec des taches imbues peu contrastées, typiquement mamelonné ou un peu turbiné au début, puis longtemps convexe. -
13/11/2016Clitocybe cerussataLames Description-arquées ou pentues, serrées, blanches ou crème.-
13/11/2016Clitocybe cerussataChair Descriptionépaisse et molle, blanche, à odeur aromatique un peu pharmaceutique.épaisse et molle, blanche, à odeur farino-spermatique ou un peu aromatique, mais un peu pharmaceutique ou terreuse.-
13/11/2016Clitocybe cerussataStipe Descriptionfibro-spongieux, tenace, blanc, renflé et cotonneux à la base.5-7 x 1-1,5(2) cm, clavé ou fusiforme à subventru, fibro-spongieux, tenace, presque glabre, blanc, renflé et cotonneux à la base.-
13/11/2016Clitocybe cerussataOdeurFarineFarine, Terre-
13/11/2016Clitocybe cerussataRéférencesBecker p. 153 ; CD 294 ; Eyssartier et Roux p. 552Becker p. 153 ; DM Hors-série p. 59 ; CD 294 ; Eyssartier et Roux p. 552-
13/11/2016Clitocybe cerussataChapeau Description5-8 cm, glabre, humide, d'un beau blanc mat, lustré à la marge, pruineux au centre.(5)6-8(9) cm, glabre, humide, d'un beau blanc mat, lustré à la marge, pruineux au centre, typiquement mamelonné ou un peu turbiné au début, puis longtemps convexe, -
13/11/2016Clitocybe cerussataEcologie Description-en cercles souvent fournis, mais peu étendus, dans les bois de hêtres ou de conifères.-
13/11/2016Clitocybe cerussataRéférencesCD 294 ; Eyssartier et Roux p. 552Becker p. 153 ; CD 294 ; Eyssartier et Roux p. 552-
13/11/2016Clitocybe cerussataChair Description-épaisse et molle, blanche, à odeur aromatique un peu pharmaceutique.-
13/11/2016Clitocybe cerussataChapeau Description-5-8 cm, glabre, humide, d'un beau blanc mat, lustré à la marge, pruineux au centre.-
13/11/2016Clitocybe cerussataStipe Description-fibro-spongieux, tenace, blanc, renflé et cotonneux à la base.-
13/11/2016Clitocybe cerussataCommentaires-C'est le type le plus vigoureux d'une série de Clitocybes blancs dont plusieurs contiennent de la muscarine (intoxications non mortelles mais désagréable).-
13/11/2016Clitocybe cerussataNoms françaisClitocybe céruséClitocybe cérusé ; Clitocybe couleur de céruse-
13/11/2016Clitocybe phyllophilaRéférencesCD 293 ; Bon p. 137 ; DM Hors-série 4 p. 57 ; Eyssartier et Roux p. 40, 552, 618CD 293 ; Bon p. 137 ; BK 3 176 ; Cetto 1042 ; DM Hors-série 4 p. 57 ; Eyssartier et Roux p. 40, 552, 618-
13/11/2016Clitocybe phyllophilaCommentaires-il existe de nombreuses formes ou variétés, à saveur amère ou poivrée (amara, piperata), plus robuste ou cespiteuse et à saveur anisée (ornamentalis), plus grêle et ochracé à odeur de fraise (tenuis), sosie du nébuleux (pseudonebularis), etc.-
13/11/2016Clitocybe phyllophilaSpores Description4-5(5,5) x (3)3,5-4 µm, pruniformes. Suprapellis confus, à hyphes serrées subdiverticulées ou noduleuses, parfois un peu congophobes ou réfringentes. Médiopellis plus congophile, 4-5(5,5) x (3)3,5-4 µm, pruniformes. Suprapellis confus, à hyphes serrées subdiverticulées ou noduleuses, parfois un peu congophobes ou réfringentes. Médiopellis plus congophile et plus ou moins aérifère. -
13/11/2016Clitocybe phyllophilaEcologie Description-sous feuillus divers, souvent Fagus (hêtres).-
13/11/2016Clitocybe phyllophilaSynonymesOmphalia phyllophila (Persoon) Quélet 1886 ; Lepista phyllophila (Pers.) Harmaja 1976Omphalia phyllophila (Persoon) Quélet 1886 ; Lepista phyllophila (Pers.) Harmaja 1976 ; Clitocybe phyllophila f. candicans ; Clitocybe phyllophila f. difformis ; Clitocybe phyllophila f. sericea ; Clitocybe phyllophila var. amara ; Clitocybe phyllophila var. fusispora ; Clitocybe phyllophila var. ornamentalis ; Clitocybe phyllophila var. pseudonebularis ; Clitocybe phyllophila var. tenuis-
13/11/2016Clitocybe phyllophilaSpores Description4-5.5 x 3-4 µm4-5(5,5) x (3)3,5-4 µm, pruniformes. Suprapellis confus, à hyphes serrées subdiverticulées ou noduleuses, parfois un peu congophobes ou réfringentes. Médiopellis plus congophile, -
13/11/2016Clitocybe phyllophilaSynonymes-Omphalia phyllophila (Persoon) Quélet 1886 ; Lepista phyllophila (Pers.) Harmaja 1976-
13/11/2016Clitocybe phyllophilaRéférencesCD 293 ; Bon p. 137 ; Eyssartier et Roux p. 40, 552, 618CD 293 ; Bon p. 137 ; DM Hors-série 4 p. 57 ; Eyssartier et Roux p. 40, 552, 618-
13/11/2016Clitocybe phyllophilaChapeau Description-6-10 cm, plan convexe, à mamelon bas ou vite déprimé. Revêtement givré, zoné de taches imbues beiges à ochracées, plus ou moins craquelé à la fin.-
13/11/2016Clitocybe phyllophilaLames Description-subadnées ou un peu pentues, serrées, blanches à reflets crème ou à peine rosâtres avec l'âge.-
13/11/2016Clitocybe phyllophilaChair Description-subconcolore en surface, à odeur un peu farineuse ou aromatique, puis écœurante et plus ou moins terreuse. -
13/11/2016Clitocybe phyllophilaStipe Description-8-10 x 0,5-1,5 cm, subégal ou un peu fusiforme, blanc à plus ou moins ochracé ou roussâtre à partir du bas.-
12/11/2016Clitocybe phyllophilaPhoto-Clitocybe_phyllophila_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Clitocybe phyllophila, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
12/11/2016Clitocybe subspadiceaCommentaires-Espèce plus ou moins clitocyboïde à aspect de Pseudolyophyllum, classée dans le genre Gerronema pour sa trame bilatérale et l'absence de pigment pariétal. Parfois considérée comme variété de Clitocybe umbilicata avec un chapeau brun roux à gris fauvâtre, ou beige crème sale en séchant, des lames gris jaunâtre pâle, sous feuillus calcicoles ou chênes verts.-
12/11/2016Clitocybe subspadiceaPhoto-Gerronema_subspadiceum_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Gerronema subspadiceum, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
12/11/2016Clitocybe umbilicataRéférencesDM Hors-série 4 p. 138 ; Cetto 2762 ; CD 309DM Hors-série 4 p. 138 ; Cetto 2762 ; CD 309 ; BK 3 178 (var. subspadicea) ; Cetto 2381 (var. subspadicea)-
12/11/2016Clitocybe umbilicataCommentairesEspèce plus ou moins clitocyboïde à aspect de Pseudolyophyllum, classée souvent dans le genre Gerronema pour sa trame bilatérale et l'absence de pigment pariétal.Espèce plus ou moins clitocyboïde à aspect de Pseudolyophyllum, classée souvent dans le genre Gerronema pour sa trame bilatérale et l'absence de pigment pariétal. La variété subspadicea a un chapeau brun roux à gris fauvâtre, ou beige crème sale en séchant, des lames gris jaunâtre pâle, sous feuillus calcicoles ou chênes verts.-
12/11/2016Clitocybe umbilicataLames Description-décurrentes, assez serrées, concolores ou un peu blanchâtres ver le stipe.-
12/11/2016Clitocybe umbilicataChair Description-subconcolore, plus ou moins odorante, fongique, parfois de céleri, tardivement vaguement nitreuse.-
12/11/2016Clitocybe umbilicataStipe Description-5-7(10) x 0,5-1 cm, vite creux, élastique, subconcolore ou soyeux de blanchâtre par endroits ou sous les lames.-
12/11/2016Clitocybe umbilicataOdeur-Nitreuse-
12/11/2016Clitocybe umbilicataSpores Description-(5)6-7,5(8) x 3-4,5(5) µm, elliptiques, non cyanophiles. Hyphes suprapiléiques radiales, couchées, à pigment brun, intracellulaire pratiquement strict.-
12/11/2016Clitocybe umbilicataEcologie DescriptionSous conifères, la variété subspadicea de Lange vient sous feuillus.à terre ou sous conifères, plutôt planitiaire ou thermophile (récoltes méridionales à senteur de céleri), mais la variété subspadicea de Lange vient sous feuillus.-
12/11/2016Clitocybe umbilicataAuteur(Sch.) Kummer 1871(Schaeff.) P. Kumm. 1871-
12/11/2016Clitocybe umbilicataSynonymesGerronema umbilicataGerronema umbilicatum (Bull. ex Fr.) Singer ; ? Clitocybe umbilicata var. subspadicea J.E. Lange ; Omphalia umbilicata (Schaeff.) Gillet 1876 ; Omphalina umbilicata (Schaeffer) Quélet 1886 ; Pseudolyophyllum umbilicatum (Schaeff.) Raithelh. 1977 ; ? Clitocybe subspadicea (J.E. Lange) Bon & Chevassut 1973 ; ? Gerronema subspadiceum (J.E. Lange) Bon 1996-
12/11/2016Clitocybe umbilicataRéférencesCD 309DM Hors-série 4 p. 138 ; Cetto 2762 ; CD 309-
12/11/2016Clitocybe umbilicataCommentairesSous conifères.Espèce plus ou moins clitocyboïde à aspect de Pseudolyophyllum, classée souvent dans le genre Gerronema pour sa trame bilatérale et l'absence de pigment pariétal.-
12/11/2016Clitocybe umbilicataChapeau CouleurBrun, CrèmeBrun, Crème, Gris-
12/11/2016Clitocybe umbilicataChapeau Description-(4)5-7(9) cm, profondément ombiliqué, glabre, hygrophane, d'un gris brun sombre, fuligineux à olivâtre, puis beige grisâtre pâle en séchant.-
12/11/2016Clitocybe umbilicataEcologie Description-Sous conifères, la variété subspadicea de Lange vient sous feuillus.-
11/11/2016Tricholoma pardinumSynonymesTricholoma pardalotum Herink & Kotl. 1967 ; T. tigrinum (Schaeff.) Quél. (illeg.)Tricholoma pardalotum Herink & Kotl. 1967 ; T. tigrinum (Schaeff.)Quél. (illeg.)-
11/11/2016Tricholoma pardinumRéférencesDM Hors-série 2 p. 52-53 ; BK 3 426 ; Bon p. 153 ; CD 399 ; Cetto 138 ; Marchand 41 ; Galli p. 89 ; FE 3 p. 441 ; Eyssartier et Roux p. 522DM Hors-série 2 p. 52-53 ; BK 3 426 ; Bon p. 153 ; CD 399 ; Cetto 138 ; Marchand 41 FMDS 119 p. 1 ; Galli p. 89 ; FE 3 p. 441 ; Eyssartier et Roux p. 522-
11/11/2016Tricholoma pardinumCommentairesLa var. filamentosum, fibrillo-soyeuse, est mortelle.La var. filamentosum Alessio, non squamuleuse, mais fibrillo-soyeuse, est mortelle.-
11/11/2016Tricholoma pardinumSaveurFarineDouce, Farine-
11/11/2016Tricholoma pardinumOdeurFarine, HerbeFarine, Herbe, Sperme, Terre-
11/11/2016Tricholoma pardinumSpores Description-(8)9-11(12) x 5,5-7(8) µm, elliptiques, à paroi vers 0,5 µm. Basides jusqu'à 40(45) x 12(15) µm, plus ou moins ventrues, 4(2)-spores. Poils marginaux épars, basidioloïdes ou difformes. Epicutis à hyphes banales, plus ou moins couchées et fasciculées dans les squames, à extrémités libres x (3)4-6(8) µm, subégales; pigment mixte, plus fortement membranaire incrustant vers le subcutis.-
11/11/2016Tricholoma pardinumEcologie Description-Sapinières de montagne à collinéen, ou bois mêlés plutôt calcicole.-
11/11/2016Tricholoma pardinumAuteurQuélet (Pers.) Quélet 1873-
11/11/2016Tricholoma pardinumSynonymespardolatumTricholoma pardalotum Herink & Kotl. 1967 ; T. tigrinum (Schaeff.) Quél. (illeg.)-
11/11/2016Tricholoma pardinumRéférencesBK 3 426 ; Bon p. 153 ; CD 399 ; Cetto 138 ; Marchand 41 ; Galli p. 89 ; FE 3 p. 441 ; Eyssartier et Roux p. 522DM Hors-série 2 p. 52-53 ; BK 3 426 ; Bon p. 153 ; CD 399 ; Cetto 138 ; Marchand 41 ; Galli p. 89 ; FE 3 p. 441 ; Eyssartier et Roux p. 522-
11/11/2016Tricholoma pardinumChapeau Description-(6)8-15(20) cm, convexe, charnu, mamelonné, trapézoïdal (en coupe), à revêtement squamuleux, écailles concentriques et souvent trapézoïdales bistre grisâtre à noirâtre contrastant bien avec le fond plus ou moins ochracé, le disque sublisse ou moins diffracté, la marge plus grisâtre pâle ou à reflets argentés.-
11/11/2016Tricholoma pardinumChair Description-blanc, à peine grise à un peu roussissante dans le stipe, odeur farineuse à spermatique, faible puis vite nauséeuse, vireuse, à la fin un peu terreuse. Saveur douce. Fluorescente en lumière de Wood, Tl-4 violet lilacin.-
11/11/2016Tricholoma pardinumLames Description-assez serrées, molles, d'un blanc sale un peu glauque (caractéristique), parfois à reflets verdoyants, d'aspect gras et humide, voire larmoyantes.-
11/11/2016Tricholoma pardinumStipe Description-6-10(15) x 1,5-3 cm, fusiforme à plus ou moins ventru ou clavé, fibrilleux ou velouté, blanchâtre terne à légèrement brun rosâtre vers la base.-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisCommentairesOn a distingué nombres de formes et variétés selon la coloration, le port plus ou moins gracile et l'habitat plus sylvatique : var. robustus, v. donadinii, v. vitellinus, fo. pallidus...On a distingué nombres de formes et variétés selon la coloration, le port plus ou moins gracile et l'habitat plus sylvatique : var. robustus, v. donadinii, v. vitulinus, fo. pallidus...-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisAuteur(Pers. : Fr.) Bon 1985(Schaeff.) Bon 1985-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisSynonymesHygrocybe pratensisHygrocybe pratensis (Schaeff.) Murrill, Mycologia 6 (1): 2 (1914)-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisRéférencesBK 3 76 ; CD 171 ; Bon p. 103 ; Eyssartier et Roux p. 474DM 14(56) p. 9-12 Bon, M. 1984. Le genre Cuphophyllus (Donk) st. nov. ; DM Hors-Série 1 p. 25 ; BK 3 76 ; CD 171 ; Bon p. 103 ; Eyssartier et Roux p. 474-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisCommentaires-On a distingué nombres de formes et variétés selon la coloration, le port plus ou moins gracile et l'habitat plus sylvatique : var. robustus, v. donadinii, v. vitellinus, fo. pallidus...-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisChapeau Description-charnu, 4-7 cm, souvent d'abord fortement mamelonné, puis plus ou moins déprimé, à marge lisse, enroulée puis étalée, flexueuse, cuticule de couleur orangé cassé, un peu pâlissante en séchant.-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisChair Description-pâle, inodore, de saveur douce, agréable (comestible réputé).-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisLames Description-décurrentes, épaisses, larges, interveinées, subconcolores ou plus pâle.-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisStipe Description-5-7(10) x 0,8-1(1,5) cm, subconcolore ou plus pâle, glabre ou fibrillo-soyeux. -
06/11/2016Cuphophyllus pratensisSpores Description-5,5-7 x 4-5 µm, largement elliptiques ou ovoïdes à pruniformes. Epicutis subtrichodermique, à hyphes enchevêtrées, x 3,5(10) µm, subégales.-
06/11/2016Cuphophyllus pratensisEcologie Description-Très commun dans les pelouses ou prés-bois. -
06/11/2016Russula heliosChapeau Descriptionjusqu'à 7-10 cm, moyennement charnu, assez ferme puis fragile, de fortement convexe à plan, à la fin déprimé avec la marge obtuse, arrondie, d'abord unie, puis cannelée à tuberculeuse sur une longueur de 5 à 8 mm, de couleur citrine ou jaune de chrome doré, comme les formes jaunes de Russula aurata, uniforme ou rarement plus pâle à la périphérie, avec des touches subtiles abricot ou orangé dans la zone péridiscale.jusqu'à 7-10 cm, moyennement charnu, assez ferme puis fragile, de fortement convexe à plan, à la fin déprimé avec la marge obtuse, arrondie, d'abord unie, puis cannelée à tuberculeuse sur une longueur de 5 à 8 mm, de couleur citrine ou jaune de chrome doré, comme les formes jaunes de Russula aurea, uniforme ou rarement plus pâle à la périphérie, avec des touches subtiles abricot ou orangé dans la zone péridiscale.-
06/11/2016Russula heliosCommentairesChênes méditerranéens. Diffère de R. chamaeleontina ou lutea par la taille et le port, l'absence de pigment rouge, les spores plus grandes et ornées différemment. La R. flavocitrina de Blum ex Bon a une sporée jaune clair IV-b comme R. caerulea, des spores plus petites, des tons olivâtres et une réaction normale au gaïac.Chênes méditerranéens. Diffère de R. chamaeleontina ou lutea (Russula risigallina) par la taille et le port, l'absence de pigment rouge, les spores plus grandes et ornées différemment. La Russula flavocitrina de Blum ex Bon a une sporée jaune clair IV-b comme Russula amara, des spores plus petites, des tons olivâtres et une réaction normale au gaïac.-
06/11/2016Russula heliosChapeau Descriptionjusqu'à 7-10 cm, moyennement charnu, assez ferme puis fragile, de fortement convexe à plan, à la fin déprimé avec la marge obtuse, arrondie, d'abord unie, puis cannelée à tuberculeuse sur une longueur de 5 à 8 mm, de couleur citrine ou jaune de chrome doré, comme les formes jaunes de R. aurata, uniforme ou rarement plus pâle à la périphérie, avec des touches subtiles abricot ou orangé dans la zone péridiscale.jusqu'à 7-10 cm, moyennement charnu, assez ferme puis fragile, de fortement convexe à plan, à la fin déprimé avec la marge obtuse, arrondie, d'abord unie, puis cannelée à tuberculeuse sur une longueur de 5 à 8 mm, de couleur citrine ou jaune de chrome doré, comme les formes jaunes de Russula aurata, uniforme ou rarement plus pâle à la périphérie, avec des touches subtiles abricot ou orangé dans la zone péridiscale.-
06/11/2016Russula heliosSpores DescriptionSporée d'un jaune très intense (IVe-d du code Romagnesi), ou parfois encore plus foncé. Spores de largement elliptiques à légèrement obovales, 8-9,5 x 6,3-7,8 µm, verruqueuses-échinulées, zébrées-subréticulées, à verrues coniques obtuses nombreuses, hautes de 0,8(1) µm, pas toujours complètement amyloïdes, certaines libres mais en grande majorité crêtées (subcristulées) ou caténulées, ornementation formant un vague réseau très incomplet. Tache supra-appendiculaire amyloïde, parfois médiocrement, à bords verruqueux. Sporée d'un jaune très intense (IV-e-d du code Romagnesi), ou parfois encore plus foncé. Spores de largement elliptiques à légèrement obovales, 8-9,5 x 6,3-7,8 µm, verruqueuses-échinulées, zébrées-subréticulées, à verrues coniques obtuses nombreuses, hautes de 0,8(1) µm, pas toujours complètement amyloïdes, certaines libres mais en grande majorité crêtées (subcristulées) ou caténulées, ornementation formant un vague réseau très incomplet. Tache supra-appendiculaire amyloïde, parfois médiocrement, à bords verruqueux. -
05/11/2016Russula heliosSynonymes-? Russula lutea var. maxima Sing. (1932) ; -
05/11/2016Russula heliosCommentairesChênes méditerranéens.Chênes méditerranéens. Diffère de R. chamaeleontina ou lutea par la taille et le port, l'absence de pigment rouge, les spores plus grandes et ornées différemment. La R. flavocitrina de Blum ex Bon a une sporée jaune clair IV-b comme R. caerulea, des spores plus petites, des tons olivâtres et une réaction normale au gaïac.-
05/11/2016Russula heliosEcologie Description-espèce méditerranéenne plutôt tardive (début novembre) sous chêne-liège, en terrain granitique (Sardaigne), décrite par Malençon sous le nom de R. helios (non publié) sous Quercus ilex du Maroc-
05/11/2016Russula heliosSpores DescriptionSporée d'un jaune très intense (IVe-d du code Romagnesi).Sporée d'un jaune très intense (IVe-d du code Romagnesi), ou parfois encore plus foncé. Spores de largement elliptiques à légèrement obovales, 8-9,5 x 6,3-7,8 µm, verruqueuses-échinulées, zébrées-subréticulées, à verrues coniques obtuses nombreuses, hautes de 0,8(1) µm, pas toujours complètement amyloïdes, certaines libres mais en grande majorité crêtées (subcristulées) ou caténulées, ornementation formant un vague réseau très incomplet. Tache supra-appendiculaire amyloïde, parfois médiocrement, à bords verruqueux. -
05/11/2016Russula heliosStipe Description-cylindrique à claviforme, 6-9 x 1,8-2,5 cm, plus ou moins évasé au sommet, de couleur blanche non jaunissante, rarement à reflets vaguement grisâtres. Moelle vite molle et spongieuse, puis lacuneuse et se creusant sous un mince cortex.-
05/11/2016Russula heliosChair Description-à odeur faible à peine fruitée et saveur douce. Réaction au gaïac très faible et très tardive.-
05/11/2016Russula heliosSpores Description-Sporée d'un jaune très intense (IVe-d du code Romagnesi).-
05/11/2016Russula heliosRéférencesCD 1491 ; Sarnari 1397DM 17(65) p. 65-66 ; CD 1491 ; Sarnari 1397-
05/11/2016Russula heliosLames Description-égales ou fourchues par endroits, plutôt espacées à maturité et interveinées, larges de 6-9 mm, obtuses en avant et adnées ou arrondies au pied, fragiles, finalement jaune orangé.-
05/11/2016Russula heliosChapeau Description-jusqu'à 7-10 cm, moyennement charnu, assez ferme puis fragile, de fortement convexe à plan, à la fin déprimé avec la marge obtuse, arrondie, d'abord unie, puis cannelée à tuberculeuse sur une longueur de 5 à 8 mm, de couleur citrine ou jaune de chrome doré, comme les formes jaunes de R. aurata, uniforme ou rarement plus pâle à la périphérie, avec des touches subtiles abricot ou orangé dans la zone péridiscale.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisComestibilitéSans intérêtToxique-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisCommentairesJaune vif et amers, les Gymnopiles diffèrent des vraies pholiotes par la couleur de la sporée et du carpophore, les spores fortement verruqueuses. Sur conifères, plus petit et sans anneau membraneux, voir Gymnopilus penetrans.Jaune vif et amers, les Gymnopiles diffèrent des vraies pholiotes par la couleur de la sporée et du carpophore, les spores fortement verruqueuses. Sur conifères, plus petit et sans anneau membraneux, voir Gymnopilus penetrans. En Asie, où l'amertume n'est pas un obstacle à la consommation, cette espèce est traditionnellement considérée comme psychodysleptique, comme en atteste par exemple les noms japonais étudiés par R. Imazéki : [ - Oo-waraï-také [Oowaraitake] 大笑茸, オオワライタケ, Grand champignon hilarant, Grand Waraïtaké. - Doko (Yamagata). どこ、ドコ, abbréviation d'Odoko, variante patoisante d'Otoko, « Homme, mâle ». - Odori-také (Yamagata), 踊り茸、オドリタケ、« Champignon qui danse / qui fait danser ». - Otoko-maï-také (Yamagata), 男舞茸、オトコマイタケ、« Maïtaké mâle ». Il s'agit d'une espèce hallucinogène, commune à Yamagata. Le nom vernaculaire Odori-také, tout comme le nom national, renseigne sur ce qui se produit quand on le consomme. Quant à Otoko-maï-také, ainsi que son abbréviation Doko, bien qu'on puisse les traduire par " Champignon danseur mâle ", ils signifient plus simplement "Grifola frondosa mâle", ou "Coq de bois" pour sa ressemblance avec la Poule de bois, qui vient aussi en grosse touffe à partir d'une base commune. ]-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisRéférencesRomagn.NA (I) 59 ; Becker p. 247 ; Bon p. 245 ; CD 1207 ; IH1 448 ; IOH p. 268 ; Eyssartier et Roux p. 676Romagn. NA (I)59 ; Becker p. 247 ; Bon p. 245 ; CD 1207 ; IH1 448 ; IOH p. 268 ; Eyssartier et Roux p. 676-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisCommentairesJaune vif et amers, les Gymnopiles diffèrent des vraies pholiotes par la couleur de la sporée et du carpophore, les pores fortement verruqueuses. Sur conifères et sans anneau, voir Gymnopilus penetrans.Jaune vif et amers, les Gymnopiles diffèrent des vraies pholiotes par la couleur de la sporée et du carpophore, les spores fortement verruqueuses. Sur conifères, plus petit et sans anneau membraneux, voir Gymnopilus penetrans.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisRéférencesBecker p. 247 ; Bon p. 245 ; CD 1207 ; IH1 448 ; IOH p. 268 ; Eyssartier et Roux p. 676Romagn.NA (I) 59 ; Becker p. 247 ; Bon p. 245 ; CD 1207 ; IH1 448 ; IOH p. 268 ; Eyssartier et Roux p. 676-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisCommentaires-Jaune vif et amers, les Gymnopiles diffèrent des vraies pholiotes par la couleur de la sporée et du carpophore, les pores fortement verruqueuses. Sur conifères et sans anneau, voir Gymnopilus penetrans.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisChapeau Descriptionconvexe, charnu, de (5)8-12(15) cm de diamètre, sec, glabre, soyeux, tout vergeté de petites écailles rougeâtres, puis finement gercé, d'une belle couleur jonquille ou dorée (qui lui a valu son nom), et enfin fauve.épais et charnu, de 5 à 15 cm de diamètre, hémisphérique ou obtusément conique, puis convexe, parfois bossu au centre, à marge fortement enroulée dans la jeunesse, très sec, glabre, soyeux, non hygrophane, tout vergeté de petites écailles rougeâtres (apprimées et non dressées comme chez les pholiotes), puis finement gercé, d'une belle couleur jonquille ou dorée (qui lui a valu son nom), et enfin fauve, roux orangé à roux.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisChair Descriptionépaisse, ferme et amère, du même jaune que la chapeau, elle rougit au toucher.épaisse, ferme et très amère, du même jaune safrané vif que le chapeau, se tachant de brun rouge au toucher. Odeur faible.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisLames Descriptionadnées, décurrentes en filet, sulfurines puis fauve doré.pas très serrées, inégales, en fer de faux, adnées à échancrées, un peu uncinées (décurrentes en filet), sulfurines puis fauve doré, avec l'arête plus jaune, enfin safrané rouillé par les spores, de consistance tenace (impossible à fendre transversalement).-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisStipe Descriptionplein, courbé, ventru, farineux et striolé au sommet, glabrescent, d'un superbe jaune d'or clair, muni d'un anneau membraneux.8-15 x 1-3 cm, ventru (un peu atténué en haut et en bas, renflé dans la partie moyenne), courbé, plein, ferme et presque dur, farineux et striolé au sommet, glabrescent, d'un superbe jaune d'or clair, muni près des lames d'un anneau membraneux bien développé, assez mince, strié, jaune puis rouille.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisSpores Descriptionpruniforme, granulée, jaune fauve.fauve rouillé en masse, 8-11,5 x 5-7 µm, subamygdaliformes à pruniformes, granulées de fortes verrues, sans pore germinatif, jaune fauve vif sous le microscope. Petites cystides lagéniformes à suc jaune, difficiles à voir entre les basides. Cuticule filamenteuse.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisEcologie Descriptiondans les bois clairs, les près, ou le long des routes, souvent en touffe de nombreux individus, surtout sur les vieilles souches isolées et ensoleilléesassez commun dans les bois clairs, les près, ou le long des routes, souvent en touffes, plus ou moins fournies, surtout sur les vieilles souches de feuillus, isolées et ensoleillées.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisAuteur(Fr. : Fr.) Smith 1949Gymnopilus spectabilis (Weinm.) A.H. Smith 1949-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisSynonymes-Flammula spectabilis (Weinm.) R. Heim ; Agaricus spectabilis Weinm. (1822) ; Pholiota spectabilis (Weinm.) P. Kumm.(1871) ; Rozites spectabilis (Weinm.) Singer (1922) ; Fulvidula spectabilis (Weinm.) Romagn.(1937) ; Agaricus junonius Fr.(1821) ; Pholiota grandis Rea (1903) ; Pholiota aurantiaca Thesleff (1920) ; Pholiota gigantea Naveau (1923)-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisNoms françaisPholiote remarquable ; Gymnopile remarquablePholiote remarquable ; Gymnopile remarquable ; Pholiote à grand spectacle (オオワライタケ)-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisRéférencesBon p. 245 ; CD 1207 ; Eyssartier et Roux p. 676Becker p. 247 ; Bon p. 245 ; CD 1207 ; IH1 448 ; IOH p. 268 ; Eyssartier et Roux p. 676-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisChapeau Description-convexe, charnu, de (5)8-12(15) cm de diamètre, sec, glabre, soyeux, tout vergeté de petites écailles rougeâtres, puis finement gercé, d'une belle couleur jonquille ou dorée (qui lui a valu son nom), et enfin fauve.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisChair Description-épaisse, ferme et amère, du même jaune que la chapeau, elle rougit au toucher.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisLames Description-adnées, décurrentes en filet, sulfurines puis fauve doré.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisStipe Description-plein, courbé, ventru, farineux et striolé au sommet, glabrescent, d'un superbe jaune d'or clair, muni d'un anneau membraneux.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisSpores Description-pruniforme, granulée, jaune fauve.-
05/11/2016Gymnopilus spectabilisEcologie Description-dans les bois clairs, les près, ou le long des routes, souvent en touffe de nombreux individus, surtout sur les vieilles souches isolées et ensoleillées-
04/11/2016Leucoinocybe taniaeRéférencesSydowia 63 (1) p. 85-104 Sydowia 63(1) p. 85-104 -
04/11/2016Leucoinocybe taniaeSpores Description6,2-7,8 x 4,8-7,0 µm, Q = 1,1-1,5, Q* = 1,3, largement ellipsoïdes, largement amygdaliformes, ovoïdes ou presque globuleuses, à cloisons minces, hyalines, fortement amyloïdes. Basides 30-40 x 6-10 µm, 4-spores, clavées. Cheilocystides 40-70 x 12-20 µm, abondantes, formant la marge stérile, de formes variables, lagéniformes à long col, rarement fourchues, sublagéniformes ou fusoïdes, à parois minces. Pleurocystides absentes ou rares, semblables aux cheilocystides. Piléipellis a cutis constitué d'hyphes cylindriques ou aplaties, radialement disposées, hyalines ou légèrement pigmentées, à paroi mince, jusqu'à 12 µm de large; pigment intracellulaire et intrapariétal. Piléocystides 50-90 x 10-15 µm, rares, clavées, fusoïdes à lagéniformes à sommet allongé, à parois minces, hyalines ou à pigment brun intrapariétal or finement incrustant. Caulocystides 40-95 x 6-20 µm, abondantes, de forme, semblables aux piléocystides, clavées, fusoïdes ou lagéniformes à long col, hyalines, à parois minces. Boucles présentes partout.6,2-7,8 x 4,8-7,0 µm, Q = 1,1-1,5, Q* = 1,3, largement ellipsoïdes, largement amygdaliformes, ovoïdes ou presque globuleuses, à cloisons minces, hyalines, fortement amyloïdes. Basides 30-40 x 6-10 µm, 4-spores, clavées. Cheilocystides 40-70 x 12-20 µm, abondantes, formant l'arête stérile, de forme variable, lagéniformes à long col, rarement fourchues, sublagéniformes ou fusoïdes, à parois minces. Pleurocystides absentes ou rares, semblables aux cheilocystides. Piléipellis a cutis constitué d'hyphes cylindriques ou aplaties, radialement disposées, hyalines ou légèrement pigmentées, à paroi mince, jusqu'à 12 µm de large; pigment intracellulaire et intrapariétal. Piléocystides 50-90 x 10-15 µm, rares, clavées, fusoïdes à lagéniformes à sommet allongé, à parois minces, hyalines ou à pigment brun intrapariétal or finement incrustant. Caulocystides 40-95 x 6-20 µm, abondantes, de forme, semblables aux piléocystides, clavées, fusoïdes ou lagéniformes à long col, hyalines, à parois minces. Boucles présentes partout.-
04/11/2016Tricholoma columbettaChapeau Description5-10 cm, d'abord ovoïde ou conique obtus, s'étalant progressivement de campanulé convexe à plan, très légèrement mamelonné, ou plus souvent un peu déprimé au centre, à marge au début enroulée, puis déployée et longuement fendue par endroits, charnu, rigide, d'un blanc de neige, mais parfois tacheté de rouge, de verdâtre, de jaune vert; surface d'aspect satiné, soyeux par de longs filaments radiaux innés, humide ou légèrement visqueuse dans la jeunesse, vite sec, avec la marge un peu veloutée sur le frais.5-10 cm, d'abord ovoïde ou conique obtus, s'étalant progressivement de campanulé convexe à plan, très légèrement mamelonné, ou plus souvent un peu déprimé au centre, à marge au début enroulée, puis déployée et longuement fendue par endroits, charnu, rigide, d'un blanc de neige, mais parfois tacheté de rouge, de verdâtre, de jaune vert; surface d'aspect satiné, soyeux par de longs filaments radiaux innés, humide ou légèrement visqueuse dans la jeunesse, bientôt sèche, avec la marge un peu veloutée sur le frais.-
04/11/2016Tricholoma columbettaComestibilitéComestibleBon comestible-
04/11/2016Tricholoma columbettaRéférencesBon p. 157 ; CD 384 ; Cetto 141 ; Galli p. 153 ; Marchand 38 ; FE 3 p. 487 ; Eyssartier et Roux p. 500Romagn. NA II 82B ; Becker p. 168 ; Bon p. 157 ; CD 384 ; Cetto 141 ; Galli p. 153 ; Marchand 38 ; FE 3 p. 487 ; Eyssartier et Roux p. 500-
04/11/2016Tricholoma columbettaCommentairesChapeau mamelonné, soyeux, viscidule au disque.Chapeau mamelonné, soyeux, viscidule au disque. Un bon comestible à ne pas confondre avec Tricholoma album, tout blanc aussi, mais à lamelles très serrées et saveur extrêmement poivrée.-
04/11/2016Tricholoma columbettaStipe Description5-7 x 1-2,5 cm, atténué peu à peu de haut en bas, rarement épaissi au début à la base, plein, ferme, quoique cassant, blanc, parfois lavé de jaune verdâtre ou taché de minuscules points bleu de Prusse ou rosâtres, à l'extrême pointe, à surface un peu rayée mais nue.5-7 x 1-2,5 cm, atténué peu à peu de haut en bas, rarement épaissi au début à la base, plein, fibreux, ferme, quoique cassant, blanc, parfois lavé de jaune verdâtre ou taché de minuscules points bleu de Prusse ou rosâtres, à l'extrême pointe, à surface un peu rayée à striée, mais nue.-
04/11/2016Tricholoma columbettaSpores Description-hyalines, blanches en masse, 5-7 x 4-5 µm, ovoïdes ou courtement elliptiques, lisses, non amyloïdes. Cystides nulles. Cuticule filamenteuse.-
04/11/2016Tricholoma columbettaEcologie Description-espèce assez commune et tardive dans les bois clairs de feuillus (chênes surtout) ou de conifères. Son mycélium blanc enveloppe les racines et attire les sangliers qui en sont friands, alors qu'ils négligent les carpophores eux-mêmes!-
04/11/2016Tricholoma columbettaChair Description-ferme, assez épaisse, fissile, blanc pur. Odeur faible mais agréable. Saveur douce.-
04/11/2016Tricholoma columbettaLames Description-minces, serrées, assez étroites puis larges (plus étroites vers la marge), échancrées à uncinées, blanches, souvent un peu rougeâtres par endroits, à arête le plus souvent irrégulière, voire denticulée ou frisotée.-
04/11/2016Tricholoma columbettaStipe Description5-7 x 1-2,5 cm5-7 x 1-2,5 cm, atténué peu à peu de haut en bas, rarement épaissi au début à la base, plein, ferme, quoique cassant, blanc, parfois lavé de jaune verdâtre ou taché de minuscules points bleu de Prusse ou rosâtres, à l'extrême pointe, à surface un peu rayée mais nue.-
04/11/2016Tricholoma columbettaChapeau Description-5-10 cm, d'abord ovoïde ou conique obtus, s'étalant progressivement de campanulé convexe à plan, très légèrement mamelonné, ou plus souvent un peu déprimé au centre, à marge au début enroulée, puis déployée et longuement fendue par endroits, charnu, rigide, d'un blanc de neige, mais parfois tacheté de rouge, de verdâtre, de jaune vert; surface d'aspect satiné, soyeux par de longs filaments radiaux innés, humide ou légèrement visqueuse dans la jeunesse, vite sec, avec la marge un peu veloutée sur le frais.-
04/11/2016Tricholoma columbettaStipe Description-5-7 x 1-2,5 cm-
01/11/2016Mycena galericulataChapeau Description1-6 cm, en cloche ou conique, puis convexe, conservant souvent une mamelon, viscidule puis sec, souvent brillant, surface d'abord lisse puis ridée, de blanchâtre à brun grisâtre foncé.2-6(7) cm, en cloche ou conique, puis convexe, conservant souvent un mamelon, viscidule puis sec, souvent brillant, surface d'abord lisse puis ridulée, de blanchâtre à brun grisâtre foncé. Marge flexueuse.-
01/11/2016Mycena galericulataChair Descriptionsaveur farineuse à la mastication.pâle, odeur et surtout saveur farineuse à la mastication.-
01/11/2016Mycena galericulataLames Descriptionadnées, assez espacées avec l'âge, blanches puis roses à rose vif dans la vieillesse, malgré la sporée blanche! Faces des lames régulières puis interveinées dans la fond.adnées, peu serrées, assez espacées avec l'âge, blanches puis à reflets rosés à rose vif dans la vieillesse, malgré la sporée blanche! Faces des lames régulières puis interveinées dans la fond.-
01/11/2016Mycena galericulataStipe Description4-10 x 0,2-0,5 cm, concolore au chapeau ou plus pâle, assez résistant à cartilagineux, souvent pincé, surface assez polie, sauf à la base qui est poilue.6-10(15) x 0,2-0,6 cm, grisâtre concolore au chapeau ou plus pâle, rigide, assez résistant à cartilagineux, souvent comprimé ou sillonné, surface assez polie, sauf à la base qui est poilue.-
01/11/2016Mycena galericulataEcologie DescriptionCourant,pousse pratiquement toute l'année, surtout sur souches et bois pourris. Son polymorphisme est caractéristique.Très courant, pousse pratiquement toute l'année, surtout en touffes sur souches et bois pourris. Son polymorphisme est caractéristique.-
01/11/2016Mycena galericulataRéférencesBon p. 185 ; BK 3 328 ; CD 587 ; Eyssartier et Roux p. 406Bon p. 185 ; BK 3 328 ; CD 587 ; Courtecuisse Photo-Guide 349 ; Eyssartier et Roux p. 406-
01/11/2016Mycena galericulataCommentaires-Espèce très variable d'aspect, à lames interveinées dans le fond, devenant roses à maturité.-
01/11/2016Mycena galericulataChapeau CouleurBrun, CrèmeBlanc, Brun, Crème, Gris-
01/11/2016Mycena galericulataChapeau Description-1-6 cm, en cloche ou conique, puis convexe, conservant souvent une mamelon, viscidule puis sec, souvent brillant, surface d'abord lisse puis ridée, de blanchâtre à brun grisâtre foncé.-
01/11/2016Mycena galericulataChair Description-saveur farineuse à la mastication.-
01/11/2016Mycena galericulataLames Description-adnées, assez espacées avec l'âge, blanches puis roses à rose vif dans la vieillesse, malgré la sporée blanche! Faces des lames régulières puis interveinées dans la fond.-
01/11/2016Mycena galericulataStipe Description-4-10 x 0,2-0,5 cm, concolore au chapeau ou plus pâle, assez résistant à cartilagineux, souvent pincé, surface assez polie, sauf à la base qui est poilue.-
01/11/2016Mycena galericulataSpores Description-10-12,5 x 7-8,5 µm, elliptiques à larmiformes, amyloïdes. Basides parfois bisporiques, 30-50 x 7-10 µm. Cheilocystides 20-50 x 5-15 µm, clavées, couvertes d'excroissances fines et plus ou moins ramifiées. Trames vineuse dans le Melzer. Boucles présentes ou absentes. -
01/11/2016Mycena galericulataEcologie Description-Courant,pousse pratiquement toute l'année, surtout sur souches et bois pourris. Son polymorphisme est caractéristique.-
30/10/2016Chlorophyllum molybditesRéférencesCD 716 ; DM Hors Séries 3 p. 126 . Rogers Mushrooms CD 716 ; DM Hors Séries 3 p. 126 ; IH1 247 ; IOH p. 181 ; Rogers Mushrooms -
30/10/2016Chlorophyllum molybditesPhoto-Chlorophyllum_molybdites_1988_mi_1.jpgAjout photo type Macro pour Chlorophyllum molybdites jeunes, Copyright (c) 1988 Msana Izawa
29/10/2016Heimioporus japonicusRéférencesIH1 515IH1 515 ; IOH p. 355-
29/10/2016Heimioporus japonicusPhoto-Heimioporus_japonicus_1987_hn_1.jpgAjout photo type Dessin pour Heimioporus japonicus, Copyright (c) 1987 Hongo & Nagasawa
29/10/2016Heimioporus japonicusPhoto-Heimioporus_japonicus_1989_im_1.jpgAjout photo type Macro pour Heimioporus japonicus, Copyright (c) 1989 Izawa & Mizuno
28/04/2016Sarcodon imbricatusPhoto-Sarcodon_imbricatum_2016_dgst_1.jpgAjout photo type Macro pour Sarcodon imbricatum var. aspratum, Copyright (c) 2016 Daniel Guez & Shôji Tanaka
28/04/2016Sarcodon imbricatusPhotoSarcodon_imbricatum_1988_dgst_1.jpg-Suppression photo
28/04/2016Sarcodon imbricatusPhoto-Sarcodon_imbricatum_1988_dgst_1.jpgAjout photo type Macro pour Sarcodon imbricatum var. aspratum, Copyright (c) 1988 Daniel Guez & Shôji Tanaka
13/03/2016Cortinarius rigidusSynonymes-Hydrocybe rigida (Scop.) M.M. Moser-
13/03/2016Cortinarius rigidusNoms françaisCortinaire à pied rigideCortinaire à pied rigide ; Cortinaire rigide-
13/03/2016Cortinarius rigidusComestibilité-Sans intérêt-
13/03/2016Cortinarius rigidusCommentaires-Petite espèce calcifuge, à chap. brun, sans trace de violet, revêtu d'un voile soyeux persistant longtemps à la marge sous forme de méchules fibrilleuses, à pointes blanches remarquables.-
13/03/2016Cortinarius rigidusChapeau Description-2-5 cm, campanulé-convexe, puis étalé, plus ou moins mamelonné, parfois à ombo pointu. Cuticule adnée ou entièrement séparable (mais en entraînant la chair), hygrophane et luisante, brun jaune à brun sombre selon humidité, revêtu d'un voile soyeux persistant longtemps à la marge sous forme de méchules fibrilleuses, à pointes blanches remarquables. -
13/03/2016Cortinarius rigidusChair Description-1 mm d'épaisseur au dessus des lames, 2-3 mm au disque, gris-brun dans le chapeau et coriace, brun clair dans le pied, pâlissant par le sec. Odeur forte de Pelargonium. Saveur douce mais désagréable à la fin. Gaïac +, lilacine avec NH4OH, violette puis pourpre sombre à la soude, sur la cuticule.-
13/03/2016Cortinarius rigidusLames Description-adnées, peu serrées, inégales, larges de 3-5 mm, ocre argilacé, puis brunes avec un reflet un peu rougeâtre.-
13/03/2016Cortinarius rigidusStipe Description-2,5-5 x 0,5 cm au sommet, fusoïde, renflé à mi-hauteur jusqu'à 1 cm d'épaisseur, atténué à la base, plein, ferme puis farci, rigide, sec, d'abord revêtu d'un voile blanc grisâtre fibrillo-soyeux abondant, réduit en zones annulaires fauve brunâtres à la fin.-
13/03/2016Cortinarius rigidusSpores Description-6,9-8,7 x 5-5,7 µm, ovoïdes ou ellipsoïdes, uniguttulées, brun jaune dans KOH à 2%, densément ponctuées de fines verrues. -
13/03/2016Cortinarius rigidusEcologie Description-De juillet à octobre, commun en Europe et Amérique du Nord, mais localisé, dans la mousse des forêts humides, en plaine et en montagne (2150 m selon Favre!), et dans les sphaignes des hauts-marais.-
11/03/2016Phaeolepiota aureaSynonymes-Cystoderma aureum-
11/03/2016Phaeolepiota aureaComestibilitéSans intérêtComestible-
11/03/2016Phaeolepiota aureaRéférencesCD 645 ; Bon p. 173 ; Eyssartier et Roux p. 676KR p. 293 ; CD 645 ; Bon p. 173 ; Eyssartier et Roux p. 676-
11/03/2016Phaeolepiota aureaCommentairesNe pas confondre avec Gymnopilus spectabilis;Ne pas confondre avec Gymnopilus spectabilis, qui est toxique;-
11/03/2016Phaeolepiota aureaChapeau Description-épais au centre, ocracé, doré ou fauve-doré, pulvérulent par de petits flocons très denses.-
11/03/2016Phaeolepiota aureaLames Description-crème-ocre, puis rouillées.-
11/03/2016Phaeolepiota aureaStipe Description--25 x 1,2-3,5 cm, ocracé, doré ou fauve-doré au dessous de l'anneau, pulvérulent par de petits flocons très denses, lisse en haut. Anneau ample, membraneux, d'abord ascendant, persistant, formé par l'étalement du voile qui gaine toute la partie inférieure du pied, dont il est facilement séparable jusqu'à la base.-
11/03/2016Phaeolepiota aureaSpores Description-(7)-9-10-(15) x 4-6 µm, ellipsoïdes-subfusiformes, à membrane assez épaisse, finement verruqueuses, à pore germinatif petit. Cystides absentes partout, ce qui éloigne cette espèce des Naucoria.-
30/11/2015Hypholoma fascicularePhoto-Hypholoma_fasciculare_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hypholoma fasciculare, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
30/11/2015Hypholoma fascicularePhotoHypholoma_fasciculare_1993_dg_1.jpg-Suppression photo
30/11/2015Hypholoma fascicularePhoto-Hypholoma_fasciculare_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hypholoma fasciculare, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
30/11/2015Hypholoma fasciculareCommentairesL'amertume extrême de ce champignon mortel (DL 50 = 50 mg/kg) aura épargné de nombreuses vies. cf étude de cas et bibliographie ci-dessous : En 1983 à Aomori (Japon), une famille de 6 personnes se partage un plat de ces champignons, cuits en tsukudani (mijotés longuement dans un mélange de sauce de soja et de sucre). Trois des enfants, âgés de 5,7 et 10 ans décèdent deux jours après. L'aînée, 13 ans décède quatre jours après ingestion. Tous les quatre enfants ont présentés 6-8 heures après le repas les symptômes suivants : - picotements de la langue, - vomissements violents, - convulsions, - coma avec reprise de conscience momentanée, - appariition de tâches violettes sur l'abdomen, le torse et le cou, - mort subite. La mère, 38 ans, souffre de vomissements, diarrhée, convulsions, perte de conscience, avant la rémission spontanée au 5 ème jour. Le père, 46 ans, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, guérit au bout de 24 heures.Toxique parfois mortel, bibliographie sur ce sujet ci-dessous : - DIAK J. (1975). The study of some compounds biosynthesized by Naematoloma fasciculare (Huds ex Fr.) P. Karst. Part. I. Analysis in vitro. Polish Journal of Pharmacology & Pharmacy 27 (2), 235-241. - DIAK J. (1977). Investigation on some compounds biosynthesized by fruitbodies of naematoloma fasciculare. Planta Medica 32 (2), 181-187. - HERBICH J., LOHWAG K., and ROTTER R. (1966). Fatal poisoning with the green-leaf sulfur cap (Nematoloma fascicularis). Arch. Toxikol. 21 (5), - ITO Y., KURITA H., YAMAGUCHI T., and SATO M. (1967). Naematolin, a new biologically active substance produced by Naematoloma fasciculare (Fr.) Karst. Chemical & Pharmaceutical Bulletin 15 (12), 2009-2010. - KUBO I., MATSUMOTO A., KOZUKA M., and W.F., W. (1985). Calmodulin inhibitors from the bitter muschroom Naematolola fasciculare (Fr.) Karst. (Strophariaceae) and Absolute configuration of fasciculols. Chem. Pharm. Bull. 33 (9), 3821-3825. - SUZUKI K., FUJIMOTO H., and M., Y. (1983). The toxic principles of Naematoloma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 31 (6), 2176-2178. - TAKAHASHI A., KUSANO G., OHTA T., and Y., O. (1989). Fasciculic Acids A, B and C as calmodulin antagonists from the mushroom Naematololoma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 37 (12), 3247-3250.L'amertume extrême de ce champignon aura épargné de nombreuses vies. Mortel. LD 50 = 50 mg/kg (fasciculol E), + le principe amer, la Naematoline qui est cytotoxique et antibiotique cf étude de cas et bibliographie ci-dessous : En 1983 à Aomori (Japon), une famille de 6 personnes se partage un plat de ces champignons, cuits en tsukudani (mijotés longuement dans un mélange de sauce de soja et de sucre). Trois des enfants, âgés de 5,7 et 10 ans décèdent deux jours après. L'aînée, 13 ans décède quatre jours après ingestion. Tous les quatre enfants ont présentés 6-8 heures après le repas les symptômes suivants : - picotements de la langue, - vomissements violents, - convulsions, - coma avec reprise de conscience momentanée, - apparition de tâches violettes sur l'abdomen, le torse et le cou, - mort subite. La mère, 38 ans, souffre de vomissements, diarrhée, convulsions, perte de conscience, avant la rémission spontanée au 5ème jour. Le père, 46 ans, seulement de vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, et guérit au bout de 24 heures. - DIAK J. (1975). The study of some compounds biosynthesized by Naematoloma fasciculare (Huds ex Fr.) P. Karst. Part. I. Analysis in vitro. Polish Journal of Pharmacology & Pharmacy 27 (2), 235-241. - DIAK J. (1977). Investigation on some compounds biosynthesized by fruitbodies of naematoloma fasciculare. Planta Medica 32 (2), 181-187. - HERBICH J., LOHWAG K., and ROTTER R. (1966). Fatal poisoning with the green-leaf sulfur cap (Nematoloma fascicularis). Arch. Toxikol. 21 (5), - ITO Y., KURITA H., YAMAGUCHI T., and SATO M. (1967). Naematolin, a new biologically active substance produced by Naematoloma fasciculare (Fr.) Karst. Chemical & Pharmaceutical Bulletin 15 (12), 2009-2010. - KUBO I., MATSUMOTO A., KOZUKA M., and W.F., W. (1985). Calmodulin inhibitors from the bitter muschroom Naematolola fasciculare (Fr.) Karst. (Strophariaceae) and Absolute configuration of fasciculols. Chem. Pharm. Bull. 33 (9), 3821-3825. - SUZUKI K., FUJIMOTO H., and M., Y. (1983). The toxic principles of Naematoloma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 31 (6), 2176-2178. - TAKAHASHI A., KUSANO G., OHTA T., and Y., O. (1989). Fasciculic Acids A, B and C as calmodulin antagonists from the mushroom Naematololoma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 37 (12), 3247-3250.-
28/11/2015Hypholoma fasciculareSynonymesNematoloma fasciculare (Huds.) P. Karst. 1880 [ut Naematoloma] ; Agaricus sadleri Berk. & Broome 1879 ; Clitocybe sadleri (Berk. & Broome) 1887 ; Dryophila fascicularis (Huds.) Quél., 1888 ; Geophila fascicularis (Huds.) Quél., 1886 ; Pratella fascicularis (Huds.) Gray, 1821) ; Psilocybe fasciculare (Huds.) Kühner 1980 ; La forme sterile d'Hypholoma fasciculare est Hypholoma irroratum 1899 ; Basionym: Nematoloma irroratum (P. Karst.) anon. ined. [sub. nom.'Naematoloma' 1896 ;Nematoloma fasciculare (Huds.) P. Karst. 1880 [ut Naematoloma] ; Agaricus sadleri Berk. & Broome 1879 ; Clitocybe sadleri (Berk. & Broome) 1887 ; Dryophila fascicularis (Huds.) Quél., 1888 ; Geophila fascicularis (Huds.) Quél., 1886 ; Pratella fascicularis (Huds.) Gray, 1821) ; Psilocybe fasciculare (Huds.) Kühner 1980 ; La forme sterile d'Hypholoma fasciculare est Hypholoma irroratum 1899 ; Basionym: Nematoloma irroratum (P. Karst.) anon. ined. [sub. nom.'Naematoloma'] 1896 ;-
28/11/2015Hypholoma fasciculareCommentairesL'amertume extrême de ce champignon mortel (DL 50 = 50 mg/kg) aura épargné de nombreuses vies. cf étude de cas et bibliographie ci-dessous : En 1983, une famille de 6 personnes se partagent un plat de ces champignon en tsukudani (mijotés longuement dans un mélange de sauce de soja et de sucre). Trois des enfants, âgés de 5,7 et 10 ans décèdent deux jours après. L'aînée, 13 ans décède quatre jours après ingestion. Tous les quatre enfants ont présentés 6-8 heures après le repas les symptômes suivants : - picotements de la langue, - vomissements violents, - convulsions, - coma avec reprise de conscience momentanée, - appariition de tâches violettes sur l'abdomen, le torse et le cou, - mort subite. La mère, 38 ans, souffre de vomissements, diarrhée, convulsions, perte de conscience, avant la rémission spontanée au 5 ème jour. Le père, 46 ans, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, guérit au bout de 24 heures.Toxique parfois mortel, bibliographie sur ce sujet ci-dessous : - DIAK J. (1975). The study of some compounds biosynthesized by Naematoloma fasciculare (Huds ex Fr.) P. Karst. Part. I. Analysis in vitro. Polish Journal of Pharmacology & Pharmacy 27 (2), 235-241. - DIAK J. (1977). Investigation on some compounds biosynthesized by fruitbodies of naematoloma fasciculare. Planta Medica 32 (2), 181-187. - HERBICH J., LOHWAG K., and ROTTER R. (1966). Fatal poisoning with the green-leaf sulfur cap (Nematoloma fascicularis). Arch. Toxikol. 21 (5), - ITO Y., KURITA H., YAMAGUCHI T., and SATO M. (1967). Naematolin, a new biologically active substance produced by Naematoloma fasciculare (Fr.) Karst. Chemical & Pharmaceutical Bulletin 15 (12), 2009-2010. - KUBO I., MATSUMOTO A., KOZUKA M., and W.F., W. (1985). Calmodulin inhibitors from the bitter muschroom Naematolola fasciculare (Fr.) Karst. (Strophariaceae) and Absolute configuration of fasciculols. Chem. Pharm. Bull. 33 (9), 3821-3825. - SUZUKI K., FUJIMOTO H., and M., Y. (1983). The toxic principles of Naematoloma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 31 (6), 2176-2178. - TAKAHASHI A., KUSANO G., OHTA T., and Y., O. (1989). Fasciculic Acids A, B and C as calmodulin antagonists from the mushroom Naematololoma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 37 (12), 3247-3250.L'amertume extrême de ce champignon mortel (DL 50 = 50 mg/kg) aura épargné de nombreuses vies. cf étude de cas et bibliographie ci-dessous : En 1983 à Aomori (Japon), une famille de 6 personnes se partage un plat de ces champignons, cuits en tsukudani (mijotés longuement dans un mélange de sauce de soja et de sucre). Trois des enfants, âgés de 5,7 et 10 ans décèdent deux jours après. L'aînée, 13 ans décède quatre jours après ingestion. Tous les quatre enfants ont présentés 6-8 heures après le repas les symptômes suivants : - picotements de la langue, - vomissements violents, - convulsions, - coma avec reprise de conscience momentanée, - appariition de tâches violettes sur l'abdomen, le torse et le cou, - mort subite. La mère, 38 ans, souffre de vomissements, diarrhée, convulsions, perte de conscience, avant la rémission spontanée au 5 ème jour. Le père, 46 ans, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, guérit au bout de 24 heures.Toxique parfois mortel, bibliographie sur ce sujet ci-dessous : - DIAK J. (1975). The study of some compounds biosynthesized by Naematoloma fasciculare (Huds ex Fr.) P. Karst. Part. I. Analysis in vitro. Polish Journal of Pharmacology & Pharmacy 27 (2), 235-241. - DIAK J. (1977). Investigation on some compounds biosynthesized by fruitbodies of naematoloma fasciculare. Planta Medica 32 (2), 181-187. - HERBICH J., LOHWAG K., and ROTTER R. (1966). Fatal poisoning with the green-leaf sulfur cap (Nematoloma fascicularis). Arch. Toxikol. 21 (5), - ITO Y., KURITA H., YAMAGUCHI T., and SATO M. (1967). Naematolin, a new biologically active substance produced by Naematoloma fasciculare (Fr.) Karst. Chemical & Pharmaceutical Bulletin 15 (12), 2009-2010. - KUBO I., MATSUMOTO A., KOZUKA M., and W.F., W. (1985). Calmodulin inhibitors from the bitter muschroom Naematolola fasciculare (Fr.) Karst. (Strophariaceae) and Absolute configuration of fasciculols. Chem. Pharm. Bull. 33 (9), 3821-3825. - SUZUKI K., FUJIMOTO H., and M., Y. (1983). The toxic principles of Naematoloma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 31 (6), 2176-2178. - TAKAHASHI A., KUSANO G., OHTA T., and Y., O. (1989). Fasciculic Acids A, B and C as calmodulin antagonists from the mushroom Naematololoma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 37 (12), 3247-3250.-
28/11/2015Hypholoma fasciculareSynonymes-Nematoloma fasciculare (Huds.) P. Karst. 1880 [ut Naematoloma] ; Agaricus sadleri Berk. & Broome 1879 ; Clitocybe sadleri (Berk. & Broome) 1887 ; Dryophila fascicularis (Huds.) Quél., 1888 ; Geophila fascicularis (Huds.) Quél., 1886 ; Pratella fascicularis (Huds.) Gray, 1821) ; Psilocybe fasciculare (Huds.) Kühner 1980 ; La forme sterile d'Hypholoma fasciculare est Hypholoma irroratum 1899 ; Basionym: Nematoloma irroratum (P. Karst.) anon. ined. [sub. nom.'Naematoloma' 1896 ;-
28/11/2015Hypholoma fasciculareComestibilitéToxiqueMortel-
28/11/2015Hypholoma fasciculareRéférencesBon p. 253 ; CD 1288 ; Eyssartier et Roux p. 828Bon p. 253 ; CD 1288 ; BK 4 411 ; IH1 349 ; Yoshimi p. 36 ; IOH 224-225 ; Eyssartier et Roux p. 828 ;-
28/11/2015Hypholoma fasciculareCommentairesToxique parfois mortel, bibliographie sur ce sujet ci-dessous : - DIAK J. (1975). The study of some compounds biosynthesized by Naematoloma fasciculare (Huds ex Fr.) P. Karst. Part. I. Analysis in vitro. Polish Journal of Pharmacology & Pharmacy 27 (2), 235-241. - DIAK J. (1977). Investigation on some compounds biosynthesized by fruitbodies of naematoloma fasciculare. Planta Medica 32 (2), 181-187. - HERBICH J., LOHWAG K., and ROTTER R. (1966). Fatal poisoning with the green-leaf sulfur cap (Nematoloma fascicularis). Arch. Toxikol. 21 (5), - ITO Y., KURITA H., YAMAGUCHI T., and SATO M. (1967). Naematolin, a new biologically active substance produced by Naematoloma fasciculare (Fr.) Karst. Chemical & Pharmaceutical Bulletin 15 (12), 2009-2010. - KUBO I., MATSUMOTO A., KOZUKA M., and W.F., W. (1985). Calmodulin inhibitors from the bitter muschroom Naematolola fasciculare (Fr.) Karst. (Strophariaceae) and Absolute configuration of fasciculols. Chem. Pharm. Bull. 33 (9), 3821-3825. - SUZUKI K., FUJIMOTO H., and M., Y. (1983). The toxic principles of Naematoloma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 31 (6), 2176-2178. - TAKAHASHI A., KUSANO G., OHTA T., and Y., O. (1989). Fasciculic Acids A, B and C as calmodulin antagonists from the mushroom Naematololoma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 37 (12), 3247-3250.L'amertume extrême de ce champignon mortel (DL 50 = 50 mg/kg) aura épargné de nombreuses vies. cf étude de cas et bibliographie ci-dessous : En 1983, une famille de 6 personnes se partagent un plat de ces champignon en tsukudani (mijotés longuement dans un mélange de sauce de soja et de sucre). Trois des enfants, âgés de 5,7 et 10 ans décèdent deux jours après. L'aînée, 13 ans décède quatre jours après ingestion. Tous les quatre enfants ont présentés 6-8 heures après le repas les symptômes suivants : - picotements de la langue, - vomissements violents, - convulsions, - coma avec reprise de conscience momentanée, - appariition de tâches violettes sur l'abdomen, le torse et le cou, - mort subite. La mère, 38 ans, souffre de vomissements, diarrhée, convulsions, perte de conscience, avant la rémission spontanée au 5 ème jour. Le père, 46 ans, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, guérit au bout de 24 heures.Toxique parfois mortel, bibliographie sur ce sujet ci-dessous : - DIAK J. (1975). The study of some compounds biosynthesized by Naematoloma fasciculare (Huds ex Fr.) P. Karst. Part. I. Analysis in vitro. Polish Journal of Pharmacology & Pharmacy 27 (2), 235-241. - DIAK J. (1977). Investigation on some compounds biosynthesized by fruitbodies of naematoloma fasciculare. Planta Medica 32 (2), 181-187. - HERBICH J., LOHWAG K., and ROTTER R. (1966). Fatal poisoning with the green-leaf sulfur cap (Nematoloma fascicularis). Arch. Toxikol. 21 (5), - ITO Y., KURITA H., YAMAGUCHI T., and SATO M. (1967). Naematolin, a new biologically active substance produced by Naematoloma fasciculare (Fr.) Karst. Chemical & Pharmaceutical Bulletin 15 (12), 2009-2010. - KUBO I., MATSUMOTO A., KOZUKA M., and W.F., W. (1985). Calmodulin inhibitors from the bitter muschroom Naematolola fasciculare (Fr.) Karst. (Strophariaceae) and Absolute configuration of fasciculols. Chem. Pharm. Bull. 33 (9), 3821-3825. - SUZUKI K., FUJIMOTO H., and M., Y. (1983). The toxic principles of Naematoloma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 31 (6), 2176-2178. - TAKAHASHI A., KUSANO G., OHTA T., and Y., O. (1989). Fasciculic Acids A, B and C as calmodulin antagonists from the mushroom Naematololoma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 37 (12), 3247-3250.-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensSynonymes? Tricholoma sejunctum (Sow. : Fr.) Quélet? Tricholoma sejunctum (Sow. : Fr.) Quélet ; T. subsejunctum Peck ss. Huijsm., Bon 1976 ; ? T. fucatum var. lutescens-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensNoms françaisTricholome jaune vertTricholome jaune vert ; Tricholome vert-jaunâtre-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensCommentaires-Ressemble à certaines variétés de Tricholoma sejunctum, se reconnaît à son chapeau noirâtre au centre, et vert plus ou moins jaune autour, ses lames crénelées et teintées de jaune près du pourtour piléique, son pied subtilement jaunissant et sa chair douce.-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensChapeau CouleurBrun, Orange, VertBrun, Gris, Jaune, Orange, Vert-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensChapeau Description-4-8 cm, obtusément conique ou largement bossu et campanulé, à marge opaque, très incurvée, parfois récurvée avec l'âge. Cuticule adnée, lubrifiée puis sèche, soyeuse-fibrilleuse, ponctuée surtout au disque de squamules olivâtre sombre à gris-noirâtres visibles à la loupe, gris verdâtre à vert-jaunâtre avec des reflets orangés ailleurs, mais pâle à presque blanche à la périphérie.-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensChair Immuable-Oui ou Non-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensChair Description-blanche, mais plus ou moins jaune verdâtre sale sous la cuticule, épaisse de 1-1,5 cm au disque, 2 mm à mi-rayon, ferme dans le chapeau, presque moelleuse dans le pied. Odeur farineuse ou de concombre, saveur douce, farineuse.-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensLames Description-peu serrées, inégales, assez épaisses, larges de 4-9 mm, profondément émarginées, blanchâtres, typiquement colorées de jaune vers la marge piléique. Arête amincie, concolore, souvent serrulée. Sporée blanche.-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensStipe Description-(3)5-7(10) x 0,6-1(1,5)cm, très variable, égal à presque clavé, atténué de haut en bas, ou seulement en bas, cortiqué, plein à plus ou moins creux avec une mèche pendante, blanc puis lavé de jaune, avec quelques fibrilles brun-jaunâtre dnas la moitié inférieure.-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensSaveurFarineDouce, Farine-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensOdeurFarineConcombre, Farine-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensSpores Description-6-8(8,5) x 4,5-6(6,5)µm, largement ovoïdes, subglobuleuses, à contenu granulaire, paroi assez épaisse, lisse et hyaline. Basides 25-36 x 6,5-11 µm, 2 ou 4 stérigmates de 6*m de long. Arête stérile.-
15/10/2015Tricholoma viridilutescensEcologie Description-Largement distribué en Europe du Nord et de l'Est. Pas rare en France sous feuillus mêlés, en terrain acide, plus ou moins hygrophile, souvent aulnaies ou sphaignées; plus rare sous conifères et dans landes à genêts.-
28/09/2015Hygrocybe persistensSynonymes-Hygrophorus conicus var. persistens Britzelm. 1890 ; Hygrophorus persistens (Britzelm.) Britzelm. 1893 ; Mycena acutoconica Clem. 1893 ; Hydrocybe californica Murrill 1916 ; Hygrocybe californica Murrill 1916 ; Hygrocybe constans J.E. Lange 1923 ; Hygrophorus rickenii Maire 1930 ; Hydrocybe subrubra Murrill 1939 ; Hygrocybe subrubra Murrill 1939 ; Hygrocybe aurantiolutescens P.D. Orton 1969-
28/09/2015Hygrocybe persistensRéférencesBK 3 97 ; CD 200 ; CD 201 ; Cetto 1532 ; Bon p. 107 ; Eyssartier et Roux p. 476DM 18 (70-71): 35 (1987) ; BK 3 97 ; CD 200 ; CD 201 ; Cetto 1532 ; Bon p. 107 ; Eyssartier et Roux p. 476-
28/09/2015Hygrocybe persistensChapeau Description-5-7(9) cm, orangé vif, parfois flammé de rouge, ou jaune vif citrin à orangé pâle et chapeau plus pointu dans la variété langei (Kühner) Bon.-
28/09/2015Hygrocybe persistensChair Description-plus ou moins rougeâtre, ou subconcolore dans la var. langei-
28/09/2015Hygrocybe persistensLames Description-orangé pâle ou rosées à saumonées, ou concolore à plus pâle dans la var. langei, -
28/09/2015Hygrocybe persistensStipe Description-6-10(12) x 0,5-1(1,5) cm ou 6-8 x 3-4 cm et fibrillo-soyeux à plus ou moins strié dans la var. langei; -
28/09/2015Hygrocybe persistensSpores Description-cylindracées ou oblongues, 10-15(16) x 7-8,5(10) µm, 13-16(18) x 6-8,5(10) µm dans la var. langei; -
28/09/2015Hygrocybe persistensEcologie Description-prairies mésophiles ou acidophiles, continental ou submontagnard; ubiquiste ou graminicole calci-tolérant pour la var. langei.-
14/09/2015Amanita pantherinaCommentairesToxique, à l'origine du syndrome panthérinien qui porte son nom et provoque des troubles digestifs et neurosensoriels. La f. abietum sombre, charnue, à flocons sales un peu confluents, a la marge peu striée ; elle pousse sous conifères. La f. albida Schulz est une simple forme très pâle du type, dont le chapeau d'abord blanchâtre, prend ensuite une pâle nuance de la couleur du type, finalement gris-brun en séchant; tandis que la f. subcandida Traverso, Neville et Poumarat (2004), plus méditerranéen, a un chapeau blanc pur jusqu'à maturité, à l'exception du centre légèrement teinté d'ocracé pâle, sans assombrissement ultérieur, apparaissant comme une forme vraiment subalbinos.Toxique, à l'origine du syndrome panthérinien qui porte son nom et provoque des troubles digestifs et neurosensoriels. La f. abietum sombre, charnue, à flocons sales un peu confluents, a la marge peu striée ; elle pousse sous conifères. La f. albida Schulz est une simple forme très pâle du type, dont le chapeau d'abord blanchâtre, prend ensuite une pâle nuance de la couleur du type, finalement gris-brun en séchant; tandis que la f. subcandida Traverso, Neville et Poumarat (2004), plus méditerranéen, a un chapeau blanc pur jusqu'à maturité, à l'exception du centre légèrement teinté d'ocracé pâle, sans assombrissement ultérieur, apparaissant comme une forme vraiment subalbinos. Le véritable sosie de pantherina est Amanita ibotengutake, deux fois plus robuste, surtout sous conifères au Japon, boucles présentes, précurseur de l'acide iboténique.-
12/09/2015Boletus auripesPhoto-Boletus_auripes_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus auripes, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
12/09/2015Boletus auripesCommentairesRessemble à Retiboletus (ex Pulveroboletus) retipes, au chapeau plus sombre olivâtre et à chair amère. B. aureissimus est un sosie (endémique USA?) jaune de miel plus vif, à réseau discret, ainsi que sa var. castaneus à chapeau velouté brun violacé. Boletus auripes somewhat resembles B. aurantiosplendens, but the latter species has a more variably colored cap that can be orange, brownish-orange, or yellowish, and variable degrees of stem reticulation.[13] B. hortonii has a similar color scheme but lacks reticulation on the stem.[8] B. auripes bears a superficial resemblance in coloration to the Costa Rican species B. lychnipes, known only from a limited area in the northern Cordillera de Talamanca. The latter species may be distinguished by the lack of reticulations on the upper half of the stem, a brown or salmon-pink staining reaction on the stem in response to handling, and microscopically by a conspicuously sterile margin and prominent pseudocystidia.[14] Retiboletus retipes Ressemble à Retiboletus (ex Pulveroboletus) retipes, au chapeau plus sombre olivâtre et à chair amère. B. aureissimus est un sosie (endémique USA?) jaune de miel plus vif, à réseau discret, ainsi que sa var. castaneus à chapeau velouté brun violacé.-
12/09/2015Boletus auripesCommentaires-Ressemble à Retiboletus (ex Pulveroboletus) retipes, au chapeau plus sombre olivâtre et à chair amère. B. aureissimus est un sosie (endémique USA?) jaune de miel plus vif, à réseau discret, ainsi que sa var. castaneus à chapeau velouté brun violacé. Boletus auripes somewhat resembles B. aurantiosplendens, but the latter species has a more variably colored cap that can be orange, brownish-orange, or yellowish, and variable degrees of stem reticulation.[13] B. hortonii has a similar color scheme but lacks reticulation on the stem.[8] B. auripes bears a superficial resemblance in coloration to the Costa Rican species B. lychnipes, known only from a limited area in the northern Cordillera de Talamanca. The latter species may be distinguished by the lack of reticulations on the upper half of the stem, a brown or salmon-pink staining reaction on the stem in response to handling, and microscopically by a conspicuously sterile margin and prominent pseudocystidia.[14] Retiboletus retipes -
12/09/2015Boletus auripesEcologie DescriptionAmérique du Nord et Extrême-Orient. Été-Automne, mycorhizique, sous feuillus (au Japon sous Quercus serrata, C. acutissima, C. mongolica var. crispula, Castanopis cuspidata...).Amérique du Nord et Extrême-Orient. Été-Automne, mycorhizique, sous feuillus (au Japon sous Quercus serrata, Q. acutissima, Q. mongolica var. crispula, Castanopis cuspidata...).-
12/09/2015Boletus auripesPhoto-Boletus_auripes_1989_th_1.jpgAjout photo type Dessin pour Boletus auripes, Copyright (c) 1989 Tsuguo Hongo
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusCommentairesUne des nombreuses espèces asiatiques de Tylopilus, T. vinosobrunneus ss. stricto Hongo se distingue des autres espèces amères par : - son chapeau brun clair à brun rougeâtre, - sa chair roussissante, - ses pleurocystides à contenu huileux ochracé, - et sa cuticule composée de chaînes érigées d'éléments cylindracés. Une des nombreuses espèces asiatiques de Tylopilus, T. vinosobrunneus ss. stricto Hongo se distingue des autres espèces amères par : - son chapeau brun clair à brun rougeâtre, - sa chair roussissante, - ses pleurocystides à contenu huileux ochracé, - et sa cuticule composée de chaînes érigées d'éléments cylindracés. T. ferrugineus (Frost) Singer lui ressemble un peu, mais il a la chair douce et un pied réticulé.-
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChair Descriptionferme, puis molle, assez épaisse, blanche, légèrement rougissante ou rosissante à la coupe et dans les blessures (les récoltes immuables de Taïwan semblent relever d'une espèce distincte), à odeur fongique, saveur amère.ferme, puis molle, assez épaisse, blanche, légèrement rougissante ou rosissante à la coupe et dans les blessures (les récoltes immuables de Taïwan pourraient relever d'une espèce distincte), à odeur fongique, saveur amère.-
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusPores DescriptionTubes déprimés autour du stipe ou presque adnés, blancs, puis rosâtres, brunissant au toucher 5-8 mm de long. Pores minuscules (2-3 par mm), pâles au début, jaune brun avec l'âge, se tachant de brun pâle au toucher.Tubes déprimés autour du stipe ou presque adnés, blancs, puis rosâtres, brunissant au toucher 5-8 mm de long. Pores petits (1-2 par mm), subanguleux, concolores, se tachant de brun pâle au toucher.-
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusStipe FormeCylindracé, ClavéCylindracé, Bulbeux/Ventru-
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusStipe SurfaceRéticuléSublisse-
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusStipe Description7-14 x 1-1,6 cm, épaissi au sommet, robuste, clavé et épaissi à la base. Surface couverte de fibrilles brun vineux à brun violacé, uniformément furfuracé ou granulé, et réticulé au sommet; mycélium basal blanchâtre, chair du stipe blanchâtre, immuable à la coupe, sauf les galeries creusées par les larves qui se colorent de jaune ochracé. 3-9 x 0,5-2 cm, robuste, égal, subventru ou épaissi à la base. Surface lisse, non réticulée, concolore, souvent plus pâle que la chapeau; mycélium basal blanchâtre. -
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusSpores DescriptionSporée brun vineux. Spores 9-12 × 4-5 μm, lisses, à parois minces, subfusoïdes de face, subégales de profil avec une dépression suprahilaire peu profonde, hyaline à jaune pâle dans KOH, jaune pâle dans le Melzer. Basides 34-40 × 9.5-12 μm, clavées, à parois minces, 2- ou 4-spores, hyalines in KOH et Melzer. Pleurocystides 58-94 × 7,5-11,5 μm, éparses, lisses, étroitement fusoïdes à col allongé. Boucles absentes.Sporée brun vineux. Spores 9-12 × 4-5 μm, lisses, ellipsoïdes à subfusoïdes, jaune de miel pâle dans KOH. Basides 4-spores. Pleurocystides abondantes, 35-52(74) × 10-16(18) μm, fusoïdes-ventrues, appointies aux extrémités, jaune d'or, de miel ou hyalines; cheilocystides abondantes, 30-41 × 7,5-13 µm, comme les pleurocystides mais de taille plus petite. Trame des tubes de type Boletus. Hyphes non bouclées.-
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusPores DescriptionTubes 0,3-0,7 cm de long, d'abord pâles mais se tachant de brunâtre au toucher, puis brunâtres, adnés ou déprimés autour du stipe. Pores minuscules (2-3 par mm), pâles au début, jaune brun avec l'âge, se tachant de brun pâle au toucher.Tubes déprimés autour du stipe ou presque adnés, blancs, puis rosâtres, brunissant au toucher 5-8 mm de long. Pores minuscules (2-3 par mm), pâles au début, jaune brun avec l'âge, se tachant de brun pâle au toucher.-
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChapeau Description2-8 cm, convexe à plan-convexe, surface mate à fibrilleuse, légèrement visqueuse dans la jeunesse, puis sèche, d'abord brun violacé à brun-vineux, puis brun orangé à brun rougeâtre, plus ou moins sombre avec l'âge et dans les blessures.(1,5)2-8 cm, convexe puis plan, surface viscidule dans la jeunesse puis sèche, presque lisse, brun clair à brun rougeâtre, brun vineux plus ou moins sombre. Marge incurvée dans la jeunesse.-
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChair ImmuableOui ou NonNon-
10/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChair DescriptionBlanchâtre, légèrement roussissante (les récoltes immuables de Taïwan semblent relever d'une espèce distincte) à la coupe, épaisse, à odeur faible, saveur amère.ferme, puis molle, assez épaisse, blanche, légèrement rougissante ou rosissante à la coupe et dans les blessures (les récoltes immuables de Taïwan semblent relever d'une espèce distincte), à odeur fongique, saveur amère.-
09/09/2015Tylopilus vinosobrunneusPhoto-Tylopilus_vinosobrunneus_1979_th_1.jpgAjout photo type Micro pour Tylopilus vinosobrunneus, Copyright (c) 1979 Tsuguo Hongo
07/09/2015Boletus violaceofuscusPhoto-Boletus_violaceofuscus_1996_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Boletus violaceofuscus, Copyright (c) 1996 Daniel Guez
07/09/2015Boletus violaceofuscusPhoto-Boletus_violaceofuscus_1996_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus violaceofuscus, Copyright (c) 1996 Daniel Guez
07/09/2015Chlorophyllum molybditesPhoto-Chlorophyllum_molybdites_1997_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Chlorophyllum molybdites, Copyright (c) 1997 Daniel Guez
07/09/2015Russula bellaPhoto-Russula_bella_2015_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula bella, Copyright (c) 2015 Daniel Guez
07/09/2015Hemileccinum impolitumCommentairesOdeur nettement iodée (phénolée) à la base du pied. Surtout en plaine, calcicole-sabulicole, thermophile.Odeur nettement iodée (phénolée) à la base du pied. Surtout en plaine, calcicole-sabulicole, thermophile. Très proche de Boletus depilatus dont la structure de la cuticule, macroscopiquement glabre, est nettement subcelluleuse au microscope d'où son chapeau typiquement bosselé, martelé.-
07/09/2015Tylopilus vinosobrunneusPhoto-Tylopilus_vinosobrunneus_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tylopilus vinosobrunneus, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChair DescriptionBlanchâtre, roussissante (les récoltes immuables de Taïwan semblent relever d'une espèce distincte) à la coupe, épaisse, à odeur faible, saveur amère.Blanchâtre, légèrement roussissante (les récoltes immuables de Taïwan semblent relever d'une espèce distincte) à la coupe, épaisse, à odeur faible, saveur amère.-
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusPores DécurrentsOui ou NonNon-
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusPores DescriptionTubes 0,3-0,7 cm de long, d'abord pâles mais se tachant de brunâtre au toucher, puis brunâtres, adnés ou déprimés autour su stipe. Pores minuscules (2-3 par mm), pâles au début, jaune brun avec l'âge, se tachant de brun pâle au toucher.Tubes 0,3-0,7 cm de long, d'abord pâles mais se tachant de brunâtre au toucher, puis brunâtres, adnés ou déprimés autour du stipe. Pores minuscules (2-3 par mm), pâles au début, jaune brun avec l'âge, se tachant de brun pâle au toucher.-
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusStipe Description7-14 x 1-1,6 cm, épaissi au sommet, robuste, clavé et épaissi à la base. Surface couverte de fibrilles brun vineux à brun violacé, uniformément furfuracé ou granulé, et réticulé au sommet; mycélium basal blanchâtre, chair du stipe blanchâtre, immuable à la coupe, sauf les galeries creusées par les larves qui se colorent de jaune ochracé. 7-14 x 1-1,6 cm, épaissi au sommet, robuste, clavé et épaissi à la base. Surface couverte de fibrilles brun vineux à brun violacé, uniformément furfuracé ou granulé, et réticulé au sommet; mycélium basal blanchâtre, chair du stipe blanchâtre, immuable à la coupe, sauf les galeries creusées par les larves qui se colorent de jaune ochracé. -
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusSpores DescriptionSporée brun vineux. Spores 9-12 × 4-5 μm, lisses, à parois minces, subfusoïdes de face, subégales de profil avec une dépression suprahilaire peu profonde, hyaline à jaune pâle dans KOH, jaune pâle dans le Melzer. Basides 34-40 × 9.5-12 μm, clavées, à parois minces, 2- ou 4-spores, hyaline in KOH et Melzer. Pleurocystides 58-94 × 7,5-11,5 μm, éparses, lisses, étroitement fusoïdes à col allongé. Boucles absentes.Sporée brun vineux. Spores 9-12 × 4-5 μm, lisses, à parois minces, subfusoïdes de face, subégales de profil avec une dépression suprahilaire peu profonde, hyaline à jaune pâle dans KOH, jaune pâle dans le Melzer. Basides 34-40 × 9.5-12 μm, clavées, à parois minces, 2- ou 4-spores, hyalines in KOH et Melzer. Pleurocystides 58-94 × 7,5-11,5 μm, éparses, lisses, étroitement fusoïdes à col allongé. Boucles absentes.-
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusCommentaires-Une des nombreuses espèces asiatiques de Tylopilus, T. vinosobrunneus ss. stricto Hongo se distingue des autres espèces amères par : - son chapeau brun clair à brun rougeâtre, - sa chair roussissante, - ses pleurocystides à contenu huileux ochracé, - et sa cuticule composée de chaînes érigées d'éléments cylindracés. -
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChapeau CouleurBrun, MauveBrun, Mauve, Rouge-
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChapeau Description2-8 cm, convexe à plan-convexe, surface mate à fibrilleuse, légèrement visqueuse dans la jeunesse, puis sèche, d'abord brun violacé à brun-vineux, puis brun orangé à noirâtre avec l'âge et dans les blessures.2-8 cm, convexe à plan-convexe, surface mate à fibrilleuse, légèrement visqueuse dans la jeunesse, puis sèche, d'abord brun violacé à brun-vineux, puis brun orangé à brun rougeâtre, plus ou moins sombre avec l'âge et dans les blessures.-
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChair ImmuableOuiOui ou Non-
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChair DescriptionBlanchâtre, immuable à la coupe, odeur faible, saveur amère.Blanchâtre, roussissante (les récoltes immuables de Taïwan semblent relever d'une espèce distincte) à la coupe, épaisse, à odeur faible, saveur amère.-
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusPhoto-Tylopilus_vinosobrunneus_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tylopilus vinosobrunneus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusChapeau VisqueuxNonOui ou Non-
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusStipe Description7-14 x 1-1,6 cm, épaissi au sommet, robuste, clavé et épaissi à la base. Surface couverte de fibrilles brun vineux à brun violacé, uniformément furfuracé ou granulé with vinaceous-brown to purple-brown fibrils, evenly furfuraceous or granulate except the pallid; apex reticulate; base with whitish mycelium; context whitish within, unchanging when cut, but staining ochraceous yellow around larval tunnels. Spore7-14 x 1-1,6 cm, épaissi au sommet, robuste, clavé et épaissi à la base. Surface couverte de fibrilles brun vineux à brun violacé, uniformément furfuracé ou granulé, et réticulé au sommet; mycélium basal blanchâtre, chair du stipe blanchâtre, immuable à la coupe, sauf les galeries creusées par les larves qui se colorent de jaune ochracé. -
06/09/2015Tylopilus vinosobrunneusSpores Description-Sporée brun vineux. Spores 9-12 × 4-5 μm, lisses, à parois minces, subfusoïdes de face, subégales de profil avec une dépression suprahilaire peu profonde, hyaline à jaune pâle dans KOH, jaune pâle dans le Melzer. Basides 34-40 × 9.5-12 μm, clavées, à parois minces, 2- ou 4-spores, hyaline in KOH et Melzer. Pleurocystides 58-94 × 7,5-11,5 μm, éparses, lisses, étroitement fusoïdes à col allongé. Boucles absentes.-
29/08/2015Hemileccinum impolitumPores Description-Tubes sublibres, de longueur moyenne, dépassant rarement l'épaisseur de la chair à mi-rayon, jaune assez clair puis jaune verdâtre, enfin olivâtre, non bleuissants à la coupe. Pores concolores aux tubes, roussissant parfois légèrement avec l'âge ou les intempéries, ouverts dès le début, fins (0,5 à 1 mm), légèrement polygonaux à maturité, non composés.-
29/08/2015Hemileccinum impolitumSpores Description-11-16 x 4,5-6 µm, de forme bolétoïde, sporée olivâtre. Pleurocystides peu abondantes, de longueur variable, étroites, à col progressivement atténué, ou plus moins longuement lagéniformes. Cuticule filamenteuse.-
29/08/2015Hemileccinum impolitumChair Description-ferme, presque blanche ou jaune très clair, jaune plus foncé sous les tubes, en haut du pied et parfois aussi à l'extrême base, non bleuissante (sauf rares exceptions). Base du pied souvent colorée de rougeâtre, plus rarement les morsures. Réactions macro-chimiques nulles. Saveur douce, à peine acidulée, odeur nettement iodée, principalement dans le pied.-
29/08/2015Hemileccinum impolitumStipe Description-cylindracé, parfois un peu renflé vers le milieu, robuste mais non obèse à maturité, court ou long, non sinueux, à base arrondie, rarement terminée par une courte pointe. Surface rugueuse-granuleuse ou seulement floconneuse, jaune en haut, blanchâtre-rosâtre ailleurs, avec une zone annulaire rougeâtre-vineux, souvent discrète, vers le haut. Base parfois piquetée de rougeâtre, rarement envahie de rouge-vineux jusqu'à mi-pied.-
29/08/2015Hemileccinum depilatumPores DescriptionTubes moyennement longs, dépassant à peine l'épaisseur de la chair à mi-rayon de l'hyménium, jaune vif ou citrin, puis jaune-verdâtre, sublibres puis subadnés après croissance complète du pied, non bleuissants à la coupe, sinon exceptionnellement. Pores ouverts dès le début, fins (0,5-1 mm), rarement composés, circulaires, puis anguleux, mais non disposés radialement, concolores aux tubes, rarement roussissant (par temps brumeux ?)Tubes moyennement longs, dépassant à peine l'épaisseur de la chair à mi-rayon de l'hyménium, jaune vif ou citrin, puis jaune-verdâtre, sublibres puis subadnés après croissance complète du pied, non bleuissants à la coupe, sinon exceptionnellement. Pores ouverts dès le début, fins (0,5-1 mm), rarement composés, circulaires, puis anguleux, mais non disposés radialement, concolores aux tubes, jaune à jaune olivacé, rarement roussissant (par temps brumeux ?)-
29/08/2015Hemileccinum depilatumStipe DescriptionD'abord long et robuste par rapport au chapeau, puis plus élancé, vaguement fuselé, atténué-radicant sur près de la moitié inférieure qui est enterrée profondément et plus ou moins terminé en pointe. D'abord blanchâtre, surtout dans la partie enterrée, puis progressivement jaune pâle dans la partie aérienne, ou seulement au sommet, et enfin se tachant progressivement (mais de façon inconstante, et surtout dans les récoltes méridionales) de rougeâtre vineux, sous la forme typique d'un anneau près du sommet, et de macules ou de plages variables en dessous. Revêtement presque lisse, sauf quelques fines granulations concolores, floconneuses dans la partie aérienne.D'abord long et robuste par rapport au chapeau, puis plus élancé, vaguement fuselé, tortueux et atténué-subradicant sur près de la moitié inférieure qui est enterrée profondément et plus ou moins terminé en pointe. D'abord blanchâtre, surtout dans la partie enterrée, puis progressivement jaune pâle dans la partie aérienne, ou seulement au sommet, et enfin se tachant progressivement (mais de façon inconstante, et surtout dans les récoltes méridionales) de rougeâtre vineux, sous la forme typique d'un anneau près du sommet, et de macules ou de plages variables en dessous. Revêtement presque lisse, sauf quelques fines granulations concolores, floconneuses dans la partie aérienne.-
29/08/2015Hemileccinum depilatumSpores DescriptionSporée olivâtre. Spores 11-15(16) x 5-6 µm. Pleurocystides peu nombreuses, peu larges (7-10 µm), longuement fusoïdes, à col souvent peu marqué.Sporée olivâtre. Spores 11-15(16) x 5-6 µm, jaune verdâtre. Pleurocystides peu nombreuses 30-60, peu larges (7-10 µm), longuement fusoïdes, à col souvent peu marqué.-
29/08/2015Hemileccinum impolitumRéférencesFE 2 pl. 39 ; BK 3 11 ; Bon p. 37 ; CD 1678 ; Cetto 270 2459 ; Engel (2) 26 ; Galli p. 197 ; Marchand 158 ; MRT 32 ; Phillips p. 196 ; Eyssartier et Roux p. 86BSMF 101 (4) p. 394-395 ; FE 2 pl. 39 ; BK 3 11 ; Bon p. 37 ; CD 1678 ; Cetto 270 2459 ; Engel (2) 26 ; Galli p. 197 ; Marchand 158 ; MRT 32 ; Phillips p. 196 ; Eyssartier et Roux p. 86-
29/08/2015Hemileccinum impolitumCommentairesOdeur phénolée à la base du pied. Surtout en plaine, calcicole, thermophile.Odeur nettement iodée (phénolée) à la base du pied. Surtout en plaine, calcicole-sabulicole, thermophile.-
29/08/2015Hemileccinum impolitumChapeau Description-7-12(18) cm, longtemps hémisphérique-convexe, puis étalé et plus ou moins lobé à la fin, rarement bosselé. Cuticule mate et remarquablement filamenteuse sous la loupe, à feutrage dense, imbriqué et apprimé, souvent condensé en très fines méchules aranéuses, de couleur terne et assez variable, typiquement gris-beige, gris-verdâtre, rarement rosâtre à brun-violacé ou bai, comme Boletus appendiculatus, virant temporairement au violacé sombre aux vapeurs de NH3. Marge typiquement anguleuse-tranchante chez le jeune, puis un peu arrondie à la croissance complète des tubes. Marginelle variable, généralement peu développée.-
29/08/2015Hemileccinum impolitumEcologie HabitatSous feuillusSous feuillus, Chênes-
29/08/2015Hemileccinum impolitumEcologie Description-Espèce peu commune, dispersée ou en petites troupes, parfois dès juin, mais surtout d'août à octobre, sous feuillus thermophiles en plaine, mais aussi talus, parcs et bords des routes, tous types de sols et d'essences (chênaies thermophiles préférentielles?), fidèle à ses stations. Toute l'Europe et pourtour méditerranéen.-
28/08/2015Hemileccinum depilatumCommentairesProche de Boletus impolitus dont il diffère par la structure de la cuticule, macroscopiquement glabre et nettement subcelluleuse au microscope. Chapeau cabossé, bosselé, martelé. Stipe atténué plus ou moins profondément enterré. Sous feuillus surtout charmes de préférence en terrain calcaire. Odeur d'iode, ou de phénol comme B. impolitus et Agaricus xanthoderma, disparaissant à la cuisson.Proche de Boletus impolitus dont il diffère par la structure de la cuticule, macroscopiquement glabre et nettement subcelluleuse au microscope. Chapeau cabossé, bosselé, martelé. Stipe atténué plus ou moins profondément enterré. Sous feuillus surtout charmes de préférence en terrain calcaire. Odeur d'iode, ou de phénol comme B. impolitus et Agaricus xanthoderma, disparaissant à la cuisson. Très semblable à Leccinum hortonii ou L. subglabripes (Amérique du Nord, Japon) aux teintes plus rougeâtres, moins radicant et spores légèrement plus grandes.-
28/08/2015Hemileccinum depilatumEcologie Descriptionen petites troupes très dispersées, fidèle à ses stations, même sèches, sous feuillus, surtout Carpinus, en terrain calcaire, en été (juillet-septembre), France, Corse, Italie, Tchéquie, Slovaquie...Espèce peu commune (et confondue avec impolitus) venant en petites troupes très dispersées, fidèle à ses stations, même sèches, sous feuillus, surtout Carpinus, en terrain calcaire, en été (juillet-septembre), France, Corse, Italie, Tchéquie, Slovaquie...-
28/08/2015Hemileccinum depilatumPhoto-Boletus_depilatus_1896_pr_1.jpgAjout photo type Mixte pour Boletus depilatus, Copyright (c) 1896 Peltereau & Redeuilh
28/08/2015Hemileccinum depilatumPhotoBoletus_depilatus_1896_pr_1.jpg-Suppression photo
28/08/2015Hemileccinum depilatumPhoto-Boletus_depilatus_1896_pr_1.jpgAjout photo type Mixte pour Boletus depilatus, Copyright (c) 1896 Peltereau & Redeuilh
28/08/2015Hemileccinum depilatumCommentairesProche de Boletus impolitus dont il diffère par la structure de la cuticule, macroscopiquement glabre et nettement subcelluleuse au microscope. Chapeau cabossé, bosselé, martelé. Stipe atténué plus ou moins profondément enterré. Sous feuillus surtout charmes de préférence en terrain calcaire. Proche de Boletus impolitus dont il diffère par la structure de la cuticule, macroscopiquement glabre et nettement subcelluleuse au microscope. Chapeau cabossé, bosselé, martelé. Stipe atténué plus ou moins profondément enterré. Sous feuillus surtout charmes de préférence en terrain calcaire. Odeur d'iode, ou de phénol comme B. impolitus et Agaricus xanthoderma, disparaissant à la cuisson.-
28/08/2015Hemileccinum depilatumEcologie Descriptionen petites troupes très dispersées, sous feuillus, surtout sous Carpinus, en terrain calcaire, en été (juillet-septembre), France, Italie, Tchéquie, Slovaquie...en petites troupes très dispersées, fidèle à ses stations, même sèches, sous feuillus, surtout Carpinus, en terrain calcaire, en été (juillet-septembre), France, Corse, Italie, Tchéquie, Slovaquie...-
28/08/2015Hemileccinum depilatumCommentairesProche de Boletus impolitus dont il diffère par la structure de la cuticule. Chapeau cabossé, bosselé, martelé. Stipe atténué plus ou moins profondément enterré. Sous feuillus surtout charmes de préférence en terrain calcaire. Proche de Boletus impolitus dont il diffère par la structure de la cuticule, macroscopiquement glabre et nettement subcelluleuse au microscope. Chapeau cabossé, bosselé, martelé. Stipe atténué plus ou moins profondément enterré. Sous feuillus surtout charmes de préférence en terrain calcaire. -
28/08/2015Hemileccinum depilatumChapeau Description6-12(15) cm, hémisphérique à convexe-pulviné (en forme de coussin), vite étalé, à la fin souvent entièrement plan. Marge aiguë, avec une fine marginelle peu ou non rabattue sur les tubes, ou obtuse et alors à marginelle subnulle. Surface parsemée de multiples dépressions ou fossettes, donnant un aspect bosselé-martelé caractéristique, rarement unie régulière chez les jeunes. A maturité, les dépressions s'estompent, sauf vers la marge. La zone bosselée peut parfois être circonscrite à mi-rayon, formant une "couronne" encore visible chez l'adulte. Cuticule molle-humide et légèrement translucide, mais non séparable, d'abord brun fauve à brun ocracé, chamois, s'éclaircissant vite crème-alutacé, café-au-lait, plus ou moins pâle, mastic, rarement grisonnant, les fossettes gardant parfois leur couleur plus sombre d'origine, d'où un aspect marbré. Revêtement très doux, comme satiné au toucher, subpruineux à subvelouté chez les jeunes, et mat, mais en réalité glabre, même sous la loupe, sans la moindre méchule ou feutrage. Elle vire rapidement au lilas-violacé persistant au contact des vapeurs de NH3.6-12(15) cm, hémisphérique à convexe-pulviné (en forme de coussin), vite étalé, à la fin souvent entièrement plan. Marge aiguë, avec une fine marginelle peu ou non rabattue sur les tubes, ou obtuse et alors à marginelle subnulle. Surface parsemée de multiples dépressions ou fossettes, donnant un aspect bosselé-martelé caractéristique, rarement unie régulière chez les jeunes. A maturité, les dépressions s'estompent, sauf vers la marge. La zone bosselée peut parfois être circonscrite à mi-rayon, formant une "couronne" encore visible chez l'adulte. Cuticule molle-humide et légèrement translucide, mais non séparable, d'abord brun fauve à brun ocracé, chamois, s'éclaircissant vite crème-alutacé, café-au-lait, plus ou moins pâle, mastic, rarement grisonnant, les fossettes gardant parfois leur couleur plus sombre d'origine, d'où un aspect marbré. Revêtement très doux, comme satiné au toucher, subpruineux à subvelouté chez les jeunes, et mat, mais en réalité glabre, même sous la loupe, sans la moindre méchule ou feutrage. La cuticule vire rapidement au lilas-violacé persistant au contact des vapeurs de NH3.-
28/08/2015Hemileccinum depilatumChair CouleurBlanc, Crème, JauneBlanc, Crème, Jaune, Rouge, Vert-
28/08/2015Hemileccinum depilatumChair Descriptionferme, légèrement cortiquée et fibreuse dans le pied.ferme, légèrement cortiquée et fibreuse dans le pied (adultes), d'abord citrin pâle puis presque blanche à maturité, sauf sous les tubes et en haut du pied où elle reste d'un jaune plus soutenu, ainsi qu'à la base du pied où elle est parfois jaune-ocre. Non bleuissante mais se tache assez fréquemment de rougeâtre ou de rosâtre vineux avec l'âge et selon les intempéries, d'abord à la base du pied, puis en haut du pied, puis partout et dans les morsures. Elle peut aussi rester intacte ou bien prendre dans la moitié inférieure du pied une teinte gris-bleuté ou verdâtre-olivâtre caractéristique. Saveur douce, à peine acidule. Odeur nettement iodée, presque toujours perceptible dans le pied.-
28/08/2015Hemileccinum depilatumSpores Description-Sporée olivâtre. Spores 11-15(16) x 5-6 µm. Pleurocystides peu nombreuses, peu larges (7-10 µm), longuement fusoïdes, à col souvent peu marqué.-
28/08/2015Hemileccinum depilatumEcologie Description-en petites troupes très dispersées, sous feuillus, surtout sous Carpinus, en terrain calcaire, en été (juillet-septembre), France, Italie, Tchéquie, Slovaquie...-
27/08/2015Hemileccinum depilatumChair Description-ferme, légèrement cortiquée et fibreuse dans le pied.-
27/08/2015Hemileccinum depilatumStipe CouleurCrème, Jaune, RougeBlanc, Crème, Jaune, Rouge-
27/08/2015Hemileccinum depilatumStipe Description-D'abord long et robuste par rapport au chapeau, puis plus élancé, vaguement fuselé, atténué-radicant sur près de la moitié inférieure qui est enterrée profondément et plus ou moins terminé en pointe. D'abord blanchâtre, surtout dans la partie enterrée, puis progressivement jaune pâle dans la partie aérienne, ou seulement au sommet, et enfin se tachant progressivement (mais de façon inconstante, et surtout dans les récoltes méridionales) de rougeâtre vineux, sous la forme typique d'un anneau près du sommet, et de macules ou de plages variables en dessous. Revêtement presque lisse, sauf quelques fines granulations concolores, floconneuses dans la partie aérienne.-
27/08/2015Hemileccinum depilatumChapeau Description6-12(15) cm, hémisphérique à convexe-pulviné (en forme de coussin), vite étalé, en fin souvent entièrement plan. Marge aiguë, avec une fine marginelle peu ou non rabattue sur les tubes, ou obtuse et marginelle subnulle. Surface parsemées de multiples dépressions ou fossettes, donnant un aspect bosselé-martelé caractéristique, rarement unie régulière chez les jeunes. A maturité, les dépressions s'estompent, sauf vers la marge. La zone bosselée peut être circonscrite à mi-rayon, formant une "couronne" encore visible chez l"adulte. Cuticule molle humide et légèrement translucidee mais non séparable, d'abord brun fauve à brun ocracé, chamois, s'éclaircissant vite crème-alutacé, café-au-lait, plus ou moins pâle, mastic, rarement grisonnant, les fossettes gardant parfois leur couleur plus sombre d'origine, d'où un aspect marbré. Revêtement très doux, satiné au toucher, subpruineux à subvelouté chez les jeunes, et mat, mais en réalité glabre même sous la loupe, sans la moindre méchule ou feutrage.6-12(15) cm, hémisphérique à convexe-pulviné (en forme de coussin), vite étalé, à la fin souvent entièrement plan. Marge aiguë, avec une fine marginelle peu ou non rabattue sur les tubes, ou obtuse et alors à marginelle subnulle. Surface parsemée de multiples dépressions ou fossettes, donnant un aspect bosselé-martelé caractéristique, rarement unie régulière chez les jeunes. A maturité, les dépressions s'estompent, sauf vers la marge. La zone bosselée peut parfois être circonscrite à mi-rayon, formant une "couronne" encore visible chez l'adulte. Cuticule molle-humide et légèrement translucide, mais non séparable, d'abord brun fauve à brun ocracé, chamois, s'éclaircissant vite crème-alutacé, café-au-lait, plus ou moins pâle, mastic, rarement grisonnant, les fossettes gardant parfois leur couleur plus sombre d'origine, d'où un aspect marbré. Revêtement très doux, comme satiné au toucher, subpruineux à subvelouté chez les jeunes, et mat, mais en réalité glabre, même sous la loupe, sans la moindre méchule ou feutrage. Elle vire rapidement au lilas-violacé persistant au contact des vapeurs de NH3.-
27/08/2015Hemileccinum depilatumPores Description-Tubes moyennement longs, dépassant à peine l'épaisseur de la chair à mi-rayon de l'hyménium, jaune vif ou citrin, puis jaune-verdâtre, sublibres puis subadnés après croissance complète du pied, non bleuissants à la coupe, sinon exceptionnellement. Pores ouverts dès le début, fins (0,5-1 mm), rarement composés, circulaires, puis anguleux, mais non disposés radialement, concolores aux tubes, rarement roussissant (par temps brumeux ?)-
27/08/2015Hemileccinum depilatumSynonymesB. obsonium BlumBoletus obsonium (Paulet) Fr. 1838, ss. Blum, non ss. Paulet, nec ss. Fr. ; Leccinum depilatum (Redeuilh) Sutara 1989 ; Xerocomus depilatus (Redeuilh) Manfr. Binder & Besl 2001 ; Hemileccinum depilatum (Redeuilh) Sutara 2008-
27/08/2015Hemileccinum depilatumRéférencesBK 3 6 ; CD 1679 ; Galli p. 199 ; Bon p. 36 ; Eyssartier et Roux p. 86BSMF 101 (4) p. 389 (1986) ; BK 3 6 ; CD 1679 ; Galli p. 199 ; Bon p. 36 ; Eyssartier et Roux p. 86-
27/08/2015Hemileccinum depilatumChapeau Description-6-12(15) cm, hémisphérique à convexe-pulviné (en forme de coussin), vite étalé, en fin souvent entièrement plan. Marge aiguë, avec une fine marginelle peu ou non rabattue sur les tubes, ou obtuse et marginelle subnulle. Surface parsemées de multiples dépressions ou fossettes, donnant un aspect bosselé-martelé caractéristique, rarement unie régulière chez les jeunes. A maturité, les dépressions s'estompent, sauf vers la marge. La zone bosselée peut être circonscrite à mi-rayon, formant une "couronne" encore visible chez l"adulte. Cuticule molle humide et légèrement translucidee mais non séparable, d'abord brun fauve à brun ocracé, chamois, s'éclaircissant vite crème-alutacé, café-au-lait, plus ou moins pâle, mastic, rarement grisonnant, les fossettes gardant parfois leur couleur plus sombre d'origine, d'où un aspect marbré. Revêtement très doux, satiné au toucher, subpruineux à subvelouté chez les jeunes, et mat, mais en réalité glabre même sous la loupe, sans la moindre méchule ou feutrage.-
26/08/2015Hemileccinum depilatumPhoto-Boletus_depilatus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus depilatus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumChapeau Description(3)7-12(15) cm, convexe ou sub-mamelonné, à marge enroulée et un peu crénelée avec l'âge; revêtement soyeux, mat à plus ou moins glacé, blanc pur, puis plus ou moins taché d'ocracé roussâtre ou de verdâtre sale à la manipulation, et pouvant devenir entièrement mastic ;(3) 7-12 (15) cm, convexe ou sub-mamelonné, à marge enroulée et un peu crénelée avec l'âge; revêtement soyeux, mat à plus ou moins glacé, blanc pur, puis plus ou moins taché d'ocracé roussâtre ou de verdâtre sale à la manipulation, pouvant devenir entièrement mastic ;-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumStipe Description(4)8-12(13) x 0,8-1,5 (2) cm, subégal, blanchâtre, se tachant souvent d'ochracé ou de rosâtre.(4) 8-12 (13) x 0,8-1,5 (2) cm, subégal, blanchâtre, se tachant souvent d'ochracé ou de rosâtre.-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumSpores Description(5)5,5-6,5(7) x 3,5-4(4,5) µm, elliptiques à ovo-amygdaloïdes, lisses.(5) 5,5-6,5 (7) x 3,5-4 (4,5) µm, elliptiques à ovo-amygdaloïdes, lisses.-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumAuteur(N. Lund) P. Karst. 1879(N. Lund.) P. Karst. 1879-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumRéférencesBon p. 151 ; CD 369 ; Cetto 1014 ; Galli p. 73 ; Marchand 842 ; FE 3 p. 433 ; Eyssartier et Roux p. 498DM HS 2 p. 47-48 ; Bon p. 151 ; CD 369 ; Cetto 1014 ; Galli p. 73 ; Marchand 842 ; FE 3 p. 433 ; Eyssartier et Roux p. 498-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumCommentairesMarge cannelée. Odeur d'insecticide.Espèce blanche à saveur âcre. Marge cannelée. Odeur d'insecticide.-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumChapeau Description3-12 cm, mat, blanc à centre souvent ochracé et pouvant devenir entièrement mastic ; bord souvent cannelé et enroulé.(3)7-12(15) cm, convexe ou sub-mamelonné, à marge enroulée et un peu crénelée avec l'âge; revêtement soyeux, mat à plus ou moins glacé, blanc pur, puis plus ou moins taché d'ocracé roussâtre ou de verdâtre sale à la manipulation, et pouvant devenir entièrement mastic ;-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumChair DescriptionBlanche.Blanche. Odeur forte terreuse, dite de "poussière de grange", ou d'insecticide (Lindane, HCH). Saveur âcre-amère. TL4 et Sulfoformol verts, Gaïac lentement positif (+).-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumLames DescriptionEchancrées, serrées et régulières, blanches, crème ou même rosâtre.Échancrées, assez serrées et régulières, blanches à plus ou moins ocracées avec l'âge, crème ou même rosâtre.-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumStipe Description4-12 x 0,9-2,5, blanc, se tachant souvent d'ochracé ou de rosâtre.(4)8-12(13) x 0,8-1,5 (2) cm, subégal, blanchâtre, se tachant souvent d'ochracé ou de rosâtre.-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumSpores Description5-6,5 x 3,5-4,5 µm, elliptiques à ovoïdes, lisses.(5)5,5-6,5(7) x 3,5-4(4,5) µm, elliptiques à ovo-amygdaloïdes, lisses.-
22/08/2015Tricholoma stiparophyllumEcologie DescriptionSurtout sous bouleaux, mais présent également sous d'autres feuillus.Taillis de feuillus neutrocalcicoles plutôt humides, surtout sous bouleaux, parfois rudéral parmi les orties.-
09/08/2015Hypholoma tuberosumPhoto-Hypholoma_tuberosum_2000_nsh_1.jpgAjout photo type Micro pour Hypholoma tuberosum, Copyright (c) 2000 Nagasawa, Shimono & Hongo
09/08/2015Hypholoma tuberosumPhoto-Hypholoma_tuberosum_2000_en_1.jpgAjout photo type Dessin pour Hypholoma tuberosum, Copyright (c) 2000 Eiji Nagasawa
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaSynonymesAgaricus spadiceogriseus Schaeff. 1774 ; Agaricus pallescens Batsch 1783 ; Psathyra s. (Schaeff.) P. Kumm. 1871 ; Drosophila s. (Schaeff.) Quél. 1886 ; Pratella s. (Schaeff.) Kirchn. & W. Eichler 1894 ; Pilosace s. (Schaeff.) Kuntze 1898 ; Psilocybe s. (Schaeff.) Boud. 1911 ; Psathyra obtusata var. vernalis J.E. Lange 1940 ; P. exalbicans (Romagn.) Bon 1983 ; P. exalbicans (Romagn.) Romagn. 1982 ; P. exalbicans (Romagn.) M.M. Moser, in Gams 1955 ; Drosophila mammifera Romagn. 1976 ; P. phaseolispora Arnolds 1982 ; P. obtusata var. utriformis Kits van Wav. 1982 ; Psathyrella s. f. exalbicans (Romagn.) Kits van Wav. 1985 ; Psathyrella s. f. mammifera (Romagn.) Kits van Wav. 1985 ; P. grogoeriAgaricus spadiceogriseus Schaeff. 1774 ; Agaricus pallescens Batsch 1783 ; Psathyra s. (Schaeff.) P. Kumm. 1871 ; Drosophila s. (Schaeff.) Quél. 1886 ; Pratella s. (Schaeff.) Kirchn. & W. Eichler 1894 ; Pilosace s. (Schaeff.) Kuntze 1898 ; Psilocybe s. (Schaeff.) Boud. 1911 ; Psathyra obtusata var. vernalis J.E. Lange 1940 ; P. exalbicans (Romagn.) Bon 1983 ; P. exalbicans (Romagn.) Romagn. 1982 ; P. exalbicans (Romagn.) M.M. Moser, in Gams 1955 ; Drosophila mammifera Romagn. 1976 ; P. phaseolispora Arnolds 1982 ; P. obtusata var. utriformis Kits van Wav. 1982 ; Psathyrella s. f. exalbicans (Romagn.) Kits van Wav. 1985 ; Psathyrella s. f. mammifera (Romagn.) Kits van Wav. 1985 ; ? P. grogoeri-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaRéférencesMoser p. 280 ; KR p. 364 ; L 153-D ; KM 40 ; Bres 868 ; Ricken 676 ; Cetto 897 ; IH1 313 ; Bon p. 267 ; CD 813 ; Eyssartier et Roux p. 900Moser p. 280 ; KR p. 364 ; L 153-D ; KM 40 ; Bresadola 868 ; Ricken 676 ; Cetto 897 ; IH1 313 ; Bon p. 267 ; CD 813 ; Eyssartier et Roux p. 900-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaCommentairesJapon (アシナガイタチタケ Ashinaga_itachitaké = " Psathyrelle à lon pied ")Japon (アシナガイタチタケ Ashinaga_itachitaké = " Psathyrelle à long pied ")-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaRéférencesBon p. 267 ; CD 813 ; Eyssartier et Roux p. 900Moser p. 280 ; KR p. 364 ; L 153-D ; KM 40 ; Bres 868 ; Ricken 676 ; Cetto 897 ; IH1 313 ; Bon p. 267 ; CD 813 ; Eyssartier et Roux p. 900-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaCommentairesDès le printemps.Japon (アシナガイタチタケ Ashinaga_itachitaké = " Psathyrelle à lon pied ")-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaChapeau Description-4-6 cm, un peu mamelonné, lisse à micacé ou ruguleux, brun chaud à brun jaune, fauve ocracé, souvent terni et grisonnant, plus brun au disque et marge souvent brun châtain, hygrophane, gris brunâtre pâle au sec. Marge striée, vite glabre.-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaChair Description-pâle ou sale.-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaLames Description-peu serrées, ventrues, grises puis gris brunâtre à brun chocolat.-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaStipe CouleurBrun, CrèmeBlanc, Brun, Crème-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaStipe Description-8-10(12) x à,5 cm, blanchâtre à ocracé jaunâtre ou brunâtre, fibrillo-soyeux. -
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaSpores Description-9 x 5 µm, sub-réniformes, à pore moyen. Pleurocystides utrifomes, marginales, sphéro-pédonculées.-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaEcologie Description-Assez commun dès le printemps, en Europe et Afrique du Nord, Asie. En sous-bois et lisières herbeuses, sur la terre nue ou débris divers.-
09/08/2015Psathyrella spadiceogriseaSynonymesAgaricus spadiceogriseus Schaeff. 1774 ; Agaricus pallescens Batsch 1783) ; Psathyra s. (Schaeff.) P. Kumm. 1871 ; Drosophila s. (Schaeff.) Quél. 1886 ; Pratella s. (Schaeff.) Kirchn. & W. Eichler 1894 ; Pilosace s. (Schaeff.) Kuntze 1898 ; Psilocybe s. (Schaeff.) Boud. 1911 ; Psathyra obtusata var. vernalis J.E. Lange 1940 ; Psathyrella phaseolispora Arnolds 1982 ; P. grogoeriAgaricus spadiceogriseus Schaeff. 1774 ; Agaricus pallescens Batsch 1783 ; Psathyra s. (Schaeff.) P. Kumm. 1871 ; Drosophila s. (Schaeff.) Quél. 1886 ; Pratella s. (Schaeff.) Kirchn. & W. Eichler 1894 ; Pilosace s. (Schaeff.) Kuntze 1898 ; Psilocybe s. (Schaeff.) Boud. 1911 ; Psathyra obtusata var. vernalis J.E. Lange 1940 ; P. exalbicans (Romagn.) Bon 1983 ; P. exalbicans (Romagn.) Romagn. 1982 ; P. exalbicans (Romagn.) M.M. Moser, in Gams 1955 ; Drosophila mammifera Romagn. 1976 ; P. phaseolispora Arnolds 1982 ; P. obtusata var. utriformis Kits van Wav. 1982 ; Psathyrella s. f. exalbicans (Romagn.) Kits van Wav. 1985 ; Psathyrella s. f. mammifera (Romagn.) Kits van Wav. 1985 ; P. grogoeri-
07/08/2015Psathyrella spadiceogriseaAuteur(Sch.) Maire(Schaeff.) Maire 1937-
07/08/2015Psathyrella spadiceogriseaSynonymesgrogoeriAgaricus spadiceogriseus Schaeff. 1774 ; Agaricus pallescens Batsch 1783) ; Psathyra s. (Schaeff.) P. Kumm. 1871 ; Drosophila s. (Schaeff.) Quél. 1886 ; Pratella s. (Schaeff.) Kirchn. & W. Eichler 1894 ; Pilosace s. (Schaeff.) Kuntze 1898 ; Psilocybe s. (Schaeff.) Boud. 1911 ; Psathyra obtusata var. vernalis J.E. Lange 1940 ; Psathyrella phaseolispora Arnolds 1982 ; P. grogoeri-
03/08/2015Atheniella adonisRéférencesKR p. 113 ; Bon p. 183 ; BK 3 313 ; CD 605 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 693 ; IH1 p. 105 ; DM 57 p. 99 ; FMDS 162 p. 25-26 ; Eyssartier et Roux p. 400KR p. 113 ; Bon p. 183 ; BK 3 313 ; CD 605 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 693 ; IH1 p. 105 ; IOH p. 134 ; DM 57 p. 99 ; FMDS 162 p. 25-26 ; Eyssartier et Roux p. 400-
03/08/2015Atheniella adonisSpores DescriptionBasides ordinairement bisporiques, 20-35 x 5-7 µm, cylindro-clavées, non bouclées; spores (7,5) 8-11,5 (12) x 4,5-6,5 µm, elliptiques à sublarmiformes, non amyloïdes. Cheilos 35-80 x 3-14 µm, fusi-lagéniformes; Cystides faciales nombreuses, ventrues-fusiformes. Trame inerté au Melzer; Revêtement piléique en cutis (section Adonidae, groupe Amabilissimae).Basides ordinairement bisporiques, 20-35 x 5-7 µm, cylindro-clavées, non bouclées; spores (7,5) 8-11,5 (12) x 4,5-6,5 µm, elliptiques à sublarmiformes, non amyloïdes. Cheilos 35-80 x 3-14 µm, fusi-lagéniformes; Cystides faciales nombreuses, ventrues-fusiformes. Trame inerte au Melzer; Revêtement piléique en cutis (section Adonidae, groupe Amabilissimae).-
03/08/2015Atheniella adonisNoms françaisMycène adonis ; Mycène jolieMycène adonis ; Mycène jolie ; Prune rouge(コウバイタケ)-
03/08/2015Atheniella adonisRéférencesBon p. 183 ; BK 3 313 ; CD 605 ; Eyssartier et Roux p. 400KR p. 113 ; Bon p. 183 ; BK 3 313 ; CD 605 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 693 ; IH1 p. 105 ; DM 57 p. 99 ; FMDS 162 p. 25-26 ; Eyssartier et Roux p. 400-
03/08/2015Atheniella adonisChapeau Description-0,5-2 cm (2-5 mm dans la var. rubella Quél.), pointu en bonnet de lutin, puis s'étalant, strié, à peine lubrifié, d'une belle couleur rouge corail, rose-rouge, rose-carminé, palissant en rouge orangé ou saumon (ou rouge-écarlate persistante dans la var. coccinea).-
03/08/2015Atheniella adonisChair Description-un peu aqueuse, blanche ou pâle.-
03/08/2015Atheniella adonisLames Description-assez espacées, étroitement adnées, blanches ou rosé pâle.-
03/08/2015Atheniella adonisStipe CouleurBlanc, BrunBlanc, Brun, Rouge-
03/08/2015Atheniella adonisStipe Description-1-3 x 0,1-0,2 cm, fragile, finement pruineux, rosé puis d'un blanc pur ou parfois un peu jaunâtre dans la forme type, (rose vif dans la var. coccinea Sow., blanc ou rose dans la var. rubella Quél.).-
03/08/2015Atheniella adonisSpores Description-Basides ordinairement bisporiques, 20-35 x 5-7 µm, cylindro-clavées, non bouclées; spores (7,5) 8-11,5 (12) x 4,5-6,5 µm, elliptiques à sublarmiformes, non amyloïdes. Cheilos 35-80 x 3-14 µm, fusi-lagéniformes; Cystides faciales nombreuses, ventrues-fusiformes. Trame inerté au Melzer; Revêtement piléique en cutis (section Adonidae, groupe Amabilissimae).-
03/08/2015Atheniella adonisEcologie Description-Mousse et débris végétaux des tourbières ou des bois humides, légèrement acidophiles. Large distribution mais très rare par endroits.-
03/08/2015Atheniella adonisSynonymes-Atheniella adonis (Bull.) Redhead, Moncalvo, Vilgalys, Desjardin & B.A. Perry 2012 ; Mycena floridula f. evanida Malençon ex Robich 2009 ; Mycena floridula (Fr.) P. Karst. 1876 ; Mycena rubella Quél. 1884 ; Mycena adonis var. coccinea (Quél.) Kühner 1938-
02/08/2015Atheniella adonisPhoto-Mycena_adonis_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Mycena adonis, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
02/08/2015Antrodiella zonataSynonymesIrpex zonatus Berk. 1854 Xylodon zonatus ( Berk.) Kuntze 1898 Hydnum decurrens Berk. 1891 Irpiciporus japonicus Murrill 1909Irpex zonatus Berk. 1854 ; Xylodon zonatus (Berk.) Kuntze 1898 ; Hydnum decurrens Berk. 1891 ; Irpex brevis Berk. 1855 ; Irpex cingulatus Lloyd 1918 ; Irpex decurrens Berk. ex Cooke 1891 ; Irpex japonicus (Murrill) Sacc. & Trotter 1912 ; Irpiciporus japonicus Murrill 1909 ; Polyporus japonicus (Murrill) Teng 1936 ; Xylodon brevis (Berk.) Kuntze 1898 ; Xylodon decurrens (Berk. ex Cooke) Kuntze 1898 ; Coriolus brevis (Berk.) Aoshima 1967-
02/08/2015Antrodiella zonataNoms français-Coriole zonée ; Irpex bref (ニクウスバタケ)-
02/08/2015Antrodiella zonataRéférencesNunez & Ryvarden East Asian PolyporesIH2 799 ; IOH p. 474 ; Nunez & Ryvarden East Asian Polypores-
02/08/2015Antrodiella zonataCommentairesPas rare. Distribution: Nouvelle Zélande, Australie, Argentine ( sud ), Inde, Chine, Vietnam, Russie d'Extème-Orient, Japon. Pas rare mais absent d'Europe. Largement distribué : Nouvelle Zélande, Australie, Argentine (sud), Inde, Chine, Japon, Taïwan, Vietnam, Russie d'Extrême-Orient. Les récoltes asiatiques sont acystidiées ! -
02/08/2015Antrodiella zonataPores/Dessous DescriptionSurface inférieure poroïde, bientôt irpicoïde comme les pores, pruineuse, concolore, 1 à 2 par mm , dents aplaties à rondes et pointues.Surface inférieure poroïde, bientôt irpicoïde comme les pores, pruineuse, concolore, 1 à 2 par mm , dents aplaties à rondes et pointues, 1-2 mm de long.-
02/08/2015Antrodiella zonataEcologie DescriptionSur feuillus morts.en troupes sur toutes sortes de feuillus morts.-
27/07/2015Pleurocybella porrigensCommentairesAu Japon, Sugi hira také (杉平茸) signifie "Pleurote du Sugi" (arbre majestueux voisin du cèdre du Liban, Cryptomeria japonica). Comme le pleurote en huitre, il colonise les troncs de conifères et Cryptomérias en jolies troupes de chapeaux blancs de 6 à 10 cm, spatulés pétaloïdes. très élégants. Les lames sont assez larges, blanches à crème. Le pied est nul.. En 2001, c'était la consternation en France après les 4 décès (sur 13 hospitalisations) dans les Landes après consommation du Tricholome équeste (Tricholoma auratum), frais ou même en boîte. Un champignon toujours très prisé dans ses régions de prédilection, notamement les pinèdes de la côte atlantique. C'est au tour du Japon de connaître en automne 2004, une série d'accidents similaires. La liste des champignons toxiques ne cesse d'augmenter dans le monde, parfois en raison des progrès de l'analyse, mais souvent comme ici, par la nécrologie brutale et incompréhensible de mycophages pourtant bon connaisseurs, comme ici à Niigata. Source: Nihon kingakkai (Société Mycologique du Japon) et Mainichi shinbun du 22 10 2004. 5 décès sur les 11 intoxiqués hospitalisés dans le département de Niigata tandis que les deux autres personnes hospitalisées dans le département de Yamagata sont décédées dans les mêmes conditions. Pour 10 sur ces 11 personnes, la consommation de Sugi-hira také (Pleurocybella porrigens, "Pleurote en oreille " en français) a été confirmée par l'enquête des mycologues. L'autre personne étant décédée sans laisser aucune information sur une consommation fongique éventuelle. Double surprise: d'abord ce champignon était considéré comme comestible dans tout le pays, comme ailleurs dans le monde, notamment en France où il est donné comestible dans tous les guides. De plus, aucun symptôme "classique" gastro-intestinal (ni diarrhée, ni vomissements etc.) n'a été observé Les intoxiqués ont présenté une chute brutale du tonus musculaire dans les jambes, interdisant la marche, puis l'apparition de mouvements incontrôlés et parasites des membres, enfin des convulsions, coma avec décès brutal pour 5 d'entre-eux. Une seule personne sur les onze hospitalisée de Niigata a quitté l’hôpital indemne à ce jour, cinq sont mortes, et les cinq autres sont en soins intensifs. Les deux intoxiqués de Yamagata sont décédés. La plupart des intoxiqués étaient des insuffisants rénaux, certains avec rein artificiel (!). la poussée de Pleurocybella porrigens a été estimée à près du double des moyennes annuelles. Beaucoup de spécimens de taille "géante" auraient également été récoltés. le nombre des intoxiqués a atteint 46 personnes, dont 14 décès par encéphalopathie aiguë.Au Japon, Sugi hira také (杉平茸) signifie "Pleurote du Sugi" (arbre majestueux voisin du cèdre du Liban, Cryptomeria japonica). Comme le pleurote en huitre, il colonise les troncs de conifères et Cryptomérias en jolies troupes de chapeaux blancs de 6 à 10 cm, spatulés pétaloïdes. très élégants. Les lames sont assez larges, blanches à crème. Le pied est nul.. En 2001, c'était la consternation en France après les 4 décès (sur 13 hospitalisations) dans les Landes après consommation du Tricholome équeste (Tricholoma auratum), frais ou même en boîte. Un champignon toujours très prisé dans ses régions de prédilection, notamement les pinèdes de la côte atlantique. C'est au tour du Japon de connaître en automne 2004, une série d'accidents similaires. La liste des champignons toxiques ne cesse d'augmenter dans le monde, parfois en raison des progrès de l'analyse, mais souvent comme ici, par la nécrologie brutale et incompréhensible de mycophages pourtant bon connaisseurs, comme ici à Niigata. Source: Nihon kingakkai (Société Mycologique du Japon) et Mainichi shinbun du 22 10 2004. 5 décès sur les 11 intoxiqués hospitalisés dans le département de Niigata tandis que les deux autres personnes hospitalisées dans le département de Yamagata sont décédées dans les mêmes conditions. Pour 10 sur ces 11 personnes, la consommation de Sugi-hira také (Pleurocybella porrigens, "Pleurote en oreille " en français) a été confirmée par l'enquête des mycologues. L'autre personne étant décédée sans laisser aucune information sur une consommation fongique éventuelle. Double surprise: d'abord ce champignon était considéré comme comestible dans tout le pays, comme ailleurs dans le monde, notamment en France où il est donné comestible dans tous les guides. De plus, aucun symptôme "classique" gastro-intestinal (ni diarrhée, ni vomissements etc.) n'a été observé Les intoxiqués ont présenté une chute brutale du tonus musculaire dans les jambes, interdisant la marche, puis l'apparition de mouvements incontrôlés et parasites des membres, enfin des convulsions, coma avec décès brutal pour 5 d'entre-eux. Une seule personne sur les onze hospitalisée de Niigata a quitté l’hôpital indemne à ce jour, cinq sont mortes, et les cinq autres sont en soins intensifs. Les deux intoxiqués de Yamagata sont décédés. La plupart des intoxiqués étaient des insuffisants rénaux, certains avec rein artificiel (!). La poussée de Pleurocybella porrigens en 2004 a été estimée à près du double des moyennes annuelles. Beaucoup de spécimens de taille "géante" auraient également été récoltés. le nombre total des intoxiqués a atteint 46 personnes, dont 14 décédés par encéphalopathie aiguë. -
27/07/2015Pleurocybella porrigensStipe Description-Stipe nul.-
27/07/2015Pleurocybella porrigensSynonymesPhyllotus porrigens ; Nothopanus porrigens ; Pleurotus porrigensPhyllotus porrigens ; Nothopanus porrigens ; Pleurotus porrigenssyntaxe
27/07/2015Pleurocybella porrigensCommentairesSugi hira také ( 杉平茸) signifie "Pleurote du Sugi" (le sugi c'est cet arbre majestueux voisin du cèdre du Liban, Cryptomeria japonica). Comme le pleurote, il colonise les troncs de conifères et Cryptoméria en jolies troupes de chapeaux blancs de 6 à 10 cm, spatulés pétaloïdes. très élégants, les lames sont assez larges, blanches à crème. Le pied est nul.. Il y a trois ans, c'était la consternation en France après les 4 décès (sur 13 hospitalisations) dans les Landes après consommation du Tricholome équeste (Tricholoma auratum), frais ou même en boîte. Un champignon toujours très prisé dans ses régions de prédilection, notamement les pinèdes de la côte atlantique. C'est au tour du Japon de connaître cet automne 2004, une série d'accidents de ce genre. La liste des champignons toxiques ne cesse d'augmenter dans le monde, parfois en raison des progrès de l'analyse, mais souvent comme ici, par la nécrologie brutale et incompréhensible de mycophages pourtant bon connaisseurs, comme ici à Niigata. Source: Nihon kingakkai (Société Mycologique du Japon) et Mainichi shinbun du 22 10 2004. 5 décès sur les 11 intoxiqués hospitalisés dans le département de Niigata tandis que les deux autres personnes hospitalisés dans le département de Yamagata sont décédés dans les mêmes conditions. Pour 10 sur ces 11 personnes, la consommation de Sugi-hira také (Pleurocybella porrigens, "Pleurote en oreille " en français) a été confirmée par l'enquête des mycologues. L'autre personne étant décédée sans laisser aucunei information sur une consommation fongique éventuelle. Double surprise: d'abord ce champignon était considéré comme comestible dans tout le pays, comme ailleurs dans le monde, notament en France où il est donné comestible dans tous les guides. De plus, aucun symptôme "classique" gastro-intestinal (ni diarrhée, ni vomissements etc.) n'a été observé Les intoxiqués ont prédenté une chute brutale du tonus musculaire dans les jambes, interdisant la marche, puis l'apparition de mouvements incontrôlés et parasites des membres, enfin des convulsions, coma avec décès brutal pour 5 d'entre-eux. Une seule personne sur les onze hospitalisée de Niigata a quitté l'hopital indemne à ce jour, cinq sont mortes, et les cinq autres sont en soins intensifs. Les deux intoxiqués de Yamagata sont décédés. La plupart des intoxiqués étaient des insuffisants rénaux, certains avec rein artificiel (!). la poussée de Pleurocybella porrigens a été estimée à près du double des moyennes annuelles. Beaucoup de spécimens de taille "géante" auraient également été récoltés. le nombre des intoxiqués a atteint 46 personnes, dont 14 décès par encéphalopathie aiguë.Au Japon, Sugi hira také (杉平茸) signifie "Pleurote du Sugi" (arbre majestueux voisin du cèdre du Liban, Cryptomeria japonica). Comme le pleurote en huitre, il colonise les troncs de conifères et Cryptomérias en jolies troupes de chapeaux blancs de 6 à 10 cm, spatulés pétaloïdes. très élégants. Les lames sont assez larges, blanches à crème. Le pied est nul.. En 2001, c'était la consternation en France après les 4 décès (sur 13 hospitalisations) dans les Landes après consommation du Tricholome équeste (Tricholoma auratum), frais ou même en boîte. Un champignon toujours très prisé dans ses régions de prédilection, notamement les pinèdes de la côte atlantique. C'est au tour du Japon de connaître en automne 2004, une série d'accidents similaires. La liste des champignons toxiques ne cesse d'augmenter dans le monde, parfois en raison des progrès de l'analyse, mais souvent comme ici, par la nécrologie brutale et incompréhensible de mycophages pourtant bon connaisseurs, comme ici à Niigata. Source: Nihon kingakkai (Société Mycologique du Japon) et Mainichi shinbun du 22 10 2004. 5 décès sur les 11 intoxiqués hospitalisés dans le département de Niigata tandis que les deux autres personnes hospitalisées dans le département de Yamagata sont décédées dans les mêmes conditions. Pour 10 sur ces 11 personnes, la consommation de Sugi-hira také (Pleurocybella porrigens, "Pleurote en oreille " en français) a été confirmée par l'enquête des mycologues. L'autre personne étant décédée sans laisser aucune information sur une consommation fongique éventuelle. Double surprise: d'abord ce champignon était considéré comme comestible dans tout le pays, comme ailleurs dans le monde, notamment en France où il est donné comestible dans tous les guides. De plus, aucun symptôme "classique" gastro-intestinal (ni diarrhée, ni vomissements etc.) n'a été observé Les intoxiqués ont présenté une chute brutale du tonus musculaire dans les jambes, interdisant la marche, puis l'apparition de mouvements incontrôlés et parasites des membres, enfin des convulsions, coma avec décès brutal pour 5 d'entre-eux. Une seule personne sur les onze hospitalisée de Niigata a quitté l’hôpital indemne à ce jour, cinq sont mortes, et les cinq autres sont en soins intensifs. Les deux intoxiqués de Yamagata sont décédés. La plupart des intoxiqués étaient des insuffisants rénaux, certains avec rein artificiel (!). la poussée de Pleurocybella porrigens a été estimée à près du double des moyennes annuelles. Beaucoup de spécimens de taille "géante" auraient également été récoltés. le nombre des intoxiqués a atteint 46 personnes, dont 14 décès par encéphalopathie aiguë.syntaxe
26/07/2015Panellus pusillusChapeau Descriptiondimidié, hautement cordiforme à la base, plan, 4-5,5 x 3-4,5 mm, environ 1 mm d'épaisseur à la base, à surface plus ou moins feutrée ou pruineuse, ochracé pâle, presque blanc, devant ochracé et finement ridé en herbier, à marge entière ou ondulée, incurvée en séchant.dimidié, hautement cordiforme à la base, plan, 4-5,5 x 3-4,5 mm, environ 1 mm d'épaisseur à la base, à surface plus ou moins feutrée ou pruineuse, ochracé pâle, presque blanc, devenant ochracé et finement ridé en herbier, à marge entière ou ondulée, incurvée en séchant.-
26/07/2015Panellus pusillusEcologie DescriptionCespiteux sur branches mortes et souches de divers feuillus, rarement sur Bambous. Commun dans le sud du Japon(スズメタケ), Taïwan, Australie, Nouvelle-Zélande...Cespiteux sur branches mortes et souches de divers feuillus, rarement sur Bambous. Commun dans le sud du Japon(sous le nom de souzoumé-také スズメタケ), Taïwan, Australie, Nouvelle-Zélande...-
26/07/2015Panellus pusillusPhoto-Panellus_pusillus_1994_ikeh_1.jpgAjout photo type Mixte pour Panellus pusillus, Copyright (c) 1994 Izawa, Kobayasi Et Hongo
26/07/2015Panellus pusillusPhotoPanellus_pusillus_1994_ikeh_1.jpg-Suppression photo : double
26/07/2015Panellus pusillusPhoto-Panellus_pusillus_1994_ikeh_1.jpgAjout photo type Mixte pour Panellus pusillus, Copyright (c) 1994 Izawa, Kobayasi Et Hongo
25/07/2015Plicaturopsis crispaPhoto-Plicaturopsis_crispa_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Plicaturopsis crispa, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
20/07/2015Pleurocybella porrigensNoms françaisPleurote en oreillePleurote en oreille ; Pleurote du Cryptomeria (スギヒラタケ)-
20/07/2015Pleurocybella porrigensCommentairesStipe nul. Sugi hira také ( 杉平茸) signifie "Pleurote du Sugi" (le sugi c'est cet arbre majestueux voisin du cèdre du Liban, Cryptomeria japonica). Comme le pleurote, il colonise les troncs de conifères et Cryptoméria en jolies troupes de chapeaux blancs de 6 à 10 cm, spatulés pétaloïdes. très élégants, les lames sont assez larges, blanches à crème. Le pied est nul.. voir photo sur le site ci dessous. Il y a trois ans, c'était la consternation en France après les 4 décès (sur 13 hospitalisations) dans les Landes après consommation du Tricholome équeste (Tricholoma auratum), frais ou même en boîte. Un champignon toujours très prisé dans ses régions de prédilection, notamement les pinèdes de la côte atlantique. C'est au tour du Japon de connaître cet automne 2004, une série d'accidents de ce genre. La liste des champignons toxiques ne cesse d'augmenter dans le monde, parfois en raison des progrès de l'analyse, mais souvent comme ici, par la nécrologie brutale et incompréhensible de mycophages pourtant bon connaisseurs, comme ici à Niigata. Source: Nihon kingakkai (Société Mycologique du Japon) et Mainichi shinbun du 22 10 2004. 5 décès sur les 11 intoxiqués hospitalisés dans le département de Niigata tandis que les deux autres personnes hospitalisés dans le département de Yamagata sont décédés dans les mêmes conditions. Pour 10 sur ces 11 personnes, la consommation de Sugi-hira také (Pleurocybella porrigens, "Pleurote en oreille " en français) a été confirmée par l'enquête des mycologues. L'autre personne étant décédée sans laisser aucunei information sur une consommation fongique éventuelle. Double surprise: d'abord ce champignon était considéré comme comestible dans tout le pays, comme ailleurs dans le monde, notament en France où il est donné comestible dans tous les guides. De plus, aucun symptôme "classique" gastro-intestinal (ni diarrhée, ni vomissements etc.) n'a été observé Les intoxiqués ont prédenté une chute brutale du tonus musculaire dans les jambes, interdisant la marche, puis l'apparition de mouvements incontrôlés et parasites des membres, enfin des convulsions, coma avec décès brutal pour 5 d'entre-eux. Une seule personne sur les onze hospitalisée de Niigata a quitté l'hopital indemne à ce jour, cinq sont mortes, et les cinq autres sont en soins intensifs. Les deux intoxiqués de Yamagata sont décédés. La plupart des intoxiqués étaient des insuffisants rénaux, certains avec rein artificiel (!). la poussée de Pleurocybella porrigens a été estimée à près du double des moyennes annuelles. Beaucoup de spécimens de taille "géante" auraient également été récoltés. le nombre des intoxiqués a atteint 46 personnes, dont 14 décès par encéphalopathie aiguë.Sugi hira také ( 杉平茸) signifie "Pleurote du Sugi" (le sugi c'est cet arbre majestueux voisin du cèdre du Liban, Cryptomeria japonica). Comme le pleurote, il colonise les troncs de conifères et Cryptoméria en jolies troupes de chapeaux blancs de 6 à 10 cm, spatulés pétaloïdes. très élégants, les lames sont assez larges, blanches à crème. Le pied est nul.. Il y a trois ans, c'était la consternation en France après les 4 décès (sur 13 hospitalisations) dans les Landes après consommation du Tricholome équeste (Tricholoma auratum), frais ou même en boîte. Un champignon toujours très prisé dans ses régions de prédilection, notamement les pinèdes de la côte atlantique. C'est au tour du Japon de connaître cet automne 2004, une série d'accidents de ce genre. La liste des champignons toxiques ne cesse d'augmenter dans le monde, parfois en raison des progrès de l'analyse, mais souvent comme ici, par la nécrologie brutale et incompréhensible de mycophages pourtant bon connaisseurs, comme ici à Niigata. Source: Nihon kingakkai (Société Mycologique du Japon) et Mainichi shinbun du 22 10 2004. 5 décès sur les 11 intoxiqués hospitalisés dans le département de Niigata tandis que les deux autres personnes hospitalisés dans le département de Yamagata sont décédés dans les mêmes conditions. Pour 10 sur ces 11 personnes, la consommation de Sugi-hira také (Pleurocybella porrigens, "Pleurote en oreille " en français) a été confirmée par l'enquête des mycologues. L'autre personne étant décédée sans laisser aucunei information sur une consommation fongique éventuelle. Double surprise: d'abord ce champignon était considéré comme comestible dans tout le pays, comme ailleurs dans le monde, notament en France où il est donné comestible dans tous les guides. De plus, aucun symptôme "classique" gastro-intestinal (ni diarrhée, ni vomissements etc.) n'a été observé Les intoxiqués ont prédenté une chute brutale du tonus musculaire dans les jambes, interdisant la marche, puis l'apparition de mouvements incontrôlés et parasites des membres, enfin des convulsions, coma avec décès brutal pour 5 d'entre-eux. Une seule personne sur les onze hospitalisée de Niigata a quitté l'hopital indemne à ce jour, cinq sont mortes, et les cinq autres sont en soins intensifs. Les deux intoxiqués de Yamagata sont décédés. La plupart des intoxiqués étaient des insuffisants rénaux, certains avec rein artificiel (!). la poussée de Pleurocybella porrigens a été estimée à près du double des moyennes annuelles. Beaucoup de spécimens de taille "géante" auraient également été récoltés. le nombre des intoxiqués a atteint 46 personnes, dont 14 décès par encéphalopathie aiguë.-
20/07/2015Pleurocybella porrigensCommentairesStipe nul. Il y a trois ans, c'était la consternation en France après les 4 décès (sur 13 hospitalisations) dans les Landes après consommation du Tricholome équeste (Tricholoma auratum), frais ou même en boîte. Un champignon toujours très prisé dans ses régions de prédilection, notamement les pinèdes de la côte atlantique. C'est au tour du Japon de connaître cet automne 2004, une série d'accidents de ce genre. La liste des champignons toxiques ne cesse d'augmenter dans le monde, parfois en raison des progrès de l'analyse, mais souvent comme ici, par la nécrologie brutale et incompréhensible de mycophages pourtant bon connaisseurs, comme ici à Niigata. Source: Nihon kingakkai (Société Mycologique du Japon) et Mainichi shinbun du 22 10 2004. 5 décès sur les 11 intoxiqués hospitalisés dans le département de Niigata tandis que les deux autres personnes hospitalisés dans le département de Yamagata sont décédés dans les mêmes conditions. Pour 10 sur ces 11 personnes, la consommation de Sugi-hira také (Pleurocybella porrigens, "Pleurote en oreille " en français) a été confirmée par l'enquête des mycologues. L'autre personne étant décédée sans laisser aucunei information sur une consommation fongique éventuelle. Double surprise: d'abord ce champignon était considéré comme comestible dans tout le pays, comme ailleurs dans le monde, notament en France où il est donné comestible dans tous les guides. De plus, aucun symptôme "classique" gastro-intestinal (ni diarrhée, ni vomissements etc.) n'a été observé Les intoxiqués ont prédenté une chute brutale du tonus musculaire dans les jambes, interdisant la marche, puis l'apparition de mouvements incontrôlés et parasites des membres, enfin des convulsions, coma avec décès brutal pour 5 d'entre-eux. Une seule personne sur les onze hospitalisée de Niigata a quitté l'hopital indemne à ce jour, cinq sont mortes, et les cinq autres sont en soins intensifs. Les deux intoxiqués de Yamagata sont décédés. La plupart des intoxiqués étaient des insuffisants rénaux, certains avec rein artificiel (!).Stipe nul. Sugi hira také ( 杉平茸) signifie "Pleurote du Sugi" (le sugi c'est cet arbre majestueux voisin du cèdre du Liban, Cryptomeria japonica). Comme le pleurote, il colonise les troncs de conifères et Cryptoméria en jolies troupes de chapeaux blancs de 6 à 10 cm, spatulés pétaloïdes. très élégants, les lames sont assez larges, blanches à crème. Le pied est nul.. voir photo sur le site ci dessous. Il y a trois ans, c'était la consternation en France après les 4 décès (sur 13 hospitalisations) dans les Landes après consommation du Tricholome équeste (Tricholoma auratum), frais ou même en boîte. Un champignon toujours très prisé dans ses régions de prédilection, notamement les pinèdes de la côte atlantique. C'est au tour du Japon de connaître cet automne 2004, une série d'accidents de ce genre. La liste des champignons toxiques ne cesse d'augmenter dans le monde, parfois en raison des progrès de l'analyse, mais souvent comme ici, par la nécrologie brutale et incompréhensible de mycophages pourtant bon connaisseurs, comme ici à Niigata. Source: Nihon kingakkai (Société Mycologique du Japon) et Mainichi shinbun du 22 10 2004. 5 décès sur les 11 intoxiqués hospitalisés dans le département de Niigata tandis que les deux autres personnes hospitalisés dans le département de Yamagata sont décédés dans les mêmes conditions. Pour 10 sur ces 11 personnes, la consommation de Sugi-hira také (Pleurocybella porrigens, "Pleurote en oreille " en français) a été confirmée par l'enquête des mycologues. L'autre personne étant décédée sans laisser aucunei information sur une consommation fongique éventuelle. Double surprise: d'abord ce champignon était considéré comme comestible dans tout le pays, comme ailleurs dans le monde, notament en France où il est donné comestible dans tous les guides. De plus, aucun symptôme "classique" gastro-intestinal (ni diarrhée, ni vomissements etc.) n'a été observé Les intoxiqués ont prédenté une chute brutale du tonus musculaire dans les jambes, interdisant la marche, puis l'apparition de mouvements incontrôlés et parasites des membres, enfin des convulsions, coma avec décès brutal pour 5 d'entre-eux. Une seule personne sur les onze hospitalisée de Niigata a quitté l'hopital indemne à ce jour, cinq sont mortes, et les cinq autres sont en soins intensifs. Les deux intoxiqués de Yamagata sont décédés. La plupart des intoxiqués étaient des insuffisants rénaux, certains avec rein artificiel (!). la poussée de Pleurocybella porrigens a été estimée à près du double des moyennes annuelles. Beaucoup de spécimens de taille "géante" auraient également été récoltés. le nombre des intoxiqués a atteint 46 personnes, dont 14 décès par encéphalopathie aiguë.-
20/07/2015Pleurocybella porrigensCommentairesStipe nul.Stipe nul. Il y a trois ans, c'était la consternation en France après les 4 décès (sur 13 hospitalisations) dans les Landes après consommation du Tricholome équeste (Tricholoma auratum), frais ou même en boîte. Un champignon toujours très prisé dans ses régions de prédilection, notamement les pinèdes de la côte atlantique. C'est au tour du Japon de connaître cet automne 2004, une série d'accidents de ce genre. La liste des champignons toxiques ne cesse d'augmenter dans le monde, parfois en raison des progrès de l'analyse, mais souvent comme ici, par la nécrologie brutale et incompréhensible de mycophages pourtant bon connaisseurs, comme ici à Niigata. Source: Nihon kingakkai (Société Mycologique du Japon) et Mainichi shinbun du 22 10 2004. 5 décès sur les 11 intoxiqués hospitalisés dans le département de Niigata tandis que les deux autres personnes hospitalisés dans le département de Yamagata sont décédés dans les mêmes conditions. Pour 10 sur ces 11 personnes, la consommation de Sugi-hira také (Pleurocybella porrigens, "Pleurote en oreille " en français) a été confirmée par l'enquête des mycologues. L'autre personne étant décédée sans laisser aucunei information sur une consommation fongique éventuelle. Double surprise: d'abord ce champignon était considéré comme comestible dans tout le pays, comme ailleurs dans le monde, notament en France où il est donné comestible dans tous les guides. De plus, aucun symptôme "classique" gastro-intestinal (ni diarrhée, ni vomissements etc.) n'a été observé Les intoxiqués ont prédenté une chute brutale du tonus musculaire dans les jambes, interdisant la marche, puis l'apparition de mouvements incontrôlés et parasites des membres, enfin des convulsions, coma avec décès brutal pour 5 d'entre-eux. Une seule personne sur les onze hospitalisée de Niigata a quitté l'hopital indemne à ce jour, cinq sont mortes, et les cinq autres sont en soins intensifs. Les deux intoxiqués de Yamagata sont décédés. La plupart des intoxiqués étaient des insuffisants rénaux, certains avec rein artificiel (!).toxicité
04/07/2015Suillellus luridusSynonymes-Boletus rubeolarius Bull. 1791 ; Boletus subvescus J.F. Gmel., 1792 ; Dictyopus luridus (Schaeff.) Quél., 1888 ; Leccinum luridum (Schaeff.) Gray, 1821 Leccinum rubeolarium (Sowerby) Gray, 1821 ; Tubiporus luridus (Schaeff.) P. Karst., 1871-
04/07/2015Suillellus luridusCommentairesChair typiquement rouge au dessus des tubes. Chair rouge betterave à la base du pied. Bleuissement à la coupe. La var. erythroteron (Bezdêk) Pilát et Dermek a la chair violette dans le haut du stipe et le réseau rouge vif. Plusieurs autres variétés.Chair typiquement rouge au dessus des tubes. Chair rouge betterave à la base du pied. Bleuissement à la coupe. La var. erythroteron (Bezdêk) Pilát et Dermek a la chair violette dans le haut du stipe et le réseau rouge vif. Plusieurs autres variétés. Donné toxique par certains auteurs comme Singer. Trois cas de légère intoxication (avec ingestion simultanée d'alcool, ou encore certains médicaments) signalés en Suisse.-
04/07/2015Suillellus luridusChapeau Description-6-20 cm, hémisphérique puis convexe-pulviné, à revêtement adné; sec et mat, finement feutré, jaune ocracé à brun orangé, brun rougeâtre, ou encore couleur de brique avec des nuances olivacées, marqué de bleu noirâtre dans les blessures; marge aiguë, faiblement excédante, unie, entière, régulière, concolore au chapeau.-
04/07/2015Suillellus luridusChair Description-épaisse, ferme puis assez molle, fibreuse dans le pied, jaune et rouge brique sous les tubes, rouge vineux dans la base du pied, très bleuissante à la coupe.-
04/07/2015Suillellus luridusPores Description-Tubes déprimés autour du pied, facilement séparables, fins, jaune olivâtre à jaune orangé vers le bord, bleuissants. Pores fins, arrondis, formant une surface irrégulière avec de petites dépressions, jaunes puis orangé à rouge-orangé, bleuissants au toucher ;-
04/07/2015Suillellus luridusStipe Description-8-15 (20) x 2-7 cm ; bulbeux ou en massue ou fusiforme, atténué au sommet, plein, ferme, marqué d'un réseau typique à mailles étirées rouge vineux sur fond jaune orangé vers le haut et rouge carmin (voire brunâtre olivacé vers le bas).-
04/07/2015Suillellus luridusSpores Description-Sporée brun olivâtre; Spores 11,5-16 x 5-7,5 µm, elliptiques à fusiformes, lisses.-
04/07/2015Suillellus luridusEcologie Description-espèce ectomycorrhizique, courante en été-automne, plutôt sous feuillus calcicoles, forêts ou parc (Tilleuls, etc.)-
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeEcologie Descriptionsur le bois mort, peu commun. Tibet, Japon, Chine.sur le bois mort, peu commun. Tibet, Japon, Corée du Sud.-
03/07/2015Russula veternosaSynonymesschiffneriRussula schiffneri Singer 1929-
03/07/2015Russula veternosaRéférencesBK 6 211 ; CD 1403 ; Galli p. 461 ; Sarnari 758 ; Bon p. 77 ; Eyssartier et Roux p. 242BK 6 211 ; CD 1403 ; Galli p. 461 ; Sarnari 758 ; Bon p. 77 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 789 ; Eyssartier et Roux p. 242-
03/07/2015Russula veternosaChapeau Description-(3)6-10 cm, peu charnu, vite déprimé, à marge faiblement et courtement cannelée-sillonnée à la fin; cuticule cocardée, rose rougeâtre vers la périphérie, décolorée en crème ochracé au disque. -
03/07/2015Russula veternosaLames Description-assez serrées, adnées à sublibres, crème puis ocre clair, à reflets orangés à maturité. Sporée jaune foncée.-
03/07/2015Russula veternosaStipe Description-3-5(7) x (0,5)1-2 cm, blanc puis sali d'ochracé cendré à la base, ridulé, vite mou et spongieux.-
03/07/2015Russula veternosaChair Description-âcre, blanche ou grisâtre. Odeur de pomme ou de compote, puis un peu de pélargonium, de miel à la fin.-
03/07/2015Russula veternosaOdeurFruitée, Miel, Pomme, Faible/NulleFruitée, Miel, Pelargonium, Pomme, Faible/Nulle-
03/07/2015Russula veternosaSpores Description-(7)8-9(9,5) x 6(6,5)-7(8)µm à verrues épineuses aiguës et isolées; plage supra-appendiculaire amyloïde; basides 30-45 x 10-12 µm; Cystides cylindro-fusoïdes, 50-90 x 8-13 µm, fusi-clavées ou appendiculées. -
03/07/2015Russula veternosaEcologie Description-assez fréquente sous hêtres de juin à décembre.-
03/07/2015Russula veternosaPhoto-Russula_veternosa_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula veternosa, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeFructification DescriptionStroma simple et cylindrique à étroitement clavé à flabelliforme, souvent bifide à branchu, ramifié en forme de bois de daim (inde nomen), 7-9 cm de haut, aplani, 0,5-1 cm d'épaisseur, plusieurs stromas cylindriques issus d'une base commune, rouge orangé à rouge corail brillant; surface glabre, lisse, périthèces non visibles, ostioles en for;e de minuscules points orange.Stroma simple et cylindrique à étroitement clavé à flabelliforme, souvent bifide à branchu, ramifié en forme de bois de daim (inde nomen), 7-9 cm de haut, aplani, 0,5-1 cm d'épaisseur, plusieurs stromas cylindriques issus d'une base commune, rouge orangé à rouge corail brillant; surface glabre, lisse, périthèces non visibles, ostioles en forme de minuscules points orange.-
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeRéférencesIH2 p. 279 ; IOH p. 587 ; Kinoko Field Book p. 331 ; Saikawa Y. et al., Tetrahedron, Volume 57, Number 39, 24 September 2001 , pp. 8277-8281IH2 p. 279 ; IOH p. 587 ; Kinoko Field Book p. 331 ; Saikawa Y. et al., in Tetrahedron, Volume 57, No. 39, 24 Sept. 2001 , pp. 8277-8281-
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeCommentairesChampignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Emblème des Samouraïs par sa forme de Kabuto et sa couleur de feu, ce champignon continue cependant de défier et punir les impudents ou les imprudents qui le consomment. Un seul gramme, même macéré dans l'eau de vie, emporte invariablement celle du macho avec d'horribles souffrances ! Au Japon, l' "Atlas de Materia Medica", datant de la période de l'ère bunsei (1818-1829) parle déjà de "poison foudroyant" du Kaen-také, avec description d'un empoisonnement mortel. La dose létale est extrêmement faible, seulement 3 g (poids frais des fructifications). Ont été rapportés 6 cas d'empoisonnement au Japon et sur dix patients empoisonnements 3 sont morts. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau. Trois mycotoxines ont été identifiées en 2001 par Melle SAIKAWA Y., OKAMOTO H. & INUI Y., de type trichotecene: roridine E, verrucarine J, et satratoxine H. Pour les détails, voir http://enfantdesarbres.canalblog.com/archives/2015/05/16/32063732.html Toxic principles of a poisonous mushroom Podostroma cornu-damae, Saikawa Y.; Okamoto H.; Inui T.; Makabe M.; Okuno T.; Suda T.; Hashimoto K.1; Nakata M., Tetrahedron, Volume 57, Number 39, 24 September 2001 , pp. 8277-8281 Champignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Emblème des Samouraïs par sa forme de Kabuto et sa couleur de feu, ce champignon continue cependant de défier et punir les impudents ou les imprudents qui le consomment. Un seul gramme, même macéré dans l'eau de vie, emporte invariablement celle du macho avec d'horribles souffrances ! Au Japon, l' "Atlas de Materia Medica", datant de la période de l'ère bunsei (1818-1829) parle déjà de "poison foudroyant" du Kaen-také, avec description d'un empoisonnement mortel. La dose létale est extrêmement faible, seulement 3 g (poids frais des fructifications). 6 cas d'empoisonnement au Japon, dont 3 sont décédés. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau. Trois mycotoxines ont été identifiées en 2001 par Melle SAIKAWA Y., OKAMOTO H. & INUI Y., de type trichotecene: roridine E, verrucarine J, et satratoxine H. Pour les détails, voir http://enfantdesarbres.canalblog.com/archives/2015/05/16/32063732.html Toxic principles of a poisonous mushroom Podostroma cornu-damae, Saikawa Y.; Okamoto H.; Inui T.; Makabe M.; Okuno T.; Suda T.; Hashimoto K.1; Nakata M., Tetrahedron, Volume 57, Number 39, 24 September 2001 , pp. 8277-8281 -
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeFructification DescriptionStromata simple et cylindrique à étroitement clavé à flabelliforme, souvent bifide à branchu, ramifié en forme de bois de daim (inde nomen), 7-9 cm de haut, aplani, 0,5-1 cm d'épaisseur, plusieurs stromatas cylindriques issus d'une base commune, rouge orangé à rouge corail brillant; surface glabre, lisse, périthèces non visibles, ostioles comme des points oranges minuscules.Stroma simple et cylindrique à étroitement clavé à flabelliforme, souvent bifide à branchu, ramifié en forme de bois de daim (inde nomen), 7-9 cm de haut, aplani, 0,5-1 cm d'épaisseur, plusieurs stromas cylindriques issus d'une base commune, rouge orangé à rouge corail brillant; surface glabre, lisse, périthèces non visibles, ostioles en for;e de minuscules points orange.-
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeEcologie Descriptionsur le bois mort, peu commun. Tibet, Japon, Chine, Corée.sur le bois mort, peu commun. Tibet, Japon, Chine.-
03/07/2015Trichoderma cornu-damaePhoto-Podostroma_cornu-damae_1992_mi_1.jpgAjout photo type Macro pour Podostroma cornu-damae, Copyright (c) 1992 Masana Izawa
03/07/2015Trichoderma cornu-damaePhotoPodostroma_cornu-damae_1990_dg_1.jpg-Suppression photo : double
03/07/2015Trichoderma cornu-damaePhoto-Podostroma_cornu-damae_2001_ysea_1.jpgAjout photo type Dessin pour Podostroma cornu-damae, Copyright (c) 2001 Yôko Saikawa Et Al.
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeRéférencesIH2 p. 279 ; IOH p. 587 ; Kinoko Field Book p. 331IH2 p. 279 ; IOH p. 587 ; Kinoko Field Book p. 331 ; Saikawa Y. et al., Tetrahedron, Volume 57, Number 39, 24 September 2001 , pp. 8277-8281-
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeCommentairesChampignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Emblème des Samouraïs par sa forme de Kabuto et sa couleur de feu, ce champignon continue cependant de défier et punir les impudents ou les imprudents qui le consomment. Un seul gramme, même macéré dans l'eau de vie, emporte invariablement celle du macho avec d'horribles souffrances ! Au Japon, l' "Atlas de Materia Medica", datant de la période de l'ère bunsei (1818-1829) parle déjà de "poison foudroyant" du Kaen-také, avec description d'un empoisonnement mortel. La dose létale est extrêmement faible, seulement 3 g (poids frais des fructifications). Ont été rapportés 6 cas d'empoisonnement au Japon et sur dix patients empoisonnements 3 sont morts. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau. Trois mycotoxines ont été identifiées en 2001 par Melle SAIKAWA Y., OKAMOTO H. & INUI Y., de type trichotecene: roridine E, verrucarine J, et satratoxine H. Pour les détails, voir http://enfantdesarbres.canalblog.com/archives/2015/05/16/32063732.html Champignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Emblème des Samouraïs par sa forme de Kabuto et sa couleur de feu, ce champignon continue cependant de défier et punir les impudents ou les imprudents qui le consomment. Un seul gramme, même macéré dans l'eau de vie, emporte invariablement celle du macho avec d'horribles souffrances ! Au Japon, l' "Atlas de Materia Medica", datant de la période de l'ère bunsei (1818-1829) parle déjà de "poison foudroyant" du Kaen-také, avec description d'un empoisonnement mortel. La dose létale est extrêmement faible, seulement 3 g (poids frais des fructifications). Ont été rapportés 6 cas d'empoisonnement au Japon et sur dix patients empoisonnements 3 sont morts. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau. Trois mycotoxines ont été identifiées en 2001 par Melle SAIKAWA Y., OKAMOTO H. & INUI Y., de type trichotecene: roridine E, verrucarine J, et satratoxine H. Pour les détails, voir http://enfantdesarbres.canalblog.com/archives/2015/05/16/32063732.html Toxic principles of a poisonous mushroom Podostroma cornu-damae, Saikawa Y.; Okamoto H.; Inui T.; Makabe M.; Okuno T.; Suda T.; Hashimoto K.1; Nakata M., Tetrahedron, Volume 57, Number 39, 24 September 2001 , pp. 8277-8281 -
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeNoms françaiscornes de daim rutilantes ; Champignon flamboyant (カエンタケ)Cornes de daim rutilantes ; Champignon flamboyant (カエンタケ)-
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeCommentairesChampignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Emblème des Samouraïs par sa forme de Kabuto et sa couleur de feu, ce champignon continue cependant de défier et punir les impudents ou les imprudents qui le consomment. Un seul gramme, même macéré dans l'eau de vie, emporte invariablement celle du macho avec d'horribles souffrances ! Au Japon, l' "Atlas de Materia Medica", datant de la période de l'ère bunsei (1818-1829) parle déjà de "poison foudroyant" du Kaen-také, avec description d'un empoisonnement mortel. La dose létale est extrêmement faible, seulement 3 g (poids frais des fructifications). Ont été rapportés 6 cas d'empoisonnement au Japon et sur dix patients empoisonnements 3 sont morts. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau. http://enfantdesarbres.canalblog.com/archives/2015/05/16/32063732.htmlChampignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Emblème des Samouraïs par sa forme de Kabuto et sa couleur de feu, ce champignon continue cependant de défier et punir les impudents ou les imprudents qui le consomment. Un seul gramme, même macéré dans l'eau de vie, emporte invariablement celle du macho avec d'horribles souffrances ! Au Japon, l' "Atlas de Materia Medica", datant de la période de l'ère bunsei (1818-1829) parle déjà de "poison foudroyant" du Kaen-také, avec description d'un empoisonnement mortel. La dose létale est extrêmement faible, seulement 3 g (poids frais des fructifications). Ont été rapportés 6 cas d'empoisonnement au Japon et sur dix patients empoisonnements 3 sont morts. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau. Trois mycotoxines ont été identifiées en 2001 par Melle SAIKAWA Y., OKAMOTO H. & INUI Y., de type trichotecene: roridine E, verrucarine J, et satratoxine H. Pour les détails, voir http://enfantdesarbres.canalblog.com/archives/2015/05/16/32063732.html -
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeFructification DescriptionStromata simple et cylindrique à étroitement clavé à flabelliforme, souvent bifide à branchu, ramifié en forme de bois de daim (inde nomen), 7-9 cm de haut, aplani, 0,5-1 cm d'épaisseur, plusieurs stromatas cylindriques issus d'une base commune, rouge orangé stipe stérile; surface glabre, lisse, périthèces non visibles, ostioles comme des points oranges minuscules, Stromata simple et cylindrique à étroitement clavé à flabelliforme, souvent bifide à branchu, ramifié en forme de bois de daim (inde nomen), 7-9 cm de haut, aplani, 0,5-1 cm d'épaisseur, plusieurs stromatas cylindriques issus d'une base commune, rouge orangé à rouge corail brillant; surface glabre, lisse, périthèces non visibles, ostioles comme des points oranges minuscules.-
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeSpores Description-Conidiophores jusqu'à 400 μm de haut x 2–4 μm de large ; Phialides en bouquets, aigus au sommet, rappelant les hyphes ramifiées des Trichoderma; conidies grossièrement sphériques; spore à base tronquée, vert pale, 2,5–3,5 μm; presque lisse à l'optique. Asques cylindriques, 135-158 × 6,5-8,2 µm, épaissies au sommet, annelées.-
03/07/2015Trichoderma cornu-damaeEcologie Description-sur le bois mort, peu commun. Tibet, Japon, Chine, Corée.-
02/07/2015Trichoderma cornu-damaeCommentairesChampignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Emblème des Samouraïs par sa forme de Kabuto et sa couleur de feu, ce champignon continue cependqnt de défier et punir les impudents ou les imprudents qui le consomment. Même macéré dans l'eau de vie, il emporte invariablement celles des machos avec d'horribles souffrances !. Au Japon, l' "Atlas de Materia Medica", datant de la période de l'ère bunsei (1818-1829) parle déjà de "poison foudroyant" du Kaen-také, avec description d'un empoisonnement mortel. La dose létale est extrêmement faible, seulement 3 g (poids frais des fructifications). Ont été rapportés 6 cas d'empoisonnement au Japon et sur dix patients empoisonnements 3 sont morts. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau. http://enfantdesarbres.canalblog.com/archives/2015/05/16/32063732.htmlChampignon très dangereux, même par la manipulation (brûlures et desquamation!), mortel si ingéré. Emblème des Samouraïs par sa forme de Kabuto et sa couleur de feu, ce champignon continue cependant de défier et punir les impudents ou les imprudents qui le consomment. Un seul gramme, même macéré dans l'eau de vie, emporte invariablement celle du macho avec d'horribles souffrances ! Au Japon, l' "Atlas de Materia Medica", datant de la période de l'ère bunsei (1818-1829) parle déjà de "poison foudroyant" du Kaen-také, avec description d'un empoisonnement mortel. La dose létale est extrêmement faible, seulement 3 g (poids frais des fructifications). Ont été rapportés 6 cas d'empoisonnement au Japon et sur dix patients empoisonnements 3 sont morts. Les symptômes apparaissent en peu de temps, environ 10 minutes après l'ingestion. Les premiers symptômes sont digestifs, avec des douleurs abdominales, vomissements et diarrhée. Puis des paresthésies, engourdissement des membres, étourdissements, difficultés respiratoires et déficience des globules blancs et plaquettes avec échec de la fonction hématopoïétique, ulcérations dermiques dans tout l'organisme, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et insuffisance respiratoire, taux de létalité élevé. Les séquelles des survivants consistent en l'atrophie du cervelet et de la langue, troubles du mouvement ou perte de cheveux et desquamation de la peau. http://enfantdesarbres.canalblog.com/archives/2015/05/16/32063732.html-
02/07/2015Trichoderma cornu-damaePhoto-Podostroma_cornu-damae_1988_mi_1.jpgAjout photo type Macro pour Podostroma cornu-damae, Copyright (c) 1988 Masana Izawa
02/07/2015Trichoderma cornu-damaePhoto-Podostroma_cornu-damae_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Podostroma cornu-damae, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
24/06/2015Russula subnigricansRéférencesIH1 581 ; Eyssartier et Roux p. 42IH1 581 ; Eyssartier et Roux p. 42 ;-
24/06/2015Russula subnigricansCommentairesSi les Européens n'ont pas couru grand danger jusqu'ici avec les russules, c'est aussi peut-être parce qu'elles sont dédaignées par les ramasseurs, surtout le sous-genre Compacta qui est le plus suspect sur le plan toxicologique. Hélas, non seulement les russules mortelles existent bien, mais elles ont la chair douce! En 1954, le mycologue japonais Tsuguo Hongo, chargé d'enquête à la suite du décès d'une personne à Kyoto, retrouve des russules blanches dans les restes du repas. En 1958, deux nouveaux décès, dans des localités différentes près d'Osaka, permettent de préciser le lieu de récolte, et une russule ressemblant à Russula nigricans, est incriminée. La forme et la couleur sont très semblables, mais cette nouvelle espèce rougit sans jamais noircir à la coupe. Hongo la nommera Russula subnigricans, mais le russulologue Toshiho Ueda distingue aujourd'hui trois ou quatre "variétés" inédites dans le "complexe subnigricans". Pour la première fois au monde une russule figure sur la liste des espèces mortelles. Toutefois, la rareté de ces espèces aidant, aucune intoxication n'a été signalée ensuite dans l'archipel jusqu'en 1993. On songe alors à d'éventuels pesticides, mais en 1992 les chimistes Takahashi et coll. isolent six éthers chloro-phényl (Russupheline A-F) dans le champignon et mettent en évidence leur toxicité sur la cellule. Puis à Taïwan en 1998, neuf personnes souffrent de nausées, vomissements et diarrhées avec agitation deux heures après avoir partagé une soupe aux russules. Deux d'entre elles présentent, en plus, une rhabdomyolyse et une insuffisance rénale sévère. Russula subnigricans est incriminée une fois de plus, mais cette fois avec une affection encore inconnue en mycotoxicologie: la nécrose des muscles striés ou rhabdomyolyse, qui fera encore parler d'elle peu de temps après avec les intoxications causes par le bidaou en France. La dernière intoxication remonte à août 1995 à Toyohashi, qui fut fatale à un couple de mycophages sexagénaires. Si les Européens n'ont pas couru grand danger jusqu'ici avec les russules, c'est aussi peut-être parce qu'elles sont dédaignées par les ramasseurs, surtout le sous-genre Compacta qui est le plus suspect sur le plan toxicologique. Hélas, non seulement les russules mortelles existent bien, mais elles ont la chair douce! En 1954, le mycologue japonais Tsuguo Hongo, chargé d'enquête à la suite du décès d'une personne à Kyoto, retrouve des russules blanches dans les restes du repas. En 1958, deux nouveaux décès, dans des localités différentes près d'Osaka, permettent de préciser le lieu de récolte, et une russule ressemblant à Russula nigricans, est incriminée. La forme et la couleur sont très semblables, mais cette nouvelle espèce rougit sans jamais noircir à la coupe. Hongo la nommera Russula subnigricans, mais le russulologue Toshiho Ueda distingue aujourd'hui trois ou quatre "variétés" inédites dans le "complexe subnigricans". Pour la première fois au monde une russule figure sur la liste des espèces mortelles. Toutefois, la rareté de ces espèces aidant, aucune intoxication n'a été signalée ensuite dans l'archipel jusqu'en 1993. On songe alors à d'éventuels pesticides, mais en 1992 les chimistes Takahashi et coll. isolent six éthers chloro-phényl (Russupheline A-F) dans le champignon et mettent en évidence leur toxicité sur la cellule. Puis à Taïwan en 1998, neuf personnes souffrent de nausées, vomissements et diarrhées avec agitation deux heures après avoir partagé une soupe aux russules. Deux d'entre elles présentent, en plus, une rhabdomyolyse et une insuffisance rénale sévère. Russula subnigricans est incriminée une fois de plus, mais cette fois avec une affection encore inconnue en mycotoxicologie: la nécrose des muscles striés ou rhabdomyolyse, qui fera encore parler d'elle peu de temps après avec les intoxications causes par le bidaou en France. La dernière intoxication remonte à août 1995 à Toyohashi, qui fut fatale à un couple de mycophages sexagénaires. Arora, 1986- Mushrooms Demystified (2° éd.), page 90 Bills, 1985- Brittonia 37, page 360-365 Eyssartier et Roux, 2011- Guide des Champignons p. 42 Guez, 2002- Lettre de la SMF n° 0 Halling & Mueller, 1999-Nybg.org/bsci/res/hall/..., page html pl. n° 136 Hongo, 1955- Journ. Jap. Bot. 30(3): 79 Imazeki & Hongo, 1989 原色日本新菌類図鑑 (Colored Illustrations of Mushrooms of Japan), Vol. II, pl. n° 581 Imazeki, Otani & Hongo, 1988-日本のきのこ(Fungi of Japan) planche p.359 Shaffer, 1962-Brittonia 14(3), page 254-284 -
23/06/2015Lactifluus uyedaePhoto-Lactarius_uyedae_1986_tu_2.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius uyedae, Copyright (c) 1986 Toshiho Ueda
23/06/2015Lactifluus uyedaeCommentairesMinuscule lactaire pleurotoïde, découvert par Toshiho Ueda et dédié à ce dernier par Singer. Fiche compilée et illustrée à l'aide des Legs de Toshiho (type), D.L de Singer et l'article "Systematics of Pleurotoid Russulaceae from Guyana and Japan, with Notes on Their Ectomycorrhizal Status" par Terry W. Henkel, M. Catherine Aime, Steven L. Miller Mycologia, Vol. 92, No. 6 (Nov. - Dec., 2000), pp. 1119-1132.Minuscule lactaire pleurotoïde, pris souvent pour un Marasmiellus, découvert par Toshiho Ueda et dédié à ce dernier par Singer, classé dans sa section tropicale Panuoidei. Fiche compilée et illustrée à l'aide des Legs de Toshiho (type), D.L de Singer et l'article "Systematics of Pleurotoid Russulaceae from Guyana and Japan, with Notes on Their Ectomycorrhizal Status" par Terry W. Henkel, M. Catherine Aime, Steven L. Miller Mycologia, Vol. 92, No. 6 (Nov. - Dec., 2000), pp. 1119-1132.-
23/06/2015Lactifluus uyedaeChapeau Description4-12 mm, pleurotoïde, blanc à à blanc jaunâtre, avec des tâches ochracé en vieillissant. Cuticule mate, tendant à montrer des tons rouille sur le sec, presque glabre à l'oeil nu mais finement hispide sous la loupe. Marge incurvée chez le jeune, finement fimbriée, souvent légèrement sillonnée et irrégulièrement ondulée.4-12 mm, pleurotoïde, blanc à crème jaunâtre, avec des tâches ochracé en vieillissant. Cuticule mate, tendant à montrer des tons rouille sur le sec, presque glabre à l'oeil nu mais finement hispide sous la loupe. Marge incurvée chez le jeune, finement fimbriée, souvent légèrement sillonnée et irrégulièrement ondulée.-
23/06/2015Lactifluus uyedaeLames Descriptionsubespacées à espacées, subdécurrentes à décurrentes, d'un blanc un peu plus jaunâtre que le chapeau, pâlissant par le sec, pulvérulentes par la sporée, entremêlées de 8-13 lamellules, subespacées à espacées, subdécurrentes à décurrentes, d'un blanc un peu plus jaunâtre que le chapeau, pâlissant par le sec, pulvérulentes par la sporée, entremêlées de 8-13 lamellules. -
23/06/2015Lactifluus uyedaeSpores Description7-9,5(10) x 5,5-7,5(8) µm, subglobuleuses ou courtement ellipsoïdes, ornées de verrues densément réticulées, 0,4-0,7 µm de hauteur, avec tache supra-hilaire amyloïde.7-9,5(10) x 5,5-7,5(8) µm, subglobuleuses ou courtement ellipsoïdes, ornées de verrues densément réticulées, 0,4-0,7 µm de hauteur, avec tache supra-hilaire amyloïde. Basides 40-50 x 7,5-12 µm, généralement 4-spores. Lactocystides jusqu'à 100 x 12 µm, effilées ou le plus souvent obtuses, cylindriques à ventrues. Macrocystides présentes, en nombre vers la marge, effilées en forme de crayons, 50-65 x 7,5-12 µm. Hyphes non bouclées, non amyloïdes. Trame hyméniale et piléique avec sphérocystes nombreuses. Structure monomitique. Lacticifères présents.-
23/06/2015Lactifluus uyedaeEcologie DescriptionDe juillet à septembre, épars ou en groupes, au sol ou sur bois en décomposition, parfois dans la mousse (et alors à stipe plus long), dans les bois feuillus (Quercus ou Fagus-Castanopsis). Japon central : Shiga (Ôtsu, Kokubu), Kyôto (Yamazaki), Ôsaka (Minô).De juillet à septembre, épars ou en groupes, au sol ou sur bois en décomposition, parfois dans la mousse (et alors à stipe plus long), dans les bois feuillus (Quercus ou Fagus-Castanopsis). Japon central : Shiga (Ôtsu, Kokubu), Kyôto (Yamazaki), Ôsaka (Minô). Espèce non tropicale malgré son classement avec L. campinensis, igapoensis et L. panuoides.-
22/06/2015Lactifluus uyedaePhoto-Lactarius_uyedae_1989_tu_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius uyedae, Copyright (c) 1989 Toshiho Ueda
22/06/2015Lactifluus uyedaePhoto-Lactarius_uyedae_1986_tu_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius uyedae, Copyright (c) 1986 Toshiho Ueda
22/06/2015Lactifluus uyedaePhoto-Lactarius_uyedae_2000_ham_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius uyedae, Copyright (c) 2000 Henkel, Aime & Miller
22/06/2015Lactifluus uyedaePhoto-Lactarius_uyedae_1987_tuth_1.jpgAjout photo type Dessin pour Lactarius uyedae, Copyright (c) 1987 T. Ueda & T. Hongo
22/06/2015Lactifluus uyedaeRéférencesNova Hedwigia 40 (1-4): 436 (1985) ; IH2 615 ; Nova Hedwigia 40 (1-4): 436 (1985) ; IH2 615 ; Mycologia Vol. 92, No. 6 (nov.-dec. 2000), p. 1119-1132-
22/06/2015Lactifluus uyedaeCommentairesMinuscule lactaire pleurotoïde, découvert par Toshiho Ueda et dédié à ce dernier par SingerMinuscule lactaire pleurotoïde, découvert par Toshiho Ueda et dédié à ce dernier par Singer. Fiche compilée et illustrée à l'aide des Legs de Toshiho (type), D.L de Singer et l'article "Systematics of Pleurotoid Russulaceae from Guyana and Japan, with Notes on Their Ectomycorrhizal Status" par Terry W. Henkel, M. Catherine Aime, Steven L. Miller Mycologia, Vol. 92, No. 6 (Nov. - Dec., 2000), pp. 1119-1132.-
21/06/2015Lactarius deterrimusPhoto-Lactarius_deterrimus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius deterrimus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
21/06/2015Lactarius deterrimusSynonymes-Lactarius deliciosus var. piceus Smotl. ; Lactarius semisanguifluus ss. Neuhoff-
21/06/2015Lactarius deterrimusNoms françaisLactaire des épicéasLactaire des épicéas ; Lactaire détestable -
21/06/2015Lactarius deterrimusRéférencesBK 6 18 ; Bon p. 81 ; CD 1556 ; Galli p. 163 ; Marchand 524 ; FE 7 262 ; Eyssartier et Roux p. 124DM 40 p. 32 ; BK 6 18 ; Bon p. 81 ; CD 1556 ; Galli p. 163 ; Marchand 524 ; FE 7 262 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 856 ; Eyssartier et Roux p. 124-
21/06/2015Lactarius deterrimusCommentairesStipe peu scrobiculé.Section Dapetes, ss. sec. Deliciosini, le lactaire délicieux de l'épicéa ressemble beaucoup à Lactarius deliciosus qui est plus grand, à chapeau bigarré de 5-6 zones concentriques, à pied abondamment scrobiculé et sans cerne blanc au sommet. Son latex est immuable, sa chair est douce et son odeur agréable. Il vient surtout sous les pins, de sorte qu'on ne trouve pas ces deux espèces en mélange.-
21/06/2015Lactarius deterrimusChapeau Description-(3)6-8(10)cm, convexe-ombiliqué, vite aplani, puis creusé en entonnoir à la fin, à marge arrondie ou peu enroulée, puis droite et aiguë, enfin redressée, un peu ondulée. Cuticule fibrillo-vergetée, ridulée radialement, séparable à moitié, viscidule, un peu brillante au sec, orangé vif ou orange carné, pâlissant seulement à la marge dans de vagues zonations serrées, faites de guttules juxtaposées, souvent disparaissant à la maturité. Verdissant rapidement (vert sale à vert foncé) et en totalité, sauf parfois dans les zones imbues qui restent rougeâtres.-
21/06/2015Lactarius deterrimusLames Description-assez serrées, peu larges, arquées, puis adnées-décurrentes, ocre orangé, orange carné dans les sinus. Arête aiguë, entière, subconcolore.-
21/06/2015Lactarius deterrimusStipe Description-3-6 x 1-2,5 cm, égal ou atténué aux deux bouts, concolore au chapeau, bientôt verdissant entièrement; revêtement finement veiné-réticulé, non scrobiculé ou rarement subscrobiculé, pruineux, farineux au sommet où se forme un cerne blanc. Farci-vermoulu puis creux.-
21/06/2015Lactarius deterrimusChair Description-épaisse de 1-1,5 cm dans le chapeau, cotonneuse, peu ferme, crème orangé, carotte dans le cortex mais blanche dans la moelle du stipe, vineuse en 15-30 minutes, puis verdissant. Latex peu abondant, orange longtemps immuable, rougissant en 30 minutes, doux puis un peu âcre et amer. Saveur amère, odeur fruitée, de pélargonium ou de carotte, parfois donnée comme plus métallique, de scléroderme.-
21/06/2015Lactarius deterrimusLait Couleur du lait isolé-Orange-
21/06/2015Lactarius deterrimusOdeurCarotte, Fruitée, Faible/NulleCarotte, Fruitée, Pelargonium, Scléroderme, Faible/Nulle-
21/06/2015Lactarius deterrimusSpores Description-8,5-10,5 x 7-8,5 µm, ornées de nombreuses verrues libres assez basses, souvent isolées mais aussi partiellement reliées par des crêtes moyennes. Cystides fusiformes 60-80 x 6-8 µm, élancées, à sommet atténué ou pluri-étranglé. Revêtement piléique en cutis un peu gélifié, à hyphes filamenteuses grêles.-
21/06/2015Lactarius deterrimusEcologie Description-Espèce liée à l’épicéa, commune dans les pessières humides indifféremment du pH, les lisières des hauts-marais, et même parmi les sphaignes.-
31/05/2015Paralepistopsis amoenolensCommentairesLa consommation du clitocybe amoenolens Malençon entraîne, environ 24 heures après l'ingestion, une érythermalgie des extrémités (acromélalgie) se caractérisant par des crises de douleurs paroxystiques (brûlures, morsures, broiement) avec érythèmes, œdème et augmentation de la chaleur locale durant la crise. Ces troubles persistent de quelques jours à quelques mois. Il n'y a pas de signe digestif, pas d'atteinte hépatique ou rénale. Ce syndrome a déjà été décrit au Japon pour le Clitocybe acromelalga Ichimura dénommé localement "champignon aux brûlures" et serait dû à une atteinte des fibres non myélinisées du système nerveux autonome par l'acide acromélique A(AA-A). Références : - Bessard J. et coll. Mass spectrometric determination of acromelic acid A from a new poisonous mushroom: Clitocybe amoenolens. - Moreau P.-A. et coll. Analyse taxinomique d'une espèce toxique : Clitocybe amoenolens Malençon. Cryptogamie, Mycologie 2001:22:1-23 En 1996, 5 personnes ont présenté une érythermalgie 24 heures après l'ingestion de champignons pris pour Lepista inversa (Scop.) Pat. Un collectif de 7 cas a été réuni. Les symptômes (douleurs, brûlures) évoluaient par paroxysmes, étaient calmés uniquement par des bains d'eau glacée, résistaient au traitement, et ont persisté plusieurs semaines. Ils étaient accompagnés d'un érythème au moment des crises, et parfois d'un œdème. L'exploration immunologique, toxicologique et de l'état inflammatoire était négative. L'électromyogramme a montré à 3 reprises de discrètes lésions axonales. Ces troubles persistent de quelques jours à quelques mois. Il n'y a pas de signe digestif, pas d'atteinte hépatique ou rénale. Ce syndrome a déjà été décrit au Japon pour le Clitocybe acromelalga Ichimura dénommé localement "champignon aux brûlures" et serait dû à une atteinte des fibres non myélinisées du système nerveux autonome par l'acide acromélique A(AA-A). Références : 1- Nakamura K., Shoyama F, Toyama J., Tateishi K., "Empoisonnement par le Dokou-sassa-ko" Japanese J. Toxicol. 1987 ; 0 : 35-9. 2- Konno K., Hashimoto K., Ohfune Y., Shirahama H., Matsumoto T., Acromelic acids A and B. Potent neuroexcitatory amino acids isolated from Clitocybe acromelalga. J. Am. Chem. Soc. 1988 ; 110 : 4807-15. 3- Bessard J. et coll. Mass spectrometric determination of acromelic acid A from a new poisonous mushroom: Clitocybe amoenolens. 4 - Moreau P.-A. et coll. Analyse taxinomique d'une espèce toxique : Clitocybe amoenolens Malençon. Cryptogamie, Mycologie 2001:22:1-23 L'administration per os de Clitocybe amoenolens à 4 rats a montré une perte de poids, et chez les 2 rats les plus dosés une prostration, des troubles locomoteurs du train postérieur et un éry thème des pattes. L'examen en microscopie électronique des nerfs sciatiques a objectivé des lésions axonales et myéliniques (J4¡). Conclusion : Une nouvelle étiologie toxique d'érythermalgie a été mise en évidence. La toxicité de Clitocybe amoenolens a été confirmée. Il est recommandé de ne plus consommer Lepista inversa, Lepista gilva et Clitocybe gibba avec lesquels il peut être confondu. -
20/04/2015Queletia mirabilisNoms françaisQuéletie remarquable ; Lance d'Ogre hirsute (オニノケヤリタケ)Quéletie admirable ; Lance d'Ogre hirsute (オニノケヤリタケ)nom français (Myconymie, Paul Escalon)
20/04/2015Queletia mirabilisNoms français-Quéletie remarquable ; Lance d'Ogre hirsute (オニノケヤリタケ)syntaxe et errata minora
20/04/2015Queletia mirabilisRéférencesIH1 869 ; CD 1722 ; Bulletin FMBDS 119 p. 20 ; BSMF 107(3) p. (92)IH2 869 ; IOH p. 502 ; CD 1722 ; BMBDS 119 p. 20 ; BSMF 107(3) p. (92)syntaxe et errata minora
20/04/2015Queletia mirabilisCommentaires Epoque d'apparition comprise entre 2 ou 3 jours ,à la mi-Août. Détermination Marianne Meyer. Voir l'article de R.C.Azema ( très intéressant ) Espèce très rare. PS/ Maire et Dumée ont certainement récolté Q. mirabilis à la tannerie de "La Tombe " 77130 Suite à l'article de R.C. Azema, nous avions publié ensemble dans le BSMF 107(3) p.(92) une note à propos de la première récolte nipponne par S. Koyama le 3 septembre 1986, une demi-douzaine de spécimens à terre parmi les débris et copeaux d'une réserve de bois à Komoro (Nagano) Epoque d'apparition limitée à 2 ou 3 jours, à la mi-Août. Détermination par Marianne Meyer. Voir l'article de R.C.Azema ( très intéressant ). Espèce très rare. PS/ Maire et Dumée ont certainement récolté Q. mirabilis à la tannerie de "La Tombe " 77130 Suite à l'article de R.C. Azema, nous avions publié ensemble dans le BSMF 107(3) p.(92) une note à propos de la première récolte nipponne par S. Koyama le 3 septembre 1986, une demi-douzaine de spécimens à terre parmi les débris et copeaux d'une réserve de bois à Komoro (Nagano).syntaxe et errata minora
20/04/2015Queletia mirabilisGléba DescriptionBlanche au début ,devient jaune pâle ,un peu ferrugineuse.Ensuite elle se déchire ,laissant apparaître une sorte de pied .Blanche au début ,devient jaune pâle ,un peu ferrugineuse. Ensuite elle se déchire, laissant apparaître une sorte de pied .syntaxe et errata minora
20/04/2015Queletia mirabilisStipe DescriptionPouvant atteindre 9-12 ( 15 ) cm de long .En s'allongeant il porte un réceptacle de 3 à 6 cm de diamètre au dessus du sol,de façon que les spores ,puissent être disséminées.Pouvant atteindre 9-12(15) cm de long. En s'allongeant il porte un réceptacle de 3 à 6 cm de diamètre au dessus du sol, de façon que les spores puissent être disséminées.syntaxe et errata minora
20/04/2015Queletia mirabilisSpores DescriptionSporée pulvérulente ,ferrugineuse et abondante. Sphériques ,ornementées de verrues , 5-7µm ,5-6,et même 8-9µ.Le centre de la spore est marqué par une minuscule goutte huileuse.Sporée pulvérulente, ferrugineuse et abondante. Spores sphériques, ornées de verrues, 5-7µm ,5-6,et même 8-9µ. Le centre de la spore est marqué par une minuscule goutte huileuse.syntaxe et errata minora
18/04/2015Russula lilaceaComestibilité-Comestible-
18/04/2015Russula lilaceaCommentairesEspèce plutôt petite, aimant les chênes et charmes. La var. carnicolor est plus polychrome, rose, carmin, olivacé ou ocracé.Belle espèce lilacine plutôt petite, à pied fragile lavé de rose, aimant les chênaies et charmaies humides. La var. carnicolor est plus polychrome, rose, carmin, olivacé ou ocracé.-
18/04/2015Russula lilaceaChapeau Description3-6 cm, convexe puis plan et brusquement déprimé au centre, à marge mince ondulée, souvent cannelée-tuberculeuse; lilas, vineux, violet clair, brun-vineux, olivâtre ou nuancée de jaune vert, parfois de plusieurs couleurs. Cuticule mate, visqueuse par la pluie mais vite ressuyée et veloutée-ponctuée, très séparable.3-6 cm, convexe puis plan et brusquement déprimé au centre, à marge mince ondulée, souvent cannelée-tuberculeuse; lilas, vineux, violet clair, brun-vineux, olivâtre ou nuancée de jaune vert, parfois de plusieurs couleurs. Cuticule mate et sèche, rarement visqueuse par la pluie mais vite ressuyée et veloutée-ponctuée, très séparable.-
18/04/2015Russula lilaceaLames Descriptionblanches mais souvent jaunissantes à la marge, larges, obtuses à la marge, assez serrées au début, fourchues, interveinées, friables, à arête aiguë et fimbriée.blanches puis crème pâle et souvent jaunissantes à la marge, larges, obtuses à la marge, assez serrées au début, fourchues, interveinées, friables, à arête aiguë et fimbriée.-
18/04/2015Russula lilaceaStipe Description(2)3-5(6) x 0,7-1(1,5) cm, égal ou claviforme, mou et compressible, blanc mais presque toujours avec au moins des traces de rose.(2)3-5(6) x 0,7-1(1,5) cm, égal ou claviforme, mou et compressible, blanc mais presque toujours avec au moins des traces de rose d'un côté.-
18/04/2015Russula lilaceaChair Descriptionfragile, blanche, assez épaisse au disque, bleuâtre à la sulfo-vanilline, rougeâtre pâle au sulfate de fer, lente au Gaïac. Odeur faible, saveur douce ou parfois un peu amère.fragile, blanche, parfois tachée de jaune brunâtre, assez épaisse au disque, bleuâtre à la sulfo-vanilline, rougeâtre pâle au sulfate de fer, lente au Gaïac. Odeur faible, saveur douce ou parfois un peu âpre.-
18/04/2015Russula lilaceaEcologie DescriptionSous feuillus, charmes surtout. Assez rare, éparses ou en troupe en été-automne, Europe, Chine, Japon.Sous feuillus humides, charmes surtout. Assez rare en Europe, éparses ou en troupe en été-automne, Europe, Chine, Japon.-
18/04/2015Russula lilaceaNoms françaisRussule lilasRussule lilas ; Russule violet clair (ウスムラサキハツ)-
18/04/2015Russula lilaceaRéférencesBK 6 155 ; CD 1489 ; Galli p. 273 ; Sarnari 1326 ; Bon p. 61 ; Marchand 459 ; Eyssartier et Roux p. 178BK 6 155 ; CD 1489 ; Galli p. 273 ; Sarnari 1326 ; Bon p. 61 ; Marchand 459 ; IH2 602 ; Eyssartier et Roux p. 178-
18/04/2015Russula lilaceaCommentairesLa var. carnicolor est plus polychrome, rose, carmin, olivacé ou ocracé.Espèce plutôt petite, aimant les chênes et charmes. La var. carnicolor est plus polychrome, rose, carmin, olivacé ou ocracé.-
18/04/2015Russula lilaceaChapeau Description-3-6 cm, convexe puis plan et brusquement déprimé au centre, à marge mince ondulée, souvent cannelée-tuberculeuse; lilas, vineux, violet clair, brun-vineux, olivâtre ou nuancée de jaune vert, parfois de plusieurs couleurs. Cuticule mate, visqueuse par la pluie mais vite ressuyée et veloutée-ponctuée, très séparable.-
18/04/2015Russula lilaceaLames Description-blanches mais souvent jaunissantes à la marge, larges, obtuses à la marge, assez serrées au début, fourchues, interveinées, friables, à arête aiguë et fimbriée.-
18/04/2015Russula lilaceaStipe Description-(2)3-5(6) x 0,7-1(1,5) cm, égal ou claviforme, mou et compressible, blanc mais presque toujours avec au moins des traces de rose.-
18/04/2015Russula lilaceaChair Description-fragile, blanche, assez épaisse au disque, bleuâtre à la sulfo-vanilline, rougeâtre pâle au sulfate de fer, lente au Gaïac. Odeur faible, saveur douce ou parfois un peu amère.-
18/04/2015Russula lilaceaSpores Description-Sporée d'un blanc pas toujours pur. Spore 8-10 x 6-8 µm à verrues isolées, de hauteur très variable. Cystides 41-60 x 9,5-13,5 µm. Cuticule à hyphes primordiales incrustées.-
18/04/2015Russula lilaceaEcologie Description-Sous feuillus, charmes surtout. Assez rare, éparses ou en troupe en été-automne, Europe, Chine, Japon.-
18/04/2015Russula lilaceaPhoto-Russula_lilacea_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula lilacea Japon, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
14/04/2015Amanita rubrovolvataPhoto-Amanita_rubrovolvata_1993_gdma_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita rubrovolvata, Copyright (c) 1993 Guy Durrieu & M.K. Adhikari
14/04/2015Amanita rubrovolvataPhotoAmanita_rubrovolvata_1993_gdma_1.jpg-Suppression photo
14/04/2015Amanita rubrovolvataPhoto-Amanita_rubrovolvata_1993_gdma_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita rubrovolvata, Copyright (c) 1993 Guy Durrieu & M.K. Adhikari
14/04/2015Amanita rubrovolvataPhotoAmanita_rubrovolvata_1993_gdma_1.jpg-Suppression photo : couleurs
13/04/2015Lysurus mokusinRéférencesFAMM 11 p. &à-13 - OSTROVIDOW S. Un "Gasteromycetes" oriental rare en Europe : Lysurus mokusin (L.) Fr. ; CD 1751 ; IH2 897 ; DM 100 p. 265 ; IOH 515 ; Kinoko Field Book p. 277FAMM 11 p. 10-13 - OSTROVIDOW S. Un Gasteromycetes oriental rare en Europe : Lysurus mokusin (L.) Fr. ; CD 1751 ; IH2 897 ; DM 100 p. 265 ; IOH 515 ; Kinoko Field Book p. 277typo
13/04/2015Cookeina tricholomaPhoto-Cookeina_tricholoma_1989_mi_1.jpgAjout photo type Macro pour Cookeina tricholoma, Copyright (c) 1989 Masana Izawa
13/04/2015Amanita rubrovolvataCommentairesBelle amanite de petite taille aux couleurs vives. Guy Durrieu avait observé cette espèce, nouvelle pour le Népal, dans la vallée de Langtang en 1982 sous Quercus semecarpifolia. Bull. Soc. Mycol. France 110 (1994) fasc. 1, p. 29-32.Belle amanite de petite taille aux couleurs vives. Guy Durrieu avait observé cette espèce, nouvelle pour le Népal, dans la vallée de Langtang en 1982 sous Quercus semecarpifolia. Description complète dans le bulletin trimestriel de la Soc. Mycol. France tome 110, fascicule 1, pp. 29-32 + pl. 283 (Atlas SMF). Le genre Amanita au Népal (II)compléments incluant les récoltes du Népal.
13/04/2015Amanita rubrovolvataChapeau Description2,5 - 4 cm de diamètre, convexe puis plan ou faiblement creusé, rarement mamelonné, orangé vif à rouge vermillon dans les deux-tiers de la partie discale, pâlissant à jaunâtre orangé vers la marge, recouvert de restes de volve farineux ou granuleux rouge orangé à jaune; marge longuement striée jusqu'à mi-rayon, non appendiculée.2,5-4 cm de diamètre, convexe puis plan ou faiblement creusé, rarement mamelonné, orangé vif à orange-écarlate ou rouge vermillon dans les deux-tiers de la partie discale, pâlissant à jaunâtre orangé vers la marge, recouvert de restes de volve farineux ou granuleux rouge orangé à jaune; marge longuement striée-tuberculée jusqu'à mi-rayon, non appendiculée. Cuticule très fine et membraneuse, subaréolée, légèrement visqueuse, couverte d'écailles micacées séparables, réduites dans la vieillesse en taches crustacées éparses?compléments incluant les récoltes du Népal.
13/04/2015Amanita rubrovolvataChair DescriptionMince, blanchâtre à isabelle.Mince, blanchâtre à isabelle, fragile et orange pâle sur les specimens népalais.compléments incluant les récoltes du Népal.
13/04/2015Amanita rubrovolvataStipe Description4,5 - 11 x 0,4 - 0,7 cm, subcylindrique ou atténué au sommet, revêtement blanc crème au dessus de l'anneau, de plus en plus jaune vers la base. Bulbe basal subsphérique, 1 - 1,5 cm, recouvert de débris de volve pulvérulents ou floconneux de couleur rouge, rouge orangé à jaunâtre. Anneau persistant, membraneux, blanc sur la face supérieure, jaunâtre sur la face inférieure, l'arête étant soulignée de rouge.4,5 - 11 x 0,4 - 0,7 cm, subcylindrique ou atténué au sommet, faiblement bulbeux au niveau de la volve; revêtement blanc crème au dessus de l'anneau, de plus en plus jaune vers la base. Bulbe basal subsphérique, 1-1,5 cm, recouvert de débris de volve pulvérulents ou floconneux de couleur rouge, rouge orangé à jaunâtre. Anneau supère pendant, persistant ou caduc, finement membraneux, blanc sur la face supérieure, jaunâtre sur la face inférieure, l'arête étant soulignée de rouge (ou poudrée d'orange sur les récoltes népalaises). Volve friable, adnée au bulbe autour duquel elle est nettement marginée.compléments incluant les récoltes du Népal.
13/04/2015Amanita rubrovolvataSpores DescriptionSpores globuleuses 7 - 8,5 x 6 - 7,5 µm, non amyloïdes. Boucles absentes.Sporée blanche à légèrement crème. Spores globuleuses 7-8,5 x 6-7,5 µm (7,5-10 µm pour les récoltes népalaises), apiculées, à grosse guttule, non amyloïdes. Boucles absentes.compléments incluant les récoltes du Népal.
13/04/2015Amanita rubrovolvataPhoto-Amanita_rubrovolvata_1993_gdma_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita rubrovolvata, Copyright (c) 1993 Guy Durrieu & M.K. Adhikari
13/04/2015Amanita rubrovolvataRéférencesIH1 197 ; IOH p. 144IH1 197 ; IOH p. 144 ; SMF 110 (1), Atlas pl. 283-
13/04/2015Amanita rubrovolvataCommentairesBelle amanite de petite taille aux couleurs vives. Belle amanite de petite taille aux couleurs vives. Guy Durrieu avait observé cette espèce, nouvelle pour le Népal, dans la vallée de Langtang en 1982 sous Quercus semecarpifolia. Bull. Soc. Mycol. France 110 (1994) fasc. 1, p. 29-32.-
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusCommentairesRessemble à Boletus fraternus en plus rosé, mais la spore est ici fort différente et plus grande.Ressemble à Boletus rubellus et B. fraternus en plus rosé, mais la spore, rainurée, est ici fort différente et plus grande.fiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusChapeau CouleurBrun, RougeBrun, Rouge, Saumonfiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusChapeau Description3-6 cm. Rev. d'un beau rose rouge rhubarbe, brillant et à marge excédante chez le jeune, parfois vaguement bleuissant à la blessure.3-6 cm, convexe puis plan. Revêtement sec, scrobiculé et tomenteux, "brun madère", "vieux rose" ou "cannelle rosâtre", d'un beau rose rouge rhubarbe vif et à marge excédante chez le jeune, souvent subtilement rimeux-aréolé, conexte jaune pâle, parfois vaguement bleuissant à la blessure.fiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusChair CouleurCrème, JauneBlanc, Crème, Jaunefiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusChair Descriptionjaune pâle, douce, presque blanche dans le stipe.chair peu épaisse, molle, jaune pâle dans le chapeau, presque blanche dans le bas du stipe, immuable ou bleuissant faiblement à la coupe. Saveur un peu amère, odeur nulle.fiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusPores DécurrentsNonOui ou Nonfiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusPores DescriptionTubes adnés, gris jaunâtre, puis jaune vif, à la fin olivacé. Pores petits et hexagonaux, 0,5-1 mm, concolores aux tubes, immuables.Tubes adnés et déprimés autour du stipe, souvent décurrents par une dent, 5-13 mm de long, gris jaunâtre, puis jaune citron vif à jaune verdâtre criard, à la fin olivacés. Pores moyens et presque anguleux-hexagonaux, 0,5-1 mm, concolores aux tubes, immuables.fiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusStipe Description3-8 x 0,5-1,5 cm, blanc lavé de rose.3-8 x 0,5-1 cm, égal ou épaissi à la base jusqu'à 1,5 cm, plein, revêtu de rose "la France" (Ridgway) ou de blanc lavé de rose, plus ou moins rayé longitudinalement et furfuracé de points rouges ou roses, surtout au sommet; souvent avec un tomentum basal blanc.fiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusSaveurDouceDouce ou Amère/Piquantefiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusSpores Description14-20 x 5-7 µm, longuement ellipsoïdes, rainurées.jaune de miel sous le microscope, 14-20 x 5-7 µm, subfusoïdes ou longuement ellipsoïdes à subcylindracées, finement et bassement rainurées longitudinalement. Basides tétrasporiques, 30-37 x 10-13 µm; cheilo- et pleurocystides 33-90(100) x 10-15,5 µm ventrues à étroitement fusoïdes, à paroi mince; trame hyméniale nettement bilatérale; caulocystides 33-51 x 7-12,5 µm, la plupart clavées.fiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusEcologie DescriptionJava, Bornéo, Nouvelle-Guinée, Chine, Japon, Taïwan, Corée, Afrique (Congo), vient sous fagaceae (Quercus, Castanopsis), plus rarement sous Pinus densiflora. Signalé également sous eucalyptus en Australie.Java, Bornéo, Nouvelle-Guinée, Chine, Japon (peu commun), Taïwan, Corée, Afrique (Congo), vient sous fagaceae (Quercus, Castanopsis), plus rarement sous Pinus densiflora. Signalé également sous eucalyptus en Australie.fiche complétée
12/04/2015Boletellus obscurecoccineusPhoto-Boletellus_obscurecoccineus_1970_hni_1.jpgAjout photo type Mixte pour Boletellus obscurecoccineus, Copyright (c) 1970 Hongo, Nagasawa & Izawa
11/04/2015Boletus quercinusCommentaires-Bolet de grande taille, assez peu répandu, mais en quantité dans ses stations, dans les jeunes chênaies (Quercus serrata), d'abord rapporté à B. satanas, et semble proche de B. purpureus ou B. rhodoxanthus, dont il diffère par le réseau confiné au sommet du stipe, l'absence de bulbe, la spore plus courte et l'habitat non calcicole.-
11/04/2015Boletus quercinusChair DescriptionChair du chapeau blanchâtre, virant faiblement au bleu verdâtre à la coupe. Chair du pied ferme, légèrement jaunâtre, parfois rougeâtre à la base, bleuissant faiblement à la coupe comme dans le chapeau.Chair du chapeau blanchâtre, virant faiblement au bleu verdâtre à la coupe. Chair du pied ferme, légèrement jaunâtre, parfois rougeâtre à la base, bleuissant faiblement à la coupe comme dans le chapeau. Saveur douce, odeur fongique nette.-
11/04/2015Boletus quercinusEcologie DescriptionEté-automne dans les bois de Pinus-Quercus ou Quercus.Eté-automne dans les bois mêlés de Pinus-Quercus ou Quercus serrata, endémique(?) Shiga, Kyôto...-
08/04/2015Boletus quercinusPhoto-Boletus_quercinus_1975_then_1.jpgAjout photo type Micro pour Boletus quercinus, Copyright (c) 1975 Tsuguo Hongo & Eiji Nagasawa
08/04/2015Boletus quercinusPhoto-Boletus_quercinus_1989_th_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus quercinus, Copyright (c) 1989 Tsuguo Hongo
08/04/2015Morchella rigidaPhoto-Morchella_rigida_1991_sy_2.jpgAjout photo type Macro pour Morchella rigida, Copyright (c) 1991 Shoichi Yoshimi
08/04/2015Morchella rigidaPhotoMorchella_rigida_1991_syens_1.jpg-Suppression photo
08/04/2015Morchella rigidaPhoto-Morchella_rigida_1991_sy_1.jpgAjout photo type Micro pour Morchella rigida, Copyright (c) 1991 Shoichi Yoshimi
08/04/2015Morchella rigidaPhoto-Morchella_rigida_1991_syens_1.jpgAjout photo type Dessin pour Morchella rigida, Copyright (c) 1991 Shoichi Yoshimi Et Nobuo Sugiyama
07/04/2015Lactarius pterosporusPhoto-Lactarius_pterosporus_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius pterosporus, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
06/04/2015Lactarius glyciosmusNoms françaisLactaire à odeur de noix de cocoLactaire à odeur suave ; Lactaire à odeur de noix de coco-
06/04/2015Lactarius glyciosmusCommentairesAcido-hygrophile.Petit lactaire calcifuge, acido-hygrophile des bétulaies herbeuses et des marais sphagneux, reconnaissable à son odeur de coco, son chapeau feutré-givré aux teintes grises et beiges qui le séparent de Lactarius fuscus. -
06/04/2015Lactarius glyciosmusChapeau CouleurGris, SaumonCrème, Gris, Saumon-
06/04/2015Lactarius glyciosmusChapeau Description-1-6 cm, convexe, puis étalé en coupe, souvent avec une papille centrale, parfois ombiliqué; marge régulière longtemps incurvée, devenant sinueuse et récurvé dans la vieillesse. Cuticule adnée, visqueuse et brillante par temps humide, vite sèche et pruineuse, givrée, finement feutrée, grisâtre argenté ou beige touché de rose lilacin.-
06/04/2015Lactarius glyciosmusLames Description-assez serrées, inégales, fourchues-interveinées vers le pied, 2-3 mm de large, adnées-décurrentes à décurrentes, crème à crème orangé plus saturé dans les sinus. Arête entière, aiguë, concolore. Sporée crème blanchâtre.-
06/04/2015Lactarius glyciosmusStipe Description-2-5 x 0,5-1,5 cm, atténué vers le bas, plus ou moins évasé au sommet, plein, élastique, puis farci, enfin creux et fragile. Revêtement sec, pruineux et finement ridulé.-
06/04/2015Lactarius glyciosmusChair Description-mince, molle et cotonneuse mais cassante, blanchâtre à beige grisâtre pâle, douce puis parfois à peine âcre après quelque temps. Odeur typique de noix de coco des pâtissiers, ou de feuilles de figuier. Latex peu abondant, blanc, doux puis âcre.-
06/04/2015Lactarius glyciosmusEcologie Description-commun dans toute l'Europe, surtout au Nord, d'août à octobre, typiquement dans l'herbe des bétulaies humides, sur sol acides, tourbières à sphaignes, jusqu'à 2000 m, plus rarement sous saules et aulnes.-
06/04/2015Lactarius glyciosmusPhoto-Lactarius_glyciosmus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius glyciosmus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
05/04/2015Lactarius mammosusEcologie DescriptionAcidophile répandu dans le centre e le nord de l'Europe, mais assez rare en France, d'août à octobre, surtout dans les aiguilles tombées des pessières et pinèdes planitiaires continentales à submontagnardes, ou mêlées de feuillus (bouleaux). Acidophile répandu dans le centre et le nord de l'Europe, mais assez rare en France, d'août à octobre, surtout dans les aiguilles tombées des pessières et pinèdes planitiaires continentales à submontagnardes, ou mêlées de feuillus (bouleaux). -
05/04/2015Lactarius mammosusSynonymesL. mammosus Fr.1834L. mammosus Fr. 1834 sensu auct. plur.-
05/04/2015Lactarius mammosusChapeau Description4-10 cm, convexe, submamelonné puis déprimé, sec, pelucheux à feutré, parfois pruineux au bord, presque zoné, brun assez foncé à tonalité violacée ou rouge brunâtre avec l'âge selon Neuhoff.4-10 cm, convexe, submamelonné puis déprimé, très sec, pelucheux à feutré, parfois pruineux au bord, presque zoné, brun assez foncé à tonalité violacée ou rouge brunâtre avec l'âge selon Neuhoff.-
05/04/2015Lactarius mammosusChair Descriptionjusqu'à 0,8 cm dans le chapeau, blanchâtre à ochracé pâle, subconcolore sous la cuticule et dans la base du stipe; odeur forte de noix de coco, comme Lactarius glyciosmus, de cannelle, de feuille de figuier, nullejusqu'à 0,8 cm dans le chapeau, blanchâtre à ochracé pâle, subconcolore sous la cuticule et dans la base du stipe; odeur forte de noix de coco, comme Lactarius glyciosmus, de cannelle, de feuille de figuier.-
05/04/2015Lactarius mammosusSpores Description7-8,5 x 5-6,5µm, à verrues assez basses reliées par des crêtes et des zébrures en réseau presque complet. Cystides peu abondantes, fusoïdes ou clavées atténuées, 30-60 x 6-10 µm, souvent obtuses. Revêtement piléique à hyphes flexueuses, x 3-6 µm, dressées en trichoderme court.Sporée crème blanchâtre. Spores 7-8,5 x 5-6,5µm, à verrues assez basses reliées par des crêtes et des zébrures en réseau presque complet. Cystides peu abondantes, fusoïdes ou clavées atténuées, 30-60 x 6-10 µm, souvent obtuses. Revêtement piléique à hyphes flexueuses, x 3-6 µm, dressées en trichoderme court.-
05/04/2015Lactarius mammosusEcologie HabitatSous feuillus, Sous conifères, BouleauxSous feuillus, Sous conifères, Bouleaux, Epicéas, Pins-
05/04/2015Lactarius mammosusNoms françaisLactaire brun ; Lactaire sombreLactaire sombre ; Lactaire brun sombre-
05/04/2015Lactarius mammosusRéférencesBK 6 39 ; Bon p. 89 ; CD 1572 ; Cetto 1938 ; Galli p. 195 ; Marchand 548 ; FE 7 482 ; Eyssartier et Roux p. 130SMF Rolland, L. 1899. Excursions à Chamonix. Bulletin de la Société Mycologique de France 15:73-78 ; BK 6 39 ; Bon p. 89 ; CD 1572 ; Cetto 1938 ; Galli p. 195 ; Marchand 548 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 802-803 ; FE 7 482 ; Eyssartier et Roux p. 130-
05/04/2015Lactarius mammosusCommentairesAcidophile.Acidophile. Chapeau très sec, brun violacé, la grande taille et l'odeur de noix de coco signalent cette espèce. L. mammosus est souvent synonymisé, mais Fries y voyait une petite espèce à mamelon aigu, inodore, à chapeau feutré de gris, non zoné. A Odeur identique de coco, lames crème jaunâtre, presque sans lait, et deux fois plus petit et grisâtre, Lactarius glyciosmus est beaucoup plus fréquent sous bouleaux à tendance acido-hygrophile.-
05/04/2015Lactarius mammosusChapeau CouleurBrun, GrisBrun, Gris, Mauve-
05/04/2015Lactarius mammosusChapeau Description-4-10 cm, convexe, submamelonné puis déprimé, sec, pelucheux à feutré, parfois pruineux au bord, presque zoné, brun assez foncé à tonalité violacée ou rouge brunâtre avec l'âge selon Neuhoff.-
05/04/2015Lactarius mammosusLames Description-3-4 mm de large, subdécurrentes, assez serrées, inégales et fourchues, jaune ochracé puis saumonées ou à reflets orangés, à arête aiguë, entière et concolore, se tâchant de brun-orangé dans les blessures. Latex peu copieux, blanc ou opalescent, jaunissant très légèrement, doux puis âcrescent.-
05/04/2015Lactarius mammosusStipe Description-3-6 x 0,5-1,7 cm, souvent comprimé et ridulé à bosselé, sec à pruineux, plein puis creux, crème pâle à ocracé ou subconcolore, brunissant à la manipulation.-
05/04/2015Lactarius mammosusChair Description-jusqu'à 0,8 cm dans le chapeau, blanchâtre à ochracé pâle, subconcolore sous la cuticule et dans la base du stipe; odeur forte de noix de coco, comme Lactarius glyciosmus, de cannelle, de feuille de figuier, nulle-
05/04/2015Lactarius mammosusSpores Description-7-8,5 x 5-6,5µm, à verrues assez basses reliées par des crêtes et des zébrures en réseau presque complet. Cystides peu abondantes, fusoïdes ou clavées atténuées, 30-60 x 6-10 µm, souvent obtuses. Revêtement piléique à hyphes flexueuses, x 3-6 µm, dressées en trichoderme court.-
05/04/2015Lactarius mammosusEcologie Description-Acidophile répandu dans le centre e le nord de l'Europe, mais assez rare en France, d'août à octobre, surtout dans les aiguilles tombées des pessières et pinèdes planitiaires continentales à submontagnardes, ou mêlées de feuillus (bouleaux). -
05/04/2015Lactarius mammosusPhoto-Lactarius_fuscus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius fuscus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
05/04/2015Lactarius mammosusPhotoLactarius_fuscus_1987_dg_1.jpg-Suppression photo : erreur legende
05/04/2015Lactarius mammosusPhoto-Lactarius_fuscus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius fuscus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
03/04/2015Mycena aciculaAuteur(Sch. : Fr.) Kummer 1871(J.C. Schaeffer : Fries) Kummer 1871-
03/04/2015Mycena aciculaSynonymes-Hemimycena acicula (Schaeff.) Singer ; Marasmiellus acicula (Schaeff.) Singer 1951 ; Trogia acicula (Schaeff.) Corner 1966-
03/04/2015Mycena aciculaNoms françaisMycène rouge orangeMycène aiguille ; Mycène rouge orange-
03/04/2015Mycena aciculaRéférencesBon p. 183 ; BK 3 312 ; CD 608 ; Eyssartier et Roux p. 398Bon p. 183 ; BK 3 312 ; CD 608 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 692-693 ; Eyssartier et Roux p. 398-
03/04/2015Mycena aciculaCommentaires-Ressemble à Rickenella fibula, dont les lames sont très décurrentes. Mycena oregonensis a des couleurs plus constantes, des lames souvent bordées de jaune ou d'orangé pâle et des spores plus courtes et plus larges. Les Cheilocystides de l'espèce américaine renferment, de plus, un pigment jaune et son stipe montre de véritables caulocystides.-
03/04/2015Mycena aciculaChapeau Description-2-8 mm, parfois comme de minuscules têtes d' épingles (d'où le nom "acicula"), hémisphérique puis en cloche, finement pruineux, lisse ensuite, orangé vif, pâlissant jusqu'à jaune, ou même blanchâtre à la marge.-
03/04/2015Mycena aciculaLames Description-étroitement adnées, peu serrées, blanches ou jaunâtre pâle.-
03/04/2015Mycena aciculaStipe Description-1-5 cm x 0,2-1 mm, très fin, fragile, jaune orangé à jaunâtre, pâlissant.-
03/04/2015Mycena aciculaSpores Description-9-10,5 x 3-4 µm, fusi-larmiformes, non-amyloïdes. Basides 15-25 x 5-8 µm. Cheilocystides 15-30 x 3-8 µm, fusiformes ou clavées à sublagéniformes. Pleurocystides rares, semblables. Trame inerte dans le Melzer. Revêtement piléique en cutis, à hyphes x 2-3,5 µm, portant de courtes excroissances, reposant sur une couche de cellules largement renflées. Hyphes de la surface du stipe rampantes, à digitation largement cylindracées, plus ou moins ramifiées ou difformes.-
03/04/2015Mycena aciculaEcologie DescriptionSur débris ligneux.Espèce assez courante et largement distribuée de septembre à décembre, sur débris végétaux ou ligneux, surtout sous feuillus-
03/04/2015Delicatula integrellaSpores Description6,5-9 x 4-5,5 µm, citriniformes, ventrues, papillées, amyloïdes. Basides 25-50 x 5-9 µm. Trame inerte dans le Melzer. Revêtement piléique en cutis, à hyphes x 2,5 µm, lisses. Quelques fusi-clavées à paroi épaissie, à la base du stipe.6,5-9 x 4-5,5 µm, citriniformes, ventrues, papillées, amyloïdes. Basides 25-50 x 5-9 µm. Trame inerte dans le Melzer. Revêtement piléique en cutis, à hyphes x 2,5 µm, lisses. Quelques cellules fusi-clavées à paroi épaissie, à la base du stipe.-
03/04/2015Delicatula integrellaSynonymes-Agaricus integrellus Pers. 1800 ; Mycena integrella (Pers.) Gray 1821 ; Omphalia integrella (Pers.) P. Kumm. 1871 ; Omphalina integrella (Persoon) Quélet 1886-
03/04/2015Delicatula integrellaNoms français-Mycène délicate-
03/04/2015Delicatula integrellaRéférencesBon p. 187 ; CD 536 ; Eyssartier et Roux p. 372Bon p. 187 ; CD 536 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 701-702 ; Eyssartier et Roux p. 372-
03/04/2015Delicatula integrellaCommentairesTerre, débris végétaux.--
03/04/2015Delicatula integrellaChapeau Description-0,5-1 cm, hémisphérique, puis convexe, irrégulier et souvent lobé, blanc, presque translucide, un peu sillonné ou cannelé. Marge incurvée, un peu onduleuse, montrant parfois des traces de cortine dans l'extrême jeunesse.-
03/04/2015Delicatula integrellaLames Description-subdécurrentes à uncinées, espacées, mal formées, fourchues ou anastomosées, typiquement pliciformes, réduites à des plis bas n'atteignant pas la marge, blanches. Arête un peu épaisse.-
03/04/2015Delicatula integrellaStipe Description-0,5-2 cm x 0,5-1 mm, atténué, blanc.-
03/04/2015Delicatula integrellaSpores Description-6,5-9 x 4-5,5 µm, citriniformes, ventrues, papillées, amyloïdes. Basides 25-50 x 5-9 µm. Trame inerte dans le Melzer. Revêtement piléique en cutis, à hyphes x 2,5 µm, lisses. Quelques fusi-clavées à paroi épaissie, à la base du stipe.-
03/04/2015Delicatula integrellaEcologie Description-Espèce très commune d'août à décembre, mais inégalement distribuée, venant sur la terre nue, dans les ornières des chemins forestiers, les talus moussus et les débris végétaux.-
01/04/2015Mutinus elegansRéférencesDM 53 p. 44 Jean Mornand 1984 ; DM 25 p. 453-458 Szczepka 1995, Clé des Mutinus ; CD 1748 ; Marchand 378 ; TMSJ 41 p. 75-78 Guez D. et Nagasawa E. (2000) ; Eyssartier et Roux p. 1052DM 53 p. 44 Jean Mornand (1984), Gastéromycètes de France ; DM 25 p. 453-458 Szczepka (1995), Clé des Mutinus ; CD 1748 ; Marchand 378 ; TMSJ 41 p. 75-78 Guez D. et Nagasawa E. (2000), Espèce nouvelle pour le Japon ; Eyssartier et Roux p. 1052-
01/04/2015Mutinus elegansGléba DescriptionComme chez toutes les Phallales, le réceptacle porte à son sommet (1/4 à 1/3 supérieur) une gléba de couleur vert wagon à brun olivâtre sombre, ointe sur 4-5 cm de la partie fertile, mucilagineuse et d'odeur forte et fétide, parfois à relent douceâtre-nauséeux, mais non cadavérique.Zone fertile non capitée et sans délimitation nette (pas de renflement ni amincissement notable, pas d'alvéoles). Comme chez toutes les Phallales, le réceptacle porte à son sommet (1/4 à 1/3 supérieur) une gléba de couleur vert wagon à brun olivâtre sombre, ointe sur 4-5 cm de la partie fertile, mucilagineuse et d'odeur forte et fétide, parfois à relent douceâtre-nauséeux, mais non cadavérique.-
01/04/2015Mutinus elegansSpores DescriptionBasides 15-25 x 4-6 µm, portant un bouquet de 7-8 spores. Spores 4-5 x 1,8-2 µm, oblongues-ellipsoïdes, lisses, cloison 0,4 µm, hyalines, vert grisâtre pâle, non guttulées. Stérigmates de 1,5 µm de long. Cystides absentes. Coupe d'un œuf de 2,5 x 2,5 cm, blanc sordescent, vite sali de gris brunâtre. Se perce naturellement au sommet après deux jours et laisse échapper un, puis deux ballons remplis de mucus translucide. Coupé en deux au cutter, le cuir mince de l'enveloppe externe offre quelque résistance tandis qu'en dessous, une matière visqueuse comme une huître fuit sous la lame, avant de rencontrer une matière plus solide, grenue comme un radis. Un liquide incolore et insipide comme de l'eau s'en échappe. La coupe (photo) montre un cortex rouge rose au centre, plus ou moins cordiforme, presque en V, à parois épaisses de 2-3 mm, enveloppé dans une gélatine translucide, plus colorée opaque qu'un blanc d’œuf, beige à jaune brunâtre pâle ( couleur de la gomme arabique, de résine de pin), de 3-6 mm d'épaisseur de part et d'autre de la tige centrale, presque nulle au sommet et à la base. Le réceptacle est creusé en cavité de 2-4 mm sur chaque moitié. La volve est déjà formée par une couche basale blanc pur, isolant le canal de gelée amniotique, comme un nombril de 1,5 mm d'épaisseur, reliée à l'extérieur à deux cordons mycéliens. Le réceptacle de l'adulte présente presque toujours un orifice sommital, foramen de 1-3 mm de diamètre. Le tube est un tissus formé d'alvéoles de 0,5-1 mm (mesurées à la face interne du tube) sur la partie fertile, de plus en plus larges vers la base. Basidiospores verdâtre pâle dans l'eau, lisses, ellipsoïdes, 4-4,5(5) x 1,8-2 µm, à parois épaisse vers 0,5 µm. Stérigmates de 1,5 µm de long. Basides en massue ou fusiformes, 8-spores, non bouclées, 3-5,5(5) x 20-25(30) µm, se rétrécissant avec l'âge, de sorte que leur largeur est inversement proportionnelle à la taille du primordium étudié, se liquéfiant complètement à maturité. Cloisons fréquentes, parfois énormes. Hyphes grêles, vers 3 µm, brusquement renflées en raccord, de type manchon de 8 µm. Sphérocystes 20-30 x 25-32 µm.Basides sub-utriformes à sub-cylindracées, non bouclées à la base, 15-25 x 4-6 µm, portant un bouquet de 7-8 spores. Stérigmates de 1,5 µm de long. Cystides absentes. Spores 4-5 x 1,8-2 µm, oblongues-ellipsoïdes, lisses, cloison 0,4 µm, hyalines, vert grisâtre pâle, non guttulées. Coupe d'un œuf de 2,5 x 2,5 cm, blanc sordescent, vite sali de gris brunâtre. Se perce naturellement au sommet après deux jours et laisse échapper un, puis deux ballons remplis de mucus translucide. Coupé en deux au cutter, le cuir mince de l'enveloppe externe offre quelque résistance tandis qu'en dessous, une matière visqueuse comme une huître fuit sous la lame, avant de rencontrer une matière plus solide, grenue comme un radis. Un liquide incolore et insipide comme de l'eau s'en échappe. La coupe (photo) montre un cortex rouge rose au centre, plus ou moins cordiforme, presque en V, à parois épaisses de 2-3 mm, enveloppé dans une gélatine translucide, plus colorée opaque qu'un blanc d’œuf, beige à jaune brunâtre pâle ( couleur de la gomme arabique, de résine de pin), de 3-6 mm d'épaisseur de part et d'autre de la tige centrale, presque nulle au sommet et à la base. Le réceptacle est creusé en cavité de 2-4 mm sur chaque moitié. La volve est déjà formée par une couche basale blanc pur, isolant le canal de gelée amniotique, comme un nombril de 1,5 mm d'épaisseur, reliée à l'extérieur à deux cordons mycéliens. Le réceptacle de l'adulte présente presque toujours un orifice sommital, foramen de 1-3 mm de diamètre. Le tube est un tissus formé d'alvéoles de 0,5-1 mm (mesurées à la face interne du tube) sur la partie fertile, de plus en plus larges vers la base. Basidiospores verdâtre pâle dans l'eau, lisses, ellipsoïdes, 4-4,5(5) x 1,8-2 µm, à parois épaisse vers 0,5 µm. Stérigmates de 1,5 µm de long. Basides en massue ou fusiformes, 8-spores, non bouclées, 3-5,5(5) x 20-25(30) µm, se rétrécissant avec l'âge, de sorte que leur largeur est inversement proportionnelle à la taille du primordium étudié, se liquéfiant complètement à maturité. Cloisons fréquentes, parfois énormes. Hyphes grêles, vers 3 µm, brusquement renflées en raccord, de type manchon de 8 µm. Sphérocystes 20-30 x 25-32 µm.-
01/04/2015Mutinus elegansRéférencesDM 53 p. 44 Jean Mornand 1984 ; CD 1748 ; Marchand 378 ; TMSJ 41 p. 75-78 Guez D. et Nagasawa E. (2000) ; Eyssartier et Roux p. 1052DM 53 p. 44 Jean Mornand 1984 ; DM 25 p. 453-458 Szczepka 1995, Clé des Mutinus ; CD 1748 ; Marchand 378 ; TMSJ 41 p. 75-78 Guez D. et Nagasawa E. (2000) ; Eyssartier et Roux p. 1052Fiche enfin complétée
01/04/2015Mutinus elegansCarpophore CouleurOrange, RougeBlanc, Orange, RougeFiche enfin complétée
01/04/2015Mutinus elegansCarpophore Descriptiondressé, droit comme un i, ou plus ou moins courbé, à la fin souvent plié en deux; œuf blanc ou partiellement taché de brun, de la taille d'un œuf de pigeon (1,5-4 x 1-2,7 cm), non bosselé mais bientôt allongé par l'érection interne avant l'éclosion.Sporophore d'abord en forme d'œuf semi-hypogé puis épigé de la taille d'un œuf de pigeon, subglobuleux puis ovoïde à piriforme, 1,5-4(5) cm de haut x 1-2,7 cm de diamètre, non bosselé mais bientôt allongé par l'érection interne avant l'éclosion; surface lisse, blanche ou partiellement tachée de brunâtre, munis à la base de nombreux rhizomorphes. Péridium constitué de trois couches, la couche externe et interne membraneuses et blanches, la couche médiane mucilagineuse et hyaline. L'enveloppe externe finit par se rompre pour former une volve à 2-4 lobes, tandis que la couche interne laisse souvent de fines veine blanches, formant des stries ou bracelets sur le réceptacle.Fiche enfin complétée
01/04/2015Mutinus elegansGléba DescriptionComme chez toutes les espèces de l'ordre des Phallales, le stipe porte à son sommet une gléba de couleur vert wagon, ointe sur 4-5 cm de la partie fertile, mucilagineuse et fétide, mais non cadavérique.Comme chez toutes les Phallales, le réceptacle porte à son sommet (1/4 à 1/3 supérieur) une gléba de couleur vert wagon à brun olivâtre sombre, ointe sur 4-5 cm de la partie fertile, mucilagineuse et d'odeur forte et fétide, parfois à relent douceâtre-nauséeux, mais non cadavérique.Fiche enfin complétée
01/04/2015Mutinus elegansStipe Description9-19(22) cm de haut sur 1-2,5(3) cm de diamètre, de forme très variable, souvent atténué à partir de la mi-hauteur en col de bouteille, toujours appointie et tronqué au sommet, le méat du manchon apical varie en diamètre de 0,4-0,8cm.Réceptacle stipitiforme, 9-19(22) cm de haut sur 1-2,5(3) cm de diamètre, de forme très variable, courtement acuminé à la sortie de l'oeuf, puis cylindrique, souvent atténué à partir de la mi-hauteur en col de bouteille, toujours appointie et tronquée au sommet, perforée chez l'adulte, le méat du manchon apical variant en diamètre de 0,4-0,8 cm. Structure spongieuse tubulaire et creuse de 2-3 mm d'épaisseur, d'abord dressée comme un i, bientôt courbée, à la fin pliée en deux avant de s’effondrer. Surface entièrement de couleur rouge pastèque caractéristique (rouge carmin orangé, à rouge rose, Methuen 9A4-6, 9A-B7 ou 6A6, 7A7), palissant un peu à la base (9C-D8), poreuse dans la partie inférieure qui est composée de cellules polygonales ouvertes de 0,2-0,8 mm, devenant de plus en plus petites et fermées, verruqueuse, vers le haut.Fiche enfin complétée
01/04/2015Mutinus elegansSpores DescriptionBasides 15-25 x 4-6 µm, portant un bouquet de 7-8 spores. Spore : 4-5 µm de long sur 1,8-2 µm de large Stérigmates de 1,5 µm de long. Coupe d'un œuf de 2,5 x 2,5 cm, blanc sordescent, vite sali de gris brunâtre. Se perce naturellement au sommet après deux jours et laisse échapper un, puis deux ballons remplis de mucus translucide. Coupé en deux au cutter, le cuir mince de l'enveloppe externe offre quelque résistance tandis qu'en dessous, une matière visqueuse comme une huître fuit sous la lame, avant de rencontrer une matière plus solide, grenue comme un radis. Un liquide incolore et insipide comme de l'eau s'en échappe. La coupe (photo) montre un cortex rouge rose au centre, plus ou moins cordiforme, presque en V, à parois épaisses de 2-3 mm, enveloppé dans une gélatine translucide, plus colorée opaque qu'un blanc d’œuf, beige à jaune brunâtre pâle ( couleur de la gomme arabique, de résine de pin), de 3-6 mm d'épaisseur de part et d'autre de la tige centrale, presque nulle au sommet et à la base. Le réceptacle est creusé en cavité de 2-4 mm sur chaque moitié. La volve est déjà formée par une couche basale blanc pur, isolant le canal de gelée amniotique, comme un nombril de 1,5 mm d'épaisseur, reliée à l'extérieur à deux cordons mycéliens. Le réceptacle de l'adulte présente presque toujours un orifice sommital, foramen de 1-3 mm de diamètre. Le tube est un tissus formé d'alvéoles de 0,5-1 mm (mesurées à la face interne du tube) sur la partie fertile, de plus en plus larges vers la base. Basidiospores verdâtre pâle dans l'eau, lisses, ellipsoïdes, 4-4,5(5) x 1,8-2 µm, à parois épaisse vers 0,5 µm. Stérigmates de 1,5 µm de long. Basides en massue ou fusiformes, 8-spores, non bouclées, 3-5,5(5) x 20-25(30) µm, se rétrécissant avec l'âge, de sorte que leur largeur est inversement proportionnelle à la taille du primordium étudié, se liquéfiant complètement à maturité. Cloisons fréquentes, parfois énormes. Hyphes grêles, vers 3 µm, brusquement renflées en raccord, de type manchon de 8 µm/ Sphérocystes 20-30 x 25-32 µm. Basides 15-25 x 4-6 µm, portant un bouquet de 7-8 spores. Spores 4-5 x 1,8-2 µm, oblongues-ellipsoïdes, lisses, cloison 0,4 µm, hyalines, vert grisâtre pâle, non guttulées. Stérigmates de 1,5 µm de long. Cystides absentes. Coupe d'un œuf de 2,5 x 2,5 cm, blanc sordescent, vite sali de gris brunâtre. Se perce naturellement au sommet après deux jours et laisse échapper un, puis deux ballons remplis de mucus translucide. Coupé en deux au cutter, le cuir mince de l'enveloppe externe offre quelque résistance tandis qu'en dessous, une matière visqueuse comme une huître fuit sous la lame, avant de rencontrer une matière plus solide, grenue comme un radis. Un liquide incolore et insipide comme de l'eau s'en échappe. La coupe (photo) montre un cortex rouge rose au centre, plus ou moins cordiforme, presque en V, à parois épaisses de 2-3 mm, enveloppé dans une gélatine translucide, plus colorée opaque qu'un blanc d’œuf, beige à jaune brunâtre pâle ( couleur de la gomme arabique, de résine de pin), de 3-6 mm d'épaisseur de part et d'autre de la tige centrale, presque nulle au sommet et à la base. Le réceptacle est creusé en cavité de 2-4 mm sur chaque moitié. La volve est déjà formée par une couche basale blanc pur, isolant le canal de gelée amniotique, comme un nombril de 1,5 mm d'épaisseur, reliée à l'extérieur à deux cordons mycéliens. Le réceptacle de l'adulte présente presque toujours un orifice sommital, foramen de 1-3 mm de diamètre. Le tube est un tissus formé d'alvéoles de 0,5-1 mm (mesurées à la face interne du tube) sur la partie fertile, de plus en plus larges vers la base. Basidiospores verdâtre pâle dans l'eau, lisses, ellipsoïdes, 4-4,5(5) x 1,8-2 µm, à parois épaisse vers 0,5 µm. Stérigmates de 1,5 µm de long. Basides en massue ou fusiformes, 8-spores, non bouclées, 3-5,5(5) x 20-25(30) µm, se rétrécissant avec l'âge, de sorte que leur largeur est inversement proportionnelle à la taille du primordium étudié, se liquéfiant complètement à maturité. Cloisons fréquentes, parfois énormes. Hyphes grêles, vers 3 µm, brusquement renflées en raccord, de type manchon de 8 µm. Sphérocystes 20-30 x 25-32 µm.Fiche enfin complétée
01/04/2015Mutinus elegansEcologie DescriptionComme d'autres phallacées, le satyre élégant est plutôt héliophile (recherche la lumière) et thermophile. Il semble affectionner les débris végétaux, surtout les composts d'écorces, et les sols acides, le bord des ruisseaux, les terrains incultes sablonneux ou siliceux.Comme d'autres phallacées, le satyre élégant est à la fois tardif (nov.-déc.) et héliophile (recherche la lumière) et thermophile. Il semble affectionner les débris végétaux, surtout les composts d'écorces, et les sols acides, le bord des ruisseaux, les terrains incultes sablonneux ou siliceux. Au Japon, il est apparu dans la litière des feuilles de bambous, de Quercus, et hors des bois dans les allées herbeuses sous Zelkova et Cinnamomum.Fiche enfin complétée
30/03/2015Tulostoma brumaleExopéridium DescriptionTêtes fertiles (endopéridium) subglobuleuses ou un peu déprimées, 6-10(15) mm de diamètre, de couleur crème, paille à café au lait, papyracées à parcheminées, lisses, atténuées en haut en une portion conique (péristome) de 0,5 mm de haut, s'ouvrant au sommet par une perforation tubulaire, nettement délimitée et non frangée, cerclée de brun ocre, par où s'échappent les spores à maturité. Exopéridium blanc-crème est fragile et fugace, s'ouvrant au sommetTêtes fertiles (endopéridium) subglobuleuses ou un peu déprimées, 6-10(15) mm de diamètre, de couleur crème, paille à café au lait, papyracées à parcheminées, lisses, atténuées en haut en une portion conique (péristome) de 0,5 mm de haut, s'ouvrant au sommet par une perforation tubulaire, nettement délimitée et non frangée, cerclée de brun ocre, par où s'échappent les spores à maturité. Exopéridium blanc-crème est fragile et fugace.-
30/03/2015Tulostoma brumaleSynonymesmammosumLycoperdon mammosum P. Micheli 1729 ; Tulostoma mammosum var. majus Petri 1809 ; Tulostoma mammosum Fr. 1829 ; Tulostoma fuscoviolaceostipitatum Schwarzmann & Philimonova 1970-
30/03/2015Tulostoma brumaleNoms françaisTulostome des brumesTulostome des brumes ; Tylostome mamelonné-
30/03/2015Tulostoma brumaleRéférencesBon p. 301 ; BK 2 522 ; CD 1725 ; Mornand J. Les TulostomalesRomagn.PA 322a ; Bon p. 301 ; BK 2 522 ; CD 1725 ; Mornand J. Les Tulostomales-
30/03/2015Tulostoma brumaleExopéridium Description-Têtes fertiles (endopéridium) subglobuleuses ou un peu déprimées, 6-10(15) mm de diamètre, de couleur crème, paille à café au lait, papyracées à parcheminées, lisses, atténuées en haut en une portion conique (péristome) de 0,5 mm de haut, s'ouvrant au sommet par une perforation tubulaire, nettement délimitée et non frangée, cerclée de brun ocre, par où s'échappent les spores à maturité. Exopéridium blanc-crème est fragile et fugace, s'ouvrant au sommet-
30/03/2015Tulostoma brumaleGléba Description-se réduit en une poussière brun ochracé à la maturité.-
30/03/2015Tulostoma brumaleStipe Description-élancé, proportionnellement plus fin que celui des autres Tulostomes, tenace, cylindrique, épais de 1,5-2 mm et long de (1,5)2,5 - 4,5(6) cm de long, en général presque lisse, parfois subfibrilleux ou finement écailleux chez les jeunes; base bulbeuse marginée, avec des filaments mycéliens. D'abord pâle, puis se colorant de brun ochracé à brun roux-
30/03/2015Tulostoma brumaleSpores Description-brun ochracé un peu roussâtre, 3,5-5 µm, globuleuses, ornées de verrues larges, espacées et anguleuses. Capillitium mince, inférieur à 7 µm, nettement élargi au niveau des cloisons (jusqu'à 12 µm), parsemé de plaquettes cristallines d'oxalate de calcium.-
30/03/2015Tulostoma brumaleEcologie Description-Manifestement calcicole, la plus fréquente du genre, mais moins commune dans le Sud que dans le Nord de l'Europe, vient en colonies toute l'année mais surtout en automne-hiver dans les stations chaudes et ensoleillées, landes, dunes littorales, talus, vieux murs, parmi les mousses, etc.-
29/03/2015Alloclavaria purpureaRéférencesIH2 653IH2 653 ; Cetto 2859-
29/03/2015Alloclavaria purpureaCarpophore CouleurMauveBrun, Mauve-
29/03/2015Alloclavaria purpureaCarpophore Description2,5-12 cm x 1,5-5 mm, cylindracés à presque fusoïdes, non-ramifiés, souvent obtusément appointis au sommet, aplatis et flexueux, avec une rainure longitudinale,à surface mate violet terne à brun-violacé, plus pâle à la base.2,5-12 cm x 1,5-5 mm, cylindracés à presque fusoïdes, non-ramifiés, souvent obtusément appointis au sommet, aplatis et flexueux, parfois avec une rainure longitudinale; surface mate, violet terne à brun-violacé, plus pâle à la base.-
29/03/2015Alloclavaria purpureaChair Descriptiontendre et friable, mince, blanche à violetée. Saveur et odeur peu marquée.tendre et friable, mince, blanche à violetée. Saveur et odeur peu marquées.-
29/03/2015Alloclavaria purpureaSpores DescriptionSporée blanche. Spores 5,5-9(12) x 3-5 µm, ellipsoïdes, lisses. Basides 4-spores. Cystides hyalines, cylindracées, 45-130 x 5-9 µm, à cloisons minces. Pas de boucles.Sporée blanche. Spores 5,5-10(12) x 3-5 µm, ellipsoïdes, lisses. Basides 4-spores. Cystides hyalines, cylindracées, 45-130 x 5-9 µm, à cloisons minces. Pas de boucles.-
29/03/2015Alloclavaria purpureaPhoto-Clavaria_purpurea_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Clavaria purpurea, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
29/03/2015Alloclavaria purpureaPhotoClavaria_purpurea_1989_dg_1.jpg-Suppression photo : double
29/03/2015Alloclavaria purpureaPhoto-Clavaria_purpurea_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Clavaria purpurea, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
28/03/2015Scleroderma cepaPhoto-Scleroderma_cepa_1990_syhh_1.jpgAjout photo type Mixte pour Scleroderma cepa, Copyright (c) 1990 S. Yoshimi & H. Hagiwara
28/03/2015Scleroderma cepaRéférencesMornand Jean, 1980: Mémoire n°4 Soc. Et. Sc. Anjou - Gastéromycètes rares en Maine-et-Loire p. 178 ; CD 1729 ; Cetto 2871Mornand Jean, 1980: Mémoire n°4 Soc. Et. Sc. Anjou - Gastéromycètes rares en Maine-et-Loire p. 178 ; CD 1729 ; Cetto 2871 ; Cryptogamic Flora of Pakistan 1992 p. 167-168-
28/03/2015Scleroderma cepaExopéridium Description3-5 cm de diamètre, à surface lisse, grossièrement gercée, de consistance rigide, cassant sous la pression des doigts, teinté de crème brunâtre ou de brun souvent nuancé de jaune. Sur le sec, la teinte est nettement brun-jaune (extérieur) à jaune (intérieur). La base est plu ou moins creusée de fossettes allongées; le sommet est légèrement aplati. L'épaisseur du péridium dans la partie supérieure ne dépasse pas 2 mm sur le frais, 0,5-1 mm à sec.Basidiocarpe globuleux (2)3-5 cm de diamètre, à surface lisse, grossièrement gercée, de consistance rigide, cassant sous la pression des doigts, teinté de crème brunâtre ou de brun souvent nuancé de jaune. Sur le sec, la teinte est nettement brun-jaune (extérieur) à jaune (intérieur). La base est plus ou moins creusée de fossettes allongées; le sommet est légèrement aplati. L'épaisseur du péridium dans la partie supérieure ne dépasse pas 2 mm sur le frais, 0,5-1 mm à sec. Hyphes septées, 3-4 µm de largeur, devenant rose pâle dans KOH.-
28/03/2015Scleroderma cepaGléba Descriptionla déhiscence s’effectue par des fentes irrégulières avec bords parfois réfléchis.la déhiscence s’effectue par des fentes irrégulières avec bords parfois réfléchis. Gléba visqueuse, brun crème à brun violacé.-
28/03/2015Scleroderma cepaStipe Descriptionabsent ou avec pseudo-stipe à peine formé. absent ou avec un pseudo-stipe à peine formé, et rhizomorphes jusqu'à 2 cm.-
28/03/2015Scleroderma cepaSpores DescriptionPéridium dépourvu de boucles. Spores ronde, de taille variable, 8-15 µm, ornées d'épines robustes, pyramidales, hautes de 1,3-2 µm, parfois groupées.Péridium dépourvu de boucles. Spores globuleuses, de taille variable, 8-15 µm, ornées d'épines robustes, pyramidales, hautes de 1,3-2 µm, parfois groupées, brun rougeâtre.-
28/03/2015Scleroderma cepaRéférencesJean Mornand 1980: Mémoire n°4 Soc. Et. Sc. Anjou - Gastéromycètes rares en Maine-et-Loire p. 180 ; CD 1729 ; Cetto 2871Mornand Jean, 1980: Mémoire n°4 Soc. Et. Sc. Anjou - Gastéromycètes rares en Maine-et-Loire p. 178 ; CD 1729 ; Cetto 2871-
28/03/2015Scleroderma cepaCommentaires-Commentaires de Jean Mornand 1980, loc. cit. : "Espèce fort variable par la taille et la déhiscence du péridium, les caractères majeurs étant la ténacité du péridium et les fortes épines de la spore."-
28/03/2015Scleroderma cepaEcologie Description-Assez rare en Europe, mais souvent mal déterminée (S. flavidum est synonymisée par Demoulin 1976), sur sols neutres ou acides.-
28/03/2015Scleroderma cepaRéférencesCD 1729 ; Cetto 2871Jean Mornand 1980: Mémoire n°4 Soc. Et. Sc. Anjou - Gastéromycètes rares en Maine-et-Loire p. 180 ; CD 1729 ; Cetto 2871-
28/03/2015Scleroderma cepaAuteurPers.Pers. 1801-
28/03/2015Scleroderma cepaSynonymes-Lycoperdon caepae-facie Vaill. 1723 ; Scleroderma vulgare var. cepa (Pers.) W.G. Sm. 1908 ; Scleroderma verrucosum var. cepa (Pers.) Maire 1933 ; Tuber solidum With. 1792 ; Scleroderma flavidum Ellis & Everh. 1885-
28/03/2015Scleroderma cepaExopéridium Description-3-5 cm de diamètre, à surface lisse, grossièrement gercée, de consistance rigide, cassant sous la pression des doigts, teinté de crème brunâtre ou de brun souvent nuancé de jaune. Sur le sec, la teinte est nettement brun-jaune (extérieur) à jaune (intérieur). La base est plu ou moins creusée de fossettes allongées; le sommet est légèrement aplati. L'épaisseur du péridium dans la partie supérieure ne dépasse pas 2 mm sur le frais, 0,5-1 mm à sec.-
28/03/2015Scleroderma cepaGléba Description-la déhiscence s’effectue par des fentes irrégulières avec bords parfois réfléchis.-
28/03/2015Scleroderma cepaStipe Description-absent ou avec pseudo-stipe à peine formé. -
28/03/2015Scleroderma cepaSpores Description-Péridium dépourvu de boucles. Spores ronde, de taille variable, 8-15 µm, ornées d'épines robustes, pyramidales, hautes de 1,3-2 µm, parfois groupées.-
27/03/2015Scleroderma polyrhizumRéférencesSarasini 326 ; Cetto 1197 ; Marchand 353 ; Mtg 197 ; FAMM 15 : 46 ; Eyssartier et Roux p. 1048 ; Jülich 2 p. 480Jean Mornand 1980: Mémoire n°4 Soc. Et. Sc. Anjou - Gastéromycètes rares en Maine-et-Loire p. 180 ; Sarasini 326 ; Cetto 1197 ; Marchand 353 ; Mtg 197 ; FAMM 15 : 46 ; Eyssartier et Roux p. 1048 ; Jülich 2 p. 480-
27/03/2015Scleroderma polyrhizumCommentairesIsolés. Période plutôt automnale. Assez rare, mais fréquente dans le sud de l'Europe ( Méditerranée).Isolés. Période plutôt automnale. Assez rare, mais fréquente dans le sud de l'Europe (Méditerranée). Commentaires de Jean Mornand 1980, loc. cit. : "Les carpophores sont habituellement de grande taille (8-12 cm de diamètre avant l'ouverture) avec une base mycélienne bien développée, compacte. Le péridium est très épais sur les exemplaires jeunes et frais (8-10 mm), s'amincissant en séchant (5 mm environ), de couleur grise au début, devenant gris-brun à brun-jaune, se fendillant fortement avec l'âge. Il est caractérisé par une déhiscence en étoile, 6 à 8 lobes plus ou moins réguliers. Dans les stations que nous connaissons sur les anciennes buttes des ardoisières, ils soulèvent des ardoises pesant plusieurs kg, mais l'ouverture en étoile est alors perturbée. La gléba sombre est brun-fauve. Hyphes bouclées. Spores globuleuses (8-11 µm) ornées d'un réticulum assez haut (1,5 µm) souvent incomplet. Il s'agit d'une espèce méridionale aimant les stations chaudes, ensoleillées [Juigné-sur-Loire ou Trélazé 1970, 1975; près de l'étang de Malagué à Chaumont-d'Anjou 1972; au Boidayen à Feneu 1976; à Fontaine-Milon 1971; mentionné dans le catalogue de Gaillard aux sablières d'Ecouflant en 1901].Son aire de répartition ne doit guère remonter au-delà de la Loire. Cette espèce est parfois confondue avec Mycenastrum corium. Ce dernier ne s'ouvre pas en étoile, l'exopéridium est grisâtre (sans jaune) et surtout, il possède un capillitium typique, très épineux, d'où son appartenance à l'ordre des Lycoperdales. Nous ne le connaissons pas en Maine-et-Loire mais tout près, au Sud, à Argenton-l'Eglise, récoloté sur fumier de mouton. "-
27/03/2015Mutinus elegansPhoto-Mutinus_elegans_1958_apjm_1.jpgAjout photo type Dessin pour Mutinus elegans, Copyright (c) 1958 A. Pilat & J. Mornand
27/03/2015Mutinus elegansRéférencesCD 1748 ; Marchand 378 ; TMSJ 41 p. 75-78 Guez D. et Nagasawa E. (2000) ; Eyssartier et Roux p. 1052DM 53 p. 44 Jean Mornand 1984 ; CD 1748 ; Marchand 378 ; TMSJ 41 p. 75-78 Guez D. et Nagasawa E. (2000) ; Eyssartier et Roux p. 1052-
27/03/2015Mutinus elegansSpores DescriptionBasides 15-25 x 4-6 µm, portant un bouquet de 7-8 spores. Spore : 4-5 µm de long sur 1,8-2 µm de large Stérigmates de 1,5 µm de long. Basides 15-25 x 4-6 µm, portant un bouquet de 7-8 spores. Spore : 4-5 µm de long sur 1,8-2 µm de large Stérigmates de 1,5 µm de long. Coupe d'un œuf de 2,5 x 2,5 cm, blanc sordescent, vite sali de gris brunâtre. Se perce naturellement au sommet après deux jours et laisse échapper un, puis deux ballons remplis de mucus translucide. Coupé en deux au cutter, le cuir mince de l'enveloppe externe offre quelque résistance tandis qu'en dessous, une matière visqueuse comme une huître fuit sous la lame, avant de rencontrer une matière plus solide, grenue comme un radis. Un liquide incolore et insipide comme de l'eau s'en échappe. La coupe (photo) montre un cortex rouge rose au centre, plus ou moins cordiforme, presque en V, à parois épaisses de 2-3 mm, enveloppé dans une gélatine translucide, plus colorée opaque qu'un blanc d’œuf, beige à jaune brunâtre pâle ( couleur de la gomme arabique, de résine de pin), de 3-6 mm d'épaisseur de part et d'autre de la tige centrale, presque nulle au sommet et à la base. Le réceptacle est creusé en cavité de 2-4 mm sur chaque moitié. La volve est déjà formée par une couche basale blanc pur, isolant le canal de gelée amniotique, comme un nombril de 1,5 mm d'épaisseur, reliée à l'extérieur à deux cordons mycéliens. Le réceptacle de l'adulte présente presque toujours un orifice sommital, foramen de 1-3 mm de diamètre. Le tube est un tissus formé d'alvéoles de 0,5-1 mm (mesurées à la face interne du tube) sur la partie fertile, de plus en plus larges vers la base. Basidiospores verdâtre pâle dans l'eau, lisses, ellipsoïdes, 4-4,5(5) x 1,8-2 µm, à parois épaisse vers 0,5 µm. Stérigmates de 1,5 µm de long. Basides en massue ou fusiformes, 8-spores, non bouclées, 3-5,5(5) x 20-25(30) µm, se rétrécissant avec l'âge, de sorte que leur largeur est inversement proportionnelle à la taille du primordium étudié, se liquéfiant complètement à maturité. Cloisons fréquentes, parfois énormes. Hyphes grêles, vers 3 µm, brusquement renflées en raccord, de type manchon de 8 µm/ Sphérocystes 20-30 x 25-32 µm. -
23/03/2015Lenzites betulinusPhoto-Lenzites_betulinus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lenzites betulinus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
19/03/2015Cordyceps tuberculataSynonymesBasionyme : Akrophyton tuberculatum Lebert, Z. Wiss. Zool.: 448 (1858) ; synonymes : Torrubia sphingum Tul. et C. Tul. (1865) ; Cordyceps sphingum (Tul. et C. Tul.) Berk. & Curtis (1869) ; Cordyceps moelleri Henn. (1897) ; Torrubiella ochracea Pat. (1906) ss. Petch ; Cordyceps cristata Moeller (1901) ; Cordyceps isarioides Curt. ex Massee (1895) ; Cordyceps rostrata Henn. (1902) ; Cordyceps tarapotensis Henn. (1904) ; Cordyceps cockerellii Ellis (1892) ; Sous-espèces: Cordyceps tuberculata var. tuberculata [var. typica Kobayasi] f. moelleri (Henn.) Kobayasi (ガヤドリナガミノツブタケ) ; Cordyceps tuberculata var. terminalis Kobayasi [f. genuina Kobayasi] ; Cordyceps tuberculata var. terminalis Kobayasi f. crista (A. Moller) Kobayasi ; Cordyceps tuberculata var. terminalis Kobayasi f. cockerellii (Ellis & Everh.) KobayasiBasionyme : Akrophyton tuberculatum Lebert, Z. Wiss. Zool.: 448 (1858) ; synonymes : Torrubia sphingum Tul. et C. Tul. (1865) ; Cordyceps sphingum (Tul. et C. Tul.) Berk. & Curtis (1869) ; Cordyceps moelleri Henn. (1897) ; Torrubiella ochracea Pat. (1906) ss. Petch ; Cordyceps cristata Moeller (1901) ; Cordyceps isarioides Curt. ex Massee (1895) ; Cordyceps rostrata Henn. (1902) ; Cordyceps tarapotensis Henn. (1904) ; Cordyceps cockerellii Ellis (1892) ; Sous-espèces: Cordyceps tuberculata var. tuberculata [var. typica Kobayasi] f. moelleri (Henn.) Kobayasi (ガヤドリナガミノツブタケ) ; Cordyceps tuberculata var. terminalis Kobayasi [f. genuina Kobayasi] ; Cordyceps tuberculata var. terminalis Kobayasi f. crista (A. Moller) Kobayasi ; Cordyceps tuberculata var. terminalis Kobayasi f. cockerellii (Ellis & Everh.) Kobayasi-
19/03/2015Cordyceps tuberculataRéférencesBulletin de la Société d´Histoire naturelle de l'Afrique du Nord 8 p. 165 (1917) ; Kobayasi Y., 1941, The Genus Cordyceps, pp. 87-88, fig. p. 8 ; Ghyselink ; http://www.ascofrance.fr/uploads/document/cordyceps-final-relu-CLL-09-01-3-2015-0001.pdfBulletin de la Société d´Histoire naturelle de l'Afrique du Nord 8 p. 165 (1917) ; Kobayasi Y., 1941, The Genus Cordyceps, pp. 87-88, fig. p. 8 ; Ghyselink ; http://www.ascofrance.fr/uploads/document/cordyceps-final-relu-CLL-09-01-3-2015-0001.pdf-
19/03/2015Cordyceps tuberculataCommentairesAnamorphe : Akanthomyces pistillariaeformis (Patouillard) Samson & Evans. Les récoltes décrites sous le nom de C. tuberculata par Leroy & Surault (1999), Moingeon & Van Vooren (2005) sont à rapporter à Cordyceps bifusispora. Ces auteurs ont vraisemblablement été influencés par R.W.G. Dennis (1968 et 1978), premier auteur à avoir fait la confusion. D’après G. Pacioni (1978), la variété terminalis de C. tuberculata décrite par Kobayasi (1941) mériterait le statut d'espèce distincte, qu'il a renommée: Cordyceps riverae Pacioni (1978).Anamorphe : Akanthomyces pistillariaeformis (Patouillard) Samson & Evans. Les récoltes décrites sous le nom de C. tuberculata par Leroy & Surault (1999), Moingeon & Van Vooren (2005) sont à rapporter à Cordyceps bifusispora. Ces auteurs ont vraisemblablement été influencés par R.W.G. Dennis (1968 et 1978), premier auteur à avoir fait la confusion. G. Pacioni (1978), a estimé que la variété terminalis de C. tuberculata décrite par Kobayasi (1941) mériterait le statut d'espèce distincte, qu'il a témérairement renommée: Cordyceps riverae Pacioni (1978)!-
19/03/2015Suillus cavipesCommentairesfacile à reconnaître, c'est l'une des espèces Européenne de Boletinus, submontagnarde ou continentale. Toujours liée au mélèze, la rare fo. aureus (Rolland) Singer a le chapeau jaune doré. Ico. : BK III 3 ; Cetto 1140 ; LE pl. 1D ; MRT 23facile à reconnaître, c'est l'une des espèces Européennes de Boletinus, submontagnarde ou continentale. Toujours liée au mélèze, la rare fo. aureus (Rolland) Singer a le chapeau jaune doré. Ico. : BK III 3 ; Cetto 1140 ; LE pl. 1D ; MRT 23-
19/03/2015Suillus luteusCommentairesDeux formes à chapeau pâle : fo. albus Wasser et Sold : Engel (3) 100 et fo. decolorans Est. et Lann. et une forme à chapeau plus ou moins jaune : fo. ochraceobrunneolus Est. et Lann., LE pl. 2 A. Deux formes à chapeau pâle : fo. albus Wasser et Sold : Engel (3) 100 et fo. decolorans Est. et Lann. et une forme à chapeau plus ou moins jaune : fo. ochraceobrunneolus Est. et Lann., LE pl. 2 A. -
19/03/2015Suillus granulatusCommentairesLa fo. marchandii Moreno et Heykoop, méridional en sol calcaire, se distingue par son chapeau plus brun, ses pores hexagonaux plus grands et sa base du stipe brun sombre. La var. flavovirens Blum a un chapeau d' un magnifique jaune orangé. La fo. marchandii Moreno et Heykoop, méridional en sol calcaire, se distingue par son chapeau plus brun, ses pores hexagonaux plus grands et sa base du stipe brun sombre. La var. flavovirens Blum a un chapeau d'un magnifique jaune orangé.-
19/03/2015Suillus collinitusCommentairesCuticule vergetée de brun chocolat. Vient sous les pins; caractérisé par l'absence d'anneau, par un chapeau brun rouge à brun châtain, radialement fibrilleux; pied finement ponctué de brun rougeâtre sur toute sa hauteur et par un mycélium basal rose. Il pourrait être confondu avec certaines formes de S. granulatus, dont le chapeau est lisse, et montre des ponctuations plus pâles sur le stipe, et seulement en haut, et un mycélium basal blanc. Son cousin annelé est S. luteus. La var. aureus Huijsman a le chapeau jaune d'or. La var. velutipes Contu et al. s'en distingue par un voile glutineux brunâtre à la base du stipe, un feutrage blanchâtre ténu à la marge du chapeau.Cuticule vergetée de brun chocolat. Vient sous les pins; caractérisé par l'absence d'anneau, par un chapeau brun rouge à brun châtain, radialement fibrilleux; pied finement ponctué de brun rougeâtre sur toute sa hauteur et par un mycélium basal rose. Il pourrait être confondu avec certaines formes de Suillus granulatus, dont le chapeau est lisse, et montre des ponctuations plus pâles sur le stipe, et seulement en haut, et un mycélium basal blanc. Son cousin annelé est Suillus luteus. La var. aureus Huijsman a le chapeau jaune d'or. La var. velutipes Contu et al. s'en distingue par un voile glutineux brunâtre à la base du stipe, un feutrage blanchâtre ténu à la marge du chapeau.-
19/03/2015Retiboletus ornatipesPhoto-Boletus_ornatipes_1989_yhn_1.jpgAjout photo type Mixte pour Boletus ornatipes, Copyright (c) 1989 Yoshimi, Hongo & Nagasawa
19/03/2015Retiboletus ornatipesRéférencesIH2 549IH2 549 ; Yoshimi 146 ;-
19/03/2015Retiboletus ornatipesChapeau Descriptionfinement tomenteux.4-15 cm, convexe à largement étalé, très finement feutré-tomenteux, jaune pâle à brun jaunâtre ou brun olivacé, parfois très foncé, marge restant jaune ou plus pâle.-
19/03/2015Retiboletus ornatipesChair DescriptionImmuable ou brunissante.jaune pâle, jaune d'or à la coupe, non bleuissante, immuable ou brunissant légèrement. Saveur et odeur nulle, rarement amariuscule. Réaction brune orangé à l'ammoniaque sur le chapeau, subnulle sur la chair. KOH = brun rougeâtre foncé.-
19/03/2015Retiboletus ornatipesPores ImmuablesNonOui ou Non-
19/03/2015Retiboletus ornatipesPores Descriptionjaunes puis olivacés, brunissant au froissement.circulaires, 2-3/mm, jaune vif puis olivacé, brunissants au froissement. Tubes jusqu'à 15 mm de long.-
19/03/2015Retiboletus ornatipesStipe FormeCylindracéCylindracé, Radicant/Fusiforme-
19/03/2015Retiboletus ornatipesStipe Descriptionjaune vif, fortement et presque entièrement réticulé6-15 x 1-2,5 cm, épais et plein, subégal ou appointi à la base, rarement fusoïde; fortement et grossièrement réticulé sur toute la surface de jaune vif, orangé puis brunissant avec l'âge ou la manipulation; mycélium basal jaune.-
19/03/2015Retiboletus ornatipesSpores Description-sporée brun olivacé. Spores 8-14 x 3-4 µm, subfusoïdes, lisses; pleurocystides fusoïdes-ventrues, à col empli de substance jaunâtre lors du regonflage de matériel d'herbier dans KOH.-
19/03/2015Amanita pantherinaPhoto-Amanita_pantherina_2004_tnp_1.jpgAjout photo type Mixte pour Amanita pantherina fo. subcandida, Copyright (c) 2004 Traverso, Neville & Poumarat
19/03/2015Amanita pantherinaCommentairesToxique, à l'origine du syndrome panthérinien qui porte son nom et provoque des troubles digestifs et neurosensoriels. La f. abietum sombre, charnue, à flocons sales un peu confluents, a la marge peu striée ; elle pousse sous conifères. La f. albida est blanchâtre.Toxique, à l'origine du syndrome panthérinien qui porte son nom et provoque des troubles digestifs et neurosensoriels. La f. abietum sombre, charnue, à flocons sales un peu confluents, a la marge peu striée ; elle pousse sous conifères. La f. albida Schulz est une simple forme très pâle du type, dont le chapeau d'abord blanchâtre, prend ensuite une pâle nuance de la couleur du type, finalement gris-brun en séchant; tandis que la f. subcandida Traverso, Neville et Poumarat (2004), plus méditerranéen, a un chapeau blanc pur jusqu'à maturité, à l'exception du centre légèrement teinté d'ocracé pâle, sans assombrissement ultérieur, apparaissant comme une forme vraiment subalbinos.-
19/03/2015Cortinarius anomalusCommentairesUn des cortinaires Azurés (Sericeocybe ex Inoloma) non hygrophanes, ni visqueux ni laineux, les plus communs dans les bois feuillus et à aiguilles. La variété lepidopus montre des bagues plus colorées. Cortinarius azureus se distingue par son pied nu, Cortinarius rugosus, par l'absence de toute coloration violacée et Cortinarius spilomeus, par son pied moucheté de flocons rouges et l'habitat montagnard. Un des cortinaires Azurés (Sericeocybe ex Inoloma) non hygrophanes, ni visqueux ni laineux, les plus communs dans les bois feuillus et à aiguilles. La variété lepidopus Cooke montre des couleurs brun rouge à datte sur le chapeau, des restes jaunâtres de voile sur le stipe et possède des spores plus petites. Cortinarius azureus se distingue par son pied nu, Cortinarius rugosus, par l'absence de toute coloration violacée et Cortinarius spilomeus, par son pied moucheté de flocons rouges et l'habitat montagnard. -
19/03/2015Cortinarius anomalusNoms françaisCortinaire anormalCortinaire anormal ; Cortinaire irrégulier-
19/03/2015Cortinarius anomalusRéférencesBon p. 217 ; BK 5 249 ; CD 1109 ; Marchand 745 ; Eyssartier et Roux p. 762Romagn. NA 226 ; Romagn.PA 124 ; Phillips p. 132 ; Bon p. 217 ; BK 5 249 ; CD 1109 ; Marchand 745 ; Eyssartier et Roux p. 762-
19/03/2015Cortinarius anomalusCommentaires-Un des cortinaires Azurés (Sericeocybe ex Inoloma) non hygrophanes, ni visqueux ni laineux, les plus communs dans les bois feuillus et à aiguilles. La variété lepidopus montre des bagues plus colorées. Cortinarius azureus se distingue par son pied nu, Cortinarius rugosus, par l'absence de toute coloration violacée et Cortinarius spilomeus, par son pied moucheté de flocons rouges et l'habitat montagnard. -
19/03/2015Cortinarius anomalusChapeau Description-3-7 cm, convexe ou en coussin aplati, peu charnu, ochracé brunâtre argilacé, parfois avec des reflets gris violacé. Cuticule adnée, vite sèche, typiquement brillante de particules micacées (comme des traces de bave de limaces).-
19/03/2015Cortinarius anomalusChair Description-peu épaisse, 5 mm au disque, ferme, subconcolore à blanchâtre, violacé en haut du pied, brunissant légèrement. Saveur douce. Odeur faible mais typiquement camphrée (herbacée selon M. Bon). -
19/03/2015Cortinarius anomalusLames Description-moyennement serrées, très inégales, minces, sinuées-adnées, ou adnées-échancrées, à reflets violacés-lilacins dans la jeunesse, puis cannelle, enfin brun rouillé. Arête aiguë, parfois érodée, blanchâtre.-
19/03/2015Cortinarius anomalusStipe Description-svelte et plutôt grêle, 5-11 x 0,5-1 cm, un peu flexueux, subégal ou épaissi en massue à la base, blanchâtre ou un peu violacé au sommet dans la jeunesse, soyeux, rayé de fibrilles longitudinales, plus ou moins bagué de quelques zones ochacées; Cortine fugace réduite à quelques fibrilles blanchâtres, -
19/03/2015Cortinarius anomalusOdeurCamphreCamphre, Herbe-
19/03/2015Cortinarius anomalusSpores Description-brun rouillé, 7-9 x 6-8 µm, plutôt grandes, presque globuleuses, verruqueuses; quelques cellules stériles banales sur l'arête; cuticule filamenteuse en surface.-
19/03/2015Cortinarius anomalusEcologie Description-Très commun de la fin de l'été à automne, acidophile ou ubiquiste (bouleaux, pins, etc., tant sur sols calcaires que siliceux, 0-2500 m).-
18/03/2015Suillus collinitusCommentairesCuticule vergetée de brun chocolat. La var. aureus Huijsman a le chapeau jaune d'or. La var. velutipes Contu et al. s'en distingue par un voile glutineux brunâtre à la base du stipe, un feutrage blanchâtre ténu à la marge du chapeau.Cuticule vergetée de brun chocolat. Vient sous les pins; caractérisé par l'absence d'anneau, par un chapeau brun rouge à brun châtain, radialement fibrilleux; pied finement ponctué de brun rougeâtre sur toute sa hauteur et par un mycélium basal rose. Il pourrait être confondu avec certaines formes de S. granulatus, dont le chapeau est lisse, et montre des ponctuations plus pâles sur le stipe, et seulement en haut, et un mycélium basal blanc. Son cousin annelé est S. luteus. La var. aureus Huijsman a le chapeau jaune d'or. La var. velutipes Contu et al. s'en distingue par un voile glutineux brunâtre à la base du stipe, un feutrage blanchâtre ténu à la marge du chapeau.-
18/03/2015Suillus bovinusCommentairesPied parfois rosé en bas. Stipe rose violacé, lilacin : var. mitis (Mougeot) Benes, LE pl. 2C à chair relativement ferme et gommeuse, vient sous les pins à deux aiguilles. Pied parfois rosé en bas. Stipe rose violacé, lilacin : var. mitis (Mougeot) Benes, LE pl. 2C -
18/03/2015Boletinus asiaticusNoms françaisBolet asiatiqueBolet asiatique ; Bolet méchuleux d'Asie-
18/03/2015Boletinus asiaticusCommentairesAnneau double, blanc au dessus, rougeâtre en dessous. Espèce d'Asie retrouvée en Finlande et une récolte en France.Anneau double, blanc au dessus, rougeâtre en dessous. Espèce originaire d'Asie septentrionale, également liée au mélèze, caractérisée par son voile général rouge vif, persistant sur le chapeau et sur le pied, retrouvée en Finlande et une récolte en France.-
18/03/2015Suillus cavipesCommentairesSubmontagnard ou continental. La fo. aureus (Rolland) Singer a le chapeau jaune doré. Ico. : BK III 3 ; Cetto 1140 ; LE pl. 1D ; MRT 23facile à reconnaître, c'est l'une des espèces Européenne de Boletinus, submontagnarde ou continentale. Toujours liée au mélèze, la rare fo. aureus (Rolland) Singer a le chapeau jaune doré. Ico. : BK III 3 ; Cetto 1140 ; LE pl. 1D ; MRT 23-
18/03/2015Rhodoscypha ovillaPhoto-Rhodoscypha_ovilla_2000_fffp_1.jpgAjout photo type Macro pour Rhodoscypha ovilla, Copyright (c) 2000 F. Fouchier & F. Padovan
18/03/2015Rhodoscypha ovillaSynonymesPeziza ovilla Peck 1879 ; Humaria rhodoleuca Bres. 1898 ; Pustularia r. (Bres.) Boudier 1907 ; Neotiella o. ; Patella o. ; Leucoscypha ovilloides Harmaja 1986Peziza ovilla Peck 1879 ; Humaria rhodoleuca Bres. 1898 ; Pustularia rhodoleuca (Bres.) Boudier 1907 ; Neottiella ovilla (Peck) Sacc. 1889 ; Patella ovilla (Peck) Seaver 1928 ; Leucoscypha ovilloides Harmaja 1986-
18/03/2015Rhodoscypha ovillaRéférencesBresadola 1898: pl. 193 fig. 2 ; Bresadola 1933: pl. 1233 fig. 2 ; BK 1 1981: pl. 70 ; Contribution à la connaissance des Pézizales de Rhône-Alpes ; Mycologia 2000Bresadola 1898: pl. 193 fig. 2 ; Bresadola 1933: pl. 1233 fig. 2 ; BK 1 pl. 70 ; Contribution à la connaissance des Pézizales de Rhône-Alpes ; Micologia 2000 p. 185-198 ; RdM 33 (1) p. 70-76-
18/03/2015Rhodoscypha ovillaCommentairesSources : Fouchier F., Alpago-Novello L., Neville P., Padovan F. 2000. Une petite espèce rare mais remarquable d'Ascomycota : Rhodoscypha ovilla (Peck) Dissing & Sivertsen. In: Micologia 2000: 185-198. http://www.ascomycete.org/2000Pezizales/VueTaxon/tabid/130/ArticleId/192/language/fr-FR/Rhodoscypha-ovilla.aspx?mapid=98Sources : Fouchier F., Alpago-Novello L., Neville P., Padovan F. 2000. Une petite espèce rare mais remarquable d'Ascomycota : Rhodoscypha ovilla (Peck) Dissing & Sivertsen. In: Micologia 2000 p. 185-198. http://www.ascomycete.org/2000Pezizales/VueTaxon/tabid/130/ArticleId/192/language/fr-FR/Rhodoscypha-ovilla.aspx?mapid=98-
17/03/2015Rhodoscypha ovillaRéférencesBresadola 1898: pl. 193 fig. 2 ; Bresadola 1933: pl. 1233 fig. 2 ; BK 1 1981: pl. 70 ; Contribution à la connaissance des Pézizales de Rhône-AlpesBresadola 1898: pl. 193 fig. 2 ; Bresadola 1933: pl. 1233 fig. 2 ; BK 1 1981: pl. 70 ; Contribution à la connaissance des Pézizales de Rhône-Alpes ; Mycologia 2000-
17/03/2015Rhodoscypha ovillaCommentaires-Sources : Fouchier F., Alpago-Novello L., Neville P., Padovan F. 2000. Une petite espèce rare mais remarquable d'Ascomycota : Rhodoscypha ovilla (Peck) Dissing & Sivertsen. In: Micologia 2000: 185-198. http://www.ascomycete.org/2000Pezizales/VueTaxon/tabid/130/ArticleId/192/language/fr-FR/Rhodoscypha-ovilla.aspx?mapid=98-
17/03/2015Rhodoscypha ovillaSynonymesPeziza ovillaPeziza ovilla Peck 1879 ; Humaria rhodoleuca Bres. 1898 ; Pustularia r. (Bres.) Boudier 1907 ; Neotiella o. ; Patella o. ; Leucoscypha ovilloides Harmaja 1986-
17/03/2015Rhodoscypha ovillaRéférencesContribution à la connaissance des Pézizales de Rhône-AlpesBresadola 1898: pl. 193 fig. 2 ; Bresadola 1933: pl. 1233 fig. 2 ; BK 1 1981: pl. 70 ; Contribution à la connaissance des Pézizales de Rhône-Alpes-
17/03/2015Rhodoscypha ovillaApothécie Descriptioncupuliforme ; surface externe couverte d'un fin duvet de poils blancs.5-9 mm de diamètre x 1,6-5 mm de hauteur, cupuliforme, peu profonde, sessile ou ébauche de stipe (base rétrécie), marge légèrement proéminente, irrégulièrement dentée crénelée et blanchâtre; hyménium lisse, de couleur rose à rose blanchâtre; surface externe recouverte d'un dense feutrage de poils blanchâtres.-
17/03/2015Rhodoscypha ovillaSpores Longueur en µm37-4232-43-
17/03/2015Rhodoscypha ovillaSpores Descriptionfusoïdes, multiguttulées, mais généralement avec deux gouttes plus volumineuses.Asques octosporées cylindriques à extrémité basale rétrécie et souvent flexueuse, 12-15,5 de large x 520 µm de longueur maximum; paraphyses septée 2-3; spores fusoïdes, 35 x 11,5 en moyenne, lisses à l'optique, multiguttulées, mais généralement avec deux gouttes plus volumineuses.-
17/03/2015Rhodoscypha ovillaEcologie Descriptiondans la litière de conifères, surtout épicéas.du printemps (en Italie) à l'été (surtout juillet-septembre) dans la litière de conifères, surtout épicéas, parfois sapins (de 200 à 3000 m d'altitude). Rare espèce largement distribuée en Amérique du Nord, en Inde et dans toute l'Europe, Grande Bretagne exceptée.-
17/03/2015Rhodoscypha ovillaTaille en cm0.5-0.80.5-0.9-
16/03/2015Setchelliogaster tenuipesPhoto-Descolea_tenuipes_2004_sp_1.jpgAjout photo type Macro pour Descolea tenuipes, Copyright (c) 2004 Serge Poumarat
15/03/2015Deconica subviscidaPhoto-Psilocybe_subviscida_1999_cbor_1.jpgAjout photo type Macro pour Psilocybe subviscida, Copyright (c) 1999 Claude Boujon & Oscar Röllin
14/03/2015Deconica subviscidaCommentairesPetite espèce brun de datte, ressemblant à P. montana (Pers. : Fr.) Kummer, mais cette dernière espèce est plus rougeâtre, a une cuticule non séparable, anneau absent, à cheilos plus étroites, parois sporiques jusqu'à 0,8 µm, hyphes piléiques non bouclées, et vient dans les mousses, sur sol sablonneux. Petite espèce brun de datte, ressemblant à P. montana (Pers. : Fr.) Kummer, mais cette dernière espèce est plus rougeâtre, a une cuticule non séparable, anneau absent, à cheilos plus étroites, parois sporiques jusqu'à 0,8 µm, hyphes piléiques non bouclées, et vient dans les mousses, sur sol sablonneux. Fiche complétée d'après les descriptions de Claude Boujon et Oscar Röllin (1999), loc. Cit.-
14/03/2015Deconica subviscidaSynonymes-Deconica subviscida Peck 1888 ; P. graminicola (Orton) Singer 1973 -
14/03/2015Deconica subviscidaNoms français-Psilocybe des graminées -
14/03/2015Deconica subviscidaRéférencesRouxRoux ; SZP (BSM) 6 (1999) p. 279-280-
14/03/2015Deconica subviscidaCommentaires-Petite espèce brun de datte, ressemblant à P. montana (Pers. : Fr.) Kummer, mais cette dernière espèce est plus rougeâtre, a une cuticule non séparable, anneau absent, à cheilos plus étroites, parois sporiques jusqu'à 0,8 µm, hyphes piléiques non bouclées, et vient dans les mousses, sur sol sablonneux. -
14/03/2015Deconica subviscidaChapeau Descriptionbrun rougeâtre à brun sombre, pas de pellicule séparable, restes vélaires au bord du chapeau.jusqu'à 1,5 (2) cm, convexe à mamelon obtus, puis plan-étalé, souvent sub-papillé,. Revêtement lisse, très hygrophane, brun de datte (Séguy 131), brun rougeâtre à brun sombre, à cuticule visqueuse et séparable par temps humide, palissant à ocre clair au centre en séchant (Séguy 249-250). Marge mince avec quelques restes vélaires blanchâtres dans la jeunesse.-
14/03/2015Deconica subviscidaChair Description-mince, concolore puis ocre blanchâtre en séchant. Odeur nulle à faiblement fongique, insipide à amariuscule. Test au Métole négatif (psilocybine non décelée).-
14/03/2015Deconica subviscidaLames CouleurBrun, CrèmeBrun, Gris-
14/03/2015Deconica subviscidaLames Description-adnées à subdécurrentes, légèrement sinueuses, brunes à reflets grisâtres (176) dans la jeunesse, puis brun-rougeâtre (112), à la fin brun sombre à reflets violacés. Arête finement dentée-frangée, blanchâtre.-
14/03/2015Deconica subviscidaStipe AnneauNonOui ou Non-
14/03/2015Deconica subviscidaStipe Descriptionbase roussâtre sombre avec l'âge.3-3,5 x 0,15-0,2 cm, cylindrique, parfois atténué vers le bas, creux, brun rouge (131) dans la moitié supérieure, roussâtre sombre (111) en bas avec l'âge, entièrement recouvert de fines fibrilles blanchâtre. Hygrophane et palissant sur le sec. Zone annulaire plus foncée, visible dans la jeunesse. Mycélium basal blanc.-
14/03/2015Deconica subviscidaSpores Description6-8.5 x 4.5-5 µmSporée brun violacé foncé. Spores ellipsoïdales-ovoïdes, légèrement rhomboïdales, 6,5-8,5 x 4,1-5,5 x 4-5 µm, lisses, apiculées, à pore germinatif saillant, paroi jusqu'à 0,5 µm. Basides tétrasporiques 21-24 x 5,6-6,4 µm. Cheilocystides abondantes, lagéniformes, 24-40 x 5-10 µm, souvent à long col, parfois flexueux, diamètre 1,5-3 µm. Trame des lames régulière, à hyphes cylindriques, jusqu'à 11 µm de diamètre dans le médiostrate. Caulocystides absentes. Hyphes piléiques sous-cuticulaires bouclées.-
14/03/2015Deconica subviscidaEcologie DescriptionSur humus, débris d'herbe, paille fumier ...États-Unis, Écosse, Suisse, grégaire à cespiteux, sur humus, dans la pelouse des jardins, les débris d'herbe, paille fumier ...-
14/03/2015Suillus clintonianusCommentaires-Pourrait passer de prime pour une forme très foncée de S. grevillei.-
14/03/2015Suillus clintonianusEcologie Description-vient sous Mélèzes, surtout Larix sibiricus. Espèce américaine, présente en Europe septentrionale (Finlande, Suède).-
14/03/2015Suillus bresadolaeCommentairesChair un peu bleuissante. Stipe pseudoréticulé. La variété flavogriseus Cazzoli et Consiglio a le chapeau jaune (Galli p.65) = flavus Bresadola = nueschii Singer (Alessio 56 ; CD 1636 ; MRT 39). Alpes. Chair un peu bleuissante. Stipe pseudoréticulé. La variété flavogriseus Cazzoli et Consiglio a le chapeau jaune (Galli p.65) = flavus Bresadola = nueschii Singer (Alessio 56 ; CD 1636 ; MRT 39). Alpes. Souvent considéré comme variété de S. viscidus, dont il diffère par son chapeau brun rougeâtre et son anneau et sa char jaunes.-
14/03/2015Suillus bresadolaeEcologie Description-vient sous Mélèzes en zone alpine.-
14/03/2015Suillus lakeiSynonymes-S. amabilis (Peck) Singer sensu Moser-
14/03/2015Suillus lakeiRéférencesEngel (3) 14 ; Galli p. 53 ; Eyssartier et Roux p. 58Engel (3) 14 ; Galli p. 53 ; SZP(BSM) 6 1999 p. 287 ; Eyssartier et Roux p. 58-
14/03/2015Suillus lakeiCommentairesLa var. landkammeri (Pilát & Svrcek) Bon a des pores très décurrents. Conifères, surtout Douglas : CD 1627, Engel (3) 15. La var. pseudopictus Smith & Thiers d'origine américaine a le chapeau densément écailleux Galli 53, Engel (3) 15. Espèce importée d'Amérique, critique et controversée, voisine de S. tridentinus, à chapeau sec, plus ou moins méchuleux et souvent teinté de lilas pourpré. La var. landkammeri (Pilát & Svrcek) Bon a des pores très décurrents. Conifères, surtout Douglas : CD 1627, Engel (3) 15. La var. pseudopictus Smith & Thiers d'origine américaine a le chapeau densément écailleux Galli 53, Engel (3) 15. -
14/03/2015Amanita volvataSynonymesAgaricus volvatus Peck 1872 Amanitopsis volvata (Peck) Sacc. 1887 Amidella volvata (Peck) E.J. Gilbert 1940 Amanita agglutinata (Berk. & M.A. Curtis) Lloyd 1898 ss. auct. jpn.Agaricus volvatus Peck 1872 ; Amanitopsis volvata (Peck) Sacc. 1887 ; Amidella volvata (Peck) E.J. Gilbert 1940 ; Amanita agglutinata (Berk. & M.A. Curtis) Lloyd 1898 ss. auct. Jpn.-
14/03/2015Amanita volvataChapeau CouleurBlanc, RougeBlanc, Brun, Rouge-
14/03/2015Amanita volvataChapeau Description5-10 cm de diamètre, conique-arrondi à convexe puis étalé, orné de mèches ou de flocons vélaires plus foncés sur fond blanc au début, brun rougeâtre avec l'âge, à marge entière ou courtement sillonnée à maturité.5-10 cm de diamètre, conique-arrondi à convexe puis étalé, orné de mèches ou de flocons vélaires plus foncés sur fond blanc au début, puis brun carné à lilas vineux, brun rougeâtre avec l'âge, à marge entière ou courtement striée à maturité.-
14/03/2015Amanita volvataChair DescriptionBlanchâtre. Odeur et saveur peu remarquable.Blanchâtre. Odeur et saveur peu remarquable. Cotonneuse dans la moelle du pied qui est cortiqué et caverneux, virant légèrement au rose à la coupe, puis jaunissant faiblement avant de redevenir blanchâtre. Chair du bulbe brunâtre sale à la coupe, -
14/03/2015Amanita volvataStipe Description6-14 x 0,5-1,5 cm, bulbeux, squamuleux, blanc puis brunâtre, anneau absent, émergeant d'une volve épaisse.6-14 x 0,5-1,5(2)cm, séparable, cortiqué (3-5 mm), charnu cotonneux au centre (5-6 mm) puis caverneux, de plus en plus épaissi vers la base, bulbeux, squamuleux, blanc puis brunâtre subconcolore, émergeant d'une volve épaisse, revêtue d'une fine cuticule séparable brun ocracé pâle à brun carné(comme celle d'une pomme de terre cuite). Anneau absent. Bulbe séparable-
14/03/2015Cordyceps bassianaPhoto-Cordyceps_bassiana_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cordyceps bassiana, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
14/03/2015Cordyceps tuberculataCarpophore Description-enrobé d’un voile mycélien blanc sale d’aspect laineux débordant, fixant le cadavre sur le substrat. Dans la forme typique, les stromas grégaires rayonnent dans toutes les directions; la base est évasée, discoïde. -
14/03/2015Cordyceps tuberculataHyménophore Description-La partie fertile jaunâtre, 3–6 × 0,3–1 mm, porte sur un léger épaississement un nombre variable de périthèces 400–700 × 200–350 μm, de forme ovoïde, conique au sommet jaune d’ambre, passant à l’orangé et brun en séchant, fortement émergents du stroma. Les asques sont cylindriques plus ou moins clavés, capités, atténués à la base en un pédicelle court, souvent courbé, 200–400 × 4–5 μm. -
14/03/2015Cordyceps tuberculataSpores Description-Les spores filiformes, peu différentes de la longueur de l’asque se scindent en segments bacillaires 4–10 × 0,5–1 μm (sous-genre Eucordyceps.-
14/03/2015Cordyceps tuberculataEcologie Descriptionsur lépidoptères adultes de la famille des Sphingidae (papillons de nuit).En forêt, sur larves ou adultes de lépidoptères de la famille des Sphingidae (papillons de nuit).-
14/03/2015Cordyceps tuberculataCommentairesAnamorphe : Akanthomyces pistillariaeformis (Patouillard) Samson & Evans. Les récoltes décrites sous le nom de C. tuberculata par Leroy & Surault (1999), Moingeon & Van Vooren (2005) sont à rapporter à Cordyceps bifusispora. Ces auteurs ont vraisemblablement été influencés par R.W.G. Dennis (1968 et 1978), premier auteur à avoir fait la confusion. D’après G. Pacioni (1978), la variété terminalis de C. tuberculata décrite par Kobayasi (1941) mériterait le statut d'espèce distincte, qu'il a renommée: Cordyceps riverae Pacioni (1978) .Anamorphe : Akanthomyces pistillariaeformis (Patouillard) Samson & Evans. Les récoltes décrites sous le nom de C. tuberculata par Leroy & Surault (1999), Moingeon & Van Vooren (2005) sont à rapporter à Cordyceps bifusispora. Ces auteurs ont vraisemblablement été influencés par R.W.G. Dennis (1968 et 1978), premier auteur à avoir fait la confusion. D’après G. Pacioni (1978), la variété terminalis de C. tuberculata décrite par Kobayasi (1941) mériterait le statut d'espèce distincte, qu'il a renommée: Cordyceps riverae Pacioni (1978).-
14/03/2015Cordyceps tuberculataRéférencesBulletin de la Société d´Histoire naturelle de l'Afrique du Nord 8 p. 165 (1917) ; GhyselinkBulletin de la Société d´Histoire naturelle de l'Afrique du Nord 8 p. 165 (1917) ; Kobayasi Y., 1941, The Genus Cordyceps, pp. 87-88, fig. p. 8 ; Ghyselink ; http://www.ascofrance.fr/uploads/document/cordyceps-final-relu-CLL-09-01-3-2015-0001.pdf-
14/03/2015Cordyceps tuberculataCommentairesAnamorphe : Akanthomyces pistillariaeformis (Patouillard) Samson & EvansAnamorphe : Akanthomyces pistillariaeformis (Patouillard) Samson & Evans. Les récoltes décrites sous le nom de C. tuberculata par Leroy & Surault (1999), Moingeon & Van Vooren (2005) sont à rapporter à Cordyceps bifusispora. Ces auteurs ont vraisemblablement été influencés par R.W.G. Dennis (1968 et 1978), premier auteur à avoir fait la confusion. D’après G. Pacioni (1978), la variété terminalis de C. tuberculata décrite par Kobayasi (1941) mériterait le statut d'espèce distincte, qu'il a renommée: Cordyceps riverae Pacioni (1978) .-
14/03/2015Cordyceps tuberculataSynonymes-Basionyme : Akrophyton tuberculatum Lebert, Z. Wiss. Zool.: 448 (1858) ; synonymes : Torrubia sphingum Tul. et C. Tul. (1865) ; Cordyceps sphingum (Tul. et C. Tul.) Berk. & Curtis (1869) ; Cordyceps moelleri Henn. (1897) ; Torrubiella ochracea Pat. (1906) ss. Petch ; Cordyceps cristata Moeller (1901) ; Cordyceps isarioides Curt. ex Massee (1895) ; Cordyceps rostrata Henn. (1902) ; Cordyceps tarapotensis Henn. (1904) ; Cordyceps cockerellii Ellis (1892) ; Sous-espèces: Cordyceps tuberculata var. tuberculata [var. typica Kobayasi] f. moelleri (Henn.) Kobayasi (ガヤドリナガミノツブタケ) ; Cordyceps tuberculata var. terminalis Kobayasi [f. genuina Kobayasi] ; Cordyceps tuberculata var. terminalis Kobayasi f. crista (A. Moller) Kobayasi ; Cordyceps tuberculata var. terminalis Kobayasi f. cockerellii (Ellis & Everh.) Kobayasi-
14/03/2015Cordyceps tuberculataNoms français-Cordyceps tuberculé ; Cordyceps du Sphynx brun caramel (アメイロスズメガタケ)-
14/03/2015Cordyceps tuberculataRéférencesGhyselinkBulletin de la Société d´Histoire naturelle de l'Afrique du Nord 8 p. 165 (1917) ; Ghyselink-
14/03/2015Cordyceps tuberculataCommentaires-Anamorphe : Akanthomyces pistillariaeformis (Patouillard) Samson & Evans-
14/03/2015Cordyceps tuberculataEcologie Habitat-Débris animal-
14/03/2015Cordyceps tuberculataEcologie Description-sur lépidoptères adultes de la famille des Sphingidae (papillons de nuit).-
14/03/2015Cordyceps tuberculataPhoto-Cordyceps_tuberculata_1993_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Cordyceps tuberculata sur Lepidoptère adulte, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
14/03/2015Cordyceps tuberculataPhoto-Cordyceps_tuberculata_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cordyceps tuberculata, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
13/03/2015Coprinus spadiceisporusPhoto-Coprinus_spadiceisporus_1998_uea_1.jpgAjout photo type Mixte pour Coprinus spadiceisporus, Copyright (c) 1998 Uljé Et Al.
13/03/2015Coprinus spadiceisporusAuteurVa de Bogart 1976Van de Bogart 1976-
13/03/2015Coprinus spadiceisporusSynonymes-Coprinus roseostipitatus Van De Bogart 1976, Mycotaxon 4 p. 262-
13/03/2015Coprinus spadiceisporusRéférencesEyssartier et Roux p. 922Persoonia 16(4) p. 537-540 ; Eyssartier et Roux p. 922-
13/03/2015Coprinus spadiceisporusCommentairesForte odeur de chicoréeForte odeur de chicorée. Espèce Nord-Américaine, décrite de l'état de Washington en 1975 sur excréments de lapin et de daim, retrouvée en Italie depuis 1995 (Uljé, Gennari et al., Persoonia 16-4, 1998). Se distingue des autres espèces coprophiles et annelées de la sous-section Coprinus (C. sterquilinus) par ses petits carpophores et ses spores également deux fois plus petites.-
13/03/2015Coprinus spadiceisporusChapeau CouleurBlanc, Crème, GrisBlanc, Brun, Crème, Gris-
13/03/2015Coprinus spadiceisporusChapeau DescriptionCentre et mèches brunesles chapeaux encore fermés sont ellipsoïdes, jusqu'à 2 x 1,4 cm, puis une fois ouverts et campanulés, 2-5 cm de diamètre, à la fin plan, ou même révolutés au stade déliquescent. Revêtement piléique d'abord blanc, bientôt brun ou gris-brun foncé au disque, puis crème noisette grisonnant, fortement sillonné radialement et couvert d'un voile fibrillo-laineux blanchâtre, plus dense au centre, rompu à la périphérie en méchules retroussées brunissantes.-
13/03/2015Coprinus spadiceisporusLames DescriptionAscendantes et libresAscendantes, entièrement déliquescentes, libres, étroites (2-5mm) et très serrées, blanches puis grises et enfin noirâtres. Marge pelliculeuse, plus pâle, rosissante.-
13/03/2015Coprinus spadiceisporusChair DescriptionTrès déliquescenteblanche, assez ferme, fibreuse, très déliquescente. Odeur et saveur nulles. !Odeur de chicorée non signalée dans les descriptions américaines ni italiennes !-
13/03/2015Coprinus spadiceisporusStipe DescriptionAvec quelques mèches brun roussâtre2-8 x 0,3-0,5 cm, jusqu'à 0,8 cm à la base, cylindrique ou légèrement atténué au sommet, d'abord bulbeux-clavé puis subbulbeux, plein puis creux, entièrement blanc, finement strié et vaguement floculeux par quelques mèches brun roussâtre, munis d'un anneau médian, nettement différencié, blanc au dessus et crème ocracé à la face inférieure. dessous -
13/03/2015Coprinus spadiceisporusSpores Description8-10.5 x 7-8.5 µmsubmitriformes, rhomboïdes ou ovoïdes, 6,7-9,3 x 5,3-6,8 x 4,7-5,4 µm. Q=1.20-1.45-
13/03/2015Coprinus spadiceisporusEcologie DescriptionSur fumier ou dans les terrains pâturésSolitaire ou fasciculés sur crottes de daims, fumier ou dans les terrains pâturés-
12/03/2015Hebeloma sarcophyllumSynonymesporphyrosporum ?Sarcoloma sarcophyllum (Peck) Locq. 1979, Flore mycologique 3: 146 ; H. porphyrosporum sensu A.H. Smith 1984-
12/03/2015Hebeloma sarcophyllumRéférencesDM Fascicule 123 ; Eyssartier et Roux p. 860Cacialli, G. & Bacci, M. 2000, Mycol. Mont. III(1) p. 45-55 ; DM Fascicule 123 ; Eyssartier et Roux p. 860-
12/03/2015Hebeloma sarcophyllumCommentaires-Souvent synonymisée à H. porphyrosporum, ces deux hébélomes ressemblent à des petites Psalliotes. H. sarcophyllum peut être distingué sur le terrain par son chapeau blanc et son odeur nulle, à son habitat plus hygrophile et praticole, sa distribution plus nordique.-
12/03/2015Hebeloma sarcophyllumChapeau Description-Chapeau charnu, blanc, à marge épaisse, incurvée.-
12/03/2015Hebeloma sarcophyllumChair Description-Chair pâle, légèrement amère. Odeur nulle.-
12/03/2015Hebeloma sarcophyllumLames Description-larges, subespacées, incarnat.-
12/03/2015Hebeloma sarcophyllumStipe Description-Pied cylindrique, lisse, blanc, non cortiné mais seulement pruineux en haut.-
12/03/2015Hebeloma sarcophyllumSpores Description8-9 x 5-5,5 µm8-9 x 5-5,5 µm, amygdaliformes, sublisses, brun ferrugineux. Epicutis à hyphes x 2(3) µm, gélifiées; hypoderme pseudo-parenchymateux.-
12/03/2015Hebeloma sarcophyllumEcologie Description-Espèce d'origine Nord-Américaine où elle est peu commune, venant au printemps dans les prairies subhygrophiles, récoltée également en Afrique du Nord et en Europe méridionale, (Livourne, Catalogne, Lyon, Toulon).-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumRéférencesMaire 1931, Bulletin de la Société d'Histoire Naturelle de l'Afrique du Nord, Alger, 22, 1: 14-17 ; Cacialli & Bacci 2000, Mycologia Montenegrina III(1) p? 45-55 ; Bon p. 230 ; CD 992 ; Eyssartier et Roux p. 860Maire 1931, Bulletin de la Société d'Histoire Naturelle de l'Afrique du Nord, Alger, 22, 1: 14-17 ; Cacialli & Bacci 2000, Mycologia Montenegrina III(1) p. 45-55 ; Bon p. 230 ; CD 992 ; Eyssartier et Roux p. 860-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumCommentairesOdeur fruitée. Amère. Sous Pinus. Cette espèce classée dans la section Denudata, sous-section porphyrospora, est surprenante par sa sporée pourprée et la grande variation de son apparence extérieure. René Maire commente: "Cet Hebeloma, bien distinct des autres espèces du genre par ses spores brun-pourpre, existe sans doute aussi sur le littoral méditerranéen français. M. Nantien a, en effet, trouvé, sous Pinus halepensis L., au Pradet près Toulon, un champignon qui, d'après sa description et les spores qqu'il nous a envoyé, concorde tout-à-fait avec notre Hebeloma porphyrosporum. M. Nantien avait cru retrouver dans notre champignon le Pilosace algeriensis Fr. qui est resté un champignon problématique. Mais la forme et les dimensions des spores, les lamelles adnées et le chapeau non séparable du pied s'opposent à cette identification. Il peut paraître étrange de classer un champignon à spores brun-pourpre dans le genre Hebeloma. Nous n'hésitons cependant pas à le faire, car il a tous les caractères des Hebeloma du groupe de l'H. crustuliniforme, tant au point de vue de la morphologie externe qu'à celui de la structure anatomique." Odeur fruitée. Amère. Sous Pinus. Cette espèce classée dans la section Denudata, sous-section porphyrospora, est surprenante par sa sporée pourprée et la grande variation de son apparence extérieure. René Maire commente: "Cet Hebeloma, bien distinct des autres espèces du genre par ses spores brun-pourpre, existe sans doute aussi sur le littoral méditerranéen français. M. Nantien a, en effet, trouvé, sous Pinus halepensis L., au Pradet près Toulon, un champignon qui, d'après sa description et les spores qu'il nous a envoyé, concorde tout-à-fait avec notre Hebeloma porphyrosporum. M. Nantien avait cru retrouver dans notre champignon le Pilosace algeriensis Fr. qui est resté un champignon problématique. Mais la forme et les dimensions des spores, les lamelles adnées et le chapeau non séparable du pied s'opposent à cette identification. Il peut paraître étrange de classer un champignon à spores brun-pourpre dans le genre Hebeloma. Nous n'hésitons cependant pas à le faire, car il a tous les caractères des Hebeloma du groupe de l'H. crustuliniforme, tant au point de vue de la morphologie externe qu'à celui de la structure anatomique." -
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumAuteurMaire 1931Maire 1931, Bulletin de la Société d'Histoire Naturelle de l'Afrique du Nord, Alger, 22, 1: 14-17-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumSynonymes-H. sarcophyllum Peck, sensu A.-H. Smith 1984-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumNoms françaisHébélome à sporée porphyreHébélome à sporée porphyre; Hébélome à spores brun-pourpre-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumRéférencesBon p. 230 ; CD 992 ; Eyssartier et Roux p. 860Maire 1931, Bulletin de la Société d'Histoire Naturelle de l'Afrique du Nord, Alger, 22, 1: 14-17 ; Cacialli & Bacci 2000, Mycologia Montenegrina III(1) p? 45-55 ; Bon p. 230 ; CD 992 ; Eyssartier et Roux p. 860-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumCommentairesOdeur fruitée. Amère. Sous Pinus.Odeur fruitée. Amère. Sous Pinus. Cette espèce classée dans la section Denudata, sous-section porphyrospora, est surprenante par sa sporée pourprée et la grande variation de son apparence extérieure. René Maire commente: "Cet Hebeloma, bien distinct des autres espèces du genre par ses spores brun-pourpre, existe sans doute aussi sur le littoral méditerranéen français. M. Nantien a, en effet, trouvé, sous Pinus halepensis L., au Pradet près Toulon, un champignon qui, d'après sa description et les spores qqu'il nous a envoyé, concorde tout-à-fait avec notre Hebeloma porphyrosporum. M. Nantien avait cru retrouver dans notre champignon le Pilosace algeriensis Fr. qui est resté un champignon problématique. Mais la forme et les dimensions des spores, les lamelles adnées et le chapeau non séparable du pied s'opposent à cette identification. Il peut paraître étrange de classer un champignon à spores brun-pourpre dans le genre Hebeloma. Nous n'hésitons cependant pas à le faire, car il a tous les caractères des Hebeloma du groupe de l'H. crustuliniforme, tant au point de vue de la morphologie externe qu'à celui de la structure anatomique." -
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumChapeau Description-3-6 cm, visqueux, blanchâtre puis roussâtre au disque, parfois entièrement ferrugineuse, marge blanche, pruino-tomenteuse, épaisse et infléchie.-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumChair Description-blanchâtre, non brunissante. Odeur fruitée caractéristique, semblable à celle de Cortinarius purpurascens.-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumLames CouleurBrunBrun, Gris, Rouge-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumLames Description-serrées, rose-pourpre-grisâtre.-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumStipe Description-5-7 x 0,8-1,2 cm, jusqu'à 2,5 cm au bulbe qui est parfois radicant, blanc, fibrillo-squamuleux, pruineux au sommet, brun sale vers la base?-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumSpores Description-Sporée rougeâtre-chocolat, 11-13 x 5-6 µm, amygdaliformes, papillées, densément verruqueuses, à paroi épaisse et colorée sauf au sommet. Cheilocystides 30-60 x 6-9 x 3-5 µm, cylindro-clavées à pédiculées.-
11/03/2015Hebeloma porphyrosporumEcologie Description-Sous les pins, peu commun, surtout méditerranéen.-
09/03/2015Cystolepiota bucknalliiPhoto-Cystolepiota_bucknallii_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cystolepiota bucknallii, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
08/03/2015Conocybe subovalisPhoto-Conocybe_subovalis_1998_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Conocybe subovalis, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
07/03/2015Cyptotrama asprataPhoto-Cyptotrama_asprata_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cyptotrama asprata, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
07/03/2015Cyptotrama asprataPhoto-Cyptotrama_asprata_1998_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cyptotrama asprata, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
07/03/2015Cyptotrama asprataAuteur(Berk.) Redhead & Ginns(Berk.) Redhead & Ginns 1980-
07/03/2015Cyptotrama asprataSynonymes-Lepiota asprata (Berk.) Sacc. 1887 ; Armillaria asprata (Berk.) Petch 1910 ; Xerula asprata (Berk.) Aberdeen 1962 ; Xerulina asprata (Berk.) Pegler 1972-
07/03/2015Cyptotrama asprataRéférencesAmericanMushrooms.com: Golden-scruffy CollybiaIH1 193 ; YK p. 137 ; AmericanMushrooms.com: Golden-scruffy Collybia-
07/03/2015Cyptotrama asprataChapeau DescriptionLes épines sont caractéristiques sur les spécimens jeunes.vLes squames épineuses sont caractéristiques sur les spécimens jeunes. Remarquable couleur jaune plus ou moins orangé, mêlé de vermillon au disque, hérissé de squamules dressées, allure de pholiota squarrosa, mais chapeau vite plan.-
07/03/2015Cyptotrama asprataLames Description-subdécurrentes, remarquablement plissées et interveinées au fond.-
07/03/2015Cyptotrama asprataChair Description-jaune pâle, très mince, dure et cassante.-
07/03/2015Cyptotrama asprataStipe DescriptionPrésence d'écaillesconcolore et revêtu d'écailles. Anneau très fugace, souvent absent.-
07/03/2015Cyptotrama asprataEcologie DescriptionSur bois pourriplutôt isolé sur bois pourri et débris ligneux ou litière de feuilles et surtout racines affleurantes de bambous. Été-automne, assez commun au Japon dans les bambouseraies et en zone tropicale à subtropicale, depuis le Canada du Sud jusqu'en Afrique du Sud, y compris montagnes tropicales jusqu'à 3000m (i.e.Nouvelle Guinée).-
06/03/2015Lyophyllum atratumPhoto-Tephrocybe_atrata_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tephrocybe atrata, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
02/03/2015Hydnum repandumSynonymes-Sarcodon squamosum (Schaeff.) Quél. 1889-
02/03/2015Hydnum repandumCommentairesEspèce tardive appréciée et vendue sur tous les marchés en saison. Bien que la légère amertume de la chair avec l'âge soit compensée par l'absence de larves, on préfèrera les jeunes sujets et on les cuira suffisamment longtemps. [Compilé d'après Jean-François Dauval et Philippe Joly, 1980 : Les champignons au fil des saisons, Fascicule 667 (L'Ami des Jardins)]Espèce tardive appréciée et vendue sur tous les marchés en saison. Bien que la légère amertume de la chair avec l'âge soit compensée par l'absence de larves, on préfèrera les jeunes sujets et on les cuira suffisamment longtemps. Les autres hydnes (Calodons, charnus, et Sarcodons, plus coriaces) ont presque tous les spores brunes et les contours sineux [Compilé d'après Jean-François Dauval et Philippe Joly, 1980 : Les champignons au fil des saisons, Fascicule 667 (L'Ami des Jardins)]-
02/03/2015Hydnum repandumChapeau DescriptionChapeau charnu et compact, convexe, 8-15 cm de diamètre, irrégulièrement lobé, bosselé, souvent déprimé au centre. Marge ondulée, sinuée. Surface finement veloutée, maté, crème, beige ou ocre légèrement orangé ou rosé.Chapeau charnu et compact, convexe, 8-15 cm de diamètre, irrégulièrement lobé, bosselé, souvent déprimé au centre. Marge ondulée, sinuée. Surface finement veloutée, mate, crème, beige ou ocre légèrement orangé ou rosé.-
02/03/2015Hydnum repandumSpores Description-crème en masse, presque globuleuses, 7,5-9 x 7-7,5 µm, un peu anguleuses en herbier. Cuticule peu différenciée.-
02/03/2015Hydnum repandumRéférencesCD 76 ; Bon p. 313 ; Marchand 181 ; Eyssartier et Roux p. 996CD 76 ; Bon p. 313 ; Marchand 181 ; Ami des Jardins p. 72 ; Eyssartier et Roux p. 996-
02/03/2015Hydnum repandumCommentairesEspèce tardive appréciée et vendue sur tous les marchés en saison. Bien que la légère amertume de la chair avec l'âge soit compensée par l'absence de larves, on préfèrera les jeunes sujets et on les cuira suffisamment longtemps. [Compilé d'après Hervé Chaumeton et Philippe Joly, 1980 (L'Ami des Jardins)]Espèce tardive appréciée et vendue sur tous les marchés en saison. Bien que la légère amertume de la chair avec l'âge soit compensée par l'absence de larves, on préfèrera les jeunes sujets et on les cuira suffisamment longtemps. [Compilé d'après Jean-François Dauval et Philippe Joly, 1980 : Les champignons au fil des saisons, Fascicule 667 (L'Ami des Jardins)]-
02/03/2015Hydnum repandumNoms françaisPied-de-Mouton, Hyfne sinué, Hydne bosselé, Barbe de Chèvre, Chevrette, Oursin, Langue de Chat, érinace, ChevrotinePied-de-Mouton, Hydne sinué, Hydne bosselé, Barbe de Chèvre, Chevrette, Oursin, Langue de Chat, érinace, Chevrotine-
02/03/2015Hydnum repandumCommentairesEspèce tardive appréciée et vendue sur tous les marchés en saison. Bien que la légère amertume de la chair avec l'âge soit compensée par l'absence de larves, on préfèrera les jeunes sujets et on les cuira suffisamment longtemps.Espèce tardive appréciée et vendue sur tous les marchés en saison. Bien que la légère amertume de la chair avec l'âge soit compensée par l'absence de larves, on préfèrera les jeunes sujets et on les cuira suffisamment longtemps. [Compilé d'après Hervé Chaumeton et Philippe Joly, 1980 (L'Ami des Jardins)]-
02/03/2015Hydnum repandumOdeur-Fruitée-
02/03/2015Hydnum repandumCommentaires-Espèce tardive appréciée et vendue sur tous les marchés en saison. Bien que la légère amertume de la chair avec l'âge soit compensée par l'absence de larves, on préfèrera les jeunes sujets et on les cuira suffisamment longtemps.-
02/03/2015Hydnum repandumChapeau DescriptionHymenium à aiguillons.Chapeau charnu et compact, convexe, 8-15 cm de diamètre, irrégulièrement lobé, bosselé, souvent déprimé au centre. Marge ondulée, sinuée. Surface finement veloutée, maté, crème, beige ou ocre légèrement orangé ou rosé.-
02/03/2015Hydnum repandumChair DescriptionChaire blanche, un peu jaunissante.Chair épaisse, ferme et cassante, blanche, un peu jaunissante à l'air. Odeur faible fruitée, plutôt agréable. Saveur légèrement amère, surtout chez les sujets âgés.-
02/03/2015Hydnum repandumAiguillons Description-Très nombreux aiguillons allongés et fins, serrés, inégaux, descendant sur le pied, fragiles, blancs au début puis crème ou concolores au chapeau.-
02/03/2015Hydnum repandumStipe Description-court et épais, 2-8 cm x 0,5-3 cm, souvent excentré, plein et lisse, blanchâtre ou à peine teinté de rose, généralement plus pâle que le chapeau.-
02/03/2015Hydnum repandumEcologie DescriptionEté/automne en forêt.Très commun en été/automne et jusqu'à la fin de l'hiver dans les bois humides, surtout les pentes où il forme des lignes, des cercles ou des traînées dans le sens du ruissellement des eaux.-
02/03/2015Hydnum repandumNoms françaisPied-de-MoutonPied-de-Mouton, Hyfne sinué, Hydne bosselé, Barbe de Chèvre, Chevrette, Oursin, Langue de Chat, érinace, Chevrotine-
19/02/2015Inocybe luteaPhoto-Inocybe_lutea_1987_th_1.jpgAjout photo type Macro pour Inocybe lutea Holotypus, Copyright (c) 1987 Tsuguo Hongo
19/02/2015Inocybe luteaPhoto-Inocybe_lutea_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Inocybe lutea, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
19/02/2015Inocybe luteaChapeau Description2,5-3 cm, convexe à conico-convexe, puis campanulé; Revêtement sec, jaune orangé à abricot, couvert de fibrilles radiales concolores dans la jeunesse, puis, brunissant, marge striée, soyeuse; pas de restes vélaires.2,5-3 cm, convexe à conico-convexe, puis campanulé; Revêtement sec, jaune orangé à abricot, couvert de fibrilles radiales concolores dans la jeunesse, puis brunissant, à marge soyeuse et striée; pas de restes vélaires.-
19/02/2015Inocybe luteaChair DescriptionAssez ferme, jaune à jaune orangé. Saveur douce. Odeur désagréable de corne brûlée.Assez ferme, jaune à jaune orangé. Saveur douce. Odeur désagréable d'iode ou de corne brûlée.-
19/02/2015Inocybe luteaOdeurCaoutchoucCaoutchouc, Poisson, Scléroderme-
19/02/2015Inocybe luteaMicroscopie Forme des sporesLéiosporéesGoniosporées-
19/02/2015Inocybe luteaMicroscopie Description-Spores 7-8 x 4,5-5,5 µm, noduleuses, brunes. Basides 20-26 x 7 µm, 4-spores. Cheilocystides et pleurocystides 35-62 x 11-22 µm, lagéniformes à fusoïdes, métuloides, incrustées, hyalines à jaunâtre dans KOH. Caulocystides similaires. Pileo à hyphes cylindriques x 3-8 µm, incrustées de pigment orangé brunâtre. Boucles nombreuses.-
19/02/2015Inocybe luteaEcologie Description-été-automne, solitaire ou en groupe, sur le sol dans les bois de feuillus (Fagus). Japon, Papouasie-Nouvelle-Guinée -
19/02/2015Inocybe luteaCommentairesà compléterCet inocybe est facile à identifier par ses teintes jaune orangées et son odeur d'iode désagréable.-
17/02/2015Inocybe lanuginosaPhoto-Inocybe_lanuginosa_1788_b_1.jpgAjout photo type Macro pour Inocybe lanuginosa Basionyme, Copyright (c) 1788 Bulliard
17/02/2015Inocybe lanuginosaPhoto-Inocybe_lanuginosa_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Inocybe lanuginosa jeunes, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
16/02/2015Inocybe griseolilacinaRéférencesBon p. 239 ; BK 5 25 ; CD 1039L 111 f ; KR p. 228 ; Moser p. 323 ; DM 108 p. 13 ; Bon p. 239 ; BK 5 25 ; CD 1039-
16/02/2015Inocybe griseolilacinaChapeau Description-2-4 cm, conico-campanulé puis mamelonné, fibrilleux à gercé ou un peu écailleux, beige à ochracé brunâtre terne, uniforme ou un peu lilas violeté à la périphérie. -
16/02/2015Inocybe griseolilacinaChair Description-banale, blanche à subconcolore. Odeur spermatique.-
16/02/2015Inocybe griseolilacinaLames CouleurBrun, CrèmeBrun, Crème, Jaune-
16/02/2015Inocybe griseolilacinaLames Description-ocre pâle à arête blanchâtre.-
16/02/2015Inocybe griseolilacinaStipe CouleurCrème, MauveBlanc, Crème, Mauve-
16/02/2015Inocybe griseolilacinaStipe Description-2-5 x 0,3-0,5 cm, subégal, cortiné, un peu fibrilleux, non pruineux, à sommet lilacin et base gris violeté pâle ou blanchâtre.-
16/02/2015Inocybe griseolilacinaMicroscopie Description-8,5-12 x 4,5-6 µm, à sommet obtus ou sub-mamelonné. Cystides banale, 45-65 x 10-15 µm, à paroi x 0,5-2 µm. NH40H = 0. Paracystides clavées, banales. Hyphes piléiques couchées, banales, à piment mixte ou lisses.-
16/02/2015Inocybe griseolilacinaEcologie Description-Taillis de feuillus divers sur sol nu, à tendance hygrophile. Assez commun à assez rare, Europe.-
16/02/2015Inocybe griseolilacinaPhoto-Inocybe_griseolilacina_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Inocybe griseolilacina, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
16/02/2015Inocybe godeyiCommentairesOdeur dite spermatique, fréquente chez les Inocybes. Odeur faible, dite spermatique, fréquente chez les Inocybes. -
16/02/2015Inocybe godeyiChapeau DescriptionD'abord entièrement jaunâtre, devient tout rouge. Le chapeau est assez charnu, campanulé convexe, jusqu'à 5 cm de diamètre, lisse et simplement satiné fibrilleux.D'abord entièrement blanc ochracé-jaunâtre, devient tout rouge orangé vif, puis rouge brique. Le chapeau est assez charnu, campanulé convexe, ou à mamelon pointu, 2-5 cm de diamètre, lisse et simplement satiné fibrilleux ou vergeté.-
16/02/2015Inocybe godeyiStipe Descriptionégal, plus ou moins bulbeux, blanc se teintant de rouge.5-7 x 0,5-0,8 cm, égal, plus ou moins bulbeux marginé, entièrement poudré, blanc se teintant de rouge brique comme le chapeau -
16/02/2015Inocybe godeyiComestibilitéSans intérêtToxique-
16/02/2015Inocybe godeyiRéférencesBon p. 237 ; BK 5 24 ; CD 1064 ; Eyssartier et Roux p. 864, 878Becker p. 252 ; Bon p. 237 ; BK 5 24 ; CD 1064 ; Eyssartier et Roux p. 864, 878-
16/02/2015Inocybe godeyiCommentairesOdeur spermatique.Odeur dite spermatique, fréquente chez les Inocybes. -
16/02/2015Inocybe godeyiChapeau Description-D'abord entièrement jaunâtre, devient tout rouge. Le chapeau est assez charnu, campanulé convexe, jusqu'à 5 cm de diamètre, lisse et simplement satiné fibrilleux.-
16/02/2015Inocybe godeyiChair Description-blanche, rougissante. Odeur faible, ammoniaquée, dite spermatique.-
16/02/2015Inocybe godeyiLames CouleurBrun, Crème, Orange, SaumonBrun, Crème, Orange, Rouge, Saumon-
16/02/2015Inocybe godeyiLames Description-Lames serrées, blanchâtres puis bistre olive, se teintant peu à peu de rouge.-
16/02/2015Inocybe godeyiStipe Description-égal, plus ou moins bulbeux, blanc se teintant de rouge.-
16/02/2015Inocybe godeyiMicroscopie Description-spores ovoïdes, à sommet conique, lisses, 11 x 6 µm. Cystides plutôt ventrues, à paroi x 1 µm-
16/02/2015Inocybe godeyiEcologie Description-Assez commun en été sous feuillus calcicoles.-
16/02/2015Inocybe godeyiPhoto-Inocybe_godeyi_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Inocybe godeyi, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
16/02/2015Inocybe corydalinaRéférencesBon p. 237 ; BK 5 13 ; CD 1026 ; Cetto 1412 ; Eyssartier et Roux p. 880, 882DM 108 p. 3 ; Bon p. 237 ; BK 5 13 ; CD 1026 ; Cetto 1412 ; Eyssartier et Roux p. 880, 882 ; Gérault p. 37-
16/02/2015Inocybe corydalinaCommentairesOdeur fruitée ou de savonnette parfumée mais aussi de jasmin.Odeur fruitée comme Inocybe bongardii, de poire blette (fermentation alcoolique) ou de savonnette parfumée mais aussi de jasmin.-
16/02/2015Inocybe corydalinaChapeau Description3-5 cm, fibrilleux à méchuleux, crème, puis beige et enfin roussâtre, parfois plus ou moins rougissant.3-5(7) cm, conique puis convexe et obtusément mamelonné, voilé au mamelon qui est vert olive foncé, subglabre ou fibrillo-soyeux, subsquamuleux, progressivement crème à brun ochracé pâle, beige à blanchâtre sale vers la marge, enfin roussâtre, parfois plus ou moins rougissant. -
16/02/2015Inocybe corydalinaChair Descriptionblanche, plus ou moins rougissante. Odeur forte aromatique, d'eau de vie de poire.blanchâtre, plus ou moins rougissante. Odeur forte et persistante, aromatique, d'eau de vie de poire [in litt., jasminée (Corydale) ou de baume du Pérou]. -
16/02/2015Inocybe corydalinaLames CouleurBrun, CrèmeBrun, Crème, Gris-
16/02/2015Inocybe corydalinaLames Description-ascendantes, larges, peu serrées, grisâtres puis brun grisâtre.-
16/02/2015Inocybe corydalinaStipe CouleurBlanc, Crème, VertBlanc, Crème, Gris, Vert-
16/02/2015Inocybe corydalinaStipe Description-clavé à subbulbeux, fibrilleux, 3-6 x 0,7-1 (1,2) cm, blanchâtre puis un peu brunâtre pâle, parfois teinté de gris verdâtre à partir de la base. -
16/02/2015Inocybe corydalinaOdeurAromatique, Fruitée, Moisi, Poire, Savon, TerreAromatique, Baume du Pérou, Fruitée, Moisi, Poire, Savon, Terre-
16/02/2015Inocybe corydalinaMicroscopie Description8-11 x 6-7 µmSpores ovoïdes à subcitriformes, à sommet mamelonné, 6-8(10) x 5-7 μm. Cystides ornées de quelques cristaux au sommet, fusiformes et plus ou moins ventrues, 40-70 x 12-20 μm, à paroi incolore dans l'ammoniaque, x 1-2 μm. Caulocystides rares.-
16/02/2015Inocybe corydalinaEcologie DescriptionSous différents feuillus et conifères, sur sol calcaireHygrophile calcicole, sous différents feuillus et conifères, sur sol calcaire, boueux, riche ou frais. Taillis argilo-sableux humides.-
16/02/2015Inocybe euthelesSynonymesI. sindonia ss. kühn. ?I. sindonia ss. Kühn. ?-
16/02/2015Inocybe euthelesCommentairesSous pins. La var. fusodeicystis est remarquable par ses cystides étroites pouvant atteindre 80-90µ.Sous pins. La var. fusodeicystis est remarquable par ses cystides étroites pouvant atteindre 80-90µ. Alain Gérault (2005) résume ainsi le problème de conception de ce Groupe difficile d’Inocybe eutheles ou d’Inocybe sindonia que l’on peut considérer comme formé d’une seule espèce assez variable ou de plusieurs espèces très voisines ! " Certains auteurs synonymisent à Inocybe sindonia : Inocybe commutabilis Furrer-Ziogas, Inocybe cortinata Rolland, Inocybe eutheles (Berk. & Br.) Quélet, Inocybe kuehneri Stangl & Veselsky, Inocybe lepiotoides Reumaux, Inocybe uliginosa Vel.,... Les auteurs français séparent l’ Inocybe eutheles en deux espèces : 1. Inocybe eutheles = Inocybe sindonia à stipe poudré seulement au sommet et 2. Inocybe kuehneri/Inocybe eutheles p.p. à stipe poudré sur toute sa longueur. Comme il est possible de trouver toutes les formes intermédiaires possibles, la question n’est pas encore tranchée ! "-
16/02/2015Inocybe euthelesPhoto-Inocybe_eutheles_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Inocybe eutheles, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
15/02/2015Hygrophorus marzuolusCommentairesCalcicole montagnard…en principe… Mais présent dès 350m, et sur sol acide dans certains secteurs du centre de la France...Calcicole montagnard… en principe… Mais présent dès 350m, et sur sol acide dans certains secteurs du centre de la France.syntaxe, et viscosité
15/02/2015Hygrophorus marzuolusChapeau Description4-10(12) cm, d'abord convexe, puis étalé ou même en soucoupe, souvent bossu et irrégulier, obtus, sans mamelon ni dépression, non hygrophane ni visqueux; revêtement variant du blanchâtre au bistre sombre selon l'âge et l'exposition à la lumière, ne pâlissant guère, lisse et glabre, parfois finement vergeté, parfois plutôt chagrinée; marge droite (bien que donnant l'illusion d'être révolutée au début) et comme creusée par les sillons interlamellaires, à la fin un peu onduleuse. 4-10(12) cm, d'abord convexe, puis étalé ou même en soucoupe, souvent bossu et irrégulier, obtus, sans mamelon ni dépression, non hygrophane; revêtement variant du blanchâtre au bistre sombre selon l'âge et l'exposition à la lumière, ne pâlissant guère, lisse et glabre, un peu visqueuse par temps humide mais vite sèche, parfois finement vergeté, parfois plutôt chagrinée; marge droite (bien que donnant l'illusion d'être révolutée au début) et comme creusée par les sillons interlamellaires, à la fin un peu onduleuse.syntaxe, et viscosité
15/02/2015Hygrophorus marzuolusChair Descriptionépaisse, ferme, plus fibreuse que les autres hygrophores, blanchâtre ou marbrée de grisâtre en surface, puis grisonnant à la longue; odeur faible, parfois agréable (de rose fanée?); saveur douce, peu fine mais très estimée... par les écureuils et autres rongeurs.épaisse, ferme, plus fibreuse que chez les autres hygrophores, blanchâtre ou marbrée de grisâtre en surface, puis grisonnant à la longue; odeur faible, parfois agréable (de rose fanée?); saveur douce, peu fine mais très estimée... par les écureuils et autres rongeurs.syntaxe, et viscosité
15/02/2015Hygrophorus marzuolusLames Descriptionépaisses et serrées dans la jeunesse, devenant vite très espacées et s'amincissant, interveinées, avec quelques lamellules, un peu arquées, 5-10 mm de large, subdécurrentes, s'arrêtant net en arc de cercle sur le pied, blanc de lait, puis grisâtre avec l'arête pâle, parfois jaunissantes à noirâtres à la fin.épaisses et serrées dans la jeunesse, devenant vite très espacées et s'amincissant, interveinées, avec quelques lamellules, un peu arquées, 5-10 mm de large, subdécurrentes, s'arrêtant net en arc de cercle sur le pied, blanc de lait, puis grisâtre avec l'arête pâle, parfois jaunissant à noirâtre à la fin.syntaxe, et viscosité
15/02/2015Hygrophorus marzuolusSpores Description5-7,5 x 4-6 µm, ellipsoïdes; basides 50-65 x 6-8 µm; cystides absentes, quelques poils en massue entre les jeunes basides; trame des lames un peu emmêlées, pas nettement bilatérale; revêtement piléique filamenteux en ixocutis et hyphes bouclées; pigment intracellulaire brun.5-7,5 x 4-6 µm, ellipsoïdes; basides 50-65 x 6-8 µm; cystides absentes, quelques poils en massue entre les jeunes basides; trame des lames un peu emmêlée, pas nettement bilatérale; revêtement piléique filamenteux en ixocutis et hyphes bouclées; pigment intracellulaire brun.syntaxe, et viscosité
15/02/2015Hygrophorus marzuolusEcologie DescriptionEurope et Afrique du Nord. Espèce globalement rare, tendance montagnarde et printanière, de février à mai, sous conifères et près bois mêlés en terrain calcaire, mais aussi parfois en terrain siliceux sous feuillus (hêtre), souvent caché sous les feuilles mortes.Europe et Afrique du Nord. Espèce globalement rare, à tendance montagnarde et quasi-hivernale à printanière (de février à mai), sous conifères et près bois mêlés en terrain calcaire, mais aussi parfois en terrain siliceux sous feuillus (hêtre), souvent caché sous les feuilles mortes.syntaxe, et viscosité
15/02/2015Hygrophorus marzuolusNoms françaisHygrophore de marsHygrophore de mars ; Charbonnier-
15/02/2015Hygrophorus marzuolusRéférencesFE 6 p. 121 ; CD 249 ; Marchand 55 ; Bon p. 119 ; Eyssartier et Roux p. 468Romagn. NA II pl. 111 ; FE 6 p. 121 ; CD 249 ; Marchand 55 ; Bon p. 119 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 613 ; Eyssartier et Roux p. 468-
15/02/2015Hygrophorus marzuolusChapeau CouleurGris, NoirBlanc, Gris, Noir-
15/02/2015Hygrophorus marzuolusChapeau Description-4-10(12) cm, d'abord convexe, puis étalé ou même en soucoupe, souvent bossu et irrégulier, obtus, sans mamelon ni dépression, non hygrophane ni visqueux; revêtement variant du blanchâtre au bistre sombre selon l'âge et l'exposition à la lumière, ne pâlissant guère, lisse et glabre, parfois finement vergeté, parfois plutôt chagrinée; marge droite (bien que donnant l'illusion d'être révolutée au début) et comme creusée par les sillons interlamellaires, à la fin un peu onduleuse. -
15/02/2015Hygrophorus marzuolusChair Descriptiontrès ferme.épaisse, ferme, plus fibreuse que les autres hygrophores, blanchâtre ou marbrée de grisâtre en surface, puis grisonnant à la longue; odeur faible, parfois agréable (de rose fanée?); saveur douce, peu fine mais très estimée... par les écureuils et autres rongeurs.-
15/02/2015Hygrophorus marzuolusLames CouleurBlanc, CrèmeBlanc, Gris-
15/02/2015Hygrophorus marzuolusLames Description-épaisses et serrées dans la jeunesse, devenant vite très espacées et s'amincissant, interveinées, avec quelques lamellules, un peu arquées, 5-10 mm de large, subdécurrentes, s'arrêtant net en arc de cercle sur le pied, blanc de lait, puis grisâtre avec l'arête pâle, parfois jaunissantes à noirâtres à la fin.-
15/02/2015Hygrophorus marzuolusStipe CouleurGris, NoirBlanc, Brun, Gris, Noir-
15/02/2015Hygrophorus marzuolusStipe Description-2-8 x 1-3,5 cm, charnu et ferme, sec, cylindrique, souvent tordu ou courbé, plein jusqu'à la fin, floconneux en haut (mèches molles apprimées et brunissantes), fibrilleux (rayé soyeux) ailleurs, blanc se colorant de brun ou de gris à partir de la base (ou l'inverse selon Marchand!)-
15/02/2015Hygrophorus marzuolusSpores Description-5-7,5 x 4-6 µm, ellipsoïdes; basides 50-65 x 6-8 µm; cystides absentes, quelques poils en massue entre les jeunes basides; trame des lames un peu emmêlées, pas nettement bilatérale; revêtement piléique filamenteux en ixocutis et hyphes bouclées; pigment intracellulaire brun.-
15/02/2015Hygrophorus marzuolusEcologie DescriptionSous feuillus ou résineux.Europe et Afrique du Nord. Espèce globalement rare, tendance montagnarde et printanière, de février à mai, sous conifères et près bois mêlés en terrain calcaire, mais aussi parfois en terrain siliceux sous feuillus (hêtre), souvent caché sous les feuilles mortes.-
15/02/2015Inocybe asterosporaNoms françaisInocybe à spores étoiléesInocybe à spores étoilées ; Inocybe à bulbe marginé (カブラアセタケ)-
15/02/2015Inocybe asterosporaRéférencesBon p. 243 ; Courtecuisse Photo-Guide 558 ; BK 5 69 ; CD 1089 ; Eyssartier et Roux p. 870Bon p. 243 ; IH1 387 ; Courtecuisse Photo-Guide 558 ; BK 5 69 ; CD 1089 ; Eyssartier et Roux p. 870-
15/02/2015Inocybe asterosporaCommentairesEspèce de la dernière section du genre (Asteroporineae), à stipe bulbeux marginé, entièrement pruineux, mais vivement coloré ou sombre. Taxon caractérisé par son chapeau brun orangé très rimeux, son stipe bulbeux et pruineux. Odeur spermatique banale pour le genre.Espèce de la dernière section du genre (Asteroporineae), à stipe bulbeux marginé, entièrement pruineux, mais vivement coloré ou sombre. Taxon caractérisé par son chapeau brun orangé très rimeux, son stipe bulbeux et pruineux. Odeur spermatique banale pour le genre. Sources: R. Courtecuisse (2000): Photo-Guide Champignons d'Europe.-
15/02/2015Inocybe asterosporaSynonymes-Astrosporina asterospora (Quél.) Rea 1922-
15/02/2015Inocybe asterosporaRéférencesBon p. 243 ; BK 5 69 ; CD 1089 ; Eyssartier et Roux p. 870Bon p. 243 ; Courtecuisse Photo-Guide 558 ; BK 5 69 ; CD 1089 ; Eyssartier et Roux p. 870-
15/02/2015Inocybe asterosporaCommentairesOdeur spermatique.Espèce de la dernière section du genre (Asteroporineae), à stipe bulbeux marginé, entièrement pruineux, mais vivement coloré ou sombre. Taxon caractérisé par son chapeau brun orangé très rimeux, son stipe bulbeux et pruineux. Odeur spermatique banale pour le genre.-
15/02/2015Inocybe asterosporaChapeau CouleurBrunBrun, Jaune, Orange-
15/02/2015Inocybe asterosporaChapeau Description-1,5-7 cm, conico-convexe puis bassement conique ou à mamelon persistant, brun jaunâtre, roux foncé, brun grisâtre, souvent voilé de blanchâtre ou grisâtre au disque, et vergeté-rimeux à la périphérie, se fissurant à maturité en bandes radiales disjointes.-
15/02/2015Inocybe asterosporaChair Description-brunâtre subconcolore ou pâle, à forte odeur spermatique.-
15/02/2015Inocybe asterosporaLames CouleurBrun, CrèmeBrun, Crème, Gris-
15/02/2015Inocybe asterosporaLames Description-échancrées, beige grisâtre puis gris brunâtre à brunes.-
15/02/2015Inocybe asterosporaStipe CouleurBrun, Crème, SaumonBrun, Crème, Orange, Saumon-
15/02/2015Inocybe asterosporaStipe Description-4-9 x 0,4-1,5 cm, fortement bulbeux-marginé, entièrement pruineux, roux orangé à ochracé brunâtre chaud, un peu strié sous la pruine.-
15/02/2015Inocybe asterosporaMicroscopie Description-8-12 x 6-10 µm, à 10-12 bosses très proéminentes, coniques, étalées en étoile. Pleurocystides 40-80 x 15-25 µm, fusoïdes ou en bouteille à base un peu ventrue, paroi 1-3 µm, plus épaisse au sommet, inerte à l'ammoniaque. Caulocystides présentes sur toute la longueur.-
15/02/2015Inocybe asterosporaEcologie Description-espèce courante en été-automne dans les bois et jardins, dans toute la zone tempérée de l'hémisphère Nord et en Australie, assez ubiquiste mais souvent sous feuillus-
15/02/2015Inocybe asterosporaPhoto-Inocybe_asterospora_1987_dg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Inocybe asterospora, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
14/02/2015Cortinarius scutulatusSynonymes-ss. K. & M., Moser etc., non sensu Henry 1938 (variété de C. torvus) ; Hydrocybe scutulata (Fr.) M.M. Moser 1953 ; Telamonia scutulata (Fr.) Wünsche 1977 ; C. evernius var. pseudoscutulatus R. Henry -
14/02/2015Cortinarius scutulatusNoms françaisCortinaire raphanoïdeCortinaire à mailles ; Cortinaire à odeur raphanoïde-
14/02/2015Cortinarius scutulatusRéférencesBK 5 365 ; Marchand 776Tartarat p. 167 ; BK 5 365 ; Marchand 776-
14/02/2015Cortinarius scutulatusChapeau Description-2-7 cm, obtusément conique à sphérique ou campanulé, mamelonné ou un peu déprimé au centre puis étalé, un peu ridé-fendillé; fortement hygrophane à revêtement d'abord brun lilacin à violet à l'état imbu, puis brun rougeâtre à partir du centre en se ressuyant. Voile blanc abondant à la marge, soyeux et simulant une bordure.-
14/02/2015Cortinarius scutulatusChair Description-ferme, violet foncé intense dans le pied, blanchâtre ochracé pâle dans le chapeau. Odeur de radis à la coupe.-
14/02/2015Cortinarius scutulatusLames Description-espacées et inégales, interveinées, adnées-émarginées, décurrentes par la dent, épaisses, larges de 8-10 mm, arrondies en arrière, violet foncé, puis brun lilacin, enfin brun cannelle. Arête amincie, blanche puis concolore.-
14/02/2015Cortinarius scutulatusStipe Description-6-10 x 0,5-1,5 cm, élancé et flexueux, égal ou non, creux sous le chapeau, plein ailleurs, sec et fibrilleux-strié en long; voile blanc annuliforme, complet et persistant, supère, et quelques zones incomplètes et étagées en dessous, fugaces. Cortine blanche fugace.-
14/02/2015Cortinarius scutulatusSpores Description-Sporée brun rouillé. Spores amygdaliformes, 9,5-11 x 5-6 µm.-
14/02/2015Cortinarius scutulatusEcologie Description-Peu fréquent et localisé, sous feuillus (bouleaux) et conifères (épicéas) montagnards, dans les sphaignes des hauts-marais.-
13/02/2015Cortinarius scutulatusPhoto-Cortinarius_scutulatus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius scutulatus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
13/02/2015Cortinarius variecolorPhoto-Cortinarius_variecolor_1990_thdg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Cortinarius variecolor, Copyright (c) 1990 Tsuguo Hongo & Daniel Guez
11/02/2015Pleurotus salmoneostramineusPhoto-Pleurotus_salmoneostramineus_2001_dg_3.jpgAjout photo type Macro pour Pleurotus salmoneostramineus, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
11/02/2015Cortinarius splendensPhoto-Cortinarius_splendens_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius splendens, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
11/02/2015Cortinarius splendensPhotoCortinarius_splendens_1986_dg_1.jpg-Suppression photo : saturé
11/02/2015Cortinarius splendensPhoto-Cortinarius_splendens_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius splendens, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
11/02/2015Cortinarius sodagnitusPhoto-Cortinarius_sodagnitus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius sodagnitus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
11/02/2015Cortinarius sodagnitusPhotoCortinarius_sodagnitus_1987_dg_1.jpg-Suppression photo : double
11/02/2015Cortinarius sodagnitusPhoto-Cortinarius_sodagnitus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius sodagnitus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
10/02/2015Cortinarius suillusPhoto-Cortinarius_suillus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius suillus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
10/02/2015Cortinarius suillusPhotoCortinarius_suillus_1986_dg_1.jpg-Suppression photo : dominante jaune
10/02/2015Cortinarius suillusPhoto-Cortinarius_suillus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius suillus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
10/02/2015Cortinarius sertipesPhoto-Cortinarius_sertipes_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius sertipes, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
10/02/2015Cortinarius sertipesPhotoCortinarius_sertipes_1987_dg_1.jpg-Suppression photo : dominante jaune
10/02/2015Cortinarius sertipesPhoto-Cortinarius_sertipes_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius sertipes, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
09/02/2015Pleurotus salmoneostramineusNoms françaisPleurote saumon et paillePleurote saumon et paille ; Pleurote couleur d'ibis crêté (トキイロヒラタケ)ethno-basionyme
09/02/2015Pleurotus salmoneostramineusCommentairesSynonyme de Pleurotus djamor (Rumph. ex Fr.) Boedijn, cette espèce est désormais considérée au sens (trop?) large, synonymisant P. eous aux lames blanches à crème (Inde, très thermophile), la var. roseus Corner à sporée blanche, etc. Note sur les récoltes japonaises: Vient sur saules, peupliers, charmes... ici fructifiant sur blessure d'un tronc de glycine. Facile à cultiver, cf. Japan Times 94-97 et G. Fourré et D. Guez in Bull. Féder. Mycol. Dauphiné-Savoie 129 p. 5-7, cette espèce n'est plus commercialisée au Japon en raison de sa couleur dissuasive et sa comestibilité douteuse. Synonyme de Pleurotus djamor (Rumph. ex Fr.) Boedijn, cette espèce est désormais considérée au sens (trop?) large, synonymisant P. eous aux lames blanches à crème (Inde, très thermophile), la var. roseus Corner à sporée blanche, etc. Note sur les récoltes japonaises: Vient sur saules, peupliers, charmes... ici fructifiant sur blessure d'un tronc de glycine. Facile à cultiver, cf. Japan Times 94-97 et G. Fourré et D. Guez in Bull. Féder. Mycol. Dauphiné-Savoie 129 p. 5-7, cette espèce n'est plus commercialisée au Japon en raison de sa couleur dissuasive et sa comestibilité douteuse.ethno-basionyme
09/02/2015Cortinarius triformisPhoto-Cortinarius_triformis_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius triformis fo. schaefferi, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
09/02/2015Cortinarius scaurotraganoidesPhoto-Cortinarius_scaurotraganoides_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius scaurotraganoides, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
09/02/2015Cortinarius scaurotraganoidesPhotoCortinarius_scaurotraganoides_1987_dg_1.jpg-Suppression photo : legende erreur
09/02/2015Cortinarius scaurotraganoidesPhoto-Cortinarius_scaurotraganoides_1987_dg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Cortinarius scaurotraganoides, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
09/02/2015Cortinarius saniosusPhoto-Cortinarius_saniosus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius saniosus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
08/02/2015Cortinarius rigidusPhoto-Cortinarius_rigidus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius rigidus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
08/02/2015Cortinarius nymphicolorPhoto-Cortinarius_nymphaecolor_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius nymphaecolor, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
07/02/2015Russula japonicaComestibilitéComestibleToxiquetoxicité confirmée
07/02/2015Russula japonicaSpores Descriptionsporée crème à ocre pâle. Spore ovoïdes 6-7(8) x 4,7-6 µm, ornées de verrues minuscules plus ou moins coniques, parfois reliées entre elles. Cheilocystides et pleurocystides 40-60 x 9-10 µm, cylindriques à fusiformes ou en massue, atténuées en pointe au sommet, très allongées, minces et mucronées. sporée crème à ocre pâle. Spore ovoïdes 6-7(8) x 4,7-6 µm, ornées de verrues minuscules plus ou moins coniques, parfois reliées entre elles. Cheilocystides et pleurocystides 40-60 x 9-10 µm, cylindriques à fusiformes ou en massue, atténuées en pointe au sommet, très allongées, minces et mucronées.toxicité confirmée
07/02/2015Cortinarius nigrosquamosusPhoto-Cortinarius_nigrosquamosus_1987_th_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius nigrosquamosus, Copyright (c) 1987 Tsuguo Hongo
07/02/2015Cortinarius nigrosquamosusPhoto-Cortinarius_nigrosquamosus_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius nigrosquamosus, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
07/02/2015Cortinarius obtususPhoto-Cortinarius_obtusus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius obtusus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
02/02/2015Cortinarius dibaphusPhoto-Cortinarius_dibaphus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius dibaphus var. nemorosus + NaOH, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
02/02/2015Cortinarius nemorensisPhoto-Cortinarius_nemorensis_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius nemorensis, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
02/02/2015Cortinarius nanceiensisPhoto-Cortinarius_nanceiensis_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius nanceiensis, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
02/02/2015Cortinarius nanceiensisPhotoCortinarius_nanceiensis_1987_dg_1.jpg-Suppression photo : double
02/02/2015Cortinarius nanceiensisPhoto-Cortinarius_nanceiensis_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius nanceiensis, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
02/02/2015Cortinarius lividoviolaceusPhoto-Cortinarius_lividoviolaceus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius lividoviolaceus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
01/02/2015Cortinarius lanigerPhoto-Cortinarius_laniger_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius laniger jeunes, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
01/02/2015Cortinarius mucosusPhoto-Cortinarius_mucosus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius mucosus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
01/02/2015Cortinarius largusSynonymesC. nemorensis (Fr.) J.E. Lange sensu auct. [nom mal aappliqué]C. nemorensis (Fr.) J.E. Lange sensu auct. [nom mal appliqué]-
01/02/2015Cortinarius largusSynonymes-C. nemorensis (Fr.) J.E. Lange sensu auct. [nom mal aappliqué]-
01/02/2015Cortinarius largusNoms françaisCortinaire large ; Cortinaire abondantCortinaire large ; Cortinaire largement répandu-
01/02/2015Cortinarius largusRéférencesBK 5 215 ; CD 1161 ; Bon p. 209 ; Marchand 683 ; Eyssartier et Roux p. 760CFP pl. D22 ; CFP pl. B59 (s.n. nemorensis) ; BK 5 215 ; CD 1161 ; Bon p. 209 ; Marchand 683 ; Eyssartier et Roux p. 760-
01/02/2015Cortinarius largusCommentairesTL4, Phénol = rouge, N4OH et bases = jaune, Gaïac + (vert sombre), le feu tricolore des 3 réactions est la signature chimique de l'espèce.TL4 = rouge, KOH = jaune, Gaïac +++ (bleu intense et sombre), le feu tricolore des 3 réactions est la signature chimique de l'espèce. Les exemplaires typiques de C. largus montrent un chapeau clair, plutôt lisse et visqueux, non fibrilleux. C. variecolor (surtout sous épicéas et sapins, mais qui vient parfois aussi sous feuillus) a un chapeau plus foncé et moins gluant. Quant à C. nemorensis, il est encore plus difficile à distinguer, surtout les formes pâles et inodores.-
01/02/2015Cortinarius largusChapeau Description6-12 cm, plan-convexe à marge enroulée, à cuticule soyeuse et brillante, viscidule, entièrement séparable, de couleur lilas violeté ou lilacin bleuté, décolorant à blanchâtre, puis envahie d'ochracé brunâtre à partir du centre, les bords restant lavés de lilacin et ornés de fibrilles radiales apprimées plus sombres.5-12 cm, globuleux et glutineux au début, puis plan-convexe à marge enroulée, à cuticule soyeuse et brillante, vite sèche, entièrement séparable, d'aspect fibreux et grossièrement veinulé ou grossièrement fibrilleux-inné, de couleur gris violacé, lilas violeté à lilacin bleuté, décolorant à blanchâtre, puis envahie de brun gris puis de brun alutacé ou d'ochracé brunâtre à partir du centre, les bords restant plus longtemps lavés de violacé.-
01/02/2015Cortinarius largusChair Descriptionlilacine, blanchissant à la coupe. Saveur douce et odeur faible à nulle. TL4, Phénol = rouge, N4OH et bases = jaune, Gaïac + (vert sombre).bleu violet pâle dans le chapeau, ailleurs lilacine, blanchissant à l'air mais brunissant au toucher et dans les blessures. Saveur douce et odeur faible, terreuse, à nulle. TL4 = rouge, NH4OH et KOH = jaune, Gaïac +++ (bleu intense sombre).-
01/02/2015Cortinarius largusLames Descriptionserrés, inégales, échancrées-adnées à arrondies au pied, pâles, lilas palissant.serrées, inégales, échancrées-adnées à arrondies au pied, gris violet pâle au début, à composante violette plus accentuée vers le bord du chapeau, palissant avec l'âge.-
01/02/2015Cortinarius largusStipe Description6-12 x 1-2 cm, subégal ou légèrement renflé-clavé à la base, subconcolore à la marge du chapeau, cortine blanc lilacin peu abondante, laissant une zone annuliforme.6-9(12) x 1-3 cm, subégal ou légèrement renflé-clavé à la base, subconcolore à la marge du chapeau, cortine pâle blanc lilacin peu abondante, laissant parfois une zone annuliforme.-
01/02/2015Cortinarius largusOdeur-Terre-
01/02/2015Cortinarius largusSpores Description10 x 6 µm, amygdaliformes9,5-11 x 5,5-6 µm, amygdaliformes, moyennement verruqueuse.-
01/02/2015Cortinarius largusEcologie DescriptionSous feuillus calcaires de la plaine, surtout Fagus (hêtres).Boréosylvatique, montagnard à sylvatique, fréquent sous hêtres, chênes charmes et châtaigniers, parfois aussi sous noisetiers, tilleuls et même sapins, d'où son nom Friesien de largus.-
01/02/2015Cortinarius largusPhoto-Cortinarius_largus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius largus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
01/02/2015Cortinarius largusNoms françaisCortinaire largeCortinaire large ; Cortinaire abondant-
01/02/2015Cortinarius largusCommentaires-TL4, Phénol = rouge, N4OH et bases = jaune, Gaïac + (vert sombre), le feu tricolore des 3 réactions est la signature chimique de l'espèce.-
01/02/2015Cortinarius largusChapeau Couleur-Brun, Mauve-
01/02/2015Cortinarius largusChapeau Visqueux-Oui ou Non-
01/02/2015Cortinarius largusChapeau Forme mamelonnée-Non-
01/02/2015Cortinarius largusChapeau Hygrophane-Non-
01/02/2015Cortinarius largusChapeau Description-6-12 cm, plan-convexe à marge enroulée, à cuticule soyeuse et brillante, viscidule, entièrement séparable, de couleur lilas violeté ou lilacin bleuté, décolorant à blanchâtre, puis envahie d'ochracé brunâtre à partir du centre, les bords restant lavés de lilacin et ornés de fibrilles radiales apprimées plus sombres.-
01/02/2015Cortinarius largusChair Saveur-Douce-
01/02/2015Cortinarius largusChair Description-lilacine, blanchissant à la coupe. Saveur douce et odeur faible à nulle. TL4, Phénol = rouge, N4OH et bases = jaune, Gaïac + (vert sombre).-
01/02/2015Cortinarius largusLames Couleur-Blanc, Bleu, Mauve-
01/02/2015Cortinarius largusLames Description-serrés, inégales, échancrées-adnées à arrondies au pied, pâles, lilas palissant.-
01/02/2015Cortinarius largusStipe Couleur-Brun, Gris, Mauve-
01/02/2015Cortinarius largusStipe Bulbeux/Marginé-Oui ou Non-
01/02/2015Cortinarius largusStipe Forme-Cylindracé-
01/02/2015Cortinarius largusStipe Visqueux-Non-
01/02/2015Cortinarius largusStipe Description-6-12 x 1-2 cm, subégal ou légèrement renflé-clavé à la base, subconcolore à la marge du chapeau, cortine blanc lilacin peu abondante, laissant une zone annuliforme.-
01/02/2015Cortinarius largusOdeurIode--
01/02/2015Cortinarius largusSpores Description-10 x 6 µm, amygdaliformes-
01/02/2015Cortinarius largusEcologie Description-Sous feuillus calcaires de la plaine, surtout Fagus (hêtres).-
01/02/2015Cortinarius largusPhotoCortinarius_largus_1986_dg_1.jpg-Suppression photo
01/02/2015Cortinarius largusPhoto-Cortinarius_largus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius largus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
31/01/2015Cortinarius hemitrichusPhoto-Cortinarius_hemitrichus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius hemitrichus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
31/01/2015Cortinarius helvolusSynonymes[e sphalmate [e sphalmate helveolus] ; C. helvolus var. bresadolae Henry & Ramm (1989) ; C. helvolus var. maximus (Fr.) Henry & Ramm (1989) ; C. helvolus var. medius (Fr.) Henry & Ramm (1989) ; Hydrocybe helvola (Bull.) Moser (1953) -
31/01/2015Cortinarius helvolusPhoto-Cortinarius_helvolus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius helvolus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
31/01/2015Cortinarius fulgensPhoto-Cortinarius_fulgens_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius fulgens, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
31/01/2015Cortinarius fulgensPhotoCortinarius_fulgens_1986_dg_1.jpg-Suppression photo
31/01/2015Cortinarius fulgensPhoto-Cortinarius_fulgens_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius fulgens, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
31/01/2015Cortinarius fulgensNoms français-Cortinaire fulgurant-
31/01/2015Cortinarius fulgensCommentaires-Pour Reumaux (A.C. pl. 94), la planche 1803 de Cetto s.n. "C. fulmineus", représente "une des meilleures photographies de Cortinarius fulgens avec certitude".-
31/01/2015Cortinarius fulmineusCommentaires-Pour Reumaux (A.C. pl. 94), la planche 1803 de Cetto s.n. "C. fulmineus", représente "une des meilleures photographies de Cortinarius fulgens avec certitude"-
31/01/2015Cortinarius elegantissimusPhoto-Cortinarius_elegantissimus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius elegantissimus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
30/01/2015Cortinarius cephalixusNoms françaisCortinaire à chapeau gluandCortinaire à chapeau gluant ; Cortinaire à chapeau visqueux-
30/01/2015Cortinarius cephalixusChapeau Description-3-8 cm, convexe, tronqué au sommet, puis étalé, plutôt irrégulier, à marge mince, lobée à ondulée, enroulée, opaque, avec une marginelle étroite et blanche. Cuticule séparable, mince mais tenace et visqueuse, luisante sur le sec, brun jaune à jaune olivâtre ou plus claire, fauve argilacé ou même jaune ochracé, ponctuée au disque de granules bruns, et de squamules plus sombres à la périphérie.-
30/01/2015Cortinarius cephalixusPhoto-Cortinarius_cephalixus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius cephalixus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
30/01/2015Cortinarius caesiocyaneusPhoto-Cortinarius_caesiocyaneus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius caesiocyaneus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
30/01/2015Cortinarius amoenolensPhoto-Cortinarius_amoenolens_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius amoenolens, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
29/01/2015Cortinarius alboviolaceusPhoto-Cortinarius_alboviolaceus_1985_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius alboviolaceus jeunes, Copyright (c) 1985 Daniel Guez
29/01/2015Cortinarius alnobetulaePhoto-Cortinarius_alnobetulae_1993_pm_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius alnobetulae, Copyright (c) 1993 Pierre-Arthur Moreau
28/01/2015Clathrus bicolumnatusComestibilité-Sans intérêt-
28/01/2015Clathrus bicolumnatusCarpophore Descriptionœufs semihypogés, sphériques au début, vite ovoïdes à coniques, 2-3 cm de diamètre, souvent appointis au sommet et munis d'arêtes saillantes, comme ceux des Mutinus et Lysurus; à la coupe, la gléba centrale est encadrée par les deux stipes déjà colorés de rouge orangé (couleur d'écrevisse ou de crabe cuit qui renforce la pertinence du nom japonais "pince de crabe").œufs semihypogés, sphériques au début, vite ovoïdes à coniques, 1-2(3) cm de diamètre, souvent appointis au sommet et munis d'arêtes saillantes, comme ceux des Mutinus et Lysurus; base munie d'une radicelle mycélienne blanche; à la coupe, la gléba centrale est encadrée par les deux stipes déjà colorés de rouge orangé (couleur d'écrevisse ou de crabe cuit qui renforce la pertinence du nom japonais "pince de crabe"). Le voile général se déchire sous la croissance de deux colonnes astipitées (!) rouge pâle à jaune orangé, divergeant à mi-hauteur, effilées au sommet où elles se courbent en arche, comme retenues et collées par la gléba. -
28/01/2015Clathrus bicolumnatusGléba Descriptionabondante, vert très sombre à noire, pincée sous le dôme des deux stipes réunis au sommet, fétide, désagréable.abondante, brun verdâtre sombre à noire, logée sous l'arche formée par le cintrage des deux pseudo-stipes réunis au sommet, à odeur fétide, désagréable.-
28/01/2015Clathrus bicolumnatusStipe Descriptiondouble stipe, en deux tiges séparées parallèles.pseudo-stipe formé de deux tiges séparées parallèles, 5-7 cm de hauteur, 0,5-1 cm d'épaisseur, rouge pâle à jaune orangé, parfois blanc dans le tiers inférieur.-
28/01/2015Clathrus bicolumnatusSpores Description-incolores, ellipsoïdes, 3,5-5 x 1,5-2 µm.-
28/01/2015Clathrus bicolumnatusEcologie Descriptionsaprophite des compost riches en écorce, endémique au Japon, importé à Hawaï où il semble suivre les résidences secondaires des japonais!Cette espèce saprophyte vient volontiers en troupe, en automne, dans les jardins, les bois clairs, sur sol riche en humus organique. Longtemps considéré endémique au Japon, puis signalé en Chine et en Amérique du Nord. Introduit récemment à Hawaï où il semble suivre les résidences secondaires des japonais! Kansai. Etage planitiaire (35 m). Plantation urbaine (Jardin, Parc), arbres ornementaux. Substrat: Terricole (à terre), humus riche et débris ligneux, sol amendé d'écorces etc..-
28/01/2015Clathrus bicolumnatusPhoto-Clathrus_bicolumnatus_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Clathrus bicolumnatus, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
28/01/2015Clathrus bicolumnatusPhoto-Clathrus_bicolumnatus_1990_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Clathrus bicolumnatus, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
28/01/2015Clathrus bicolumnatusPhoto-Clathrus_bicolumnatus_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Clathrus bicolumnatus, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
28/01/2015Lysurus mokusinPhoto-Lysurus_mokusin_1998_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lysurus mokusin, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
28/01/2015Calostoma japonicumPhoto-Calostoma_japonicum_1993_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Calostoma japonicum, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
27/01/2015Lysurus mokusinNoms françaisLanterne pékinoise ; Satyre de Mokusin ; Lysure (ツマミタケ) Lanterne pékinoise ; Satyre de Mokusin ; Champignon-pince (ツマミタケ) -
27/01/2015Lysurus mokusinPhoto-Lysurus_mokusin_1999_dg_3.jpgAjout photo type Macro pour Lysurus mokusin, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
27/01/2015Lysurus mokusinPhoto-Lysurus_mokusin_1999_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Lysurus mokusin, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
27/01/2015Lysurus mokusinSynonymes-L. mokusin f. sinensis Y. Kobayasi 1938 ; -
27/01/2015Lysurus mokusinNoms français-Lanterne pékinoise ; Satyre de Mokusin ; Lysure (ツマミタケ) -
27/01/2015Lysurus mokusinRéférencesCD 1751FAMM 11 p. &à-13 - OSTROVIDOW S. Un "Gasteromycetes" oriental rare en Europe : Lysurus mokusin (L.) Fr. ; CD 1751 ; IH2 897 ; DM 100 p. 265 ; IOH 515 ; Kinoko Field Book p. 277-
27/01/2015Lysurus mokusinCarpophore CouleurNoir, RougeNoir, Orange, Rouge-
27/01/2015Lysurus mokusinCarpophore Description-D'abord un œuf blanc, 1-3,5 cm, de consistance gélatineuse, d'où s'érige, à l'éclosion, une tige à base quadrangulaire ou polygonale portant 3-7 bras, le plus souvent réunis en pointe de flèche au sommet, parfois s'écartant à maturité, évoquant une pince à glace (à griffes), ou une lanterne de jardin, selon la cohésion des bras.-
27/01/2015Lysurus mokusinGléba Description-Gléba sur la face intérieure des bras. Nauséabonde (excréments, vase...)-
27/01/2015Lysurus mokusinStipe Description-10-15 x 1,5-2,5 cm, spongieux blanc rosâtre, rose saumoné à rouge orangé, formé de 4 à six côtés aux arêtes saillantes, plus ou moins rainurés longitudinalement. -
27/01/2015Lysurus mokusinSpores Description-4-6 x 2-2,5 µm, cylindriques, hyalines, lisses, à parois minces, avec appendice hilifère au SEM. Basides 7-8 spores.-
27/01/2015Lysurus mokusinEcologie Description-Espèce pénétropicale asiatique (Chine, Japon, Corée), introduite et invasive en Australie, Amériques, Europe... venant isolée ou éparse en juin (ou saison des pluies), ou tardif et en groupe sur chablis d'écorce, etc. Hélio-thermophile au bord des sentiers, bambouseraies, jardins etc. -
27/01/2015Lysurus mokusinPhoto-Lysurus_mokusin_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lysurus mokusin, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
26/01/2015Calvatia excipuliformisNoms françaisCalvatie en coupe ; Calvatie en forme de vase ; Calvatie élevée (セイタカノウタケ)Calvatie en coupe ; Lycoperdon en forme de vase ; Calvatie élevée (セイタカノウタケ)-
26/01/2015Calvatia excipuliformisRéférencesBon p. 305 ; CD 1730 ; Marchand 373 ; Eyssartier et Roux p. 1046Romagn.PA 323 ; Bon p. 305 ; CD 1730 ; Marchand 373 ; Eyssartier et Roux p. 1046-
26/01/2015Calvatia excipuliformisExopéridium Descriptiontrès variable, 4-8 cm de diamètre, 4-15 cm de haut, piriforme, à tête globuleuse ou comprimée aux pôles, d'un blanc crayeux puis brun jaunâtre, orné de granules et d'aiguillons convergents, assez mous et détersiles.très variable, 4-8 cm de diamètre, 4-15 cm de haut, piriforme, à tête assez courte, presque globuleuse un peu mamelonnée, ou comprimée aux pôles, d'un blanc crayeux ou un peu grisâtre, puis brun jaunâtre ou olivâtre sale dans la vétusté, orné dans la jeunesse de petites granules et d'aiguillons convergents, assez mous et détersiles. Se fend circulairement au sommet à maturité, détachant ainsi une sorte de calotte (qui justifie le genre distinct Calvatia).-
26/01/2015Calvatia excipuliformisGléba CouleurBlancBlanc, Jaune, Vert-
26/01/2015Calvatia excipuliformisGléba Description-blanche à la coupe, elle s'exfolie en une masse pulvérulente jaune verdâtre, puis olivâtre.-
26/01/2015Calvatia excipuliformisStipe DescriptionBase stérile en forme de stipe, cylindrique, en massue ou atténuée et ridée.Base stérile en forme de stipe très allongée, cylindrique, en massue ou atténuée et souvent marquée de gros sillons ou fossettes au point de raccordement avec la tête.-
26/01/2015Calvatia excipuliformisSpores Description-Brun olive, sphériques 4-6 µm, fortement verruqueuses, entremêlées de filaments.-
26/01/2015Calvatia excipuliformisEcologie Description-été-automne, dans les bois de feuillus et de conifères, en Europe et en Asie.-
26/01/2015Calvatia excipuliformisExopéridium Couleur-Blanc, Brun, Crème, Jauneà compléter
26/01/2015Calvatia excipuliformisExopéridium Description-très variable, 4-8 cm de diamètre, 4-15 cm de haut, piriforme, à tête globuleuse ou comprimée aux pôles, d'un blanc crayeux puis brun jaunâtre, orné de granules et d'aiguillons convergents, assez mous et détersiles.à compléter
26/01/2015Calvatia excipuliformisGléba Couleur-Blancà compléter
26/01/2015Calvatia excipuliformisStipe Description-Base stérile en forme de stipe, cylindrique, en massue ou atténuée et ridée.à compléter
26/01/2015Calvatia excipuliformisSynonymes-Lycoperdon excipuliforme (Scop.) Schaeff.(1774) ; Calvatia saccata (Vahl)(1794) ;à compléter
26/01/2015Calvatia excipuliformisNoms françaisCalvatie en coupeCalvatie en coupe ; Calvatie en forme de vase ; Calvatie élevée (セイタカノウタケ)à compléter
26/01/2015Calvatia excipuliformisPhoto-Calvatia_excipuliformis_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Calvatia excipuliformis, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
26/01/2015Clitocybe obsoletaPhoto-Clitocybe_obsoleta_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Clitocybe obsoleta, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
26/01/2015Clitocybe obsoletaPhotoClitocybe_obsoleta_1987_dg_1.jpg-Suppression photo : double
26/01/2015Clitocybe obsoletaPhoto-Clitocybe_obsoleta_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Clitocybe obsoleta, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesCommentairesRessemble un peu au Clitocybe nébuleux (et souvent confondu par les chercheurs peu expérimentés) par son chapeau grisâtre, sa consistance particulière, le pied en massue et l'odeur suave, un peu fruitée ou de jasmin, mais les lamelles du nébuleux restent blanchâtres ou à peine teintées de paille et le pied de C. clavipes est presque toujours incurvé à la base.Ressemble un peu au Clitocybe nébuleux (et souvent confondu par les chercheurs peu expérimentés) par son chapeau grisâtre, sa consistance particulière, le pied en massue et l'odeur suave, un peu fruitée ou de jasmin, mais les lamelles du nébuleux restent blanchâtres ou à peine teintées de paille et le pied de C. clavipes est presque toujours incurvé à la base. [Fiche complétée selon les descriptions de Georges Becker, Président honoraire de la Société Mycologique de France.]sources G. Becker
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesChapeau Descriptioncharnu, 5-10 cm de diamètre, convexe puis plan, à la fin en cône aplati, souvent avec un mamelon central, mou et comme rempli de coton. Sa surface est lisse, absolument glabre, de couleur cendrée plus ou moins foncée, beige à gris-jaune avec parfois des nuances olivâtres, plus foncé au centre et souvent tout blanc à la marge.Charnu et mou, 4-10 cm de diamètre, convexe puis plan, à la fin en cône aplati, souvent avec un mamelon central. Sa surface est lisse, absolument glabre, de couleur cendrée plus ou moins foncée, beige à gris-jaune avec parfois des nuances olivâtres, plus foncé au centre et souvent tout blanc à la marge.sources G. Becker
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesChair DescriptionBlanchâtre, molle et humide, hygrophane, spongieuse (comme remplie de coton et rendant de l'eau à la pression par temps humide) dans le pied. Saveur douce et odeur suave, qui évoque en plus faible, celle du jasmin. Blanchâtre, molle et humide, hygrophane, spongieuse (comme remplie de coton et rendant de l'eau à la pression par temps humide) dans le pied. Saveur douce et odeur suave, qui évoque en plus faible, celle du jasmin, ou fruitée, un peu de fleur de mandarinier.sources G. Becker
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesCommentairesRessemble un peu au Clitocybe nébuleux (et souvent confondue par les chercheurs peu expérimentés) par son chapeau grisâtre, sa consistance particulière, le pied en massue et l'odeur suave, un peu fruitée ou de jasmin, mais les lamelles du nébuleux restent blanchâtres ou à peine teintées de paille et le pied de C. clavipes est presque toujours incurvé à la base.Ressemble un peu au Clitocybe nébuleux (et souvent confondu par les chercheurs peu expérimentés) par son chapeau grisâtre, sa consistance particulière, le pied en massue et l'odeur suave, un peu fruitée ou de jasmin, mais les lamelles du nébuleux restent blanchâtres ou à peine teintées de paille et le pied de C. clavipes est presque toujours incurvé à la base.-
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesComestibilitéSans intérêtComestible-
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesRéférencesCD 274 ; DM hs 4 p. 34 ; Ph p. 49 ; Bon p. 135 ; Eyssartier et Roux p. 578Becker p. 149 ; Bon p. 135 ; CD 274 ; DM HS 4 p. 34 ; Phillips p. 49 ; Eyssartier et Roux p. 578-
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesCommentairesChapeau grisâtre, consistance particulière, pied en massue et odeur agréable, un peu fruitée.Ressemble un peu au Clitocybe nébuleux (et souvent confondue par les chercheurs peu expérimentés) par son chapeau grisâtre, sa consistance particulière, le pied en massue et l'odeur suave, un peu fruitée ou de jasmin, mais les lamelles du nébuleux restent blanchâtres ou à peine teintées de paille et le pied de C. clavipes est presque toujours incurvé à la base.-
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesChapeau Description2,5-9 cm, mou et comme rempli de coton, beige à gris-jaune avec parfois des nuances olivâtres.charnu, 5-10 cm de diamètre, convexe puis plan, à la fin en cône aplati, souvent avec un mamelon central, mou et comme rempli de coton. Sa surface est lisse, absolument glabre, de couleur cendrée plus ou moins foncée, beige à gris-jaune avec parfois des nuances olivâtres, plus foncé au centre et souvent tout blanc à la marge.-
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesLames DescriptionTrès décurrentes, épaisses et molles, blanches puis crème jaunâtre.Longuement décurrentes, pas très larges, peu serrées pour un Clitocybe, épaisses et molles, blanches puis crème jaunâtre à jaune citrin pâle.-
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesChair DescriptionBlanchâtre, molle et spongieuse (comme remplie de coton) dans le pied. Saveur douce. Blanchâtre, molle et humide, hygrophane, spongieuse (comme remplie de coton et rendant de l'eau à la pression par temps humide) dans le pied. Saveur douce et odeur suave, qui évoque en plus faible, celle du jasmin. -
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesStipe CouleurBrunBrun, Gris-
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesStipe Description2-7 X 0?4-2 cm, crème à plus ou moins concolore au chapeau, à base renflée en massue.2-7 X 0,4-2 cm, crème à plus ou moins concolore au chapeau, à base renflée en massue et typiquement incurvé à la base, de sorte que sa tige n'est pas immédiatement verticale.-
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesSpores Description7-10 x 4-5, ovoïdes ou larmiformes, légèrement cyanophiles.Sporée blanchâtre. Spores hyalines, 07-1 x 4-5, ovoïdes à pruniformes ou larmiformes, lisses, à contenu granuleux, non amyloïdes et légèrement cyanophiles. Pas commune partout mais parfois en quantités considérables.-
26/01/2015Ampulloclitocybe clavipesEcologie DescriptionSous feuillus et sous conifèresOn trouve cette espèce aussi bien sous les feuillus que sous les conifères, souvent dans les bois pierreux et secs.-
25/01/2015Peziza vesiculosaPhoto-Peziza_vesiculosa_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Peziza vesiculosa, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
25/01/2015Peziza echinosporaPhoto-Peziza_echinospora_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Peziza echinospora, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
25/01/2015Peziza applanataPhoto-Peziza_applanata_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Peziza applanata, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
25/01/2015Dacryopinax spathulariaPhoto-Dacryopinax_spathularia_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Dacryopinax spathularia, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
25/01/2015Pholiota aurivellaPhoto-Pholiota_aurivella_1997_mi_1.jpgAjout photo type Macro pour Pholiota aurivella, Copyright (c) 1997 Masana Izawa
24/01/2015Pholiota tuberculosaPhoto-Pholiota_tuberculosa_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Pholiota tuberculosa, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
24/01/2015Pholiota tuberculosaPhotoPholiota_tuberculosa_1986_dg_1.jpg-Suppression photo : double
24/01/2015Pholiota tuberculosaPhoto-Pholiota_tuberculosa_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Pholiota tuberculosa, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
24/01/2015Pholiota squarrosoidesPhoto-Pholiota_squarrosoides_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Pholiota squarrosoides, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
24/01/2015Pholiota highlandensisPhoto-Pholiota_highlandensis_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Pholiota highlandensis, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
23/01/2015Panaeolus semiovatusPhoto-Panaeolus_semiovatus_1985_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Panaeolus semiovatus, Copyright (c) 1985 Daniel Guez
23/01/2015Agaricus bresadolanusCommentairesOdeur fongique.Espèce indigeste, donnant des diarrhées.-
23/01/2015Agaricus bresadolanusChair Descriptionblanche, se teintant de brun rosâtre sale au sommet du chapeau; et de rose orangé pâle à la base du pied. Odeur faible fongique ou quasi nulle.blanche, se teintant de brun rosâtre sale au sommet du chapeau; et de rose orangé pâle à la base du pied. Odeur faible fongique ou quasi nulle. Réaction de Schaeffer négative.-
23/01/2015Agaricus bresadolanusEcologie Description-Assez commun de septembre à novembre, souvent en ville, dans l'herbe des promenades, les pelouses des parcs, mais aussi les bois de feuillus (robiniers), voire de conifères.-
23/01/2015Agaricus bresadolanusRéférencesEssette pl. 22 ; Bon p. 275 ; CD 721 ; CD 731 (romagnesii) ; Eyssartier et Roux p. 272Essette Psalliotes pl. 22 ; Bon p. 275 ; CD 721 ; CD 731 (romagnesii) ; Eyssartier et Roux p. 272-
23/01/2015Agaricus bresadolanusChapeau DescriptionCharnu et épais, 4-6(12) cm de diamètre, globuleux, convexe à marge un peu enroulée, bientôt étalé à centre aplati. Sous-cuticule blanche ou blanchâtre, mouchetée de squamules discales brun-noirâtre, souvent étalées en étoile, la marge étant fibrilleuse et pâle, un peu brunissanteCharnu et épais, 4-6(12) cm de diamètre, globuleux, convexe à marge un peu enroulée, bientôt étalé à centre aplati. Sous-cuticule blanche ou blanchâtre, mouchetée de squamules discales brun-noirâtre, souvent étalées en étoile, la marge étant fibrilleuse et pâle, un peu brunissante.-
23/01/2015Agaricus bresadolanusLames Descriptionassez serrées, très inégales, assez larges mais peu ventrues; d'abord d'un joli rose-chair vif, puis brun pourpré rosâtre pâle, assez serrées, très inégales, assez larges mais peu ventrues; d'abord d'un joli rose-chair vif, puis brun pourpré rosâtre pâle, enfin brun sombre, à arête pâle.-
23/01/2015Agaricus bresadolanusChair Description-blanche, se teintant de brun rosâtre sale au sommet du chapeau; et de rose orangé pâle à la base du pied. Odeur faible fongique ou quasi nulle.-
23/01/2015Agaricus bresadolanusStipe Description-robuste, 6-10(12) x 0,5-1,5(2) cm, cylindrique, souvent épaissi en massue à bulbeux à la base, à long cordonnet mycélien radiciforme blanc; plein puis fistuleux, blanc et lisse au début, se colore de brun-bistre clair vers la base. Parfois rosâtre au-dessus de l'anneau, et squamulo-fibrilleux au-dessous. Anneau membraneux peu ample, 4-5 mm, juponnant, mince, blanc et soyeux, fragile et fugace, strié sur la face supérieure.-
23/01/2015Agaricus bresadolanusSpores Description-ovales ellipsoïdes, 7-8 x 4-5 µm. Basides tétrasporiques 25-30 x 7,5-8,5 µm. Cellules marginales claviformes ou cylindriques, flexueuses, plus ou moins cloisonnées, 40-50 x 8-15 µm.-
23/01/2015Agaricus bresadolanusSynonymesromagnesiiPsalliota radicata Vittadini sensu Bresadola, Essette, Romagnesi etc. ; Agaricus romagnesii Wasser-
23/01/2015Agaricus bresadolanusNoms françaisAgaric des robiniers ; Agaric de Bresadola ; Agaric radicantPsalliote radicante ; Agaric des robiniers ; Agaric de Bresadola ; Agaric de Romagnesi-
23/01/2015Agaricus bresadolanusRéférencesBon p. 275 ; CD 721 ; CD 731 (romagnesii) ; Eyssartier et Roux p. 272Essette pl. 22 ; Bon p. 275 ; CD 721 ; CD 731 (romagnesii) ; Eyssartier et Roux p. 272-
23/01/2015Agaricus bresadolanusChapeau Description-Charnu et épais, 4-6(12) cm de diamètre, globuleux, convexe à marge un peu enroulée, bientôt étalé à centre aplati. Sous-cuticule blanche ou blanchâtre, mouchetée de squamules discales brun-noirâtre, souvent étalées en étoile, la marge étant fibrilleuse et pâle, un peu brunissante-
23/01/2015Agaricus bresadolanusLames Description-assez serrées, très inégales, assez larges mais peu ventrues; d'abord d'un joli rose-chair vif, puis brun pourpré rosâtre pâle, -
23/01/2015Agaricus bresadolanusStipe AnneauNonOui-
23/01/2015Coprinellus domesticusPhoto-Coprinellus_domesticus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Coprinellus domesticus Ozonium, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
23/01/2015Agaricus bresadolanusPhoto-Agaricus_bresadolanus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Agaricus bresadolanus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
21/01/2015Lyophyllum decastesPhoto-Lyophyllum_decastes_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lyophyllum decastes, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
21/01/2015Lyophyllum decastesPhotoLyophyllum_decastes_1999_dg_1.jpg-Suppression photo : double
21/01/2015Lyophyllum decastesPhoto-Lyophyllum_decastes_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lyophyllum decastes, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
21/01/2015Mutinus elegansSynonymes-Corynites elegans Montagne 1856-
21/01/2015Mutinus elegansNoms français-Phalle élégant ; Mutin élégant (タヌキノベニエフデ)-
21/01/2015Mutinus elegansRéférencesCD 1748 ; Marchand 378 ; Guez D. et Nagasawa E. (2000), Trans. mycol. Soc. Japan 41 p.75-78 ; Eyssartier et Roux p. 1052CD 1748 ; Marchand 378 ; TMSJ 41 p. 75-78 Guez D. et Nagasawa E. (2000) ; Eyssartier et Roux p. 1052-
21/01/2015Mutinus elegansCarpophore Description-dressé, droit comme un i, ou plus ou moins courbé, à la fin souvent plié en deux; œuf blanc ou partiellement taché de brun, de la taille d'un œuf de pigeon (1,5-4 x 1-2,7 cm), non bosselé mais bientôt allongé par l'érection interne avant l'éclosion.-
21/01/2015Mutinus elegansGléba DescriptionComme chez toutes les espèces de l'ordre des Phallales, le stipe porte à son sommet une gléba de couleur vert wagon, mucilagineuse et fétide.Comme chez toutes les espèces de l'ordre des Phallales, le stipe porte à son sommet une gléba de couleur vert wagon, ointe sur 4-5 cm de la partie fertile, mucilagineuse et fétide, mais non cadavérique.-
21/01/2015Mutinus elegansStipe CouleurBlanc, Crème, OrangeBlanc, Crème, Orange, Rouge-
21/01/2015Mutinus elegansStipe Description9 à 19 (22) cm de haut sur 1 à 2,5 (3) cm d'épaisseur.9-19(22) cm de haut sur 1-2,5(3) cm de diamètre, de forme très variable, souvent atténué à partir de la mi-hauteur en col de bouteille, toujours appointie et tronqué au sommet, le méat du manchon apical varie en diamètre de 0,4-0,8cm.-
21/01/2015Mutinus elegansSpores DescriptionBasides 15 - 25 x 4 - 6 µm, portant un bouquet de 7-8 spores. Spore : 4 à 5 µm de long sur 1,8 à 2 µm de large Stérigmates de 1,5 µm de long. Basides 15-25 x 4-6 µm, portant un bouquet de 7-8 spores. Spore : 4-5 µm de long sur 1,8-2 µm de large Stérigmates de 1,5 µm de long. -
21/01/2015Mutinus elegansPhoto-Mutinus_elegans_1999_dg_5.jpgAjout photo type Mixte pour Mutinus elegans, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
20/01/2015Leucoagaricus rubrotinctusAuteur(Peck.) Singer 1948(Peck) Singer 1948, Sydowia 2: 36-
20/01/2015Leucoagaricus rubrotinctusSynonymes-Lepiota rubrotincta Peck 1891, Ann. Rep. N. Y. St. Mus. 44 : 179 ; Lepiota japonica Kawam. 1954, Icones of Japanese Fungi 4 : 175, fig. 455 (nom. nud.) ; Lepiota japonica Kawam. ex Hongo 1959, Mem. Shiga Univ.no 9 : 75 , fig. 2, A-C (1959), [sp. nov.] -
20/01/2015Leucoagaricus rubrotinctusNoms français-Lépiote teintée de rouge (アカキツネガサ)-
20/01/2015Leucoagaricus rubrotinctusRéférencesDM Hors Série N° 3 p. 100DM Hors Série N° 3 p. 100 ; FAMM 21 p.1, 19-23 ; IH1 251 ; IOH p. 184-
20/01/2015Leucoagaricus rubrotinctusLames Descriptionblanches à arêtes floconneuses parfois roséeblanches à arêtes floconneuses parfois rosées-
20/01/2015Leucoagaricus rubrotinctusSpores Description7-9 x 4.5-6 µm , ovoïdes à sommet plus ou moins étiré7-9 x 4.5-6 µm, ovoïdes à sommet plus ou moins étiré-
20/01/2015Leucoagaricus rubrotinctusEcologie DescriptionThermophileThermophile, lieux riches en humus dans les bois, jardins, bambouseraie, bord des routes. Amérique du Nord, Japon, littoral méditerranéen ? -
20/01/2015Leucoagaricus rubrotinctusPhoto-Leucoagaricus_rubrotinctus_1998_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Leucoagaricus rubrotinctus, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
19/01/2015Phaeolepiota aureaPhoto-Phaeolepiota_aurea_1996_mi_1.jpgAjout photo type Macro pour Phaeolepiota aurea, Copyright (c) 1996 Masana Izawa
19/01/2015Phaeolepiota aureaPhoto-Phaeolepiota_aurea_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phaeolepiota aurea, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
18/01/2015Neocudoniella albicepsPhoto-Neocudoniella_albiceps_1989_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Neocudoniella albiceps, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
18/01/2015Neocudoniella albicepsPhoto-Neocudoniella_albiceps_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Neocudoniella albiceps, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
17/01/2015Ascocoryne sarcoidesPhoto-Ascocoryne_sarcoides_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Ascocoryne sarcoides, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
17/01/2015Penicilliopsis clavariiformisRéférences-Mycologia 94 p. 539-544 Hsieh, Huei-Mei. & Ju, Yu-Ming, 2002 : Penicilliopsis pseudocordyceps, the holomorph of Pseudocordyceps seminicola, and notes on Penicilliopsis clavarieformis. -
17/01/2015Penicilliopsis clavariiformisCommentairesA completer.A compléter.-
17/01/2015Penicilliopsis clavariiformisChapeau DescriptionStroma d'environ 20-30 mm de long ,chatoyant,sulfureux.Stroma d'environ 20-30 mm de long, chatoyant,sulfureux.-
17/01/2015Penicilliopsis clavariiformisEcologie Description-parasite les noyaux de kaki (Diospyros kaki. Thunb.)-
17/01/2015Penicilliopsis clavariiformisPhoto-Penicilliopsis_clavariiformis_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Penicilliopsis clavariiformis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
16/01/2015Astraeus hygrometricusPhoto-Astraeus_hygrometricus_1991_mk_1.jpgAjout photo type Dessin pour Astraeus hygrometricus forme bigarrée, Copyright (c) 1991 Michiko Kobayashi
16/01/2015Tolypocladium capitatumRéférencesBon p. 336 ; BK 1 309Bon p. 336 ; BK 1 309 ; Mycologia 80(2) p. 217-222 (1988)-
16/01/2015Tolypocladium capitatumCommentaires-Bien que la synonymie avec C. canadensis semble admise par Mycobank et de nombreux auteurs, la discussion reste ouverte cf. "Typification of Cordyceps canadensis and C. capitata, and a new species C. longisegmentis" Ginns, J., Mycologia, Volume 80, Issue 2, p.217-222 (1988) téléchargeable ici : http://cordyceps.us/files/Ginns%201988.pdf-
16/01/2015Tolypocladium capitatumPhoto-Elaphocordyceps_capitata_1994_sytk_1.jpgAjout photo type Mixte pour Elaphocordyceps capitata, Copyright (c) 1994 S. Yoshimi & T. Kagami
16/01/2015Tolypocladium capitatumSynonymesCordyceps capitataCordyceps capitata ; Torrubia capitata (Holmsk.) Cooke ; ? Cordyceps canadensis Ellis & Everh. 1898-
16/01/2015Tolypocladium capitatumNoms français-Cordyceps capité, Cordyceps du Canada (ヌメリタンポタケ)-
16/01/2015Tolypocladium capitatumCarpophore Couleur-Brun, Jaune, Noir-
16/01/2015Tolypocladium capitatumCarpophore Description-Comme le Cordyceps militaire, se présente comme un stipe vertical brun-jaune à ocre, assez épais, surmonté d'une tête fertile globuleuse, subsphérique (inde nomen) jaune brunâtre à noir bleuté, visqueuse par l'humidité, à la fin ponctuée par les ouvertures des périthèces.-
16/01/2015Tolypocladium capitatumStipe Description-vertical, brun-jaune à ocre, assez épais.-
16/01/2015Tolypocladium capitatumSpores Description-Spores cylindriques, 60 x 6 µm, se fragmentant en une multitude de segments. -
16/01/2015Tolypocladium capitatumEcologie DescriptionEn parasites sur Elaphomyces.émerge du sol dans les forêts de conifères où elle parasite la Truffe des cerfs (Elaphomyces granulatus Fr.) qu'il est facile de déterrer à sa base.-
16/01/2015Strobilurus ohshimaeNoms françaisCollybie des branches de cryptoméria (スギエダタアケ)Collybie des branches de cryptoméria (スギエダタケ)-
16/01/2015Strobilurus ohshimaeChapeau Description1-5 cm, hémisphérique puis plan avec le centre plus ou moins déprimé; surface non visqueuse malgré un toucher gras par temps humide, finement duveteuse, blanchâtre à teintée de grisâtre au centre. 1-5 cm, hémisphérique puis plan avec le centre plus ou moins déprimé; surface non visqueuse (seulement un "toucher gras" par temps humide), finement duveteuse, blanchâtre, teintée de grisâtre au centre. -
16/01/2015Strobilurus ohshimaeLames Descriptionblanches, assez serrées à subespacées (35 L, 35 Ll, 70 Lll), 1- 4mm de large.blanches, assez serrées à subespacées (35 L, 35 Ll, 70 Lll), 1-4 mm de largeur.-
15/01/2015Collybia neofusipesLames Descriptionadnées-sécédantes, 6-9 mm de largeur, blanches puis tachées de rosâtre, extrêmement serrées-subcomprimées (L=40).adnées-sécédentes, 6-9 mm de largeur, blanches puis tachées de rosâtre, extrêmement serrées-subcomprimées (L=40).typo
15/01/2015Collybia neofusipesSpores Description4,5-7 x 2,5-3,5 µm, hyalines, ovoïdes, apiculées, lisses, non myloïdes.4,5-7 x 2,5-3,5 µm, hyalines, ovoïdes, apiculées, lisses, non amyloïdes.typo
15/01/2015Collybia neofusipesEcologie Descriptionsolitaire ou en touffe au pied des conifères, surtout Pinus densiflora. Japon, Corée?solitaire ou en touffe au pied des conifères, surtout Pinus densiflora. Japon, Corée.typo
15/01/2015Strobilurus ohshimaeChapeau DescriptionChapeau blanc givré au toucher gras par l'humidité, souvent taché de grisâtre au disque. 1-5 cm, hémisphérique puis plan avec le centre plus ou moins déprimé; surface non visqueuse malgré un toucher gras par temps humide, finement duveteuse, blanchâtre à teintée de grisâtre au centre. précisions et correction diverses
15/01/2015Strobilurus ohshimaeLames Descriptionblanches, assez serrées (35 L, 35 Ll, 70 Lll), 1- 4mm de large. blanches, assez serrées à subespacées (35 L, 35 Ll, 70 Lll), 1- 4mm de large.précisions et correction diverses
15/01/2015Strobilurus ohshimaeStipe CouleurBlanc, JauneBlanc, Brun, Jaune, Orangeprécisions et correction diverses
15/01/2015Strobilurus ohshimaeStipe DescriptionStipe mince, creux mais coriace, torve, blanc sous les lames mais jaune de miel ailleurs, appointi à la base.3-7 cm x 1,5-3 mm, mince, creux mais tenace, coudé et radicant à la base, duveteux, blanchâtre sous les lames mais jaune de miel à jaune orangé brunâtre ailleurs.précisions et correction diverses
15/01/2015Strobilurus ohshimaeSpores Descriptionellipsoïdes, 4,5-6,5 x 2-3 µm; Cheilocystides utriformes + - arrondies, 32-50 x 15-29 µm, à pédicelle étroit. Piléocystides 80-230 x 10 x 29 オm.ellipsoïdes, 4,5-6,5 x 2-3 µm; Cheilocystides utriformes + - arrondies, 32-50 x 15-29 µm, à pédicelle étroit. Piléocystides 80-230 x 10 x 29 µm.précisions et correction diverses
14/01/2015Strobilurus ohshimaePhoto-Strobilurus_ohshimae_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Strobilurus ohshimae, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
13/01/2015Collybia neofusipesPhoto-Gymnopus_neofusipes_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Gymnopus neofusipes, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
13/01/2015Collybia cirrhataPhoto-Collybia_cirrata_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Collybia cirrata, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
12/01/2015Gerronema nemoralePhoto-Gerronema_nemorale_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Gerronema nemorale, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
12/01/2015Gerronema nemoralePhotoGerronema_nemorale_1989_dg_1.jpg-Suppression photo : double
12/01/2015Gerronema nemoralePhoto-Gerronema_nemorale_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Gerronema nemorale, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
11/01/2015Mycena roseocandidaPhoto-Mycena_roseocandida_1990_thdg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Mycena roseocandida, Copyright (c) 1990 T. Hongo & D. Guez
10/01/2015Mycena alphitophoraPhoto-Mycena_alphitophora_1989_thdg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Mycena alphitophora, Copyright (c) 1989 T. Hongo & D. Guez
10/01/2015Trametes vernicipesPhoto-Microporus_vernicipes_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Microporus vernicipes, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
09/01/2015Laccaria vinaceoavellaneaPhoto-Laccaria_vinaceoavellanea_1988_thdg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Laccaria vinaceoavellanea, Copyright (c) 1988 T. Hongo & D. Guez
09/01/2015Laccaria bicolorCommentairesFacile à distinguer du clitocybe laqué, du laccaire farineux et de Laccaria laccata var.pseudobicolor, par sa base du pied violette. C'est un champignon ectomycorhizien caractérisé par sa souplesse d'adaption vivant en symbiose avec la plupart des arbres de nos forêts (notamment le sapin de Douglas, première espèce de reboisement en France); Facile à distinguer du clitocybe laqué, du laccaire farineux et de Laccaria laccata var. pseudobicolor, par sa base du pied violette. C'est un champignon ecto-mycorhizien caractérisé par sa souplesse d'adaptation, vivant en symbiose avec la plupart des arbres, notamment le sapin de Douglas, première espèce de reboisement en France.-
09/01/2015Laccaria bicolorChapeau Description2,5-6 cm, hémisphérique, bientôt convexe, puis étalé, avec presque toujours un ombilic au centre; revêtement hygrophane brun-rose à ocre, glabre à finement duveteux, la marge souvent striée et incurvée, très ondulée en vieillissant.2,5-6 cm, hémisphérique, bientôt convexe, puis étalé, avec presque toujours un ombilic au centre; revêtement hygrophane (de saturation très variable): brun-rose, carné brique à ocre, pâlissant, glabre à finement duveteux, la marge souvent striée et incurvée, très ondulée en vieillissant.-
09/01/2015Laccaria bicolorLames Descriptionadnées-échancrées, espacées, intercalées de nombreuses lamelles et lamellules, de couleur lilas clair ou rose lilacin, parfois plus foncées jusqu'au violetadnées à sub-échancrées, espacées, intercalées de nombreuses lamelles et lamellules, de couleur lilas clair ou rose lilacin, parfois plus foncées jusqu'au rouge violeté.-
09/01/2015Laccaria bicolorStipe Description7,5-11 x 0,5-0,8 cm, souvent flexueux ou tordu, fibreux, concolore ou un peu plus foncé que le chapeau, la base teintée de lilas à violet.7,5-11(-15!) x 0,5-0,8 cm, souvent flexueux ou tordu, fibreux, concolore ou un peu plus foncé que le chapeau, la base teintée de lilas à violet pâle et mycélium basal violet.-
09/01/2015Laccaria bicolorSpores Descriptionsubsphériques, 6,8-8,8 x 6,5-7,5 µm, orné d'épines de 0,8-1,2 µm de hauteur?subsphériques, 6,8-8,8 x 6,5-7,5 µm, orné d'épines de 0,8-1,2 µm de hauteur.-
09/01/2015Laccaria bicolorSynonymes-Laccaria bicolor var. pseudobicolor (Bon) Pázmány, Notulae Botanicae, Horti Agrobotanici Cluj-Napoca 20-21: 14 (1991) [1990-1991] ; Laccaria laccata var. bicolor Maire, Publ. Inst. Bot. Barcelona 3 (4): 84 (1937) ; Laccaria laccata var. pseudobicolor Bon, Documents Mycologiques 12 (46): 42 (1982) ; Laccaria proxima var. bicolor (Maire) Kühner & Romagn., Flore Analytique des Champ. Supér. (Paris): 131 (1953)-
09/01/2015Laccaria bicolorRéférencesCD 353 ; Bon p. 147 ; Eyssartier et Roux p. 534Orton PD. (1960). "New check list of British Agarics and Boleti, part III (keys to Crepidotus, Deconica, Flocculina, Hygrophorus, Naucoria, Pluteus and Volvaria)". Transactions of the British Mycological Society 43 (2): 159–439 (cf. p. 177) ; CD 353 ; Bon p. 147 ; IH1 75 ; IOH p. 60 ; HN Aomori p. 33 ; Eyssartier et Roux p. 534-
09/01/2015Laccaria bicolorCommentaires-Facile à distinguer du clitocybe laqué, du laccaire farineux et de Laccaria laccata var.pseudobicolor, par sa base du pied violette. C'est un champignon ectomycorhizien caractérisé par sa souplesse d'adaption vivant en symbiose avec la plupart des arbres de nos forêts (notamment le sapin de Douglas, première espèce de reboisement en France); -
09/01/2015Laccaria bicolorChapeau Couleur-Brun, Jaune-
09/01/2015Laccaria bicolorChapeau Description-2,5-6 cm, hémisphérique, bientôt convexe, puis étalé, avec presque toujours un ombilic au centre; revêtement hygrophane brun-rose à ocre, glabre à finement duveteux, la marge souvent striée et incurvée, très ondulée en vieillissant.-
09/01/2015Laccaria bicolorLames Couleur-Mauve-
09/01/2015Laccaria bicolorLames Description-adnées-échancrées, espacées, intercalées de nombreuses lamelles et lamellules, de couleur lilas clair ou rose lilacin, parfois plus foncées jusqu'au violet-
09/01/2015Laccaria bicolorChair Description-chair mince, ocre rosâtre, saveur douce, odeur faible, parfois légèrement fruitée.-
09/01/2015Laccaria bicolorStipe Couleur-Brun, Jaune, Mauve-
09/01/2015Laccaria bicolorStipe Anneau-Non-
09/01/2015Laccaria bicolorStipe Description-7,5-11 x 0,5-0,8 cm, souvent flexueux ou tordu, fibreux, concolore ou un peu plus foncé que le chapeau, la base teintée de lilas à violet.-
09/01/2015Laccaria bicolorOdeur-Fruitée-
09/01/2015Laccaria bicolorSpores Description-subsphériques, 6,8-8,8 x 6,5-7,5 µm, orné d'épines de 0,8-1,2 µm de hauteur?-
09/01/2015Laccaria bicolorEcologie Description-Dans toute la zone boréale tempérée d’Europe, Amérique et Japon, par petits groupes disséminés, du début de l'été à la fin de l'automne, dans les lisières et clairières des bois de conifères et de feuillus avec une préférence pour les hêtres et les pins, mais aussi l'ammoniaque des lieux fumés (urine, cadavres enfouis).-
07/01/2015Laccaria bicolorPhoto-Laccaria_bicolor_1993_thdg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Laccaria bicolor, Copyright (c) 1993 Tsuguo Hongo & Daniel Guez
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisNoms françaisHygrophore inocybe (コクヤマムクゲタケ)Hygrophore inocybe (オクヤマムクゲタケ)-
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisChapeau Description3-8 cm, conique campanulé et obtusément omboné, puis plan à peu déprimé, revêtement sec, entièrement couvert de mèches fibrilleuses beige, gris foncé à gris brunâtre, sur fond pâle. Marge incurvée, appendiculée.4-8,5 cm, conique campanulé et obtusément omboné, puis plan à peu déprimé, revêtement sec, entièrement couvert de mèches fibrilleuses beige, gris foncé à gris brunâtre, sur fond pâle. Marge incurvée, appendiculée.-
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisChair Descriptionassez épaisse, tendre, blanchâtre, grisâtre sous la cuticule. Saveur douce, odeur nulle.assez épaisse, tendre, blanchâtre, immuable, grisâtre sous la cuticule. Saveur douce, odeur nulle.-
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisLames Descriptioninégales, arquées à subdécurrentes, épaisses et lardacées, subespacées, blanchâtre à reflets beige; arête entière.inégales, arquées à subdécurrentes, large 8-14 mm épaisses et lardacées, subespacées, blanchâtre à reflets beige; arête entière. Sporée blanchâtre.-
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisStipe Description3-7 x 0,5-1,5, plein, subégal, strié de fibrilles brun grisâtre, contexte blanchâtre. Vestige de voile partiel en trace annuliforme.4-7 x 0,6-1,5, plein, subégal, strié de fibrilles brun grisâtre, contexte blanchâtre. Vestige de voile partiel en trace annuliforme.-
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisSpores Description8-13 x 5,5-7,5 µm, ellipsoïdes, lisses, non amyloïdes.10-11 x 6-8 µm, hyalines, ellipsoïdes, lisses, non amyloïdes.-
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisPhoto-Hygrophorus_inocybiformis_1990_tt_3.jpgAjout photo type Mixte pour Hygrophorus inocybiformis, Copyright (c) 1990 Tetsumaru Tsukada
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisPhotoHygrophorus_inocybiformis_1990_tt_3.jpg-Suppression photo
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisPhoto-Hygrophorus_inocybiformis_1990_tt_3.jpgAjout photo type Macro pour Hygrophorus inocybiformis, Copyright (c) 1990 Tetsumaru Tsukada
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisPhoto-Hygrophorus_inocybiformis_1990_tt_2.jpgAjout photo type Macro pour Hygrophorus inocybiformis, Copyright (c) 1990 Tetsumaru Tsukada
05/01/2015Hygrophorus inocybiformisPhoto-Hygrophorus_inocybiformis_1990_tt_1.jpgAjout photo type Macro pour Hygrophorus inocybiformis, Copyright (c) 1990 Tetsumaru Tsukada
04/01/2015Tetrapyrgos nigripesSynonymesTetrapyrgos nigripes (Schwein.) E. Horak 1987Marasmius nigripes (Schwein.) Fr. ; Tetrapyrgos nigripes (Schwein.) E. Horak 1987-
04/01/2015Tetrapyrgos nigripesNoms français-Marasme à pied noir ; Flabelle à pied noir (アシグロホウライタケ)-
04/01/2015Tetrapyrgos nigripesRéférences-IH1 143-
04/01/2015Tetrapyrgos nigripesCommentairessur ramilles et petioles de feuille; Mayotte saison des pluies très commun--
04/01/2015Tetrapyrgos nigripesChapeau Description-3-15 mm-
04/01/2015Tetrapyrgos nigripesStipe Description-1-2 x 0,1-0,2 cm-
04/01/2015Tetrapyrgos nigripesSpores Description-6-9 x 5-9 µm-
04/01/2015Tetrapyrgos nigripesEcologie Description-sur ramilles et pétioles de feuilles; très commun à Mayotte à la saison des pluies. En été-automne sur toutes sortes de supports ligneux ou feuilles mortes, Amériques, Afrique, Asie-
04/01/2015Tetrapyrgos nigripesPhoto-Marasmiellus_nigripes_1998_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Marasmiellus nigripes, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
04/01/2015Marasmius pulcherripesPhoto-Marasmius_pulcherripes_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Marasmius pulcherripes, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensRéférencesDM Mémoire Hors Série N° 4 : Clitocybes,Omphales et ressemblants ; Moreau PA et coll Analyse taxonomique d'une espèce toxique: Clitocybe amoenolens Malençon ; Cryptogamie, Mycol 2001:22 p. 1-23 ; Eyssartier et Roux p. 574BMBDS 149 p. 11-14 ; DM Mémoire Hors Série N° 4 : Clitocybes, Omphales et ressemblants ; Moreau P.-A. et coll. Analyse taxonomique d'une espèce toxique: Clitocybe amoenolens Malençon, Cryptogamie, Mycologie 2001:22 p. 1-23 ; Eyssartier et Roux p. 574description
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensCommentairesLa consommation du clitocybe amoenolens Malençon entraîne, environ 24 heures après l'ingestion, une érythermalgie des extrémités (acromélalgie) se caractérisant par des crises de douleurs paroxystiques (brûlures, morsures, broiement) avec érythèmes, œdème et augmentation de la chaleur locale durant la crise. Ces troubles persistent de quelques jours à quelques mois. Il n'y a pas de signe digestif, pas d'atteinte hépatique ou rénale. Ce syndrome a déjà été décrit au Japon pour le Clitocybe acromelalga Ichimura dénommé localement "champignon aux brûlures" et serait dû à une atteinte des fibres non myélinisées du système nerveux autonome par l'acide acromélique A(AA-A). Références : - Bessard J. et coll. Mass spectrometric determination of acromelic acid A from a new poisonous mushroom: Clitocybe amoenolens. - Moreau P-A. et coll. Analyse taxinomique d'une espèce toxique : Clitocybe amoenolens Malençon. Cryptogamie, Mycol 2001:22:1-23 La consommation du clitocybe amoenolens Malençon entraîne, environ 24 heures après l'ingestion, une érythermalgie des extrémités (acromélalgie) se caractérisant par des crises de douleurs paroxystiques (brûlures, morsures, broiement) avec érythèmes, œdème et augmentation de la chaleur locale durant la crise. Ces troubles persistent de quelques jours à quelques mois. Il n'y a pas de signe digestif, pas d'atteinte hépatique ou rénale. Ce syndrome a déjà été décrit au Japon pour le Clitocybe acromelalga Ichimura dénommé localement "champignon aux brûlures" et serait dû à une atteinte des fibres non myélinisées du système nerveux autonome par l'acide acromélique A(AA-A). Références : - Bessard J. et coll. Mass spectrometric determination of acromelic acid A from a new poisonous mushroom: Clitocybe amoenolens. - Moreau P.-A. et coll. Analyse taxinomique d'une espèce toxique : Clitocybe amoenolens Malençon. Cryptogamie, Mycologie 2001:22:1-23 description
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensChapeau CouleurCrèmeBrun, Crème, Jaunedescription
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensChapeau Description-4-7 cm, d'abord hémisphérique, puis convexe à plan-convexe, enfin largement déprimé, mais jamais creusé en entonnoir, à marge longtemps enroulée, courtement cannelée par l'empreinte des lames, non hygrophane. Revêtement légèrement visqueux par temps humide, mat-givré chez les jeunes puis finement dissocié en écailles plus ou moins redressées, roussissantes depuis l'extrémité jaune-ocre clair à brun jaunâtre, puis roussissant fortement à partir du centre, parfois brun rougeâtre dans la vieillesse, presque toujours tachés de guttules plus sombre vers le centre, la marge longtemps givrée-pruineuse.description
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensLames CouleurBlanc, CrèmeBlanc, Crème, Jaunedescription
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensLames Description-moyennement serrées, 40-55, l (3) lamellules, larges de 2-3 mm, décurrentes, nettement délimitées en haut du stipe, séparables quelques heures après la récolte mais pas sur le frais, crème blanchâtre puis ochracé pâle, concolores au chapeau chez les jeunes; arête entière, concolore.description
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensChair Description-assez épaisse et un peu élastique dans le chapeau, fibreuse dans le pied, crème jaunâtre pâle à isabelle. Saveur fongique-subfarineuse, aprescente sur le tard. Odeur forte, aromatique, agréable, irinée, de seringat ou de jasmin, rappelant Tricholoma caligatum ou Inocybe bongardi, écœurante à la longue.description
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensStipe CouleurCrèmeCrème, Jaunedescription
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensStipe Description-2-5 x 0,4-1,2 cm, subcylindrique, parfois atténué en haut ou en bas, ou un peu renflé à la base, finement pruineux au sommet, crème ochracé, taché de roussâtre à la fin; base profondément enfouie dans la litière, à mycélium blanc, cotonneux, dense, agglomérant les aiguilles. Réaction jaunâtre à KOH sur le revêtement piléique (décoloration du pigment intracellulaire).description
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensOdeurFruitéeFruitée, Irisdescription
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensSpores Description-4,3-4,97-5,6 x 3,0-3,48-4,0 µm. Q = 1,43, V =64 µm3, ovo-elliptiques à subglobuleuses, parfois un peu ovoïdes, à apicule tronqué de 0,5-0,7 de long, lisses en microscopie optique, à paroi de 0,2 µm d'épaisseur, à couche externe très mince, légèrement cyanophile; contenu uniguttulé, à cytoplasme légèrement cyanophile; spores uninucléées.description
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensEcologie Description-Épicéa, Mélèze, description
04/01/2015Paralepistopsis amoenolensPhoto-Clitocybe_amoenolens_2001_acpm_1.jpgAjout photo type Mixte pour Clitocybe amoenolens, Copyright (c) 2001 Anne Claustre & P.-A. Moreau
04/01/2015Paralepista gilvaCommentaires- !! Attention au risque de confusion avec les "champignons tortionnaires", Clitocybe acromelalga et Clitocybe amoenolens !!-
04/01/2015Paralepista flaccidaChapeau Couleur-Orange-
04/01/2015Paralepista flaccidaCommentairesSous feuillus (Var. inversa sous conifères).Sous feuillus (Var. inversa sous conifères). !! Attention au risque de confusion avec les "champignons tortionnaires", Clitocybe acromelalga et Clitocybe amoenolens !!-
03/01/2015Amanita hongoiPhoto-Amanita_hongoi_1965_th_1.jpgAjout photo type Mixte pour Amanita hongoi, Copyright (c) 1965 Tsuguo Hongo
03/01/2015Amanita hongoiComestibilitéInconnuToxiquetoxicité signalée
03/01/2015Amanita hongoiCommentairesSection Lepidella, stirpe Perpasta, espèce découverte au Japon par Hongo, d'abord rapportée à A. echinocephala avant d'être publiée comme espèce nouvelle par Bas, d'après les notes et planches de Hongo!Section Lepidella, stirpe Perpasta, espèce découverte au Japon par Hongo, d'abord rapportée à A. echinocephala avant d'être publiée comme espèce nouvelle par Bas, d'après les notes et planches de Hongo.toxicité signalée
03/01/2015Amanita hongoiChapeau Description15-17 cm, hémisphérique puis convexe à plan, à la fin un peu déprimé au disque, assez charnu, blanc à brun jaunâtre plus ou moins pâle, surface sèche, couverte de restes de volve en verrues brunes, de taille moyenne (2-3 mm de hauteur), subconiques à subpyramidales, de plus en plus petites vers la marge qui est non appendiculée ni striée.6,5-17 cm, hémisphérique puis convexe à plan, à la fin un peu déprimé au disque, assez charnu, blanc à brun jaunâtre plus ou moins pâle, surface sèche, couverte de restes de volve en verrues brunes, de taille moyenne (2-3 mm de hauteur), subconiques à subpyramidales, de plus en plus petites vers la marge qui est non appendiculée ni striée.toxicité signalée
02/01/2015Amanita sychnopyramisNoms françaisAmanite Amanite forêt de pyramides (テングタケダマシ)-
02/01/2015Amanita sychnopyramisPhoto-Amanita_sychnopyramis_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita sychnopyramis fo. subannulata, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
02/01/2015Amanita sychnopyramisPhoto-Amanita_sychnopyramis_2001_thdg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Amanita sychnopyramis fo. subannulata Hongo 1971, Copyright (c) 2001 T. Hongo & D. Guez
01/01/2015Pisolithus arhizusCommentairesProbablement introduit en Europe d'Australasie avec l'Eucalyptus, son aire d'invasion s'étend régulièrement vers le nord (il a atteint l'Irlande en 1985). Consommé à l'état jeune, selon Marchand, notamment pelé et séché en lanières, pour colorer (l'épithète "tinctorius" = du teinturier" se réfère à l'usage en ébénisterie du pigment brun olivacé extrait du gélin de la paroi des pseudopéridioles) en brun et aromatiser les sauces et potages. NB deux r ou un seul selon les auteurs. http://www.mycobank.org/name/Pisolithus%20arhizus Pisolithus arhizus est le chef de file d'un complexe de plusieurs taxons faciles à séparer par l'analyse moléculaire mais très semblables morphologiquement.Probablement introduit en Europe depuis l'Australasie avec l'Eucalyptus, son aire d'invasion s'étend régulièrement vers le nord (il a atteint l'Irlande en 1985). Consommé à l'état jeune, selon Marchand, notamment pelé et séché en lanières, pour colorer (l'épithète "tinctorius" = du teinturier" se réfère à l'usage en ébénisterie du pigment brun olivacé extrait du gélin de la paroi des pseudopéridioles) en brun, mais aussi pour aromatiser les sauces et potages. NB: orthographié avec deux r ou un seul selon les auteurs. http://www.mycobank.org/name/Pisolithus%20arhizus Pisolithus arhizus est le chef de file d'un complexe de plusieurs taxons faciles à séparer par l'analyse moléculaire mais très semblables morphologiquement.-
01/01/2015Pisolithus arhizusExopéridium Description3-10 x 2-3 cm, subglobuleux à piriforme, souvent turbiné à la base. Péridium simple, mince (1 mm), sec, bosselé et plus ou moins rugueux, jaune ocracé souvent maculé de fauve roussâtre ou de brun verdâtre sale, noircissant au froissement, dur et devenant très cassant, bientôt rompu à partir du sommet en plaquettes polygonales.3-10 x 2-3 cm, subglobuleux à piriforme, souvent turbiné à la base. Péridium simple, mince (1 mm), sec, bosselé et plus ou moins rugueux, jaune ocracé souvent maculé de fauve roussâtre ou de brun verdâtre sale, noircissant au froissement, dur mais devenant très friable, bientôt rompu à partir du sommet en plaquettes polygonales.-
01/01/2015Pisolithus arhizusGléba DescriptionPâteuse puis pulvérulente, constituée d'une multitude de logettes en alvéoles brun rougeâtre à cloisons stériles, minces, molles, garnis de péridioles ellipsoïdes, revêtues d'un duvet jaune. Une coupe verticale du carpophore montre trois zones concentriques différentes étagées: - petits péridioles jaunes immatures à la base, - plus grands (2 x 5 mm), brun noirâtre et succulents dans la partie médiane, - secs, pulvérulents, brun jaunâtre au sommet. Saveur douce. Odeur fongique agréablePâteuse puis pulvérulente, constituée d'une multitude de logettes en alvéoles brun rougeâtre à cloisons stériles, minces, molles, garnis de péridioles ellipsoïdes, revêtues d'un duvet jaune. Une coupe verticale du carpophore montre trois zones concentriques différentes étagées: - petits péridioles jaunes immatures à la base, - plus grands (2 x 5 mm), brun noirâtre et succulents dans la partie médiane, - secs, pulvérulents, brun jaunâtre au sommet. Saveur douce. Odeur fongique agréable.-
01/01/2015Pisolithus arhizusStipe DescriptionSubsessile ou muni d'un pied court (1,5-3 cm) enfoui dans le sable (arenarius), plein et dur, épais de 1-2,5 cm, plus ou moins ramifié pour contourner les obstacles, garni d'un mycélium basal en chevelu brunâtre.Subsessile ou muni d'un pied court (1,5-3 cm) enfoui dans le sable (cf. "arenarius"), plein et dur, épais de 1-2,5 cm, plus ou moins ramifié pour contourner les obstacles, garni d'un mycélium basal en chevelu brunâtre.-
01/01/2015Pisolithus arhizusEcologie DescriptionCosmopolite (Europe, Afrique, Asie, Mexique, Japon...) mais assez rare, du printemps à l'automne dans les sols pauvres, secs et chauds, souvent sablonneux, terrils, clairières des pinèdes ou chênaies, à tendance calcifuge.Cosmopolite (Europe, Afrique, Asie, Mexique, Japon...)quoi qu'assez rare, du printemps à l'automne dans les sols pauvres, secs et chauds, souvent sablonneux, les terrils, clairières des pinèdes ou chênaies, à tendance calcifuge.-
01/01/2015Amanita griseofarinosaPhoto-Amanita_griseofarinosa_1998_thdg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Amanita griseofarinosa, Copyright (c) 1998 T. Hongo & D. Guez
31/12/2014Amanita pseudogemmataPhoto-Amanita_pseudogemmata_1999_thtudg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Amanita pseudogemmata, Copyright (c) 1999 T. Hongo, T. Ueda & D. Guez
30/12/2014Amanita echinocephalaPhoto-Amanita_echinocephala_1985_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita echinocephala, Copyright (c) 1985 Daniel Guez
30/12/2014Amanita echinocephalaPhotoAmanita_echinocephala_1984_dg_1.jpg-Suppression photo : double
30/12/2014Amanita friabilisPhoto-Amanita_friabilis_1986_pm_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita friabilis, Copyright (c) 1986 Pierre-Arthur Moreau
30/12/2014Amanita echinocephalaPhoto-Amanita_echinocephala_1984_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita echinocephala, Copyright (c) 1984 Daniel Guez
29/12/2014Amanita citrinaCommentairesOdeur de pomme de terre (rave). La fo. alba est toute blanche. Peu toxique en réalité mais plutôt comestible médiocre cependant classée toxique car peut être confondue avec l'amanite phalloide (mortelle).Odeur de pomme de terre (rave). La fo. alba est toute blanche. la var. grisea est un sosie de A. porphyria mais avec un anneau jaune vif (gris noirâtre chez porphyria), la volve blanche tachée de brun et la spore moins globuleuse. Peu toxique en réalité mais plutôt comestible médiocre, l'amanite citrine est cependant classée toxique car peut être confondue avec l'amanite phalloide (mortelle).ajouté var. grisea (Hongo) Hongo
29/12/2014Amanita citrinaPhoto-Amanita_citrina_2000_thdg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Amanita citrina var. grisea Hongo, Copyright (c) 2000 T. Hongo & D. Guez
28/12/2014Rhizopogon succosusPhoto-Rhizopogon_succosus_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Rhizopogon succosus, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
28/12/2014Rhizopogon succosusPhotoRhizopogon_succosus_1993_dg_1.jpg-Suppression photo : dominante rouge
28/12/2014Pisolithus arhizusPhoto-Pisolithus_arrhizus_1988_dg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Pisolithus arrhizus, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
28/12/2014Pisolithus arhizusPhotoPisolithus_arrhizus_1988_dg_1.jpg-Suppression photo : double
28/12/2014Pisolithus arhizusPhoto-Pisolithus_arrhizus_1988_dg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Pisolithus arrhizus, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
28/12/2014Pisolithus arhizusRéférencesCD 1724 ; Cetto 357 ; Marchand 183 ; Bon p. 303 ; Phillips p. 251 ; IH2 865 ; Yoshimi 89 ; IOH p. 501CD 1724 ; Cetto 357 ; Marchand 183 ; Bon p. 303 ; Phillips p. 251 ; IH2 865 ; Yoshimi 89 ; IOH p. 501 ; Mycotaxon 112 p. 291-315-
28/12/2014Pisolithus arhizusCommentairesConsommé à l'état jeune, notamment pelé et séché en lanières, pour colorer (inde nomen "du teinturier") en brun et aromatiser les sauces et potages. NB deux r ou un seul selon les auteurs. http://www.mycobank.org/name/Pisolithus%20arhizus Probablement introduit en Europe d'Australasie avec l'Eucalyptus, son aire d'invasion s'étend régulièrement vers le nord (il a atteint l'Irlande en 1985). Consommé à l'état jeune, selon Marchand, notamment pelé et séché en lanières, pour colorer (l'épithète "tinctorius" = du teinturier" se réfère à l'usage en ébénisterie du pigment brun olivacé extrait du gélin de la paroi des pseudopéridioles) en brun et aromatiser les sauces et potages. NB deux r ou un seul selon les auteurs. http://www.mycobank.org/name/Pisolithus%20arhizus Pisolithus arhizus est le chef de file d'un complexe de plusieurs taxons faciles à séparer par l'analyse moléculaire mais très semblables morphologiquement.-
28/12/2014Pisolithus arhizusSpores Descriptionglobuleuses, 7-12 µm, aculéolées, ornées d'épines de 1-1,5 µm de long, 0-1 grosse guttule, jaunâtre sombre. Basides piriformes à 2-6 spores.globuleuses, 7(9)-12(13) µm, aculéolées, ornées d'épines de 1-1,5 µm de long, 0-1 grosse guttule, jaunâtre sombre. Basides piriformes à 2-6 spores.-
28/12/2014Pisolithus arhizusEcologie DescriptionCosmopolite mais assez rare, du printemps à l'automne dans les sols pauvres, secs et chauds, souvent sablonneux, terrils, clairières, à tendance calcifuge.Cosmopolite (Europe, Afrique, Asie, Mexique, Japon...) mais assez rare, du printemps à l'automne dans les sols pauvres, secs et chauds, souvent sablonneux, terrils, clairières des pinèdes ou chênaies, à tendance calcifuge.-
28/12/2014Pisolithus arhizusSynonymestinctorius ; arenariusP. tinctorius ; P. arenarius-
28/12/2014Pisolithus arhizusNoms français-Pisolithe du teinturier ; Pisolithe sans racine (コツブタケ)-
28/12/2014Pisolithus arhizusRéférencesCD 1724 ; Cetto 357 ; Marchand 183 ; Bon p. 303 ; Phillips p. 251CD 1724 ; Cetto 357 ; Marchand 183 ; Bon p. 303 ; Phillips p. 251 ; IH2 865 ; Yoshimi 89 ; IOH p. 501-
28/12/2014Pisolithus arhizusCommentaires-Consommé à l'état jeune, notamment pelé et séché en lanières, pour colorer (inde nomen "du teinturier") en brun et aromatiser les sauces et potages. NB deux r ou un seul selon les auteurs. http://www.mycobank.org/name/Pisolithus%20arhizus -
28/12/2014Pisolithus arhizusExopéridium Description-3-10 x 2-3 cm, subglobuleux à piriforme, souvent turbiné à la base. Péridium simple, mince (1 mm), sec, bosselé et plus ou moins rugueux, jaune ocracé souvent maculé de fauve roussâtre ou de brun verdâtre sale, noircissant au froissement, dur et devenant très cassant, bientôt rompu à partir du sommet en plaquettes polygonales.-
28/12/2014Pisolithus arhizusGléba Description-Pâteuse puis pulvérulente, constituée d'une multitude de logettes en alvéoles brun rougeâtre à cloisons stériles, minces, molles, garnis de péridioles ellipsoïdes, revêtues d'un duvet jaune. Une coupe verticale du carpophore montre trois zones concentriques différentes étagées: - petits péridioles jaunes immatures à la base, - plus grands (2 x 5 mm), brun noirâtre et succulents dans la partie médiane, - secs, pulvérulents, brun jaunâtre au sommet. Saveur douce. Odeur fongique agréable-
28/12/2014Pisolithus arhizusStipe Description-Subsessile ou muni d'un pied court (1,5-3 cm) enfoui dans le sable (arenarius), plein et dur, épais de 1-2,5 cm, plus ou moins ramifié pour contourner les obstacles, garni d'un mycélium basal en chevelu brunâtre.-
28/12/2014Pisolithus arhizusSpores Description-globuleuses, 7-12 µm, aculéolées, ornées d'épines de 1-1,5 µm de long, 0-1 grosse guttule, jaunâtre sombre. Basides piriformes à 2-6 spores.-
28/12/2014Pisolithus arhizusEcologie Description-Cosmopolite mais assez rare, du printemps à l'automne dans les sols pauvres, secs et chauds, souvent sablonneux, terrils, clairières, à tendance calcifuge.-
27/12/2014Rhizopogon succosusExopéridium Description-KOH brun rouille, FeSO4 olivacé.-
27/12/2014Rhizopogon succosusChair/Gléba CouleurBrun, Crème, RougeBrun, Crème, Gris, Rouge-
27/12/2014Rhizopogon succosusPhoto-Rhizopogon_succosus_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Rhizopogon succosus, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
27/12/2014Calvatia craniiformisPhoto-Calvatia_craniiformis_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Calvatia craniiformis, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
27/12/2014Rhizopogon roseolusPhoto-Rhizopogon_roseolus_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Rhizopogon roseolus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
26/12/2014Russula citrinaSynonymes-non sensu Romagn. REAN p. 384, nec. sensu Blum p. 197 ; non sensu Imai 1938, Hongo 1950 (= R. ochroleuca)-
26/12/2014Russula citrinaNoms français-Russule citrine (ナタネハツ)-
26/12/2014Russula citrinaPhoto-Russula_citrina_1998_dg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Russula citrina, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
26/12/2014Russula flavoviridisPhoto-Russula_flavoviridis_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula flavoviridis, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
25/12/2014Macrocybe giganteaChapeau Description12-32 cm, d'abord convexe, puis plan et plus sou moins déprimée avec une marge dressée, parfois largement umbonném revêtement presque glabre, beige, gris-beige, ivoire ou mastic, rarement devenant brun à brun foncé dans les blessures avec l'âge. Marge longtemps involutée, souvent sinueuse avec l'âge. 12-32 cm, d'abord convexe, puis plan et plus ou moins déprimé avec une marge dressée, parfois largement umbonné; revêtement presque glabre, beige, gris-beige, ivoire ou mastic, rarement devenant brun à brun foncé dans les blessures avec l'âge. Marge longtemps involutée, souvent sinueuse avec l'âge. syntaxe
25/12/2014Macrocybe giganteaStipe Description12-47 cm de hauteur, épaisseur de 1-3,5 cm au sommet, 1,5-7 (-12)cm à la base, cylindrique à subclavé (surtout les jeunes), Connés ou cespiteux à la base. Revêtement fibrilleux-rugueux, glabre à un peu floconneux, concolore, sur fond blanchâtre.12-47 cm de hauteur, épaisseur de 1-3,5 cm au sommet, 1,5-7 (-12)cm à la base, cylindrique à subclavé (surtout les jeunes), connés ou cespiteux à la base. Revêtement fibrilleux-rugueux, glabre à un peu floconneux, concolore, sur fond blanchâtre.syntaxe
25/12/2014Macrocybe giganteaSpores Descriptionblanches en masse, 5-7,5 x 3,5-5 µm, ovoïdes à largement ellipsoïdes, à paroi mince, lisse, souvent avec une guttule, non-amyloïdes, non cyanophile. Basides tétrasporiques, 25-37,5 x 6-7,5 µm, étroitement clavées, granulations carminophiles absentes. Acystidié, blanches en masse, 5-7,5 x 3,5-5 µm, ovoïdes à largement ellipsoïdes, à paroi mince, lisse, souvent avec une guttule, non-amyloïdes, non cyanophiles. Basides tétrasporiques, 25-37,5 x 6-7,5 µm, étroitement clavées, granulations carminophiles absentes. Acystidié.syntaxe
24/12/2014Cortinarius subalboviolaceusCommentairesDiffère de Cortinarius alboviolaceus par sa morphologie sporale.Diffère de Cortinarius alboviolaceus, surtout par sa morphologie sporale.-
24/12/2014Cortinarius subalboviolaceusChapeau Description3-3,5 cm, d'abord hémisphérique à marge incurvée, blanchâtre mais avec quelques ponctuations beige ocracé au disque, puis s'étalant en conservant un large mamelon qui donne au chapeau la forme d'un casque anglais ( dit de " Tommy "). Il prend alors une couleur mauve pâle, lilacine, plus ou moins décolorée, surtout le tiers marginal qui est lisse. Le mamelon discal étant gercé, crevassé, simulant des écailles ocracées, café-au-lait. Marge infractée chez l'adulte, marginelle montrant ou non des traces de voile aranéiforme. à la fin récurvée chez les spécimens âgés. Revêtement givré, mat, gercé crevassé au disque chez le jeune. 3-3,5 cm, d'abord hémisphérique à marge incurvée, blanchâtre mais avec quelques ponctuations beige ocracé au disque, puis s'étalant en conservant un large mamelon qui donne au chapeau la forme de casque anglais dit de " Tommy ". Il prend alors une teinte mauve pâle, lilacine, plus ou moins décolorée, surtout le tiers marginal qui est lisse. Le mamelon discal devenant gercé, crevassé, simulant des écailles ocracées, café-au-lait. Marge infractée chez l'adulte, marginelle montrant ou non des traces de voile aranéiforme. à la fin récurvée chez les spécimens âgés. Revêtement givré, mat, gercé crevassé au disque chez le jeune. -
24/12/2014Cortinarius subalboviolaceusLames DescriptionLames adnées et assez serrées chez les jeunes, puis émarginées-échancrées au pied et plutôt espacées avec de nombreuses lamellules, + - fourchues, épaisses, arrondies et vite couchées aplaties de manière à montrer leur profil, d’abord blanc-grisâtre, sordescentes comme la chair, puis beige ocracé brunâtres comme celles des hébélomes, puis rouillé pâle.Lames adnées et assez serrées chez les jeunes, puis émarginées-échancrées au pied et presque espacées avec de nombreuses lamellules, + - fourchues, épaisses, arrondies et vite aplaties de manière à montrer leur profil, d’abord blanc-grisâtre, sordescentes comme la chair, puis beige ocracé brunâtre comme celle des hébélomes, enfin rouillé pâle.-
24/12/2014Cortinarius subalboviolaceusStipe DescriptionStipe 6-7 x 0,5-0,8 cm, blanc, lilacin dans le tiers supérieur, fibrilleux en long, égal ou atténué en bas, souvent courbé et un peu torsadé, comprimé en haut sur un cm environ, épaissi à la base, parfois renflé en bulbe enrobé de coton mycélien évanescent sous les doigts comme de la "barbe à papa". On note que les stipes sont très longs et minces chez les spécimens enfouis sous les débris (et alors toujours chapeau presque blanc, comme si le pigment mauve avait besoin de lumière pour se développer. Cortine blanche, très fugace. Stipe 6-7 x 0,5-0,8 cm, blanc, lilacin dans le tiers supérieur, fibrilleux en long, égal ou atténué en bas, souvent courbé et un peu torsadé, comprimé en haut sur un cm environ, épaissi à la base, parfois renflé en bulbe enrobé de coton mycélien évanescent sous les doigts comme de la "barbe à papa". On note que les stipes sont très longs et minces chez les spécimens enfouis sous les débris (et alors toujours chapeau presque blanc, comme si le pigment mauve avait besoin de lumière pour se développer. Cortine blanche très fugace. -
24/12/2014Cortinarius subalboviolaceusSpores Description(6,5-)7-8 x 5-6(-6,5 µm, largement ellipsoïde à subsphérique, ponctuée de fines verrues. Paroi 0,2 µm. Spore jaune pâle dans l'eau. Hyphes bouclées 4µ de large, basides de 8µm de large portant 4 stérigmates de 4-5µm de long. Pleurocystides en massue.(6,5-)7-8 x 5-6(-6,5) µm, largement ellipsoïde à subsphérique, ponctuée de fines verrues. Paroi 0,2 µm. Spore jaune pâle dans l'eau. Hyphes bouclées 4µ de large, basides de 8 µm de large portant 4 stérigmates de 4-5 µm de long. Pleurocystides en massue.-
24/12/2014Cortinarius subalboviolaceusEcologie DescriptionDe mai à juillet, en troupe au pied de divers feuillus. Dans un bois mixte de Quercus serrata - Pinus densiflora. Nos récoltes sur tronc pourrissant de Pinus, rarement à terre nous ont d'abord interloqué, sortant directement du bois, lequel est toujours friable sous les doigts, se réduit en terreau... Du blanc mycélien était visible sous les basidiophores, une mycorhize flagrante a été aperçue en dégageant le plus gros spécimen. Un faux lignicole ! De mai à juillet, en troupe au pied de divers feuillus. Dans un bois mixte de Quercus serrata & Pinus densiflora. Des récoltes successives sur tronc pourrissant de Pinus (rarement à terre) nous ont d'abord interloqué, sortant directement du bois, lequel toujours friable sous les doigts, se réduit en terreau... Du blanc mycélien était visible sous les basidiophores, enfin une mycorhize flagrante a été aperçue en dégageant le plus gros spécimen. Un faux lignicole !-
24/12/2014Russula fageticolaPhoto-Russula_fageticola_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula fageticola, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
24/12/2014Russula bellaCommentairesBelle petite espèce entièrement pruineuse, d'un beau rose rougeâtre, à odeur fruitée.Belle petite espèce entièrement pruineuse, d'un beau rose rougeâtre, à odeur fruitée. En 1986, Singer avait examiné un exemplaire ramené du Japon par un voyageur et conclu à la synonymie de R. bella avec R. mariae Peck, mais sa conception de ce taxon était différente de celle de Peck. -
24/12/2014Russula bellaChapeau Descriptionpruineux, rose rougeâtre1,5-4,5 cm, cuticule presque entièrement séparable, mate, finement poudrée à pruineuse, rose rouge à rouge corail, parfois panachée, plus pâle à la marge qui est striée par transparence avec l'âge.-
24/12/2014Russula bellaLames Descriptionlibres à atténuées au pied, blanches, puis crème; arête rose; assez espacées, interveinéeslibres à atténuées au pied, ventrues, assez espacées, interveinées, blanches, puis crème; arête rose.-
24/12/2014Russula bellaStipe Réaction au sulfate de ferVertRose pâle-
24/12/2014Russula bellaStipe Description2-4 x 0,5-0,7 cm, égal ou atténué à la base, ruguleux-strié, finement pruineux, rose, ou rarement blanc, spongieux-farci, puis creux.2-4 x 0,5-0,7 cm, égal ou atténué à la base, ruguleux-strié, finement pruineux, subconcolore rose, plus ou moins délavé, ou rarement blanc, spongieux-farci, puis creux.-
24/12/2014Russula bellaChair Descriptionfragile, blanche et immuable; saveur douce; odeur fruitée agréable, comme celle d'amoena.fragile, blanche et immuable; saveur douce; odeur fruitée agréable, comme celle d'amoena. FeSO4 lent et rose pâle, Gaïac + à ++, R56 lent (15 minutes).-
24/12/2014Russula bellaPhoto-Russula_bella_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula bella, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
22/12/2014Strobilomyces seminudusCommentairesRemarques. Cette espèce se distingue des autres par un stipe avec une zone annulaire, distinctement épaissi près du sommet et ocellé d'écailles apprimées-tomenteuses échelles près de la base. Les squames disséminées apprimées sur le chapeau diffèrent nettement de celle de S. confusus, qui est recouvert d'écailles rigides et épineuses (Singer 1948).Remarques. Cette espèce se distingue des autres par un stipe avec une zone annulaire, distinctement épaissi près du sommet et ocellé d'écailles apprimées-tomenteuses près de la base. Les squames disséminées apprimées sur le chapeau diffèrent nettement de celle de S. confusus, qui est recouvert d'écailles rigides et épineuses (Singer 1948).syntaxe
22/12/2014Strobilomyces seminudusChapeau CouleurBlanc, Gris, NoirBlanc, Brun, Gris, Noirsyntaxe
22/12/2014Strobilomyces seminudusChapeau Description3-10 cm, convexe puis plan; surface sèche, tomenteuse à tomento-squamuleuse, couvert d'écailles apprimées inégales, grisâtre à noirâtre; écailles 2-10 mm de large, contrastant avec la chair blanchâtre visible dans les fissures, ou parfois presque glabre; marge appendiculée par des restes de voile membraneux, peu visibles car concolores.3-10 cm, convexe puis plan; surface sèche, tomenteuse à tomento-squamuleuse, couvert d'écailles apprimées inégales, grisâtre à noirâtre; squames 2-10 mm de large, contrastant avec la chair blanchâtre visible dans les fissures, ou parfois presque glabre; marge appendiculée par des restes de voile membraneux, peu visibles car concolores.syntaxe
22/12/2014Strobilomyces seminudusPores DescriptionTubes jusqu'à 10 mm de long, adnés-subdécurrents à décurrents ou un peu déprimés autour du stipe, d'abord d'un blanc laiteux, puis fuligineuse à maturité; pores jusqu'à 1 mm de large, blanchâtre à grisâtre. Tubes et pores virent nettement au rouge puis au noir dans les blessures.Tubes jusqu'à 10 mm de long, adnés-subdécurrents à décurrents ou un peu déprimés autour du stipe, d'abord d'un blanc laiteux, puis fuligineuse à maturité; pores jusqu'à 1 mm de large, blanchâtres à grisâtre. Tubes et pores virant nettement au rouge puis au noir dans les blessures.syntaxe
22/12/2014Strobilomyces seminudusStipe Description4-10(-15) x 0,8-1,5 cm au sommet, 0,5-1 cm d'épaisseur vers la base, égal mais nettement épaissie au sommet, solide, concolore au chapeau; surface réticulée par des tubes venant chevaucher le stipe, avec une zone laineuse annulaire près de l'apex, ocellé d'écailles tomenteuses apprimées près de la base.4-10(-15) x 0,8-1,5 cm au sommet, 0,5-1 cm d'épaisseur vers la base, égal mais nettement épaissi au sommet, ferme, concolore au chapeau; surface réticulée par des tubes venant chevaucher le stipe, avec une zone laineuse annulaire près de l'apex, ocellé d'écailles tomenteuses apprimées près de la base.syntaxe
22/12/2014Strobilomyces seminudusSpores DescriptionSporée brunâtre. Spores 6,9 x 7,1 x 6,5-8,5 µm subglobuleuse à largement ellipsoïdale, brun foncé dans KOH à 5%, avec des tubercules irréguliers souvent confluents et subcristulés. Basides 11,15 x 21,35 µm, en massue, quatre spores; stérigmates 2.5 à 6.5 mm de long (Fig. 2D). Cheilocystides 12,5,19 x 38,69 µm, nombreuses, en massue à fusiformes ou subfusiformes, hyalines ou à contenu brunâtre à brun pâle, à paroi mince. Pleurocystides 12,5,20 x 44,81 µm, abondantes, semblables aux cheilocystides, mais un peu plus grandess.Sporée brunâtre. Spores 6,9 x 7,1 x 6,5-8,5 µm subglobuleuses à largement ellipsoïdales, brun foncé dans KOH à 5%, avec des tubercules irréguliers souvent confluents et subcristulés. Basides 11,15 x 21,35 µm, en massue, quatre spores; stérigmates 2.5 à 6.5 mm de long (Fig. 2D). Cheilocystides 12,5,19 x 38,69 µm, nombreuses, en massue à fusiformes ou subfusiformes, hyalines ou à contenu brunâtre à brun pâle, à paroi mince. Pleurocystides 12,5,20 x 44,81 µm, abondantes, semblables aux cheilocystides, mais un peu plus grandes.syntaxe
22/12/2014Amanita spissaceaPhoto-Amanita_spissacea_1998_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita spissacea, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
22/12/2014Amanita spissaceaPhoto-Amanita_spissacea_1989_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Amanita spissacea, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
22/12/2014Amanita spissaceaPhoto-Amanita_spissacea_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita spissacea, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
22/12/2014Agrocybe arvalisPhoto-Agrocybe_arvalis_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Agrocybe arvalis, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
22/12/2014Ripartites tricholomaPhoto-Ripartites_tricholoma_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Ripartites tricholoma, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
21/12/2014Strobilomyces seminudusPhoto-Strobilomyces_seminudus_1983_th_1.jpgAjout photo type Dessin pour Strobilomyces seminudus, Copyright (c) 1983 Tsuguo Hongo
21/12/2014Strobilomyces seminudusPhoto-Strobilomyces_seminudus_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Strobilomyces seminudus, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
21/12/2014Gymnopus iocephalusPhoto-Gymnopus_iocephalus_2007_sk_1.jpgAjout photo type Macro pour Gymnopus iocephalus, Copyright (c) 2007 Shinwa Kôtoku
20/12/2014Agaricus abruptibulbusPhoto-Agaricus_abruptibulbus_1998_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Agaricus abruptibulbus, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
20/12/2014Agaricus abruptibulbusPhoto-Agaricus_abruptibulbus_1998_thdg_1.jpgAjout photo type Macro pour Agaricus abruptibulbus, Copyright (c) 1998 Tsuguo Hongo & Daniel Guez
20/12/2014Agaricus abruptibulbusPhoto-Agaricus_abruptibulbus_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Agaricus abruptibulbus, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
20/12/2014Agaricus velenovskyiPhoto-Agaricus_velenovskyi_1995_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Agaricus velenovskyi, Copyright (c) 1995 Daniel Guez
16/12/2014Aureoboletus thibetanusPhoto-Aureoboletus_thibetanus_1989_then_1.jpgAjout photo type Mixte pour Aureoboletus thibetanus, Copyright (c) 1989 T. Hongo & E. Nagaswa
15/12/2014Agaricus xanthodermusCommentairesEn général, pour identifier cette espèce, il faut prélever un morceau de la chair (bulbe) pour voir la chair devenir instantanément jaune. Le chapeau est assez variable, et plusieurs variétés ont été décrites qui ne sont désormais plus reconnues.En général, pour identifier cette espèce, il faut frotter la base du bulbe pour la voir jaunir instantanément, puis noter l'odeur de phénol (encre). Le chapeau est assez variable, et plusieurs variétés ont été décrites qui ne sont désormais plus reconnues.-
15/12/2014Agaricus xanthodermusChair DescriptionBlanche, jaunissante en particulier à la base.Blanche, jaunissante en particulier à la base du pied qui vire rapidement au frottement et dégage une odeur caractéristique d'encre, de phénol.-
15/12/2014Agaricus xanthodermusStipe Description80-100 (150) x 10-20 (25) mm, cylindrique, bulbeux vers la base, parfois aussi bulbeux marginé, d'abord plein, creux avec l'âge ; surface blanche en-dessous de l'anneau et finement ornée de fibrilles longitudinales, au-dessus blanchâtre à rose carné, lisse ; anneau blanc, membraneux, pendant, épais, face inférieure brunâtre devenant squamuleux glébuleux. Toutes les parties jaunissent au toucher, en particulier à la base, dedans comme dehors.8-10 (15) x 1-2 (2,5)cm, cylindrique, bulbeux vers la base, parfois aussi bulbeux marginé, d'abord plein, creux avec l'âge ; surface blanche en-dessous de l'anneau et finement ornée de fibrilles longitudinales, au-dessus blanchâtre à rose carné, lisse ; anneau blanc, membraneux, pendant, épais, face inférieure brunâtre devenant squamuleux glébuleux. Toutes les parties jaunissent au toucher, en particulier à la base, dedans comme dehors.-
15/12/2014Agaricus xanthodermusOdeurDésagréable, IodeDésagréable-
15/12/2014Russula rubescensPhoto-Russula_rubescens_1994_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula rubescens, Copyright (c) 1994 Daniel Guez
15/12/2014Russula rubescensPhoto-Russula_rubescens_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula rubescens, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
15/12/2014Russula rubescensPhoto-Russula_rubescens_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula rubescens, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
14/12/2014Baorangia pseudocalopusNoms françaisFaux bolet à-beau-pied (ニセアシベニイグチ)Faux bolet à beau pied (ニセアシベニイグチ)-
14/12/2014Baorangia pseudocalopusCommentairesRessemble à B. calopus par ses couleurs mais s'en distingue aisément par sa saveur douce et son réseau confiné au sommet du stipe. B. speciosus s'en distingue aussi par son pied finement réticulé et son chapeau rose. Cette espèce pourrait être rattachée à la section Subpruinosi (ss. Singer 1962) aux côtés de B. bicolor Peck.L'épithète "pseudocalopus" suggère une affinité avec B. calopus de la section Calopodes, mais la ressemblance par ses couleurs est superficielle. Il s'en distingue aisément par sa saveur douce et son réseau confiné au sommet du stipe. B. speciosus s'en distingue aussi par son pied finement réticulé et son chapeau rose. Cette espèce pourrait être rattachée à la section Luridi (Subpruinosi ss. Singer 1962) aux côtés de B. bicolor Peck.-
14/12/2014Retiboletus ornatipesPhoto-Boletus_ornatipes_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus ornatipes, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
14/12/2014Retiboletus ornatipesPhoto-Boletus_ornatipes_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus ornatipes, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
14/12/2014Boletus sensibilisPhoto-Boletus_sensibilis_1990_then_1.jpgAjout photo type Mixte pour Boletus sensibilis, Copyright (c) 1990 T. Hongo & E. Nasawa
13/12/2014Boletus sensibilisPhoto-Boletus_sensibilis_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus sensibilis, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
13/12/2014Baorangia pseudocalopusPhoto-Boletus_pseudocalopus_1989_then_1.jpgAjout photo type Dessin pour Boletus pseudocalopus, Copyright (c) 1989 T. Hongo & E. Nagasawa
13/12/2014Baorangia pseudocalopusPhoto-Boletus_pseudocalopus_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus pseudocalopus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
13/12/2014Baorangia pseudocalopusPhotoBoletus_pseudocalopus_2001_dg_1.jpg-Suppression photo : erreur<<< specimen de droite = Boletus sensibilis jeune !
13/12/2014Baorangia pseudocalopusPhotoBoletus_pseudocalopus_1989_dg_1.jpg-Suppression photo : doublon
13/12/2014Baorangia pseudocalopusRéférencesIH2 552 ; IOH p. 328RTMI 12 p. 31-40 (1975) ; IH2 552 ; IOH p. 328addendum & corrigendum
13/12/2014Baorangia pseudocalopusCommentairesRessemble à B. calopus par ses couleurs mais s'en distingue aisément par sa saveur douce et son réseau confiné au sommet du stipe. B. speciosus s'en distingue aussi par son pied finement réticulé et son chapeau rose.Ressemble à B. calopus par ses couleurs mais s'en distingue aisément par sa saveur douce et son réseau confiné au sommet du stipe. B. speciosus s'en distingue aussi par son pied finement réticulé et son chapeau rose. Cette espèce pourrait être rattachée à la section Subpruinosi (ss. Singer 1962) aux côtés de B. bicolor Peck.addendum & corrigendum
13/12/2014Baorangia pseudocalopusChapeau CouleurBrunBrun, Jaune, Rougeaddendum & corrigendum
13/12/2014Baorangia pseudocalopusChapeau Description4-10(18)cm, convexe puis plan-convexe, subvisqueux par temps humide, subtomenteux, brun cannelle à fauve olivacé. Marge d'abord incurvée à infractée.6-14 cm, convexe à plan-convexe, cuticule sèche, collante par temps humide chez les sujets âgés, d'abord finement tomenteuse, puis presque glabre, brun rougeâtre (bai, rouille à châtain) uniforme dans la jeunesse, la marge plus pâle (cannelle à sépia), à la fin pâlissant entièrement, de brun cannelle à chamois. Marge d'abord incurvée à infractée.addendum & corrigendum
13/12/2014Baorangia pseudocalopusChair DescriptionChair très épaisse, jaune pâle, immuable ou plus ou moins bleuissante. Saveur douce, odeur plaisante.Chair très épaisse, jusqu'à 2,5 cm, jaunâtre, immuable ou virant faiblement au bleu verdâtre chez les jeunes. Saveur douce, odeur plaisante. Chair du stipe d'un jaune plus soutenu, immuable en général, souvent tachée de rouge à la base, rouge brunâtre dans les galeries des larves.addendum & corrigendum
13/12/2014Baorangia pseudocalopusPores DescriptionTubes adnés ou brièvement décurrents, jaunes, faiblement bleuissants au froissement, très courts jusqu'à 5 mm de long; pores jaune clair, anguleux, 1-3 par mm.Tubes adnés à brièvement décurrents, en continuité avec le réticulum apical du stipe, jaune d'ambre puis jaune ocracé, virant assez rapidement au bleu verdâtre à la coupe, courts par rapport à la taille du chapeau, de 3 à 6 mm de long; pores concolores aux tubes, subanguleux à anguleux, 1-3 par mm, bleuissant au froissement comme les tubes.addendum & corrigendum
13/12/2014Baorangia pseudocalopusStipe CouleurJaune, RougeBrun, Jaune, Mauve, Rougeaddendum & corrigendum
13/12/2014Baorangia pseudocalopusStipe Description4,5-8 cm de long x 1,2-1,5 cm de diamètre, épaissi à la base de 2,5-4 cm, clavé ou bulbeux, rouge sombre à brun Madère, mais jaune et finement réticulé seulement au sommet.7-10 cm de long, épaissi vers le bas, 0,9-1,6 cm de diamètre au sommet et 1,6-4 cm à la base, parfois clavé ou légèrement bulbeux, plein, revêtement jaune, finement ponctué de rouge brunâtre sombre à brun Madère (brun violacé), jaune et finement réticulé seulement au sommet (au moins dans la jeunesse), noircissant avec l'âge ou à la manipulation. addendum & corrigendum
13/12/2014Baorangia pseudocalopusSpores DescriptionJaune de miel pâle sous le microscope, subcylindracées à subfusiformes, 10-14,5 x 3,5-4,5 µm. Basides tétrasporiques. Cystides sphéro-pédonculées ou clavées, à paroi mince, 20-30 x 10-13µm. Trame des lames bilatérale, typique du genre.Jaune de miel pâle sous le microscope, légèrement teintées d'olivâtre dans KOH, subcylindracées à subfusiformes, bolétoïdes, 10-12,5 x (3,5)-4-(5) µm, lisses, paroi inférieure à 0,5 µm. Basides tétrasporiques, 27 x 8-10 µm. Pleurocystides éparses, ventrues-fusoïdes, prolongées d'un col étroit, 40-58 x 11-14 µm. Cheilocystides sphéro-pédonculées ou clavées, à paroi mince, 20-33 x 10-13 µm. Trame des lames bilatérale, typique du genre. Boucles absentes.addendum & corrigendum
13/12/2014Baorangia pseudocalopusEcologie DescriptionPas rare sous feuillus en solitaire ou disséminés, de l'été au début de l'automne, endémique (Japon central)Pas rare sous feuillus (Quercus serrata, Castanea crenata), ou mêlés de Pinus densiflora, en solitaire ou disséminés, de l'été au début de l'automne, endémique (Japon central)addendum & corrigendum
12/12/2014Baorangia pseudocalopusPhoto-Boletus_pseudocalopus_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus pseudocalopus jeunes, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusCommentaires-Diffère de Cortinarius alboviolaceus par sa morphologie sporale.-
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusSpores Description5-6,5 x 7-8 µm, ponctuée de fines verrues. Paroi 0,2 µm. Spore jaune pâle dans l'eau. Hyphes bouclées 4µ de large, basides de 8µm de large portant 4 stérigmates de 4-5µm de long!(6,5-)7-8 x 5-6(-6,5 µm, largement ellipsoïde à subsphérique, ponctuée de fines verrues. Paroi 0,2 µm. Spore jaune pâle dans l'eau. Hyphes bouclées 4µ de large, basides de 8µm de large portant 4 stérigmates de 4-5µm de long. Pleurocystides en massue.-
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusEcologie Descriptionsur tronc pourrissant de Pinus, rarement à terre. Sort directement du bois, lequel est toujours friable sous les doigts, se réduisant en terreau... Du blanc mycélien est visible sous les basidiophores, une mycorhize flagrante a été aperçue en dégageant le plus gros spécimen. De mai à juillet, en troupe au pied de divers feuillus. Dans un bois mixte de Quercus serrata - Pinus densiflora. Nos récoltes sur tronc pourrissant de Pinus, rarement à terre nous ont d'abord interloqué, sortant directement du bois, lequel est toujours friable sous les doigts, se réduit en terreau... Du blanc mycélien était visible sous les basidiophores, une mycorhize flagrante a été aperçue en dégageant le plus gros spécimen. Un faux lignicole ! -
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhoto-Cortinarius_subalboviolaceus_1987_th_1.jpgAjout photo type Mixte pour Cortinarius subalboviolaceus, Copyright (c) 1987 Tsuguo Hongo
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhoto-Cortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_3.jpgAjout photo type Micro pour Cortinarius subalboviolaceus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhotoCortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_3.jpg-Suppression photo : double
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhoto-Cortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius subalboviolaceus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhotoCortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_1.jpg-Suppression photo
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhoto-Cortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius subalboviolaceus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
12/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhotoCortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_1.jpg-Suppression photo : doublon
11/12/2014Boletellus elatusSynonymesBoletellus hiratsukae Nagas. in Sing. 1986Boletellus hiratsukae Nagasawa in Singer 1986 (nom. nud.)syntaxe corrigée
11/12/2014Boletellus elatusChair Descriptiontendre, assez mince dans le pied, blanchâtre puis jaunâtre, avec une touche de vineux sous la cuticule, immuable ou parfois virant au vineux à la coupe. Odeur nulle, saveur douce?tendre, assez mince dans le pied, blanchâtre puis jaunâtre, avec une touche de vineux sous la cuticule, immuable ou parfois virant au vineux à la coupe. Odeur nulle, saveur douce.syntaxe corrigée
11/12/2014Boletellus elatusSpores Description(12-)16-19(-20) x (7,5-)9-11(-12,5) µm (Q=1,6-1,8) rainures incluses, ellipsoïdes à oblongues-ellipsoïdes de face, plutôt inégales de profil avec une large dépression supra-hilaire, étroitement tronquée en raison du petit pore terminal, jaune de miel dans KOH et Melzer, souvent encapuchonnées de brun violacé dans le Melzer. Surface striée de 14-18 rainures, souvent fourchues mais pas obiques comme Boletellus ananas.(12-)16-19(-20) x (7,5-)9-11(-12,5) µm (Q=1,6-1,8) rainures incluses, ellipsoïdes à oblongues-ellipsoïdes de face, plutôt inégales de profil avec une large dépression supra-hilaire, étroitement tronquées en raison du petit pore terminal, jaune de miel dans KOH et Melzer, souvent encapuchonnées de brun violacé dans le Melzer. Surface striée de 14-18 rainures, souvent fourchues mais pas obliques comme Boletellus ananas et B. emodensis.syntaxe corrigée
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhoto-Cortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_4.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius subalboviolaceus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhoto-Cortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_3.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius subalboviolaceus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhoto-Cortinarius_subalboviolaceus_2014_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius subalboviolaceus, Copyright (c) 2014 Daniel Guez
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhoto-Cortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius subalboviolaceus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusPhoto-Cortinarius_subalboviolaceus_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius subalboviolaceus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusComestibilité-Sans intérêt-
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusChapeau Description3-3,5 cm, blanc lilacin, crème, puis jaune ocracé sale au disque, jamais étalé complètement et gardant un gros mamelon en casque anglais, marge infractée chez l'adulte, marginelle portant des traces de voile aranéiforme. Revêtement givré, mat, gercé crevassé au disque chez le jeune. Avec l'âge, la marge est récurvée, le chapeau largement mamelonné en casque de "Tommy".3-3,5 cm, d'abord hémisphérique à marge incurvée, blanchâtre mais avec quelques ponctuations beige ocracé au disque, puis s'étalant en conservant un large mamelon qui donne au chapeau la forme d'un casque anglais ( dit de " Tommy "). Il prend alors une couleur mauve pâle, lilacine, plus ou moins décolorée, surtout le tiers marginal qui est lisse. Le mamelon discal étant gercé, crevassé, simulant des écailles ocracées, café-au-lait. Marge infractée chez l'adulte, marginelle montrant ou non des traces de voile aranéiforme. à la fin récurvée chez les spécimens âgés. Revêtement givré, mat, gercé crevassé au disque chez le jeune. -
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusChair DescriptionOdeur faible, agréable. Saveur d'abord douce mais âcre-poivrée après une à deux minutes. Chair du chapeau grisâtre, mince, sordescente et comme givrée. Odeur faible, agréable. Saveur d'abord douce mais âcre-poivrée après une à deux minutes. Chair du chapeau grisâtre, mince, sordescente et comme givrée. -
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusLames Descriptionadnées-émarginées, assez serrées, arrondies et vite couchées aplaties de manière à montrer leur profil, blanches puis café-au-lait à rouillé pâle. Arête restant blanche ou pâle. Lames adnées et assez serrées chez les jeunes, puis émarginées-échancrées au pied et plutôt espacées avec de nombreuses lamellules, + - fourchues, épaisses, arrondies et vite couchées aplaties de manière à montrer leur profil, d’abord blanc-grisâtre, sordescentes comme la chair, puis beige ocracé brunâtres comme celles des hébélomes, puis rouillé pâle.-
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusStipe Description6-7 x 0,5-0,8 cm, blanc, fibrilleux en long, égal ou atténué en bas, souvent courbé et un peu torsadé. Cortine blanche, fugace.souvent comprimé en haut sur un cm environ, épaissi à la base, parfois renflé en bulbe enrobé de coton mycélien évanescent sous les doigts comme de la "barbe à papa". Pied souvent très long et mince chez les spécimens enfouis sous les débris (et alors toujours chapeau presque blanc, (le pigment mauve semblant avoir besoin de lumière pour se développer?)Stipe 6-7 x 0,5-0,8 cm, blanc, lilacin dans le tiers supérieur, fibrilleux en long, égal ou atténué en bas, souvent courbé et un peu torsadé, comprimé en haut sur un cm environ, épaissi à la base, parfois renflé en bulbe enrobé de coton mycélien évanescent sous les doigts comme de la "barbe à papa". On note que les stipes sont très longs et minces chez les spécimens enfouis sous les débris (et alors toujours chapeau presque blanc, comme si le pigment mauve avait besoin de lumière pour se développer. Cortine blanche, très fugace. -
10/12/2014Cortinarius subalboviolaceusEcologie Descriptionsur tronc pourrissant de Pinus, rarement à terre.sur tronc pourrissant de Pinus, rarement à terre. Sort directement du bois, lequel est toujours friable sous les doigts, se réduisant en terreau... Du blanc mycélien est visible sous les basidiophores, une mycorhize flagrante a été aperçue en dégageant le plus gros spécimen. -
09/12/2014Aureoboletus russelliiNoms françaisBolet de Russel (セイタアカイグチ)Bolet de Russel (セイタカイグチ)-
09/12/2014Aureoboletus russelliiChapeau Description(3-)4-10(-13) cm, plan-convexe à étalé, cuticule sèche et feutrée-veloutée puis presque lisse, bientôt se rompant en plaques squamuleuses, brun jaunâtre à brun rougeâtre, puis gris olivacé. Marge d'abord involutée puis droite. (3-)4-10(-13) cm, plan-convexe à étalé, cuticule sèche et feutrée-veloutée puis presque lisse, bientôt se rompant en plaques squamuleuses, brun jaunâtre à brun rougeâtre, puis gris olivacé. Marge d'abord involutée puis droite.-
09/12/2014Aureoboletus russelliiStipe Description8-16 x 1-1,5 cm, égal ou épaissi à la base qui peut alors atteindre 2-3 cm d'épaisseur), parfois courbe et viscidule à la base, plein et ferme. Revêtement subconcolore, profondément rainuré et raboteux, hirsute par les crêtes ramifiées.8-16 x 1-1,5 cm, égal ou épaissi à la base (qui peut alors atteindre 2-3 cm d'épaisseur), parfois courbe et viscidule à la base, plein et ferme. Revêtement subconcolore, profondément rainuré et raboteux, hirsute par les crêtes ramifiées.-
09/12/2014Xerocomus parvulusChapeau Description-1-5 cm, feutré à presque lisse, brun olivacé à brun rosâtre.-
09/12/2014Xerocomus parvulusChair Description-mince, jaune pâle-
09/12/2014Xerocomus parvulusPores Description-grands pores anguleux, 1-3 mm, jaune citrin, immuables. Tubes 3-6 mm de long-
09/12/2014Xerocomus parvulusStipe Description-2-5 x 0,3-0,7 cm, brun jaunâtre pâle-
09/12/2014Xerocomus parvulusSpores Descriptionpleurocystidié à parois solubles dans KOH !7,5-9 x 5-5,5 µm. Espèce pleurocystidiée à parois solubles dans KOH !-
09/12/2014Xerocomus parvulusEcologie Description-Bois de Quercus-Castanopsis.-
08/12/2014Xerocomus parvulusPhoto-Xerocomus_parvulus_1990_enedg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Xerocomus parvulus, Copyright (c) 1990 Eiji Nagasawa Et Daniel Guez
07/12/2014Macrocybe giganteaNoms françaisTricholome remarquable (ニオウシメジ)Tricholome géant ; Tricholome remarquable (ニオウシメジ)-
07/12/2014Macrocybe giganteaRéférencesIOH p. 75TMSJ 22 p. 181-185 (1984) ; IH1 97 ; IOH p. 75-
07/12/2014Macrocybe giganteaCommentairesCultivé depuis peu en Inde, Chine, Japon. Aurait des propriétés anti-tumorales...Décrit par Massee depuis l'Inde en 1912, puis récoltée régulièrement au sud du Japon depuis 1978, cette espèce de très grande taille et relativement élancée, a été recombinée en 1998 dans le genre Macrocybe. Cultivé depuis peu en Inde, Chine, Japon. Aurait des propriétés anti-tumorales...-
07/12/2014Macrocybe giganteaChapeau Description12-32 cm, beige à ivoire, marge involutée.12-32 cm, d'abord convexe, puis plan et plus sou moins déprimée avec une marge dressée, parfois largement umbonném revêtement presque glabre, beige, gris-beige, ivoire ou mastic, rarement devenant brun à brun foncé dans les blessures avec l'âge. Marge longtemps involutée, souvent sinueuse avec l'âge. -
07/12/2014Macrocybe giganteaChair Descriptionferme, douce.blanche, ferme, épaisse au disque, douce. Odeur plus ou moins farineuse.-
07/12/2014Macrocybe giganteaLames CouleurBlanc, Gris, JauneGris, Jaune-
07/12/2014Macrocybe giganteaLames Descriptionassez serrées, adnées-émarginées à sinuées, très étroites cheez le jeune, puis jusqu'à 2 cm de large; marge érodée. Isabelle puis jaune paille.assez serrées, adnées-émarginées à sinuées, très étroites chez le jeune, puis jusqu'à 2 cm de large; marge érodée. Couleur mastic puis jaune paille.-
07/12/2014Macrocybe giganteaStipe Description12-47 cm de hauteur, épaisseur de 1-3,5 cm au sommet, 1,5-7 (-12)cm à la base. Connés ou cespiteux.12-47 cm de hauteur, épaisseur de 1-3,5 cm au sommet, 1,5-7 (-12)cm à la base, cylindrique à subclavé (surtout les jeunes), Connés ou cespiteux à la base. Revêtement fibrilleux-rugueux, glabre à un peu floconneux, concolore, sur fond blanchâtre.-
07/12/2014Macrocybe giganteaSpores Descriptionblanches en masse, 5-7,5 x 3,5-5 µm.blanches en masse, 5-7,5 x 3,5-5 µm, ovoïdes à largement ellipsoïdes, à paroi mince, lisse, souvent avec une guttule, non-amyloïdes, non cyanophile. Basides tétrasporiques, 25-37,5 x 6-7,5 µm, étroitement clavées, granulations carminophiles absentes. Acystidié, -
07/12/2014Macrocybe giganteaEcologie DescriptionAffectionne les pentes terreuses nues, les friches et jachères (canne à sucre) ou sous feuillus. Inde, Ile Maurice, Japon (Kyushu, Okinawa).Vient en grosses touffes très denses. Affectionne les pentes terreuses nues, les friches et jachères (canne à sucre) ou sous feuillus. Inde, Ile Maurice, Japon (Kyushu, Okinawa).-
07/12/2014Phellodon tomentosusPhoto-Phellodon_tomentosus_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phellodon tomentosus, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
07/12/2014Macrocybe giganteaPhoto-Tricholoma_giganteum_2004_suenth_1.jpgAjout photo type Mixte pour Tricholoma giganteum, Copyright (c) 2004 S. Uehara, E. Nagasawa, T. Hongo
07/12/2014Tapinella atrotomentosaPhoto-Tapinella_atrotomentosa_1990_dg_2.jpgAjout photo type Mixte pour Tapinella atrotomentosa var. bambusinum Baker et Dale, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
07/12/2014Tapinella atrotomentosaRéférencesCD 1612 ; Bon p. 51 ; Marchand 236 ; Eyssartier et Roux p. 980CD 1612 ; Bon p. 51 ; Marchand 236 ; IOH p. 288 ; Eyssartier et Roux p. 980-
07/12/2014Tapinella atrotomentosaCommentairesSaveur amère.Saveur presque toujours amère. La variété bambusinum (Baker et Dale), décrite de Cuba sous bambous acclimatés, fréquente au Japon sous Phyllostachis bambusoides, se distingue par son tomentum plus clairsemé, et surtout par son pigment violet sombre dans toutes les parties, la chair violette fuligineuse à la coupe, et le noircissement de l'entier carpophore. Marcel Bon, après étude du pigment, lui attribuait un rang spécifique. -
07/12/2014Tapinella atrotomentosaChapeau Description-5-30 cm de diamètre, non circulaire mais dissymétrique, souvent excentrique en forme de rein ou presque latéral, très épais mais tendre, très tôt surbaissé-aplani, brusquement enroulé à la marge, brun d'ombre à brun ocre, à la fin creusé en entonnoir, revêtement pelucheux, devenant écaillé ou écorché et gercé. Réaction violette à l'ammoniaque.-
07/12/2014Tapinella atrotomentosaChair Description-épaisse, spongieuse, blanchâtre, citrin pâle sous la cuticule, devenant gris violacé par endroits; saveur en général amère, rarement douce. Odeur faible, plutôt agréable.-
07/12/2014Tapinella atrotomentosaLames Description-très serrées et très inégales, arquées en fer de faux, très étroites (4 mm) et fragiles (pouvant se séparer en bloc du chapeau), décurrentes et sinueuses, réunies à la base, interveinées, crème incarnat, puis crème ocracé ou jaunâtres, se tachant souvent de lilas violacé au toucher.-
07/12/2014Tapinella atrotomentosaStipe Description-3-6 x 2,5-5 cm, d'abord plus large que long, obèse et difforme, souvent appointi à l'extême base, entièrement couvert d'un feutrage velouté noirâtre contrastant fortement avec le chapeau.-
07/12/2014Tapinella atrotomentosaSpores Description-sporée cacao clair (ou cacao sombre si les lames touchent le papier). 5-7 x 3-4 µm, courtement ovales, lisses, jaunâtre très pâle sub microscopio. Cystides absentes, lacticifères étroits guttulés de jaune pâle. Trame bilatérale; Cuticule filamenteuse, à hyphes remplies d'un suc brun.-
07/12/2014Tapinella atrotomentosaEcologie Description-Juin à novembre, fréquent sur les vieilles souches et sous les conifères, rarement sous feuillus. Une variété à pigment violet sombre dans toutes les partie vient sous les bambous.-
04/12/2014Tapinella atrotomentosaPhoto-Tapinella_atrotomentosa_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tapinella atrotomentosa à pigment violet, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
03/12/2014Aureoboletus russelliiPhoto-Boletellus_russellii_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletellus russellii, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
02/12/2014Boletellus obscurecoccineusSynonymesBoletus o. Höhnel 1914Boletus o. Höhnel 1914 ; Boletellus puniceus (W.F. Chiu) X.H. Wang & P.G. Liu 2002 ; Boletus megasporus M. Zang 1980-
02/12/2014Boletellus obscurecoccineusRéférencesIH1 508IH1 508 ; IOH p. 353-
02/12/2014Boletellus obscurecoccineusCommentairesRessemble à Xerocomus fraternus en plus rosé, la spore est ici fort différente et plus grande.Ressemble à Boletus fraternus en plus rosé, mais la spore est ici fort différente et plus grande.-
02/12/2014Boletellus obscurecoccineusChapeau ImmuableNonOui ou Non-
02/12/2014Boletellus obscurecoccineusPores DescriptionTubes adnés, gris jaunâtre, puis jaune vif,, à la fin olivacé, pores petits et hexagonaux, 0,5-1 mm, concolores aux tubes, immuables.Tubes adnés, gris jaunâtre, puis jaune vif, à la fin olivacé. Pores petits et hexagonaux, 0,5-1 mm, concolores aux tubes, immuables.-
02/12/2014Boletellus obscurecoccineusSpores Description14-20 x 5-7 µm, longuement ellipsoïde, rainurée.14-20 x 5-7 µm, longuement ellipsoïdes, rainurées.-
02/12/2014Boletellus obscurecoccineusEcologie DescriptionJava, Bornéo, Nouvelle-Guinée, Chine, Japon, Afrique (Congo), vient sous fagaceae (Quercus, Castanopsis), plus rarement sous Pinus densiflore?Java, Bornéo, Nouvelle-Guinée, Chine, Japon, Taïwan, Corée, Afrique (Congo), vient sous fagaceae (Quercus, Castanopsis), plus rarement sous Pinus densiflora. Signalé également sous eucalyptus en Australie.-
02/12/2014Rhodocollybia butyraceaNoms françaisCollybie beurrée ; (エセオリミキ)Collybie beurrée (エセオリミキ)ponctuation ;
02/12/2014Gyroporus ballouiiNoms françaisBolet amer de Ballou ; キニガイグチBolet amer de Ballou (キニガイグチ)-
02/12/2014Boletellus obscurecoccineusPhoto-Boletellus_obscurecoccineus_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletellus obscurecoccineus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
30/11/2014Boletellus elatusPhoto-Boletellus_elatus_1987_tu_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletellus elatus récolte à pigment rouge absent, Copyright (c) 1987 Toshiho Ueda
30/11/2014Boletellus elatusPhoto-Boletellus_elatus_1984_dg_1.jpgAjout photo type Micro pour Boletellus elatus Type, Copyright (c) 1984 Daniel Guez
30/11/2014Boletellus elatusRéférences IH1 512 ; IOH p. 354 (gauche)-
30/11/2014Boletellus elatusCommentairesIH1 512 ; IOH p. 354 (gauche)Espèce peu commune mais largement distribuée et facile à reconnaître sur le terrain à son pied élancé et pruineux à la base épaissie, son chapeau et stipe colorés d'un brun chaud, sa chair et ses tubes immuables. La morphologie sporale le place dans la section Chrysentheroidei Singer.-
30/11/2014Boletellus elatusPhoto-Boletellus_elatus_1994_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletellus elatus, Copyright (c) 1994 Daniel Guez
30/11/2014Boletellus emodensisRéférencesIH1 507 ; IOH p. 350 ; BMBDS 116 p. 13 ; BSMF 25 p. 6 (Strobilomyces annamiticus Pat. 1909)IH1 507 ; IOH p. 350 ; BMBDS 116 p. 13 ; BSMF 25 p. 6 (Strobilomyces annamiticus Pat. 1909) ; Yoshimi 159-
30/11/2014Boletellus emodensisPores DécurrentsOuiNon-
30/11/2014Boletellus emodensisSynonymesBoletellus floriformis Imaz. 1952 ; Boletellus ananas (Curt.) Murill ss. Hongo in Imazeki et al. 1970 ; ? Strobylomyces pallescens ss. Yasuda 1916 ; Boletellus annamiticus ss. auct.Strobilomyces annamiticus Pat. 1909 ; Boletellus floriformis Imaz. 1952 ; Boletellus ananas (Curt.) Murill ss. Hongo in Imazeki et al. 1970 ; Boletellus annamiticus (Pat.) E.-J. Gilbert 1931 ; ? Strobilomyces pallescens ss. Yasuda 1916-
30/11/2014Boletellus emodensisNoms françaisBolet hirsute ; Bolet chrysanthème (キクバナイグチ)Bolet hirsute ; Bolet chrysanthème (キクバナイグチ) ; Strobilomyces annamite-
30/11/2014Boletellus emodensisRéférencesIH1 507 ; IOH p. 350IH1 507 ; IOH p. 350 ; BMBDS 116 p. 13 ; BSMF 25 p. 6 (Strobilomyces annamiticus Pat. 1909)-
30/11/2014Boletellus emodensisPores Description-Tubes adnés, 6-12 mm, jaune citrin, bleuissants instantanément au contact de l'air. Pores 0,5-1,2 mm de diamètre, arrondis puis anguleux, citrin vif, brunissants.-
30/11/2014Boletellus emodensisStipe CouleurBrun, Jaune, RougeJaune, Rouge, Vert-
30/11/2014Boletellus emodensisStipe FormeRadicant/Fusiforme, ClavéBulbeux/Ventru, Clavé-
30/11/2014Boletellus emodensisStipe AnneauNonOui-
30/11/2014Boletellus emodensisStipe Description-7-11 x 1-2,5 cm, quasi bulbeux à la base, souvent courbe, plein ferme, strié longitudinalement, jaune olivacé au milieu, rougeâtre aux extrémités, bleuissant au froissement. Anneau subapical épais et tenace, retroussé aux abords du stipe.-
30/11/2014Boletellus emodensisSpores Description-20-24 x 8,5-12,5 µm, ellipsoïdes, striées de rainures longitudinales ou obliques.-
29/11/2014Boletellus emodensisSynonymesBoletellus floriformis Imaz. 1952 ; Boletellus ananas ss. Hongo in Imazeki et al. 1970 ; ? Strobylomyces pallescens ss. Yasuda 1916 ; Boletellus annamiticus ss. auct.Boletellus floriformis Imaz. 1952 ; Boletellus ananas (Curt.) Murill ss. Hongo in Imazeki et al. 1970 ; ? Strobylomyces pallescens ss. Yasuda 1916 ; Boletellus annamiticus ss. auct.-
29/11/2014Boletellus emodensisComestibilitéSans intérêtComestible-
29/11/2014Boletellus emodensisCommentairesPlusieurs espèces très affines ont été décrites en zone subtropicale, notamment Boletellus ananas, du sud de l'Amérique du Nord, mais le bolet chrysanthème se distingue par ses tons vineux dans le chapeau et le stipe, et une spore plus grande. Une variété à squames plus petites et chair jaune vif a été signalée dans l'ouest de Honshu par Nagasawa en 1987.Donné comme comestible à l'état jeune. Plusieurs espèces très affines ont été décrites en zone subtropicale, notamment Boletellus ananas, du sud de l'Amérique du Nord, mais le bolet chrysanthème se distingue par ses tons vineux dans le chapeau et le stipe, et une spore plus grande. Une variété à squames plus petites et chair jaune vif a été signalée dans l'ouest de Honshu par Nagasawa en 1987.-
29/11/2014Boletellus emodensisChapeau CouleurBrun, RougeBrun, Mauve, Rouge-
29/11/2014Boletellus emodensisChapeau ImmuableOuiOui ou Non-
29/11/2014Boletellus emodensisChapeau Description5-10 cm, convexe à plan-convexe, à revêtement sec5-10 cm, hémisphérique puis convexe à plan-convexe, à revêtement sec, épais et séparable, d'abord densément couvert d'un tomentum squamuleux, constitué de mèches apprimées de 2-6 mm de largeur, habituellement rouge vineux foncé, plus rarement teinté de rose (le contexte contrastant en rouge pâle à blanchâtre sale, les squames pâlissant dans la vieillesse en perdant leur tons rougeâtres pour un brun grisâtre), bientôt se fissurant, avec le déploiement du chapeau, en plaques plus ou moins grandes sur toute la surface, qui confère à l'ensemble un aspect de chrysanthème ou d'ananas (Strobilomyces). Marge appendiculée par d'importants vestiges du voile qui recouvre entièrement l'hyménophore chez le jeune.-
29/11/2014Boletellus emodensisChair CouleurBlanc, Crème, JauneCrème, Jaune-
29/11/2014Boletellus emodensisChair Description-Chair épaisse et ferme, fibreuse dans le stipe, jaunâtre pâle, bleuissant à la coupe. Odeur nulle, saveur douce.-
29/11/2014Boletellus emodensisSaveurDouce ou Amère/PiquanteDouce-
29/11/2014Boletellus emodensisEcologie HabitatSous feuillusSous feuillus, Chênes, Pins-
29/11/2014Boletellus emodensisEcologie DescriptionHimalaya, Japon, Chine, Australie. Au Japon (Honshu, Shikoku et Kyûshu), vient en été et automne dans les bois mêlés de Pinus-Quercus, Abies-Castanopsis ou Castanopsis, généralement à terre, parfois sur branches mortes ou troncs vivants de Quercus et Cryptomeria (à moins d'1 m de hauteur), rarement sur les rochers moussus.Himalaya, Inde, Chine, Malaisie, Bornéo, Nouvelle Guinée. Au Japon (Honshu, Shikoku et Kyûshu), vient en été et automne dans les bois mêlés de Pinus-Quercus, Abies-Castanopsis ou Castanopsis, généralement à terre, parfois sur branches mortes ou troncs vivants de Quercus et Cryptomeria (à moins d'1 m de hauteur), rarement sur les rochers moussus.-
29/11/2014Boletellus emodensisCommentaires-Plusieurs espèces très affines ont été décrites en zone subtropicale, notamment Boletellus ananas, du sud de l'Amérique du Nord, mais le bolet chrysanthème se distingue par ses tons vineux dans le chapeau et le stipe, et une spore plus grande. Une variété à squames plus petites et chair jaune vif a été signalée dans l'ouest de Honshu par Nagasawa en 1987.-
29/11/2014Boletellus emodensisChapeau Description-5-10 cm, convexe à plan-convexe, à revêtement sec-
29/11/2014Boletellus emodensisSynonymesBoletellus floriformis Imaz. 1952 ; Boletellus ananas ss. auct. plur. jpn. ; Boletellus anamiticus ss. auct.Boletellus floriformis Imaz. 1952 ; Boletellus ananas ss. Hongo in Imazeki et al. 1970 ; ? Strobylomyces pallescens ss. Yasuda 1916 ; Boletellus annamiticus ss. auct.-
29/11/2014Boletellus emodensisRéférencesIH1 507IH1 507 ; IOH p. 350-
29/11/2014Boletellus emodensisEcologie DescriptionChine, Himalaya, Japon, Australie.Himalaya, Japon, Chine, Australie. Au Japon (Honshu, Shikoku et Kyûshu), vient en été et automne dans les bois mêlés de Pinus-Quercus, Abies-Castanopsis ou Castanopsis, généralement à terre, parfois sur branches mortes ou troncs vivants de Quercus et Cryptomeria (à moins d'1 m de hauteur), rarement sur les rochers moussus.-
28/11/2014Phallus indusiatusAuteurVent. : Pers. Ventenat 1798, Mém. Inst. nat. Sci. Arts 1: 520-
28/11/2014Phallus indusiatusSynonymes-Dictyophora indusiata (Vent.) Desv. 1809 ; Hymenophallus indusiatus (Vent.) Nees 1817-
28/11/2014Phallus indusiatusNoms françaisSatyre voiléSatyre voilé ; Tisseur de soie (キヌガサタケ)-
28/11/2014Phallus indusiatusRéférencesCD 1747CD 1747 ; IH1 909 ; IOH p. 522-523-
28/11/2014Phallus indusiatusCommentaires-Consommé en Chine. Frustrés de ne pas comprendre l'utilité de cette indusie spectaculaire, certains ont supposé qu'elle pourrait rendre le champignon plus visible aux insectes en mal d'odorat, ou faciliter l'escalade des rampanst vers le chapeau (voilà un fungi qui ajoute du "fun") comme les "Jungle Gyms" des jardins d'enfants.-
28/11/2014Phallus indusiatusCarpophore CouleurNoirBlanc, Mauve-
28/11/2014Phallus indusiatusCarpophore Description-Oeuf plus ou moins sphérique, 3-4-(6) cm de diamètre, blanc ou rarement se teintant de brun rougeâtre ou de mauve au frottement, munit d'un cordon mycélien et d'une touffe de rhizoïdes à la base. L'éclosion commence généralement dans les premières heures de la journée par la rupture du péridium sous la poussée du carpophore en expansion rapide (2-4 heures selon la température ambiante en zone pénétropicale). Chapeau conique, 1,5-4 cm, nettement distinct du stipe, fortement réticulé en relief, formant des cratères qui retiendront la gléba, rappelant à la fois les alvéoles des morilles et les mailles de son indusie qui en sera bientôt le prolongement. Sommet percé d'un méat circulaire, parfois saillant.-
28/11/2014Phallus indusiatusGléba Description-brun verdâtre à vert glauque, olive foncé, très visqueuse, épousant étroitement le relief du chapeau réticulé-alvéolé, à odeur nauséabonde et incommodante.-
28/11/2014Phallus indusiatusStipe Description-Cylindrique, 15-20-(25) cm x 1,5-3 cm, blanc, poreux et tubulaire, de consistance spongieuse, fait de 2 ou 3 couches de cellules aérées, aussi léger que du polystyrène. Sa vitesse de croissance est de 1-2 mm par minute selon la température et humidité ambiante. Le tricotage de l'indusie émerge du bord du chapeau, sous la gléba, pour descendre en cloche grillagée de dentelle blanche, jusqu'au contact du sol. Sa vitesse de croissance est de 2-4 mm/mn.-
28/11/2014Phallus indusiatusSpores Description-2-3 x 1-1,5 µm, ovales à elliptiques, étroites, lisses, hyalines.-
28/11/2014Phallus indusiatusEcologie Description-Thermophile et tropical, Afrique, Asie, Amérique du Sud, Australie, en juin et en automne au Japon, peu commun à rare, isolé ou en troupe, sous bambous ou rudéral-
27/11/2014Boletellus emodensisPhoto-Boletellus_emodensis_1999_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Boletellus emodensis jeunes, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
27/11/2014Boletellus emodensisPhoto-Boletellus_emodensis_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletellus emodensis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
27/11/2014Boletellus emodensisPhoto-Boletellus_emodensis_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletellus emodensis, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
27/11/2014Boletellus emodensisPhoto-Boletellus_emodensis_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletellus emodensis, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
26/11/2014Rhodocollybia butyraceaCommentaires Il existe une variété asema plus svelte et plus pâle, tirant sur le gris, au pied moins renflé, plus cylindrique (asema signifie "sans arguments"), la microscopie et l'odeur sont identiques. On les trouve d'ailleurs ensemble, mais la forme asema s'aventure plus volontiers dans l'herbe des lisières, cet habitat étant peut-être à l'origine des différences d'habitus. Il existe une "variété asema", plus svelte et plus pâle, tirant sur le gris, au pied moins renflé, plus cylindrique (asema signifie modestement "sans arguments", pour marquer la faiblesse des caractères différentiels), la microscopie et l'odeur étant identiques. On les trouve d'ailleurs ensemble, mais la forme asema s'aventure plus volontiers dans l'herbe des lisières, cet habitat étant peut-être à l'origine des différences d'habitus. [Description largement inspirée de Georges Becker]-
26/11/2014Rhodocollybia butyraceaLames DescriptionLes lames, assez large,sont presque libres, échancrées et serrées, à arête crénelée, blanches puis crème pâle.Les lames, assez larges,sont presque libres, échancrées et serrées, à arête crénelée, blanches puis crème pâle.-
26/11/2014Rhodocollybia butyraceaStipe DescriptionLe pied, de 6 à 10 cm de haut, est tspongieux, cortiqué, creux, conique quand il est court, appointi au sommet et bien renflé et laineux à la base, strié, roux ou bistré, de couleur chamois à brun ochracé vers le sommet devenant brun rougeâtre à vineux vers la base.Le pied, de 6 à 10 cm de haut, est spongieux, cortiqué, creux, conique quand il est court, appointi au sommet et bien renflé et laineux à la base, strié, roux ou bistré, de couleur chamois à brun ochracé vers le sommet devenant brun rougeâtre à vineux vers la base.-
26/11/2014Pycnoporus coccineusPores/Dessous DescriptionSurface inférieure porée, rouge orangé à rouge vif, "sang de dragon". Pores minuscules, 6-8/ mm. Tubes concolores 1-2 mm de long, contrastant vivement, à la coupe, avec le contexte subéreux plus pâle<Surface inférieure porée, rouge orangé à rouge vif, "sang de dragon". Pores minuscules, 6-8/ mm. Tubes concolores 1-2 mm de long, contrastant vivement, à la coupe, avec le contexte subéreux plus pâle.-
26/11/2014Pycnoporus coccineusStipe PrésentOuiNon-
26/11/2014Mutinus elegansPhoto-Mutinus_elegans_1999_dg_4.jpgAjout photo type Macro pour Mutinus elegans jeunes, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
25/11/2014Pycnoporus coccineusPores/Dessous DescriptionSurface inférieure porée, rouge orangé à rouge vif, "sang de dragon",let red"). Pores petits, 6-8/ mm. Tubes concolores 1-2 mm de long, contrastant vivement, à la coupe, avec le contexte subéreux plus pâle Surface inférieure porée, rouge orangé à rouge vif, "sang de dragon". Pores minuscules, 6-8/ mm. Tubes concolores 1-2 mm de long, contrastant vivement, à la coupe, avec le contexte subéreux plus pâle<-
25/11/2014Pycnoporus coccineusChair DescriptionSubéreuse mais devenant floconneuse ou cotonneuse à la cassure, virant immédiatement noircissant au KOH.Subéreuse mais devenant floconneuse ou cotonneuse à la cassure, noircissant immédiatement au KOH.-
25/11/2014Pycnoporus coccineusPhoto-Pycnoporus_coccineus_2014_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Pycnoporus coccineus, Copyright (c) 2014 Daniel Guez
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaPhoto-Rhodocollybia_butyracea_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Rhodocollybia butyracea variabilité des pigments (Japon), Copyright (c) 2000 Daniel Guez
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaPhotoRhodocollybia_butyracea_2014_dg_1.jpg-Suppression photo
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaPhoto-Rhodocollybia_butyracea_2014_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Rhodocollybia butyracea, Copyright (c) 2014 Daniel Guez
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaNoms françaisCollybie beurréeCollybie beurrée ; (エセオリミキ)-
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaRéférencesBon p. 179 ; CD 517 ; CD 518 ; Eyssartier et Roux p. 428Bon p. 179 ; CD 517 ; CD 518 ; IH1 134 ; IOH p. 109 ; Eyssartier et Roux p. 428-
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaCommentairesLa var. asema est plus pâle. Il existe une variété asema plus svelte et plus pâle, tirant sur le gris, au pied moins renflé, plus cylindrique (asema signifie "sans arguments"), la microscopie et l'odeur sont identiques. On les trouve d'ailleurs ensemble, mais la forme asema s'aventure plus volontiers dans l'herbe des lisières, cet habitat étant peut-être à l'origine des différences d'habitus.-
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaChapeau Description-Cette Collybie, peu appétissante pour un obsédé de la casserole, a un chapeau de 4 à 5 cm, toujours obtusément mamelonné, humide et de toucher gras (dit "lardacé"), lisse, brun sordide, bistre ou bai, pâlissant avec l'âge, souvent blanchâtre à la marge.-
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaLames CouleurCrèmeBlanc, Crème-
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaLames Description-Les lames, assez large,sont presque libres, échancrées et serrées, à arête crénelée, blanches puis crème pâle.-
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaChair Description-La chair est rousse, mais blanchit avec le temps. Saveur fade et odeur de beurre rance peu engageante.-
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaStipe Description-Le pied, de 6 à 10 cm de haut, est tspongieux, cortiqué, creux, conique quand il est court, appointi au sommet et bien renflé et laineux à la base, strié, roux ou bistré, de couleur chamois à brun ochracé vers le sommet devenant brun rougeâtre à vineux vers la base.-
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaSpores Description-La spore, blanche en masse, est en forme de virgule, finement aculéolée, de 8 µm, non amyloïde.-
24/11/2014Rhodocollybia butyraceaEcologie Description-En été et automne dans les bois, souvent en troupes le long des sentiers. Elle affectionne aussi les sapinières dont elle est l'un des premiers occupants.-
24/11/2014Gyroporus ballouiiSpores DescriptionSporée brun jaunâtre pâle à brun rougeâtre. Spore 5,5-8,5-(10) x 3-5 µm, ovoïde à elliptique.Sporée brun jaunâtre pâle à brun rougeâtre. Spore 5,5-8,5-(10) x 3-5 µm, ovoïde à elliptique. Pleurocystides 40-75 x 9-12 µm.-
24/11/2014Gyroporus ballouiiRéférencesIH1 568 ; IH1 568 ; IOH p. 334-
24/11/2014Gyroporus ballouiiChapeau Description2,5-10-(12)cm, convexe puis presque plan avec l'âge; revêtement piléique sec, quasi lisse à finement velouté, couleur vive rouge orangé dans la jeunesse, ternissant rapidement en brun rougeâtre sombre, brun cannelle à tan. Jaunissant à l'ammoniaque. FeSO4 gris verdâtre. Chemical Reactions: Ammonia yellow on cap; negative on flesh. KOH yellow on cap and flesh. Iron salts olive gray on cap; bluish gray on flesh.2,5-10-(12)cm, convexe puis presque plan avec l'âge; revêtement piléique sec, quasi lisse à finement velouté, couleur vive rouge orangé dans la jeunesse, ternissant rapidement en brun rougeâtre sombre, brun cannelle à tan. Jaunissant à l'ammoniaque. FeSO4 gris verdâtre.-
24/11/2014Gyroporus ballouiiPhoto-Tylopilus_balloui_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tylopilus balloui, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
23/11/2014Tricholoma magnivelareNoms françaisArmillaire lourd ; Tricholome à grand voile ; MatsutakeArmillaire lourd ; Tricholome à grand voile ; Matsutaké Américain-
23/11/2014Tricholoma magnivelareCommentairesLien Mushroomexpert.comLien Mushroomexpert.com Malgré son surnom de "American Matsutake", cette espèce n'est pas le véritable et très jalousé "Matsou-také" (Tricholoma matsutake Singer) du Japon inféodé au Pinus densiflora.-
23/11/2014Phylloporus bellusCommentairesLongtemps donné comme comestible, mais certains personnes ayant été victimes de malaises et de légères intoxications, il est prudent de s'abstenir de la consommer.Longtemps donné comme comestible, mais certaines personnes ayant été victimes de malaises ou de légères intoxications, il est prudent de s'abstenir de la consommer.-
23/11/2014Phylloporus bellusPhoto-Phylloporus_bellus_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phylloporus bellus, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
23/11/2014Phylloporus bellusPhoto-Phylloporus_bellus_1989_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Phylloporus bellus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
23/11/2014Phylloporus bellusNoms français-Phyllopore joli ; Bolet à lames jaunes (キヒダタケ)-
23/11/2014Phylloporus bellusCommentairesLongtemps donné comme comestible, mais certains personnes ont été victimes de malaises et de légères intoxications.Longtemps donné comme comestible, mais certains personnes ayant été victimes de malaises et de légères intoxications, il est prudent de s'abstenir de la consommer.-
23/11/2014Phylloporus bellusPhoto-Phylloporus_bellus_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phylloporus bellus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
22/11/2014Entoloma incanumSynonymes-Leptonia chloropodia ; Rhodophyllus i.-
22/11/2014Entoloma incanumRéférencesBon p. 195 ; CD 947 ; Eyssartier et Roux p. 626 ; FE 5 p. 512Bon p. 195 ; CD 947 ; Eyssartier et Roux p. 626 ; FE 5 p. 512 ; Boud. pl. 99 (Leptonia chloropodia) ; BK 4 42 ; RdM 40-1 p. 8 ; Heim p. 482 (Rhodophyllus euchlorus) ; KR p. 203 ; L p. 126, 347 (Rhodophyllus euchlorus) ; DM 122 p. 4 ; Moser p. 360 ; Noordeloos Entoloma p. 512 ; Phillips p. 117 -
21/11/2014Trichaptum abietinumNoms françaisTramète lilas ; Polypore du sapin ; シハイタケTramète lilas ; Polypore du sapin (シハイタケ)-
21/11/2014Phallus luteusNoms françaisSatyre à voile jaune ; ウスキキヌガサタケSatyre à voile jaune (ウスキキヌガサタケ)-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusSynonymesPleurotus tessulatusPleurotus tessulatus ; P. tesselatus ; Hypsizygus marmoreus ; Hypsizygus elongatipes-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusNoms français-Shimédji du hêtre ; ブナシメジ-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusComestibilitéSans intérêtBon comestible-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusRéférencesKR p. 168 N 8 ; Eyssartier et Roux p. 356KR p. 168 N 8 ; BMBDS 142 p. 6-10 ; DM Hors-série N°5 p. 102 ; CD 471 ; IOH 58-59 ; Eyssartier et Roux p. 356 -
20/11/2014Hypsizygus tessulatusCommentaires-Excellent comestible, cultivé à grande échelle au Japon depuis une trentaine d'années sous le nom de "Bouna-shimédji".-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusChapeau Surface-Sublisse-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusChapeau Description-4-12 cm, convexe puis étalé, humide, glabre, lisse, distinctement tessellé et guttulé par l'humidité au centre ou vers la marge, hygrophane, blanchâtre à chamois, crème rosâtre à brunâtre -
20/11/2014Hypsizygus tessulatusChair Description-ferme et épaisse mais tendre, blanche sordescente à chamois rosâtre, odeur agréable, légèrement anisée ou fruitée, saveur douce et fongique.-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusLames Description-adnées à sinuées, avec des filets sur le haut du pied, larges, interveinées, serrées à subespacées, intercalées de lamellules, subconcolores au chapeau. Sporée blanchâtre.-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusStipe Description-4-15 X 0,4-2 cm, parfois excentré, subégal, parfois radicant, souvent courbe, très ferme, plein, pruine blanche à l'apex, lisse vers la base, blanchâtre.-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusSaveur-Douce-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusOdeurFarineFarine, Fruitée-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusSpores Description-globuleuses à subglobuleuses, lisses, hyalines, non amyloïdes, 4-5(6) X 3,5-4,5 µm.-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusEcologie Habitat-Sous feuillus-
20/11/2014Hypsizygus tessulatusEcologie Description-Assez rare en Europe, vient en touffes denses sur bois vivant ou pourri de feuillus, en été-automne. Au Canada, surtout sur peupliers et érables à sucre, ou parfois sur bouleaux.-
20/11/2014Phallus luteusPhoto-Phallus_luteus_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phallus luteus, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
20/11/2014Phallus luteusNoms françaisSatyre à voile jauneSatyre à voile jaune ; ウスキキヌガサタケ-
20/11/2014Phallus luteusComestibilité-Comestible-
20/11/2014Phallus luteusCommentairesdiffère de Phallus indusiatus par: indusie jaune volve lilacine mycélium violaçant à l'air La forme lutea se distingue du type par son indusie d'un beau jaune d'œuf, la volve rougissante et le mycélium violaçant. On a beau savoir que tous les Phallus ont une indusie, elle est pratiquement invisible, réduite à quelques millimètres, elle ne dépasse guère du chapeau. Au contraire du sous-genre Dictyophora, ou elle enferme tout le champignon dans une cage grillagée. La structure fine et légère comme de la dentelle est entièrement démontable, comme une lampe de chevet (ampoule, pied et abat-jour ! ) ... La croissance du champignon est rapide à partir de l'éclosion de l'oeuf. Deux heures suffisent le plus souvent à l'achèvement du tricotage de l'indusie, plus d'un millimètre par minute, que l'on peut détecter à l'oeil nu. -
20/11/2014Phallus indusiatusPhoto-Phallus_indusiatus_1989_sy_1.jpgAjout photo type Macro pour Phallus indusiatus, Copyright (c) 1989 Shouitchi Yoshimi
20/11/2014Trichaptum abietinumCommentairesSe caractérise par la petite taille et la trame à deux couches distinctes de ses chapeaux, ainsi que son hyménophore tubulé, denté, jamais nettement lamellé ni radié, ses très tubes courts et ses pores lilacins dans la jeunesse.Se caractérise par la petite taille et la trame à deux couches distinctes de ses chapeaux, ainsi que son hyménophore tubulé, denté, jamais nettement lamellé ni radié, ses tubes très courts et ses pores lilacins dans la jeunesse.-
20/11/2014Trichaptum abietinumAuteurPers. ex J.F. Gmel.) Ryvarden 1972(Pers. ex J.F. Gmel.) Ryvarden 1972-
20/11/2014Trichaptum abietinumCommentairessaisie en cours...Se caractérise par la petite taille et la trame à deux couches distinctes de ses chapeaux, ainsi que son hyménophore tubulé, denté, jamais nettement lamellé ni radié, ses très tubes courts et ses pores lilacins dans la jeunesse.-
20/11/2014Trichaptum abietinumPores/Dessous CouleurBrun, Crème, MauveBrun, Crème, Gris, Mauve-
20/11/2014Trichaptum abietinumPores/Dessous DescriptionPores circulaires puis anguleux, 0,2-0,5 mm de diamètre, 2 à 4 pores par mm, parfois lacérés-dentés. Tubes très courts, 0,3-0,5 mm de long.Pores circulaires puis anguleux, 0,2-0,5 mm de diamètre, 2 à 4 pores par mm, parfois lacérés-dentés, dédaléens par endroits, pruineux, gris violacé à roussâtre, vineux pâle avec l'âge. Tubes très courts, 0,3-0,5 mm de long, paroi mince, brun lilacin. Sporée blanche.-
20/11/2014Trichaptum abietinumChair DescriptionTrame très mince, coriace mais souple à l'état imbu sur le frais, dure et rigide en séchant, bistrate, la couche supérieure X 0,3 mm, tomenteuse, blanc gris verdâtre, l'intérieure X 0,25 mm .Trame très mince, coriace mais souple à l'état imbu, dure et rigide en séchant, bistrate, la couche supérieure X 0,3 mm, tomenteuse, blanc gris verdâtre, l'intérieure X 0,25 mm, céracée, voire translucide, brun bistre.-
20/11/2014Trichaptum abietinumSpores Description-6,2-8,8 X 2,5-3,25 µm, ellipsoïdes-allongées, cylindracées. Paroi hyaline, mince, lisse, non amyloïde. Basides 12-16 X 5-5,6 µm, majoritairement à 2 stérigmates courts. Cystides abondantes, cylindriques à fusiformes, incolores, 15-25 X 3-8,5 µm, à paroi plus ou moins épaisse, lisses ou couronnées de cristaux. Structure dimitique, boucles présentes aux hyphes génératrices.-
20/11/2014Trichaptum abietinumEcologie Description-Cosmopolite et commun toute l'année sur troncs gisants, souches, racines, bois-chablis, bois de clôture, etc. de conifères: pin, sapin, épicéa, mélèze, etc. qu'il colonise de longues plaques de chapeaux résupinés ou imbriqués, en provoquant une pourriture blanchâtre.-
19/11/2014Trichaptum abietinumAuteur(Pers. : Fr.) Ryvarden 1972Pers. ex J.F. Gmel.) Ryvarden 1972-
19/11/2014Trichaptum abietinumSynonymesHirschioporus abietinusPolystictus abietinus ; Trametes abietina ; Hirschioporus abietinus-
19/11/2014Trichaptum abietinumNoms françaisTramète lilasTramète lilas ; Polypore du sapin ; シハイタケ-
19/11/2014Trichaptum abietinumRéférencesBon p. 319 ; CD 96 ; Marchand 260BG 867 ; DM 100 p. 69 ; Bon p. 319 ; CD 96 ; Marchand 260 ; BK 2 360 ; Phillips p. 237 ; IH2 803 ; IOH 476 -
19/11/2014Trichaptum abietinumCommentaires-saisie en cours...-
19/11/2014Trichaptum abietinumChapeau/Dessus Couleur-Blanc, Gris, Vert, Résupiné-
19/11/2014Trichaptum abietinumChapeau/Dessus Description-étalé-réfléchi, 1-4 cm de diamètre, 0,7-2,5 cm de projection et 1-1,5 mm d'épaisseur dimidié ou en éventail à pétaliforme, puis conchoïde sur le sec, fixé au support par un point dorsal ou soudé à d'autres chapeaux en rangées latérales ou complètement résupiné. Surface tomenteuse-feutrée, marquée de vagues zones et sillons concentriques, blanchâtre à gris cendré, verdie par les algues. Marge aiguë et ondulée, lobée, stérile, pubescente, souvent bordée de lilacin, puis concolore.-
19/11/2014Trichaptum abietinumPores/Dessous Couleur-Brun, Crème, Mauve-
19/11/2014Trichaptum abietinumPores/Dessous Description-Pores circulaires puis anguleux, 0,2-0,5 mm de diamètre, 2 à 4 pores par mm, parfois lacérés-dentés. Tubes très courts, 0,3-0,5 mm de long.-
19/11/2014Trichaptum abietinumChair Description-Trame très mince, coriace mais souple à l'état imbu sur le frais, dure et rigide en séchant, bistrate, la couche supérieure X 0,3 mm, tomenteuse, blanc gris verdâtre, l'intérieure X 0,25 mm .-
19/11/2014Trichaptum abietinumStipe Présent-Non-
15/11/2014Trichaptum abietinumPhoto-Trichaptum_abietinum_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Trichaptum abietinum, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
12/10/2014Roridomyces roridusRéférencesBon p. 183 ; BK 3 360 ; CD 613 ; Courtecuisse p. 710 ; Eyssartier et Roux p. 380Bon p. 183 ; BK 3 360 ; CD 613 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 710 ; Eyssartier et Roux p. 380Ajout référence conforme à la nouvelle entrée biblio Courtecuisse 2000
12/10/2014Roridomyces roridusCommentairesStipe englué dans une gangue de mucus hyalin très épais. Habitat sur brindilles, souvent sur ronces. Espèce assez rare, quoique largement distribué dans tout l'hémisphère Nord.Stipe englué dans une gangue de mucus hyalin très épais. Habitat sur brindilles, souvent sur ronces. Espèce assez rare, quoique largement distribuée dans tout l'hémisphère Nord.Ajout référence conforme à la nouvelle entrée biblio Courtecuisse 2000
12/10/2014Roridomyces roridusRéférencesBon p. 183 ; BK 3 360 ; CD 613 ; Eyssartier et Roux p. 380Bon p. 183 ; BK 3 360 ; CD 613 ; Courtecuisse p. 710 ; Eyssartier et Roux p. 380Changement de genre à débattre : Roridomyces roridus (Scop. : Fr.) Rexer
12/10/2014Roridomyces roridusCommentairesStipe enrobé par une masse gluante.Stipe englué dans une gangue de mucus hyalin très épais. Habitat sur brindilles, souvent sur ronces. Espèce assez rare, quoique largement distribué dans tout l'hémisphère Nord.Changement de genre à débattre : Roridomyces roridus (Scop. : Fr.) Rexer
12/10/2014Roridomyces roridusChapeau CouleurBlanc, Crème, GrisBlanc, Brun, Crème, GrisChangement de genre à débattre : Roridomyces roridus (Scop. : Fr.) Rexer
12/10/2014Roridomyces roridusChapeau Description-0,5-1 cm, globuleux puis convexe, parfois un peu déprimé, souvent ridulé à la marge, gris-beige pâle à brunâtre, plus sombre au centre. Marge striée, parfois festonnée.Changement de genre à débattre : Roridomyces roridus (Scop. : Fr.) Rexer
12/10/2014Roridomyces roridusChair Description-mince, subconcolore ou pâle.Changement de genre à débattre : Roridomyces roridus (Scop. : Fr.) Rexer
12/10/2014Roridomyces roridusLames TypeDécurrentesAdnées, DécurrentesChangement de genre à débattre : Roridomyces roridus (Scop. : Fr.) Rexer
12/10/2014Roridomyces roridusLames Description-largement adnées à décurrentes, assez peu serrées, blanchâtres.Changement de genre à débattre : Roridomyces roridus (Scop. : Fr.) Rexer
12/10/2014Roridomyces roridusStipe Description-1-4 cm x 0,5-1 mm, englué dans une gangue très épaisse de mucus hyalin, brillant par temps sec.Changement de genre à débattre : Roridomyces roridus (Scop. : Fr.) Rexer
12/10/2014Roridomyces roridusSpores Description-10-14 x 4-6 µm, cylindro-elliptiques, étirées, amyloïdes. Basides bisporiques, 20-35 x 5-8 µm. Cheilocystides 20-40 x 5-10 µm, fusi-lagéniformes, à col assez large, parfois clavé, souvent avec des gouttes d'exsudat peu réfringent. Trame vineuse dans le Melzer. Revêtement piléique hyméniforme, à hyphes clavées à largement capitées, x 10-25 µm. Pigment intracellulaire brun.Changement de genre à débattre : Roridomyces roridus (Scop. : Fr.) Rexer
25/04/2014Agaricus xanthodermusPhoto-Agaricus_xanthoderma_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Agaricus xanthoderma var. lepiotoides, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
26/11/2013Hypholoma fasciculareCommentairesHym. brun orangé à jaune citrin. Lames jaunes puis verdâtre. Souvent sur souches.Hyménium brun orangé à jaune citrin. Lames jaunes puis verdâtre. Souvent sur souches. Toxique parfois mortel DIAK J. (1975). The study of some compounds biosynthesized by Naematoloma fasciculare (Huds ex Fr.) P. Karst. Part. I. Analysis in vitro. Polish Journal of Pharmacology & Pharmacy 27 (2), 235-241. DIAK J. (1977). Investigation on some compounds biosynthesized by fruitbodies of naematoloma fasciculare. Planta Medica 32 (2), 181-187. HERBICH J., LOHWAG K., and ROTTER R. (1966). Fatal poisoning with the green-leaf sulfur cap (Nematoloma fascicularis). Arch. Toxikol. 21 (5), ITO Y., KURITA H., YAMAGUCHI T., and SATO M. (1967). Naematolin, a new biologically active substance produced by Naematoloma fasciculare (Fr.) Karst. Chemical & Pharmaceutical Bulletin 15 (12), 2009-2010. KUBO I., MATSUMOTO A., KOZUKA M., and W.F., W. (1985). Calmodulin inhibitors from the bitter muschroom Naematolola fasciculare (Fr.) Karst. (Strophariaceae) and Absolute configuration of fasciculols. Chem. Pharm. Bull. 33 (9), 3821-3825. SUZUKI K., FUJIMOTO H., and M., Y. (1983). The toxic principles of Naematoloma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 31 (6), 2176-2178. TAKAHASHI A., KUSANO G., OHTA T., and Y., O. (1989). Fasciculic Acids A, B and C as calmodulin antagonists from the mushroom Naematololoma fasciculare. Chem. Pharm. Bull. 37 (12), 3247-3250. -
26/11/2013Hypholoma fascicularePhoto-Hypholoma_fasciculare_1984_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hypholoma fasciculare, Copyright (c) 1984 Daniel Guez
23/11/2013Hypholoma elongatumPhoto-Hypholoma_elongatum_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hypholoma elongatum, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
23/11/2013Hypholoma elongatumPhotoHypholoma_elongatum_1987_dg_1.jpg-Suppression photo : couleurs peu fidèles à diapo
23/11/2013Hypholoma elongatumPhoto-Hypholoma_elongatum_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hypholoma elongatum, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
23/11/2013Hypholoma marginatumNoms françaisHypholome disséminé ; Hypholome marginéHypholome disséminé ; H. cortiné ; Psilocybe marginé-
23/11/2013Hypholoma marginatumPhoto-Hypholoma_marginatum_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hypholoma marginatum, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
23/11/2013Hypholoma marginatumAuteur(Pers.) Schroeter 1889(Pers.) J. Schroet. 1889synonymes complétés
23/11/2013Hypholoma marginatumSynonymesH. dispersumH. dispersum Quél. 1879 ; Geophila dispersa (Quél.) Quél. 1886 ; Naematoloma marginatum (J. Schröt.) Courtec. 1986 ; Psilocybe marginata (J. Schröt.) Noordel. 1995 ; synonymes complétés
23/11/2013Hypholoma marginatumNoms françaisHypholome disséminéHypholome disséminé ; Hypholome marginésynonymes complétés
23/11/2013Hypholoma marginatumRéférencesBK 4 412 ; Bon p. 253 ; CD 1290 ; Eyssartier et Roux p. 830BK 4 412 ; Bon p. 253 ; CD 1290 ; Cetto 910 ; Eyssartier et Roux p. 830synonymes complétés
22/11/2013Marasmius purpureostriatusPhoto-Marasmius_purpureostriatus_1958_th_1.jpgAjout photo type Dessin pour Marasmius purpureostriatus Typus, Copyright (c) 1958 Tsuguo Hongo
18/11/2013Lactarius gracilisCommentairesCe lactaire a un port trompeur de Laccaria par sa petite taille et son pied grêle (inde nomen), est aussi remarquable par sa marge hirsute (cutis rompu en mèches triangulaires dressées) et ses lames se tachant de brun orangé.Ce lactaire a un port trompeur de Laccaria par sa petite taille et son pied grêle (inde nomen), est aussi remarquable par sa marge hirsute (cutis rompu en mèches triangulaires dressées) et ses lames se tachant de brun orangé. Commentaires de Marcel Bon sur les exsicata : Rhysocybe pour leur rev. celluleux mais marge + trichodermique. Classement vers Tabidi ou Olentes Obscurati et si odeur différente cf.serifluus (micro possible). Spores subglobuleuses, subréticulées. Cystides? Suprapellis +/- celluleux (Rhysocybe, sauf marge + trichodermique) -
18/11/2013Lactarius gracilisSpores Description7-7,8 x 6-6,8µm, subglobuleuses, ornées de verrues saillantes avec réticulum épais. Sporée crème. Pleurocystides 25-28 x 6,5-9,5 µm, cylindro-clavées (en massue), assez peu évidentes. 7-7,8 x 6-6,8µm, subglobuleuses, ornées de verrues saillantes avec réticulum épais. Sporée crème. Pleurocystides 25-28 x 6,5-9,5 µm, cylindro-clavées (en massue), assez peu évidentes.-
18/11/2013Stropharia cyaneaAuteurKreiselKreisel 1979-
18/11/2013Stropharia cyaneaSynonymescyaneaS. cyanea p.p.-
18/11/2013Stropharia cyaneaChapeau CouleurBleu, VertBleu, Jaune, Vert-
18/11/2013Stropharia cyaneaChapeau Description-4-8 cm, bleu verdâtre, puis jaunâtre, visqueux, lisse, seule la marge est à peine floconneuse.-
18/11/2013Stropharia cyaneaChair Description-bleutée à ocracée.-
18/11/2013Stropharia cyaneaLames Description-ocre rosé, puis chamois purpurin pâle. Arête concolore.-
18/11/2013Stropharia cyaneaStipe Description-jusqu'à 10 x 1,5 cm, bleu verdâtre, fibrilleux à floconneux. Anneau fugace. Rhizoïdes blancs à la base.-
18/11/2013Stropharia cyaneaSpores Description7;5-9 x 4.5-6 µm7,5-9 x 4,5-6 µm-
18/11/2013Stropharia cyaneaHabitat DescriptionEndroits riches en matières organiquesAssez commune par endroits. Rudérale. Décharges et endroits riches en matières organiques.-
18/11/2013Stropharia cyaneaPhoto-Stropharia_caerulea_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Stropharia caerulea, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
11/11/2013Russula kansaiensisHabitat DescriptionPas rare en été-début d'automne sous Castanopsis, Quercus serrata et Q. acutissima. Signalé en Chine et en Corée (?)Pas rare en été-début d'automne sous Castanopsis, Quercus serrata et Q. acutissima, ou bois mêlés Quercus-Pinus. Japon (Kyôto, Shiga). Signalé en Chine et en Corée (?)-
11/11/2013Russula kansaiensisPhoto-Russula_kansaiensis_1979_th_1.jpgAjout photo type Mixte pour Russula kansaiensis, Copyright (c) 1979 Tsuguo Hongo
11/11/2013Russula kansaiensisNoms françaisRussule du Kansaï ; Russule candide (ヒナベニタケ)Russule du Kansaï ; Russule fillette (ヒナベニタケ)-
11/11/2013Russula kansaiensisRéférencesIH1 610IH2 610-
11/11/2013Russula kansaiensisCommentairesÉvoque notre candide Russula puellaris d'Europe par sa petite taille, son chapeau vineux à tache centrale sombre et cannelé, mais sa sporée est un peu plus pâle et l'habitat plus limité aux Fagacées pénétropicaux. Évoque une petite Russula puellaris d'Europe par sa très petite taille, saveur douce, sporée crème, son chapeau vineux à tache centrale sombre et cannelé, mais sa sporée est un peu plus pâle et l'habitat plus limité aux Fagacées pénétropicaux. -
11/11/2013Russula kansaiensisSpores DescriptionSporée crème pâle. Spores 7,5-9,5 x 6-7,5 µm, largement ellipsoïdes, échinulées. Pleurocystides 40-47 x 8,5-14 µm, clavées et mucronées au sommet.Sporée crème pâle. Spores 7,5-9,5 x 6-7,5 µm, largement ellipsoïdes, échinulées. Pleurocystides 40-47 x 8,5-14 µm, clavées et mucronées au sommet. Cheilocystides 30-37 x 7-12 µm, en grand nombres, semblables aux pleurocystides; Cuticule d'hyphes filamentiformes, gélifiée, dermatocystides intriquées.-
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusChapeau Description3-7 cm, convexe puis plan et un peu déprimé, faiblement mamelonné, marge mince un peu enroulée au début, revêtement lisse, visqueux par l'humidité, velouté sur le sec sec, roux orangé vif à fauve orangé, parfois jaune orangé, non zoné, pâlissant uniformément. 3-7 cm, convexe puis plan et un peu déprimé, faiblement mamelonné, marge mince un peu enroulée au début, revêtement lisse, visqueux par l'humidité, velouté sur le sec, roux orangé vif à fauve orangé, parfois jaune orangé, non zoné, pâlissant uniformément. -
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusStipe CouleurOrangeCrème, Jaune, Orangecompléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusStipe Description-4-6 x 0,5-1 cm, glabre, au toucher gras, inégal, parfois subfusiforme,vite creux, d'abord crème jaunâtre puis roux orangé vif.compléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusChair Immuable-Ouicompléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusChair Description-blanchâtre à crème, lait blanc immuable (même à l’eau anilinée), saveur désagréable, à la fois un peu âcre et amère; odeur faible caoutchoutée.compléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusSaveurAcre, DouceAcre, Amèrecompléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusOdeurRésine, Faible/NulleCaoutchouc, Résine, Faible/Nullecompléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusSpores Description-7-9 x 6-7 μm, elliptiques, non verruqueuses mais ornées de crêtes finement reliées en filet. Epicutis constitué d' hyphes étroites 3-4 μm, congophiles. compléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusHabitat Description-Assez rare en plaine sous feuillus mêlés, plus fréquent en altitude moyenne sous conifères, épicéas.compléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusSynonymesL. aurantiacus selon auteursL. aurantiacus (Pers.: Fr.) S.F. Gray selon auteurs ; L. mitissimus ss. Mosercompléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusCommentaires-Lactarius mitissimus se distingue par son chapeau plus mince et moins lubrifié, ses couleurs plus pâles et sa saveur presque douce. Lactarius fulvissmus se distingue par sa cuticule de type ixotrichoderme à hyphes filamenteuses, peu gélifiées.compléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusChapeau Description-3-7 cm, convexe puis plan et un peu déprimé, faiblement mamelonné, marge mince un peu enroulée au début, revêtement lisse, visqueux par l'humidité, velouté sur le sec sec, roux orangé vif à fauve orangé, parfois jaune orangé, non zoné, pâlissant uniformément. compléments
10/11/2013Lactarius aurantiofulvusLames Description-Lames adnées, assez serrées, presque horizontales, crème ocracé rosâtre, roussissant un peu au froissement.compléments
10/11/2013Pluteus cervinusRéférencesBK 4 104 ; Bon p. 197 ; CD 858 ; Eyssartier et Roux p. 266 ; Cetto 3 p. 231BK 4 104 ; Bon p. 197 ; CD 858 ; DM n°111 clé du genre Pluteus par M. Citérin & G. Eyssartier ; Eyssartier et Roux p. 266 ; Cetto 3 p. 231ref DM
10/11/2013Pluteus cervinusCommentairesIsolés, grégaires, en troupes ou en petits fascicules. Fréquent. Printemps-automne. Remarques : La forme P. cervinus albus est beaucoup moins courante, pas de boucles, cheilos largement clavées à sphéropédonculées ( 50-55 x 23-27 µm. ( détermination Thierry Duchemin ) Isolés, grégaires, en troupes ou en petits fascicules. Fréquent. Printemps-automne. Remarques : La forme albus de P. cervinus est beaucoup moins courante, pas de boucles, cheilos largement clavées à sphéropédonculées, 50-55 x 23-27 µm (détermination Thierry Duchemin). La récolte de Saint-Germain-en-Laye a été déterminée par Henri Romagnesi, au rang variétal.complément forme albus Veling. et det.
10/11/2013Austroboletus gracilisPhoto-Austroboletus_gracilis_1987_thcc_1.jpgAjout photo type Dessin pour Austroboletus gracilis, Copyright (c) 1987 T. Hongo & C.M. Chen
10/11/2013Austroboletus gracilisPhotoAustroboletus_gracilis_1987_th_1.jpg-Suppression photo : erreur de légende
10/11/2013Austroboletus gracilisPhoto-Austroboletus_gracilis_1987_th_1.jpgAjout photo type Dessin pour Austroboletus gracilis, Copyright (c) 1987 Tsuguo Hongo
10/11/2013Pseudocolus fusiformisRéférencesIH1 898 ; IOH 516IH2 898 ; IOH p. 516-
10/11/2013Calvatia cyathiformisNoms françaisCalvatie en cyatheCalvatie en cyathe ; Lycoperdon violet (スミレホコリタ)-
10/11/2013Calvatia cyathiformisRéférencesSarasini p. 163 ; Eyssartier et Roux p. 1046IH2 p. 209 ; CD 1732 ; Sarasini p. 163 ; Eyssartier et Roux p. 1046-
10/11/2013Calvatia craniiformisRéférencesIH1 885 ; IOH p. 510-511IH2 885 ; IOH p. 510-511-
10/11/2013Calostoma japonicumAuteurHenn. 1902P. Henn. 1902-
10/11/2013Calostoma japonicumRéférencesIH1 867 ; IOH p. 503IH2 867 ; IOH p. 503-
10/11/2013Boletus violaceofuscusRéférencesIH1 545 ; IOH p. 318-319IH2 545 ; IOH p. 318-319-
10/11/2013Baorangia pseudocalopusRéférencesIH1 552 ; IOH 328IH2 552 ; IOH p. 328-
10/11/2013Boletus fraternusRéférencesIH1 551 ; IOH 327IH2 551 ; IOH p. 327-
10/11/2013Austroboletus gracilisHabitat Descriptionété-automne, le plus souvent isolé, parfois en abondance, surtout dans les bois de feuillus (Fagacées) ou mêlés de conifères (Pinus, Abies...). Japon, Amérique du Nord orientale, Nouvelle-Guinée, Tibet(?)été-automne, le plus souvent isolé, parfois en abondance, surtout dans les bois de feuillus (Fagacées) ou mêlés de conifères (Pinus, Abies...). Japon, Amérique du Nord orientale, Nouvelle-Guinée, Taïwan, Tibet, Chine(Yunnan)-
10/11/2013Austroboletus gracilisSynonymesBoletus gracilis Peck 1872 Tylopilus gracilis ( Peck ) Henn. 1908 Porphyrellus gracilis ( Peck ) Singer 1945Boletus gracilis Peck 1872 Tylopilus gracilis (Peck) P. Henn. 1908 Porphyrellus gracilis (Peck) Sing. 1945-
10/11/2013Austroboletus gracilisNoms français Bolet grêle Bolet grêle ; Bolet écorce de châtaigne (クリカワヤッシャイグチ) -
10/11/2013Austroboletus gracilisRéférencesBibliotheca MycologicaBibliotheca Mycologica ; IH1 504 ; IOH p. 349-
10/11/2013Austroboletus gracilisCommentairesImmuable à la coupe. Assez commun. De Juin à Octobre. Cet Austrobolet immuable, se caractérise par son port élancé, ses tons bruns chauds et sa face poroïde rosée à maturité. Il ne pousse pas tous les ans et n'est jamais abondant, du moins en Amérique.-
10/11/2013Austroboletus gracilisChapeau CouleurBrun, RougeBrun, Orange, Rouge-
10/11/2013Austroboletus gracilisChapeau VisqueuxNonOui ou Non-
10/11/2013Austroboletus gracilisChapeau DescriptionConvexe à largement convexe, 3-10 ( 15 ) cm de diamètre, marron rougeâtre à brun cannelle au sec, granuleux et devenant fissuré.Hémisphérique à largement convexe, 3-8(10) cm de diamètre, surface densément veloutée-subtomenteuse, lubrifiée par temps humide, marron à brun rougeâtre, parfois brun orangé à cannelle, souvent finement craquelée ou aréolée et parfois comme veinée-ridulée à maturité. Marge du chapeau unie, sans trace de voile.-
10/11/2013Austroboletus gracilisChair CouleurBlanc, RougeBlanc-
10/11/2013Austroboletus gracilisChair DescriptionBlanche ou rougeâtre-teinté près de la cuticule. Odeur non distincte, saveur douce.Assez molle, blanche ou parfois légèrement lavée de rosâtre, immuable à l'air. Odeur peu remarquable, saveur douce à amariuscule. Chair blanche dans le stipe.-
10/11/2013Austroboletus gracilisPores DescriptionBlanc à brun-rosé, 1 à 2 par mm. Sporée brun rouille ou brun rougeâtre foncé. Tubes jusqu'à 2 cm de hauteur, profondément déprimés autour du stipe, inégaux, blanc à brun couleur chair , puis rosâtre.Blanc à brun-rosé, 1 à 2 par mm. Sporée brun légèrement rougeâtre. Tubes plutôt longs (1 à 2 cm de hauteur), profondément déprimés autour du stipe, d’abord blanchâtres puis teintés de rose brunâtre à brun vineux, immuables au froissement. Pores circulaires à plus ou moins anguleux, 0,5-1,5 mm de diamètre, blanchâtres à rose brunâtre pâle.-
10/11/2013Austroboletus gracilisStipe CouleurBlanc, Brun, RougeBlanc, Brun, Orange, Rouge-
10/11/2013Austroboletus gracilisStipe FormeCylindracéCylindracé, Clavé-
10/11/2013Austroboletus gracilisStipe SurfaceSublisseRéticulé, Sublisse-
10/11/2013Austroboletus gracilisStipe Description60-150 x 4-10 mm , long, solide, mince, souvent courbé, concolore au chapeau ou cannelle pâle , blanc à l'intérieur.long et mince, 5-12 x 0,7-1 cm, atténué au sommet, plein et solide, souvent courbé, revêtement presque lisse à velouté, souvent parcouru de veines en relief, parfois convergentes et formant alors un réticulum partiel, concolore au chapeau ou cannelle pâle, la base devenant blanche ou même tachée de jaune à maturité.-
10/11/2013Austroboletus gracilisSaveurDouceDouce ou Amère/Piquante-
10/11/2013Austroboletus gracilisSpores DescriptionEllipsoïdes, souvent ponctuées, 11-17 x 5-7 µm.Ellipsoïdes à fusiformes, ponctuée de minuscules verrues éparses, 11,5-15 x 5-5,5(7) µm. Cheilocystides en massue, 36-60 x 12-15,5 µm, hyalines, à paroi mince.-
10/11/2013Austroboletus gracilisHabitat DescriptionSurtout bois de feuillus ( Querçus, Fagus, Populus tremula & tremuloïdes ) parfois conifères ( Pinus ) été-automne, le plus souvent isolé, parfois en abondance, surtout dans les bois de feuillus (Fagacées) ou mêlés de conifères (Pinus, Abies...). Japon, Amérique du Nord orientale, Nouvelle-Guinée, Tibet(?)-
10/11/2013Austroboletus fusisporusRéférencesIH1 505IH2 505 ; IOH p. 348-
10/11/2013Amanita virgineoidesRéférencesIH 1 232IH1 232 ; IOH p. 170-171-
10/11/2013Amanita rufoferrugineaRéférencesIH1 198 ; Mem. Shiga Univ. Vol.17 p. 27-28 (1967)IH1 198 ; IOH p. 141 ; Mem. Shiga Univ. Vol.17 p. 27-28 (1967)-
10/11/2013Amanita rufoferrugineaCommentairesRecentrage des caractères sur la diagnose originale de Hongo, amendements de 1967 inclus, La description chinoise étant trop disparate, donc incertaine...Recentrage des caractères sur la diagnose originale de Hongo, amendements de 1967 inclus, la description des récoltes chinoise étant trop disparate, d'où identité incertaine...-
10/11/2013Amanita rubrovolvataRéférencesIH1 197IH1 197 ; IOH p. 144-
10/11/2013Amanita abruptaSynonymesLepidella a. (Peck) E.J. Gilbert 1928 ; Aspidella a.Lepidella a. (Peck) E.J. Gilbert 1928 ; Aspidella a. ; Amanita sphaerobulbosa Hongo-
10/11/2013Amanita abruptaRéférencesIOH p. 169IH1 229 ; IOH p. 169-
09/11/2013Pluteus cervinusPhoto-Pluteus_cervinus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Pluteus cervinus Pluteus cervinus f. albus Vellinga, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
08/11/2013Russula mariaePhoto-Russula_mariae_1987_tu_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula mariae, Copyright (c) 1987 T. Ueda
06/11/2013Paralepista inversaSynonymesClitocybe i.Lepista flaccida (Sowerby) Pat.(1887); Clitocybe inversaajouté le nom actuel en synonyme notice toxico "Risque de confusion"...
06/11/2013Paralepista inversaCommentairesSaveur astringente. Sous conifères, en cercle.Saveur astringente. Sous conifères, en cercles. !! Attention au risque de confusion avec les "champignons tortionnaires", Clitocybe acromelalga et Clitocybe amoenolens !!ajouté le nom actuel en synonyme notice toxico "Risque de confusion"...
05/11/2013Boletus violaceofuscusPhoto-Boletus_violaceofuscus_1998_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Boletus violaceofuscus par temps sec, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
05/11/2013Boletus violaceofuscusPhoto-Boletus_violaceofuscus_1998_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus violaceofuscus, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
04/11/2013Aureoboletus auriflammeusSpores Description9-12(-15) x 4-6(-7)µm, ellipsoïde-fusiformes, lisses, presque diaphanes; cheilocystides abondantes, à paroi mince, généralement en massue à sphéropédonculées; pleurocystides abondantes, 25-75 x 7,5-13 µm, à cloisons épaisses, largement ventrues ou parfois en massue. Cuticule piléique constituée d'hyphes à cristaux incrustés, jaunes dans l'eau, qui se dissolvent dans l'hydroxyde de potassium pigment pour produire un pigment diffus jaune citron.9-12(-15) x 4-6(-7)µm, ellipsoïde-fusiformes, lisses, presque diaphanes; cheilocystides abondantes, à paroi mince, généralement en massue à sphéropédonculées; pleurocystides abondantes, 25-75 x 7,5-13 µm, à cloisons épaisses, largement ventrues ou parfois en massue. Cuticule piléique constituée d'hyphes à cristaux incrustés, jaunes dans l'eau, qui se dissolvent dans l'hydroxyde de potassium pour produire un pigment diffus jaune citron.-
04/11/2013Aureoboletus auriflammeusHabitat Descriptionété-automne, mycorhizien, à terre en troupe dans les bois mixtes (au Japon surtout de Pinus densiflora et Quercus acutissima, Q. serrata, Castanopsis cuspidata...), Assez fréquent en Asie de l'Est et du Sud-est. Souvent isolé et plus rare en Amérique du Nord orientale (New York, Floride, Ohio, Tennessee), sous Quercus. été-automne, mycorhizien, à terre en troupe dans les bois mixtes (au Japon surtout de Pinus densiflora et Quercus acutissima, Q. serrata, Castanopsis cuspidata...), Assez fréquent en Asie de l'Est et du Sud-est. Souvent solitaire et plus rare en Amérique du Nord orientale (New York, Floride, Ohio, Tennessee), sous Quercus. -
04/11/2013Mycena alphitophoraAuteur(Berk.) Saccardo 1875(Berk.) Saccardo 1887typo "osmUndicola" et date du binôme Mycena a.
04/11/2013Mycena alphitophoraSynonymesosmondicolaM. osmundicola J.E. Lange 1914typo "osmUndicola" et date du binôme Mycena a.
04/11/2013Lepista saevaSynonymesL. saeva, Rhodopaxillus saevus, Rhodopaxillus personatusL. saeva ; Rhodopaxillus saevus ; Rhodopaxillus personatus ; Tricholoma amethystinum ss. Quéletfiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaNoms françaisPied-violetPied-violet ; Tricholome masqué ; Tricholome sinistre ; Tricholome des oiesfiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaRéférencesBK 3 248 ; CD 429 ; Marchand 47 ; Bon p. 145 ; Eyssartier et Roux p. 610Romagn.PA 152 ; BK 3 248 ; CD 429 ; Marchand 47 ; Bon p. 145 ; Eyssartier et Roux p. 610fiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaCommentaires-Toujours hors de la forêt, dans l'herbe des prés et des pâturages humides, les vieilles prairies et sur les berges des rivières, plutôt en terrain calcaire. C'est un comestible d'assez bonne qualité (réputé supérieur au pied-bleu) intéressant par sa poussée tardive, à partir d'octobre et jusqu'aux premières gelées, de novembre à février dans le Midi de la France.fiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaChapeau CouleurCrèmeCrème, Grisfiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaChapeau Description-6-10(-15) cm, épais et convexe, souvent bombé au centre, à marge d'abord enroulée (et alors pruineuse et blanchâtre), un peu onduleuse à la fin, gris pâle, gris bistré, brunâtre clair, café-au-lait, rarement un peu teinté de lilacin, pâlissant avec l'âge. Surface lisse, humide, brillante.fiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaChair Immuable-Ouifiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaChair Description-épaisse, tendre à ferme et alors cassante, blanchâtre, à peine pénétrée de violet sous le revêtement du pied. Saveur douce (d'amande amère? Mais parfois désagréable en fonction du terrain!), odeur agréable, faiblement fruitée ou de farine.fiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaLames CouleurCrème, SaumonBlanc, Crème, Saumonfiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaLames Description-assez serrées à serrées, sinuées, arrondies ou échancrées sur le pied, parfois légèrement décurrentes à la fin, séparables du chapeau (comme les tubes d'un bolet), blanc brunâtre pâle ou blanc rosâtre, mais sans aucune nuance violette ou lilacine. Sporée beige rosée.fiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaStipe Description-épais, renflé à la base, 4-7(-10) x 1,5-2 cm, entièrement revêtu de fibrilles d'un violet assez intense, sur fond blanc, contrastant de façon frappante avec le chapeau.fiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaOdeurAmande amèreAmande amère, Faible/Nullefiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaSpores Description-7-8 x 4-5 µm, pruniformes, rosâtre clair et finement piquetées d'ornements en relief.fiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
04/11/2013Lepista saevaHabitat DescriptionPelouses , prairies, lisières (il pousse en ronds de sorcières, parfois très serrés)dans les pelouses, chaumes, prairies (surtout alluviales), lisières (où il pousse en ronds de sorcières, parfois très serrés, ou en lignes sinueuses, en zigzag). Assez commun dans toute l'Europe, mais pas partout; signalé en Amérique du Nord et au Japon.fiche rédigée, synonymes séparés par ";"...
03/11/2013Lactarius resimusPhoto-Lactarius_resimus_1986_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius resimus Jeune, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
03/11/2013Lactarius resimusPhoto-Lactarius_resimus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius resimus Jeune, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
02/11/2013Mutinus elegansRéférencesCD 1748 ; Marchand 378 ; Eyssartier et Roux p. 1052CD 1748 ; Marchand 378 ; Guez D. et Nagasawa E. (2000), Trans. mycol. Soc. Japan 41 p.75-78 ; Eyssartier et Roux p. 1052fiche
02/11/2013Mutinus elegansCommentaires-Sous le basionyme de Corynites elegans, il fut décrit pour la première fois par le mycologue explorateur Camille Montagne en 1850 (Herbier inédit), publié en 1856 dans son ouvrage Sylloge Cryptogamarum1. L'espèce fut ensuite recombinée dans le genre Mutinus par Eduard Fischer dans l'ouvrage de Saccardo, Sylloge Fungorum 7 (1), p.13. Son nom scientifique est tiré du Latin mutinus, « rebelle, mutin », en raison de la force suggestive de son érection, qui attente à la pudeur, et de elegans, sans doute en raison de ses belles couleurs. Anglais : Elegant stinkhorn, Dog stinkhorn, Devil's dipstick. Japonais : タヌキノベニエフデ, 狸紅絵筆 (prononcé « Tanuki-no-béni-éfudé » signifie « Pinceau rouge de blaireau ») Il se différencie du banal satyre du chien (Mutinus caninus) par sa taille plus robuste, appointie au sommet, sa partie fertile colorée de rouge écarlate et peu différenciée du réceptacle (on n'ose pas dire pied, vu l'absence de chapeau ). Ce dernier n'ayant pas d'alvéoles sur la face externe, est simplement ponctué de pores.fiche
02/11/2013Mutinus elegansCarpophore CouleurRougeOrange, Rougefiche
02/11/2013Mutinus elegansGléba Description-Comme chez toutes les espèces de l'ordre des Phallales, le stipe porte à son sommet une gléba de couleur vert wagon, mucilagineuse et fétide.fiche
02/11/2013Mutinus elegansStipe CouleurBlanc, CrèmeBlanc, Crème, Orangefiche
02/11/2013Mutinus elegansStipe Description-9 à 19 (22) cm de haut sur 1 à 2,5 (3) cm d'épaisseur.fiche
02/11/2013Mutinus elegansSpores Description-Basides 15 - 25 x 4 - 6 µm, portant un bouquet de 7-8 spores. Spore : 4 à 5 µm de long sur 1,8 à 2 µm de large Stérigmates de 1,5 µm de long. fiche
02/11/2013Mutinus elegansHabitat Description-Comme d'autres phallacées, le satyre élégant est plutôt héliophile (recherche la lumière) et thermophile. Il semble affectionner les débris végétaux, surtout les composts d'écorces, et les sols acides, le bord des ruisseaux, les terrains incultes sablonneux ou siliceux.fiche
02/11/2013Phallus rubrovolvatusPhoto-Phallus_rubrovolvatus_2000_dg_5.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rubrovolvatus indusie dans le panier du vélo !, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
02/11/2013Phallus rubrovolvatusPhoto-Phallus_rubrovolvatus_2000_dg_4.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rubrovolvatus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
02/11/2013Phallus rubrovolvatusPhoto-Phallus_rubrovolvatus_2000_dg_3.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rubrovolvatus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
02/11/2013Phallus rubrovolvatusPhoto-Phallus_rubrovolvatus_2000_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rubrovolvatus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
02/11/2013Phallus rubrovolvatusPhoto-Phallus_rubrovolvatus_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rubrovolvatus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
02/11/2013Phallus rubrovolvatusPhotoPhallus_rubrovolvatus_1999_dg_1.jpg-Suppression photo : double
02/11/2013Baorangia pseudocalopusNoms françaisFaux bolet à-beau-piedFaux bolet à-beau-pied (ニセアシベニイグチ)typo, nom ( )
02/11/2013Baorangia pseudocalopusCommentairesRessemble à B. calopus par ses couleurs mais s'en distingue aisément par sa saveur douce et son réseau confiné au sommet du stipe. B. speciosus s'en éloigne aussi par son pied finement réticulé et son chapeau rose.Ressemble à B. calopus par ses couleurs mais s'en distingue aisément par sa saveur douce et son réseau confiné au sommet du stipe. B. speciosus s'en distingue aussi par son pied finement réticulé et son chapeau rose.typo, nom ( )
02/11/2013Baorangia pseudocalopusChapeau Description4 - 10 (18)cm, convexe puis plan-convexe, subvisqueux par temps humide, subtomenteux, brun cannelle à fauve olivacé. Marge d'abord incurvée à infractée.4-10(18)cm, convexe puis plan-convexe, subvisqueux par temps humide, subtomenteux, brun cannelle à fauve olivacé. Marge d'abord incurvée à infractée.typo, nom ( )
02/11/2013Baorangia pseudocalopusStipe Description4,5 - 8 cm de long x 1,2 - 1,5 cm de diamètre, épaissi à la base de 2,5 - 4 cm, clavé ou bulbeux, rouge sombre à brun Madère, mais jaune et finement réticulé seulement au sommet.4,5-8 cm de long x 1,2-1,5 cm de diamètre, épaissi à la base de 2,5-4 cm, clavé ou bulbeux, rouge sombre à brun Madère, mais jaune et finement réticulé seulement au sommet.typo, nom ( )
02/11/2013Baorangia pseudocalopusSpores DescriptionJaune de miel pâle sous le microscope, subcylindracées à subfusiformes, 10 - 14,5 x 3,5 - 4,5 µm. Basides tétrasporiques. Cystides sphéro-pédonculées ou clavées, à paroi mince, 20 - 30 x 10 - 13µm. Trame des lames bilatérale, typique du genre.Jaune de miel pâle sous le microscope, subcylindracées à subfusiformes, 10-14,5 x 3,5-4,5 µm. Basides tétrasporiques. Cystides sphéro-pédonculées ou clavées, à paroi mince, 20-30 x 10-13µm. Trame des lames bilatérale, typique du genre.typo, nom ( )
01/11/2013Boletus fraternusSynonymesBoletus rubellus subsp. fraternus Boletus rubellus ss. auct. jpn. plur.Boletus rubellus subsp. fraternus ; Boletus rubellus ss. auct. jpn. plur.typo
01/11/2013Boletus fraternusNoms françaisBolet frère (de B. barlae Fr.) ; champignon à odeur de ferment de saké (コウジタケ)Bolet frère (de B. barlae Fr.) ; Champignon à odeur de ferment de saké (コウジタケ)typo
01/11/2013Boletus fraternusChapeau DescriptionDe taille modeste, 4-7 cm, revêtement de fibrilles rouge-sang à rouge sombre, finement fissuré-craquelé, laissant apparaître la chair jaune sous-jacente. De taille modeste, 4-7 cm, revêtu de fibrilles rouge-sang à rouge sombre, finement fissuré-craquelé, laissant apparaître la chair jaune sous-jacente. typo
01/11/2013Boletus fraternusSpores Description12 - 16 x 5 - 6,5 μm.12-16 x 5-6,5 μm.typo
01/11/2013Phallus rubrovolvatusPhoto-Phallus_rubrovolvatus_1988_en_1.jpgAjout photo type Dessin pour Phallus rubrovolvatus, Copyright (c) 1988 Eiji Nagasawa
01/11/2013Phallus rubrovolvatusPhoto-Phallus_rubrovolvatus_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rubrovolvatus, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
01/11/2013Lentinula edodesSynonymesLentinus edodesLentinus edodes Berk.emend et nom japonais entre parenthèses
01/11/2013Lentinula edodesNoms françaisShii-také ; Lentin comestibleShii-také ; Lentin du faux châtaigner (シイタケ) ; Lentin comestibleemend et nom japonais entre parenthèses
01/11/2013Lentinula edodesCommentairesChampignon le plus cultivé au monde, après le Champignon de Paris. Très vigoureux, le mycélium comme celui de Pleurotus ostreatus colonise très rapidement sciure en sacs ou bûches de chêne ou de châtaignier, arbres proches du support de culture utilisé traditionnellement en Asie.Champignon le plus cultivé au monde, après le Champignon de Paris. Très vigoureux, le mycélium, comme celui de Pleurotus ostreatus, le Shii-také colonise très rapidement les billots de compost, la sciure en sacs ou les bûches de chêne ou de châtaignier ensemencées à la perceuse, arbres proches du faux châtagnier d'Asie (Shiia cuspidata) support de culture utilisé traditionnellement en Asie.emend et nom japonais entre parenthèses
01/11/2013Lentinula edodesPhoto-Lentinula_edodes_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lentinula edodes, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
01/11/2013Scleroderma citrinumSynonymesScleroderma vulgare Hornem. 1829 ; Scleroderma aurantium Vaill. ex Pers. . Scleroderma tessellatum Schumach. 1803Scleroderma vulgare Hornem. 1829 ; Scleroderma aurantium Vaill. ex Pers. ; Scleroderma tessellatum Schumach. 1803typo corrigée, points virgules séparateurs manquants, syntaxe
01/11/2013Scleroderma citrinumNoms françaisScléroderme commun . Scléroderme citronScléroderme commun ; Scléroderme citrontypo corrigée, points virgules séparateurs manquants, syntaxe
01/11/2013Scleroderma citrinumCommentairesTrès commun ( le plus fréquent des espèces du genre Scleroderma ) . Eté-automne. Très commun (la plus fréquente des espèces du genre Scleroderma). Eté-automne. typo corrigée, points virgules séparateurs manquants, syntaxe
01/11/2013Scleroderma citrinumHabitat DescriptionSur sol acide, pauvre et sablonneux ou sur sol tourbeux dans les forêt smixtes de feuillus et de conifères, ainsi qu'en lisières parmi les mousses, les fougères, les bruyères, même dans les prés, sous les arbres et les arbustes.Sur sol acide, pauvre et sablonneux ou sur sol tourbeux dans les forêt mixtes de feuillus et de conifères, ainsi qu'en lisières parmi les mousses, les fougères, les bruyères, même dans les prés, sous les arbres et les arbustes.typo corrigée, points virgules séparateurs manquants, syntaxe
01/11/2013Echinoderma jacobiSynonymesLepiota eriophoraLepiota eriophora ; Echinoderma eriophorum ; Echinoderma jacobi ; Lepiota jacobii Vellinga & Knudsen 1992replacé les synonymes qui étaient mis en "noms français" dans leur rubrique
01/11/2013Echinoderma jacobiNoms françaisEchinoderma eriophorum ; Echinoderma jacobi ; Lepiota jacobii Vellinga & Knudsen 1992Lépiote de Jacobreplacé les synonymes qui étaient mis en "noms français" dans leur rubrique
01/11/2013Stereopsis burtianaNoms françaisStéréum de Burt ; ハナウロコタケ (fleur écailleuse)Stéréum de Burt ; Champignon en fleur écailleuse (ハナウロコタケ)noms
01/11/2013Pseudoaustroboletus valensSynonymesBoletus albellus Massee non Peck ; Boletus valens var. macrosporusBoletus albellus Massee 1909 non Peck ; Boletus valens Corner 1972 ; Boletus valens var. macrosporus Corner 1972noms
01/11/2013Pseudoaustroboletus valensNoms françaisホオベニシロアシイグチBolet vaillant ; Bolet pudibond (ホオベニシロアシイグチ)noms
01/11/2013Piptoporellus soloniensisNoms françaisPolypore de Sologne ; シロカイメンタケ (Spongipore blanc)Polypore de Sologne ; Spongipore blanc (シロカイメンタケ)-
01/11/2013Russula omiensisNoms françaisRussule d'Ômi ; カラムラサキハツ (Violette âcre et précoce)Russule d'Ômi ; Russule violette âcre (カラムラサキハツ)typo, syntaxe, nom japonais réduit
01/11/2013Russula omiensisHabitat DescriptionAssez commune au printemps (mars-avril) et fin d'automne (novembre-décembre) sur le sol des fôrets à Castanopsis-Quercus, Japon (Hondo, Shiga, Kumamoto...)Assez commune au printemps (mars-avril) et fin d'automne (novembre-décembre) sur le sol des forêts à Castanopsis-Quercus, Japon (Hondô, Shiga, Kumamoto...)typo, syntaxe, nom japonais réduit
01/11/2013Russula viridirubrolimbataSpores Descriptionlargement ovales, finement ponctuée de verrues discrètement réticulées, non amyloïdes, 7-8 x 5,5-6,5 µm.largement ovoïdes, finement ponctuées de verrues discrètement réticulées, non amyloïdes, 7-8 x 5,5-6,5 µm.syntaxe corrigée, nom japonais réduit
01/11/2013Russula viridirubrolimbataNoms françaisフタイロベニタケ (Palomet bicolore)Palomet bicolore (フタイロベニタケ)syntaxe corrigée, nom japonais réduit
01/11/2013Russula viridirubrolimbataCommentairesIntensité du rouge très variable, le pigment vert étant plus ou moins résistant. D'abord décrite du Japon (Shiga et Kyoto) comme une forme rougeâtre et cocardée de R. virescens (le palomet verdoyant est également un champignon très recherché). Elle fut publiée ensuite de Chine (Guangxi et Yunnan) par Ying dans un habitat similaire.Intensité du rouge très variable, le pigment vert étant plus ou moins résistant. D'abord décrite du Japon (Shiga et Kyôto) comme une forme rougeâtre et cocardée de R. virescens (le palomet verdoyant est également un champignon très recherché), elle a été récoltée en Chine (Guangxi et Yunnan) par Ying dans un habitat similaire.syntaxe corrigée, nom japonais réduit
01/11/2013Russula viridirubrolimbataLames Descriptionsublibres, serrées, blanches, parfois fourchues?sublibres, serrées, blanches, parfois fourchues.syntaxe corrigée, nom japonais réduit
01/11/2013Russula kansaiensisNoms françaisRussule du Kansaï ; ヒナベニタケ (Russule candide)Russule du Kansaï ; Russule candide (ヒナベニタケ)syntaxe, nom japonais réduit
01/11/2013Russula kansaiensisCommentairesÉvoque notre candide Russula puellaris d'Europe par sa petite taille, son chapeau vineux à tache centrale sombre et cannelé, mais une sporée un peu plus pâle et un habitat plus limité aux Fagacées pénétropicaux. Évoque notre candide Russula puellaris d'Europe par sa petite taille, son chapeau vineux à tache centrale sombre et cannelé, mais sa sporée est un peu plus pâle et l'habitat plus limité aux Fagacées pénétropicaux. syntaxe, nom japonais réduit
01/11/2013Cryptoporus volvatusNoms françaisPolypore à volve ; ヒトクチタケ (Champignon « petite bouchée »)Polypore à volve ; Champignon « petite bouchée » (ヒトクチタケ)nom, typo
01/11/2013Russula subnigricansNoms françaisニセクロハツ (Fausse russule noircissante)Fausse russule noircissante (ニセクロハツ)typo nom japonais
01/11/2013Russula japonicaNoms françaisシロハツモドキ (fausse russule sans lait)Fausse russule sans lait (シロハツモドキ)noms japonais typo
01/11/2013Russula alboareolataNoms françaisヒビワレシロハツ (Russule blanche aréolée)Russule blanche vergetée (ヒビワレシロハツ)nom japonais réduit
01/11/2013Phallus rugulosusNoms françaisSatyre ridulé ; Satyre ruguleux ; キツネノタイマツ (Torche de renard)Satyre ridulé ; Satyre ruguleux ; Torche de renard (キツネノタイマツ)-
01/11/2013Phallus rugulosusCommentairesSur compost forestier ou rudéral, surtout écorces et chablis. Œuf sphérique, 2 cm, blanchâtre mais brunissant. Deux fois plus mince que P. impudicus mais assez long sur pied: 7 - 15 x 2-3 cm. Souvent cassé ou plié en deux au tiers inférieur, le chapeau fortement englué par la gléba restant collé à la volve! Très fréquent par endroits, haies et lisières des jardins d'agrément, jusqu'à épuisement du compost.Sur compost forestier ou rudéral, surtout écorces et chablis. Très fréquent par endroits, haies et lisières des jardins d'agrément, jusqu'à épuisement du compost.-
01/11/2013Phallus rugulosusCarpophore Description-Œuf sphérique, 2 cm, blanchâtre mais brunissant. Deux fois plus mince que P. impudicus mais assez long sur pied: 7-15 x 2-3 cm. Souvent cassé ou plié en deux au tiers inférieur, le chapeau fortement englué par la gléba restant collé à la volve.-
01/11/2013Marasmius purpureostriatusNoms françaisMarasme strié de pourpre ; スジオチバタケMarasme strié de pourpre (スジオチバタケ)-
01/11/2013Austroboletus fusisporusSynonymesPorphyrellus f. Kawam. ex Imazeki & Hongo 1957 ; Strobilomyces f. Kawam. (nom. nud.)Porphyrellus fusisporus Kawam. ex Imazeki & Hongo 1957 ; Strobilomyces fusisporus Kawam. (nom. nud.)noms, note ethnologique
01/11/2013Austroboletus fusisporusNoms françaisヤシャイグチ (Bolet yaksha) Bolet Yaksha (ヤシャイグチ) noms, note ethnologique
01/11/2013Austroboletus fusisporusCommentairesRemarquable par son pied fortement et grossièrement réticulé, devenant visqueux par temps humide, son odeur forte et agréable, et ses spores fusiformes. La sporée est brun vineux sans aucune nuance olivacée.Remarquable par son pied fortement et grossièrement réticulé, devenant visqueux par temps humide, son odeur forte et agréable, et ses spores fusiformes. La sporée est brun vineux sans aucune nuance olivacée. Le nom japonais de "Yassha" fait référence aux Yaksha, ces esprits plus ou moins bienveillants, dont les statues imposantes, souvent portant une armure écailleuse, protègent les accès aux temples bouddhiques. http://fr.wikipedia.org/wiki/Yaksha noms, note ethnologique
01/11/2013Amanita volvataAuteur(Peck ) Lloyd 1898(Peck) Lloyd 1898typo, nom japonais mis entre parenthèses
01/11/2013Amanita volvataSynonymesAgaricus volvatus Peck 1872 Amanitopsis volvata ( Peck ) Sacc. 1887 Amidella volvata ( Peck ) E.J.Gilbert 1940 Amanita agglutinata (Berk. & M.A. Curtis) Lloyd 1898 ss. auct. jpn.Agaricus volvatus Peck 1872 Amanitopsis volvata (Peck) Sacc. 1887 Amidella volvata (Peck) E.J. Gilbert 1940 Amanita agglutinata (Berk. & M.A. Curtis) Lloyd 1898 ss. auct. jpn.typo, nom japonais mis entre parenthèses
01/11/2013Amanita volvataNoms françaisAmanite à volve ; フクロツルタケ (Amanitopsis en sac)Amanite à volve ; Amanitopsis en sac (フクロツルタケ)typo, nom japonais mis entre parenthèses
01/11/2013Amanita volvataChair DescriptionBlanchâtre.Odeur et saveur distincte,indéterminée.Blanchâtre. Odeur et saveur peu remarquable.typo, nom japonais mis entre parenthèses
01/11/2013Amanita volvataSpores DescriptionElliptiques, lisses, amyloïdes, 7-12 (-14) x (4,5-)6-7,5 µm. Basides à 4 stérigmates. Elliptiques, lisses, amyloïdes, 7-12(14) x (4,5)6-7,5 µm. Basides à 4 stérigmates. typo, nom japonais mis entre parenthèses
01/11/2013Amanita volvataHabitat DescriptionMycorhizique sur sol des vieilles forêts de feuillus, Querçus, Tilia etc..; Amérique du Nord orientale, Chine, Japon, littoral russe extrême-orientalMycorhizique sur le sol des vieilles forêts de feuillus, Querçus, Tilia etc.. Amérique du Nord orientale, Chine, Japon, littoral russe extrême-orientaltypo, nom japonais mis entre parenthèses
01/11/2013Amanita rubrovolvataSynonymesAmplariella rubrovolvataAmplariella rubrovolvata (S. Imai) E.-J. Gilbert 1940 synonyme complet nom japonais entre paranthèse
01/11/2013Amanita rubrovolvataNoms françaisAmanite à volve rouge ; ヒメベニテングタケ (petite amanite rouge)Amanite à volve rouge ; Petite amanite rouge (ヒメベニテングタケ)synonyme complet nom japonais entre paranthèse
01/11/2013Amanita rubrovolvataHabitat DescriptionEté - automne, sous feuillus (Fagus, Quercus et Castanopsis principalement), plus rare sous mélèzes. Japon, Corée, Chine, Inde du nord et Népal, Sud-est asiatique...Eté-automne, sous feuillus (Fagus, Quercus et Castanopsis principalement), plus rare sous mélèzes. Japon, Corée, Chine, Inde du nord et Népal, Sud-est asiatique...synonyme complet nom japonais entre paranthèse
01/11/2013Paralepistopsis amoenolensSynonymes-Paralepistopsis amoenolens (Malençon) Vizzini 2012lien vers fiche acromelalga nouveau synonyme 2012 :)
01/11/2013Paralepistopsis amoenolensCommentairesLa consommation du clitocybe amoenolens Malençon entraîne, environ 24 heures après l'ingestion, une érythermalgie des extrémités se caractérisant par des crises de douleurs paroxystiques (brûlures, morsures, broiement) avec érythèmes, oedème et augmentation de la chaleur locale durant la crise. Ces troubles persistent de quelques jours à quelques semaines. Il n'y a pas de signe digestif, pas d'atteinte hépatique ou rénale. Ce syndrome a déjà été décrit au Japon pour le Clitocybe acromelalga Ichimura dénommé localement "champignon aux brûlures" et serait dû à une atteinte des fibres non myélinisées du système nerveux autonome par l'acide acromélique A(AA-A). Références : - Bessard J et coll. Mass spectrometric determination of acromelic acid A from a new poisonous mushroom: Clitocybe amoenolens. - Moreau PA et coll. Analyse taxinomique d'une espèce toxique : Clitocybe amoenolens Malençon. Cryptogamie, Mycol 2001:22:1-23La consommation du clitocybe amoenolens Malençon entraîne, environ 24 heures après l'ingestion, une érythermalgie des extrémités (acromélalgie) se caractérisant par des crises de douleurs paroxystiques (brûlures, morsures, broiement) avec érythèmes, œdème et augmentation de la chaleur locale durant la crise. Ces troubles persistent de quelques jours à quelques mois. Il n'y a pas de signe digestif, pas d'atteinte hépatique ou rénale. Ce syndrome a déjà été décrit au Japon pour le Clitocybe acromelalga Ichimura dénommé localement "champignon aux brûlures" et serait dû à une atteinte des fibres non myélinisées du système nerveux autonome par l'acide acromélique A(AA-A). Références : - Bessard J. et coll. Mass spectrometric determination of acromelic acid A from a new poisonous mushroom: Clitocybe amoenolens. - Moreau P-A. et coll. Analyse taxinomique d'une espèce toxique : Clitocybe amoenolens Malençon. Cryptogamie, Mycol 2001:22:1-23 lien vers fiche acromelalga nouveau synonyme 2012 :)
01/11/2013Paralepistopsis acromelalgaNoms françaisPoison des Sasa (Doku-sasa-ko) ; Champignon aux brûlures (Yakédo-kin)Poison des Sasa (ドクササコ) ; Champignon aux brûlures (ヤケドキン)lien avec Clitocybe amoenolens nom japonais entre parenthèses
01/11/2013Paralepistopsis acromelalgaCommentairesDeux espèces connues à ce jour provoquent, 3 jours environ après ingestion, une érythermalgie (rougissement et élévation de température) des extrémités (doigts, orteils, pénis) avec paresthésie (sensation de fourmillement) et œdèmes, puis des douleurs aiguës sous forme de sensations de brûlures intolérables, réalisant une véritable torture au fer rouge, résistant aux antalgiques, mais temporairement soulagées par l'eau glacée. La marche, le sommeil et peu à peu tous les actes de la vie normale étant empêchés ou perturbés, l'hospitalisation est nécessaire. Les troubles, généralement non mortels, régressent lentement au bout de plusieurs mois (3-6 mois pour la douleur, jusqu'à un an pour les paresthésies). Toxines : une douzaine de toxines ont été isolées au Japon, dont des acides aminés proches de l'acide kaïnique, agoniste du glutamate : acide acromélique A et B, clitidine, etc.Avec Clitocybe amoenolens, cette espèce est la seule connue à ce jour pour provoquer, trois jours environ après ingestion, une érythermalgie ou acromélalgie (rougissement et élévation de température) des extrémités (doigts, orteils, pénis) avec paresthésie (sensation de fourmillement) et œdèmes, puis des douleurs aiguës sous forme de sensations de brûlures intolérables, réalisant une véritable torture au fer rouge, résistant aux antalgiques, mais temporairement soulagées par l'eau glacée. La marche, le sommeil et peu à peu tous les actes de la vie normale étant empêchés ou perturbés, l'hospitalisation est nécessaire. Les troubles, généralement non mortels, régressent lentement au bout de plusieurs mois (3-6 mois pour la douleur, jusqu'à un an pour les paresthésies). Toxines : une douzaine de toxines ont été isolées au Japon, dont des acides aminés proches de l'acide kaïnique, agoniste du glutamate : acide acromélique A et B, clitidine, etc.lien avec Clitocybe amoenolens nom japonais entre parenthèses
01/11/2013Pseudocolus fusiformisNoms françaisColus de Schellenberg ; Calmar puant ; サンコタケ(Champignon Vajra)Colus de Schellenberg ; Calmar puant ; Champignon Vajra (サンコタケ)fiche et nom japonais ( )
01/11/2013Pseudocolus fusiformisCommentairesSaprophytes, solitaire ou en groupe à la lisière des bois, ou dans les parcs et jardins; commun dans diverses localités de l'Est Amérique du Nord, Japon, Corée en été et automne. Fructification: Jaune pâle au stade d'œuf; gélatineuse à l'intérieur, avec rhizomorphes blancs attachés à la base. A maturité, développe une fructification 2,5 - 8 cm de haut, composée de 3-5 tentacules effilés divergents d'une racine commune; Le nom japonais fait référence à la ressemblance avec le Vajra, arme du dieu Indra, instrument et symbole du culte hindouiste: http://fr.wikipedia.org/wiki/Vajrafiche et nom japonais ( )
01/11/2013Pseudocolus fusiformisCarpophore Description-Jaune pâle au stade d'œuf; gélatineux à l'intérieur, avec des rhizomorphes blancs attachés à la base. A maturité, développe une fructification 2,5-8 cm de hauteur, composée de 3-5 tentacules effilés divergents d'une racine commune. fiche et nom japonais ( )
01/11/2013Pseudocolus fusiformisSpores Description4,5 - 5,5 x 2 -2,5 μm ; elliptiques à ovoïdes, lisses.4,5-5,5 x 2-2,5 μm, elliptiques à ovoïdes, lisses.fiche et nom japonais ( )
01/11/2013Pseudocolus fusiformisHabitat Description-Saprophytes, solitaire ou en groupe à la lisière des bois, ou dans les parcs et jardins; commun dans diverses localités de l'Est Amérique du Nord, Japon, Corée en été et automne.fiche et nom japonais ( )
01/11/2013Oudemansiella venosolamellataNoms françaisヌメリツバタケモドキ (Fausse mucidule visqueuse)Fausse mucidule visqueuse (ヌメリツバタケモドキ)nom japonais mis entre parenthèses
01/11/2013Lactifluus corrugisNoms françaisLactaire ridé ; チリメンチチタケ (Lactaire crépu)Lactaire ridé ; Lactaire crépu (チリメンチチタケ)nom japonais mis entre ( )
01/11/2013Lactifluus corrugisChapeau CouleurBrun, RougeBrun, Jaune, Rougenom japonais mis entre ( )
01/11/2013Hygrophorus pinetorumPhoto-Hygrophorus_pinetorum_1954_th_1.jpgAjout photo type Micro pour Hygrophorus pinetorum Typus, Copyright (c) 1954 Tsuguo Hongo
31/10/2013Kobayasia nipponicaNoms françaisProtophallus du Japon ; シラタマタケ (boule blanche)Protophallus du Japon ; Boule blanche (シラタマタケ)nom japonais
31/10/2013Porodisculus pendulusNoms françaisPolypore cupuliforme ; ヌルデタケ (Polypore du Sumac)Polypore cupuliforme ; Polypore du Sumac (ヌルデタケ)nom japonais ( )
31/10/2013Amanita abruptaNoms françaisAmanite à bulbe abrupt ; タマシロオニタケ (démon blanc bulbeux)Amanite à bulbe abrupt ; démon blanc bulbeux (タマシロオニタケ)nom japonais ( )
31/10/2013Amanita abruptaCommentairesCertains jeunes spécimens vigoureux ressemblent à de petites haltères.Les jeunes spécimens ressemblent à de petites haltères.nom japonais ( )
31/10/2013Boletus nigromaculatusNoms françaisクロアザアワタケ (Bolet taché de noir)Bolet taché de noir (クロアザアワタケ)nom japonais ( )
31/10/2013Boletus fraternusNoms françaisBolet frère (de B. barlae Fr.) ; コウジタケ (champignon à odeur de ferment de saké)Bolet frère (de B. barlae Fr.) ; champignon à odeur de ferment de saké (コウジタケ)nom japonais ( )
31/10/2013Russula castanopsidisNoms françaisカレバハツ [Russule des feuilles mortes (de Castanopsis cuspidata)]Russule des feuilles mortes de Castanopsis (カレバハツ)nom japonais mis entre parenthèses
31/10/2013Russula castanopsidisCommentairesCette russule de taille modeste reconnaissable à son port élancé et sa cuticule piléique craquelée en squamules aréolées.Cette russule de taille modeste est reconnaissable à son port élancé et sa cuticule piléique craquelée en squamules aréolées.nom japonais mis entre parenthèses
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiCommentairesVient souvent à la base des souches de conifères, entre les racines, simulant un champignon lignicole. Comestible peu estimé en Asie.Vient souvent à la base des souches de conifères, entre les racines, suggérant un champignon lignicole et à ce titre considéré comme saprophyte par certains auteurs. Comestible peu estimé en Asie mais aurait été utilisé en pharmacopée chinoise et en teinturerie. corrections et additions
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiChapeau ImmuableNonOui ou Noncorrections et additions
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiChapeau VisqueuxOuiOui ou Noncorrections et additions
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiChair DescriptionConsistance molle, blanchâtre ou plus ou moins teintée de jaunâtre, 1-2 cm d'épaisseur, bleuissant légèrement à la coupe, bleu verdâtre à l'écrasement au dessus des tubes. Odeur faible, insipide à amariuscule. Réaction rose sur cuticule et chair à l'acide nitrique (HNO3).Consistance molle, blanchâtre ou plus ou moins teintée de jaunâtre, 1-2 cm d'épaisseur, bleuissant légèrement à la coupe, bleu verdâtre à l'écrasement au dessus des tubes, puis légèrement grisonnante. Odeur faible, insipide à amariuscule. Réaction rose sur cuticule et chair à l'acide nitrique (HNO3).corrections et additions
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiPores DescriptionSubcirculaires à anguleux, petits, 1 à 3 par mm, 0,5-1 mm de large, concolore aux tubes. Tubes 0,5-1,5 de hauteur, presque libres chez l'adulte, d'abord jaune pâle à jaune vif, virant au bleu intense à verdâtre à la blessure, puis au brun à noirâtre avec l'âge.Subcirculaires à anguleux, petits, 1 à 3 par mm, 0,5-1 mm de large, concolore aux tubes. Tubes 0,5-1,5 mm de hauteur, presque libres chez l'adulte, d'abord jaune pâle à jaune vif, virant au bleu intense à verdâtre à la blessure, puis au brun à noirâtre avec l'âge.corrections et additions
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiChair ImmuableOuiNonchair non immuable! saveur non amère
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiSaveurAmère/PiquanteDoucechair non immuable! saveur non amère
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiAuteur( Berkeley & Curtis ) Murril 1909 (Berk. & M.A. Curtis) Murrill 1909Fiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiNoms français-Bolet de Ravenel ; Bolet soufré pulvérulentFiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiComestibilitéSans intérêtComestibleFiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiRéférencesCQ ; MycologiaIH1 540 ; IOH p. 313 ; CQ ; MycologiaFiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiCommentairesIsolé. Répandu. Fructification durant l'automne et l'hiver côté Pacifique, Juillet-Septembre au Canada ( Québec). Remarque : Le pied pénètre parfois assez profondément dans le substrat. Vient souvent à la base des souches de conifères, entre les racines, simulant un champignon lignicole. Comestible peu estimé en Asie.Fiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiChapeau DescriptionAbruptement arrondi à convexe, 2-8 ( 13 ) cm de diamètre, puis subétalé, sec, lisse à finement fibrilleux, jaune soufre, souvent brun rougeâtre au centre, tomenteux à pulvérulent, surface visqueuse à subviscideuse , marge incurvée au début, typiquement appendiculée. Réaction rose sur cuticule et chair HNO34-10(13) cm de diamètre, brusquement arrondi à convexe, puis incomplètement étalé. Revêtement sec, glabre, devenant viscidule par l'humidité, densément recouvert de particules tomenteuses à pulvérulentes qui cédent à la pression des doigts, jaune citrin à jaune soufre vif dans la jeunesse, souvent brun rougeâtre à brunâtre au centre, plus ou moins craquelée aréolée. Marge entière, incurvée chez les jeunes, typiquement appendiculée de restes de voile partiel.Fiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiChair DescriptionConsistance molle, blanchâtre ou jaune, 1-2 cm d'épaisseur, bleuissant légèrement à la coupe, bleu verdâtre à l'écrasement surtout sur les tubes. Odeur faible, saveur plutôt amère.Consistance molle, blanchâtre ou plus ou moins teintée de jaunâtre, 1-2 cm d'épaisseur, bleuissant légèrement à la coupe, bleu verdâtre à l'écrasement au dessus des tubes. Odeur faible, insipide à amariuscule. Réaction rose sur cuticule et chair à l'acide nitrique (HNO3).Fiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiPores ImmuablesOuiNonFiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiPores DescriptionSubiculaires à anguleux, petits, 1 à 3 par mm, 0,5-1 mm de large,,concolore au tubes. Tubes 0,5-1,5 de hauteur, jaune vif, virant au bleu intense à verdatre , puis finalement au brun à noirâtre avec l'âge. Sporée brun olive. Subcirculaires à anguleux, petits, 1 à 3 par mm, 0,5-1 mm de large, concolore aux tubes. Tubes 0,5-1,5 de hauteur, presque libres chez l'adulte, d'abord jaune pâle à jaune vif, virant au bleu intense à verdâtre à la blessure, puis au brun à noirâtre avec l'âge.Fiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiStipe DescriptionEgal à élargi vers la base, 6-11 cm de haut, 0,7-1,5 d'épaisseur au sommet, ou de forme irrégulière, sec, souvent radicant, fibrilleux sous la zone annuliforme, jaune soufre. Chair ocracée à pâle ou blanchâtre, jaune intense à la base, immuable ou avec une légère teinte rosée, si exposée.Égal à élargi vers la base, 4-10(11) x 0,7-1,5 cm, ou de forme irrégulière, sec, souvent radicant, parfois assez profondément enfoui dans le substrat. Voile partiel membraneux puis aranéeux couvrant entièrement l'hyménium chez le jeune, cédant en laissant un anneau fugace. Revêtement fibrilleux entièrement poudré de jaune citrin à soufre au dessous de la zone annuliforme. Chair du stipe ocracée à pâle ou blanchâtre, jaune intense à la base, immuable ou avec une légère teinte rosée, si exposée.Fiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiSpores DescriptionEllipsoïdes à ovoïdes, lisses, à paroi modérément epaisse, brun pâle, 8-11,5 x 4-6,4 µm. Basides, à 4 spores géantes, hyalines, claviformes . Cystides, hyalines, fusoïdes à subcylindriques, à paroi mince. Ellipsoïde-fusoïdes à ovoïdes, lisses, à paroi modérément épaisse, brun pâle, 8-13 x 4,5-6,4 µm. Basides à 4 spores géantes, hyalines, claviformes. Cheilocystides hyalines, fusoïdes à subcylindriques, 50-70 x 10-14 µm, à paroi mince. Fiche
31/10/2013Pulveroboletus raveneliiHabitat DescriptionDans l'humus des forêts mixtes en régions côtières du Pacifique, Amérique du Nord, surtout sous Querçus, sous Tsuga canadensis, Populus, Betula, Été à automne en Asie et au Québec (plus tardif sur la côte pacifique de l'Amérique du Nord), isolé ou par deux, à terre, assez commun en forêts de conifères en Asie orientale et Asie du Sud-Est (Japon, Chine, Taïwan, Malaisie), plus rare dans les forêts mixtes d'Amérique du Nord surtout orientale (Pinus, Querçus, Tsuga, Populus, Betula). Présent au Mexique, à l'ouest du Texas, Michigan et Californie. Signalé également au Costa Rica, Colombie et du nord-est de l'Australie.Fiche
30/10/2013Hygrophorus pinetorumPhoto-Hygrophorus_pinetorum_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hygrophorus pinetorum, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
29/10/2013Tricholoma muscariumNoms françaisハエトリシメジ (Haé-tori-shimédji) ; Tricholome attrape-mouchesTricholome attrape-mouches (ハエトリシメジ)syntaxe. nom japonais entre parenthèses
29/10/2013Tricholoma muscariumChapeau Description4-6 cm, convexe ou conique puis plus ou moins plan, toujours avec un mamelon saillant au centre. Cuticule à peine lubrifiée, glacée luisante, presque entièrement séparable, olivâtre sur fond jaune pâle, discrètement rayée radialement de fibrilles apprimées surtout visibles vers la marge, plus foncé au disque (gris brun fuligineux). Marge involutée, puis étalée, sauf la marginelle qui reste longtemps incurvée4-6 cm, convexe ou conique puis plus ou moins plan, toujours avec un mamelon saillant au centre. Cuticule à peine lubrifiée, glacée luisante, presque entièrement séparable, olivâtre sur fond jaune pâle, discrètement rayée radialement de fibrilles apprimées surtout visibles vers la marge, plus foncé au disque (gris brun fuligineux). Marge involutée puis étalée, sauf la marginelle qui reste longtemps incurvée.syntaxe. nom japonais entre parenthèses
29/10/2013Tricholoma muscariumStipe Description5-9 x 0,6-1,5 cm, égal ou épaissi vers le bas à fusiforme, plein puis fistuleux en haut, blanc puis plus ou moins lavé e citrin dans la partie supérieure.5-9 x 0,6-1,5 cm, égal ou épaissi vers le bas à fusiforme, plein puis fistuleux en haut, blanc puis plus ou moins lavé de citrin dans la partie supérieure.syntaxe. nom japonais entre parenthèses
29/10/2013Amanita rufoferrugineaNoms françaisカバイロコナテングタケ (Amanite poudrée fauve)Amanite poudrée fauve (カバイロコナテングタケ)syntaxe corrigée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Amanita rufoferrugineaChapeau Description4,5-9 cm, hémisphérique puis convexe, enfin plan ou légèrement déprimé au centre, plus ou moins strié à la marge qui devient cannelée-tuberculée avec l'âge. Revêtement sec, de couleur fauve ou plus pâle, densément couvert de granules pulvérulents séparables, orange xanthine, jaune de Mars, brun ambré ou brun antique.4,5-9 cm, hémisphérique puis convexe, enfin plan ou légèrement déprimé au centre, plus ou moins strié à la marge qui devient cannelée-tuberculée avec l'âge. Revêtement sec, de couleur fauve ou plus pâle, densément couvert de granules pulvérulents détersiles, orange xanthine, jaune de Mars, brun ambré ou brun antique.syntaxe corrigée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Amanita rufoferrugineaLames Descriptionlibres, serrées, blanches, ventrues, 4-7 mm de largeur, subtilement floconneuse sur l'arête, lamellules tronquées. libres, serrées, blanches, ventrues, 4-7 mm de largeur, subtilement floconneuses sur l'arête, lamellules tronquées. syntaxe corrigée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Amanita rufoferrugineaStipe Description9-12 cm de long, 0,4-1 cm d'épaisseur au sommet, 1,3-2 cm à la base qui présente un bulbe oboval ou fusiforme, atténué au sommet, farci ou creux, annulé, entièrement couvert au dessus comme au dessous de l'anneau, de particules poudreuses ou farineuses, subconcolores (plus clair que "fauve ocracé"), la base ornée débris de volve sous forme de 3-5 bracelets incomplets, pulvérulents et fugaces. Anneau plutôt ample, pendant en jupette à 1,5-2,5 cm du sommet, membraneux, blanc et strié à la face supérieure, fauve ocracé et floconneux-poudré en dessous, souvent déchiré, évanescent. 9-12 cm de long, 0,4-1 cm d'épaisseur au sommet, 1,3-2 cm à la base qui présente un bulbe oboval ou fusiforme, atténué au sommet, farci ou creux, annulé, entièrement couvert au dessus comme au dessous de l'anneau, de particules poudreuses ou farineuses, subconcolores (plus clair que "fauve ocracé"), la base ornée débris de volve formant 3-5 bracelets incomplets, pulvérulents et fugaces. Anneau plutôt ample, pendant en jupette à 1,5-2,5 cm du sommet, membraneux, blanc et strié à la face supérieure, fauve ocracé et floconneux-poudré en dessous, souvent déchiré, évanescent. syntaxe corrigée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Russula senecisNoms françaisRussule sénile ; オキナクサハツ (Russule vieillard fétide)Russule fétide sénile (オキナクサハツ)syntaxe et nom japonais ( )
29/10/2013Russula senecisCommentairesComme illota, les lames sont ponctuées de brun noir, Henri Romagnesi nous avait prévenu que ce taxon de Imai était prioritaire sur le sien en cas d'identité... Mais nous avons comparé les autres caractères différentiels, notamment le revêtement piléique ridé (aspect de vieillard de l'épithète) et plus tourmenté, et l'ornementation sporale fortement ailée. Reste la punctipes de Singer 1935, récoltée en Chine par Rolf... qui serait aussi la même espèce selon lui (1975, 1984).Comme R. illota, les lames sont ponctuées de brun noir, aussi Henri Romagnesi nous avait prévenu que ce taxon de Imai serait prioritaire sur le sien en cas d'identité... Mais nous avons comparé les autres caractères différentiels, notamment le revêtement piléique ridé (aspect de vieillard de l'épithète) et plus tourmenté, et l'ornementation sporale fortement ailée. Reste en course la punctipes de Singer 1935, récoltée en Chine par Rolf... qui serait aussi la même espèce selon l'auteur américain (1975, 1984).syntaxe et nom japonais ( )
29/10/2013Russula senecisChair Descriptionodeur faible, saveur âcre à très âcre. FeSO4 brun et lent sur le stipe. Gaïac vert bleu sombre très rapide (moins de 5 secondes). R56 sur lame entière début en 10 sec, diffuse 20 sec mais longtemps limité à la périphérie, ne termine avant 10 minutes, odeur faible, saveur âcre à très âcre. FeSO4 brun et lent sur le stipe. Gaïac vert bleu sombre très rapide (moins de 5 secondes). R56 (Dagron) sur lame entière débute après 10 secondes, diffuse 20 sec mais restant longtemps limité à la périphérie, n'est terminée qu'en 10 minutes.syntaxe et nom japonais ( )
29/10/2013Marasmius maximusNoms françaisオオホウライタケ (Marasme Grand Phénix)Marasme grand Phénix (オオホウライタケ)syntaxe, nom japonais ( )
29/10/2013Marasmius maximusCommentairesDiffère de M. oreades par l'habitat et le chapeau fortement strié. Le nom japonais de "Grand Phénix" évoque la grande taille et la reviviscence propre aux marasmes.Diffère de M. oreades par l'habitat et le chapeau fortement strié. Le nom japonais de "Grand Phénix" évoque sa grande taille et la reviviscence propre aux marasmes.syntaxe, nom japonais ( )
29/10/2013Marasmius maximusChapeau DescriptionChapeau 3,5 - 10 cm, campanulé-convexe, vite plan, mamelon plus ou moins net, longuement strié-cannelé sur la moitié externe. Revêtement glabre, beige ochracé, brunâtre foncé au disque, subhygrophane, blanchit en séchant.Chapeau 3,5-10 cm, campanulé-convexe, vite plan, mamelon plus ou moins net, longuement strié-cannelé sur la moitié externe. Revêtement glabre, beige ochracé, brunâtre foncé au disque, subhygrophane, blanchissant en séchant.syntaxe, nom japonais ( )
29/10/2013Marasmius maximusChair DescriptionSaveur douceSaveur douce.syntaxe, nom japonais ( )
29/10/2013Marasmius maximusStipe DescriptionStipe assez court (4) 6-9 X 0,4 - 0,6 cm, souvent comprimé, fibreux, se fendant longitudinalement, creux et vide, revêtement subfibrilleux, brun pâle à foncé, plus ou moins tigré au sommet, brusquement atténué à la base, noircissant et devenant velouté comme un Xerula avec l'âge tandis que le chapeau se retrousse.Stipe assez court (4) 6-9 X 0,4 - 0,6 cm, souvent comprimé, fibreux, se fendant longitudinalement, creux et vide. Revêtement subfibrilleux, brun pâle à foncé, plus ou moins tigré au sommet, brusquement atténué à la base, noircissant et devenant velouté comme un Xerula avec l'âge tandis que le chapeau se retrousse.syntaxe, nom japonais ( )
29/10/2013Marasmius maximusSpores DescriptionSpores hyalines sub. mic., congophobes,non amyloïdes, fusiformes-ellipsoïdes 3-4 x 6-9 µm. Basides tétrasporiques, 22-27 x 5-6 µm. Cystides nombreuses, plus ou moins clavées, 15-30 x 6-10 µm.Spores hyalines, congophobes, non amyloïdes, fusiformes-ellipsoïdes 3-4 x 6-9 µm. Basides tétrasporiques, 22-27 x 5-6 µm. Cystides nombreuses, plus ou moins clavées, 15-30 x 6-10 µm.syntaxe, nom japonais ( )
29/10/2013Marasmius maximusHabitat DescriptionGrégaire à cespiteux, en été-automne, à terre sous feuillus, conifères, dans les bambousseraies, etc.Grégaire à cespiteux, en été-automne, à terre sous feuillus, conifères, dans les bambousseraies, etc. Japon.syntaxe, nom japonais ( )
29/10/2013Lactarius gracilisCommentairesCe lactaire a un port trompeur de Laccaria par sa petite taille et son pied grêle (inde nomen), est aussi remarquable par sa marge hirsute (cutis rompu en mèches triangulaires dressés) et ses lames se tachant de brun orangé.Ce lactaire a un port trompeur de Laccaria par sa petite taille et son pied grêle (inde nomen), est aussi remarquable par sa marge hirsute (cutis rompu en mèches triangulaires dressées) et ses lames se tachant de brun orangé.syntaxe corrigée
29/10/2013Lactarius gracilisNoms françaisLactaire gracile ; アシボソチチタケ (Lactaire à pied grêle)Lactaire gracile ; Lactaire à pied grêle (アシボソチチタケ)syntaxe améliorée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Lactarius gracilisCommentairesPort trompeur de Laccaria par sa petite taille et son pied grêle (inde nomen). Remarquable par sa marge hirsute (cutis rompu en mèches triangulaires dressés et ses lames se tachant de brun orangé.Ce lactaire a un port trompeur de Laccaria par sa petite taille et son pied grêle (inde nomen), est aussi remarquable par sa marge hirsute (cutis rompu en mèches triangulaires dressés) et ses lames se tachant de brun orangé.syntaxe améliorée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Lactarius gracilisChapeau Description1-2,5 cm, conique à plan, puis un peu déprimé en entonnoir, mais toujours avec un mamelon conique saillant au centre. Revêtement sec, sans zones concentriques, finement granuleux à feutré, rompu-craquelé sous la loupe en squamules, brun à brun grisâtre au disque, brun pâle vers la marge. Poils rudes sur la marge, qui apparait dentelée dans la jeunesse par des mèches coniques dressées.1-2,5 cm, conique à plan, puis un peu déprimé en entonnoir, mais toujours avec un mamelon conique saillant au centre. Revêtement sec, sans zones concentriques, finement granuleux à feutré, rompu-craquelé sous la loupe en squamules de couleur brun à brun grisâtre au disque, brun pâle vers la marge. Poils rudes sur la marge qui apparait dentelée dans la jeunesse par des mèches coniques dressées.syntaxe améliorée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Lactarius gracilisChair DescriptionChair mince, légèrement teintée de brun pâle. Saveur un peu mentholée comme l'odeur, faible de punaise ou de pelargonium.Chair mince, légèrement teintée de brun pâle. Saveur un peu mentholée comme l'odeur, faible de punaise ou de pélargonium.syntaxe améliorée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Russula compactaNoms françaisRussule compacte ; アカカバイロタケ (Russule fauve rougeâtre) Russule compacte ; Russule fauve rougeâtre (アカカバイロタケ) syntaxe corrigée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Russula compactaCommentairesNoter que compacta est du sous genre Compacta mais pas de la section Compactae, ni de la sous-section Xerampelinae malgré son odeur de poisson et sa chair verte au FeSO4.Noter que R. compacta est classée dans le sous genre Compacta mais pas dans la section Compactae, ni la sous-section Xerampelinae malgré son odeur de poisson et sa chair verte au FeSO4.syntaxe corrigée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Calostoma japonicumNoms françaisCalostome du Japon ; クチベニタケ kutchibéni-také (Scléroderme au rouge-à-lèvres)Calostome du Japon ; Scléroderme rouge-à-lèvres (クチベニタケ)corrigé syntaxe et nom japonais entre parenthèses.
29/10/2013Calostoma japonicumGléba DescriptionBase stérile presque entièrement hypogée, 3-8 mm de long, brun jaunâtre, cartilagineuse formée d'un faisceau de 8 à 15 épais cordons mycéliens, difficiles à séparer du corps fertile. La chair est d'un blanc laiteux au stade de primordium, prenant bientôt la couleur de la boue qui l'enveloppe par temps humide, puis brun jaunâtre, à consistance de cuir; Base stérile presque entièrement hypogée, 3-8 mm de long, brun jaunâtre, cartilagineuse formée d'un faisceau de 8 à 15 épais cordons mycéliens, difficiles à séparer du corps fertile. La chair, à consistance de cuir, est d'un blanc laiteux au stade de primordium, prenant bientôt la couleur de la boue qui l'enveloppe par temps humide, enfin brun jaunâtre.corrigé syntaxe et nom japonais entre parenthèses.
29/10/2013Mucidula brunneomarginataNoms françaisフチドリツエタケ (Xérule liserée)Xérule liserée (フチドリツエタケ)biblio ajoutée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Mucidula brunneomarginataRéférences-IH1 154 ; IOH p. 121biblio ajoutée et nom japonais mis entre parenthèses
29/10/2013Mucidula brunneomarginataStipe Description4-10 x 0,4-1 cm, égal, creux, chiné de brun4-10 x 0,4-1 cm, égal, creux, chiné de brun.biblio ajoutée et nom japonais mis entre parenthèses
27/10/2013Calvatia craniiformisNoms françaisCalvatie en forme de crâne ; ノウタケCalvatie en forme de crâne (ノウタケ)priorité donnée au nom français (nom scientifique japonais mis entre parenthèses)
25/10/2013Amanita volvataCommentairesRare en Amérique du Nord où A. volvata diffère de pseudovolvata par sa taille et ses spores plus grandes. Pas rare en Extrême-Orient où elle se distingue, parfois difficilement, de formes ou variétés mal débrouillées comme A. avellaneosquamosa (S. Imai) S. Imai, A. clarisquamosa (S. Imai) S. Imai in E.-J. Gilbert, et A. duplex Corner & Bas. La consommation d'Amanita volvata a provoqué des troubles très sérieux, en plus de l'atteinte gastro-intestinale (vomissement, diarrhée) un perte de la parole, atteinte rénale et des troubles neurologiques variés, ayant au moins une fois occasionné la mort. Le principe toxique est à l'étude.Rare en Amérique du Nord où A. volvata diffère de pseudovolvata par sa taille et ses spores plus grandes. Pas rare en Extrême-Orient où elle se distingue, parfois difficilement, de formes ou variétés mal débrouillées comme A. avellaneosquamosa (S. Imai) S. Imai, A. clarisquamosa (S. Imai) S. Imai in E.-J. Gilbert, et A. duplex Corner & Bas. La consommation d'Amanita volvata a provoqué des troubles très sérieux, en plus de l'atteinte gastro-intestinale (vomissement, diarrhée) une perte de la parole, atteinte rénale et des troubles neurologiques variés, ayant au moins une fois occasionné la mort. Le principe toxique est à l'étude.typo
25/10/2013Amanita volvataNoms français-Amanite à volve ; フクロツルタケ (Amanitopsis en sac)toxicité mise à jour, nom français et japonais
25/10/2013Amanita volvataComestibilitéInconnuMorteltoxicité mise à jour, nom français et japonais
25/10/2013Amanita volvataCommentairesRare en Amérique du Nord où A. volvata diffère de pseudovolvata par sa taille et ses spores plus grandes. Pas rare en Extrême-Orient où elle se distingue, parfois difficilement, de formes ou variétés mal débrouillées comme A. avellaneosquamosa (S. Imai) S. Imai, A. clarisquamosa (S. Imai) S. Imai in E.-J. Gilbert, et A. duplex Corner & Bas.Rare en Amérique du Nord où A. volvata diffère de pseudovolvata par sa taille et ses spores plus grandes. Pas rare en Extrême-Orient où elle se distingue, parfois difficilement, de formes ou variétés mal débrouillées comme A. avellaneosquamosa (S. Imai) S. Imai, A. clarisquamosa (S. Imai) S. Imai in E.-J. Gilbert, et A. duplex Corner & Bas. La consommation d'Amanita volvata a provoqué des troubles très sérieux, en plus de l'atteinte gastro-intestinale (vomissement, diarrhée) un perte de la parole, atteinte rénale et des troubles neurologiques variés, ayant au moins une fois occasionné la mort. Le principe toxique est à l'étude.toxicité mise à jour, nom français et japonais
24/10/2013Kobayasia nipponicaPhoto-Kobayasia_nipponica_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Kobayasia nipponica, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
23/10/2013Imperator rhodopurpureusPhoto-Boletus_rhodopurpureus_1985_dg_3.jpgAjout photo type Mixte pour Boletus rhodopurpureus var. polypurpureus (Smotl.) Hlavácek, Copyright (c) 1985 Daniel Guez
23/10/2013Imperator rhodopurpureusPhoto-Boletus_rhodopurpureus_1985_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Boletus rhodopurpureus var. polypurpureus (Smotl.) Hlavácek 1996, Copyright (c) 1985 Daniel Guez
23/10/2013Imperator rhodopurpureusPhoto-Boletus_rhodopurpureus_1985_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus rhodopurpureus var. polypurpureus (Smotl.) Hlavácek 1996, Copyright (c) 1985 Daniel Guez
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisAuteur(Scop. : Fr.) Smith & Singer 1946(Schaeff.) Singer & A.H. Sm. 1946fiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisSynonymesPholiota mutabilisPholiota mutabilis (Schaeff.) P. Kumm. 1871 ; Dryophila m. (Schaeff.) Quél. 1886 ; Pholiota decurrens Velen. 1921 ; Pholiota pseudomarginata Hruby 1930 ; Galerina m. (Schaeff.) P.D. Orton 1960fiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisNoms françaisPholiote changeantePholiote changeante ; Agaric à soupefiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisRéférencesBon p. 255 ; CD 1229 ; Marchand 22 ; Eyssartier et Roux p. 652Bon p. 255 ; CD 1229 ; Marchand 22 ; IH1 367 ; IOH p. 238 ; Eyssartier et Roux p. 652fiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisChapeau Description-2-8 cm, convexe, souvent un peu mamelonné, très hygrophane, luisant d'un beau jaune fauve par temps sec, d'un brun cannelle par l'humidité, palissant à ocre livide à partir du centre. Surface lisse sauf à la marge qui présente des mèches poilues pâles ou brunâtres, fugaces, la marginelle étant toujours un peu translucide.fiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisChair Description-peu épaisse, brun clair; saveur douce; odeur fine, très suave.fiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisLames Description-assez serrées à serrées, adnées ou décurrentes par une dent; d'abord roussâtres pâles, puis brun cannellefiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisStipe Description-4-10 x 0,5-0,8 cm, tenace, cylindrique, plein puis creux, subconcolore mais devenant brun à rouillé à partir du bas. Surface fibrilleuse, rayée et cannelée en haut, hérissé de mèches retroussées brunes formant une sorte d'armille floconneuse du bas jusqu'à l'anneau, puis disparaissant avec l'âge alors que le pied noirci à la base. Un petit anneau apical étroit, membraneux-pelucheux, concolore au pied mais brunissant, bientôt affaissé et plus ou moins fugace.fiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisSpores Description-6-7 x 3,5-4,5 µm, pruniformes, de couleur chamois, lisses ou subtilement verruqueuses, à pore germinatif minuscule. Cystides marginales en bouteille, pas de chrysocystides. Cuticule filamenteuse. Sporée brun ferrugineux.fiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisHabitat Description-DU printemps à décembre, cespiteux sur souches pourrissantes de feuillus, surtout de hêtres, plus rare sur conifère.fiche rédigée
23/10/2013Kuehneromyces mutabilisPhoto-Kuehneromyces_mutabilis_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Kuehneromyces mutabilis Japon (sur Fagus), Copyright (c) 2001 Daniel Guez
23/10/2013Gymnopus foetidusAuteur(Sow. : Fr.) antonin, Halling er Noordel.(Sow. : Fr.) Antonín, Halling & Noordel. 1997Orthographe des auteurs et binomes. NB. Gymnopus est le genre correct actuel, mais... :)
23/10/2013Gymnopus foetidusSynonymesMicrompale foetidumMicromphale foetidum (Sowerby) Singer 1945 ; Gymnopus foetidus (Sowerby) J.L. Mata & R.H. Petersen 2004Orthographe des auteurs et binomes. NB. Gymnopus est le genre correct actuel, mais... :)
22/10/2013Russula castanopsidisPhoto-Russula_castanopsidis_1973_th_1.jpgAjout photo type Dessin pour Russula castanopsidis Type, Copyright (c) 1973 T. Hongo
20/10/2013Oudemansiella venosolamellataHabitat Descriptionsur bois de Fagus, du printemps à l'automnesur bois de Fagus, du printemps à l'automne. Japon (endémique?)répartition géographique
20/10/2013Lactifluus glaucescensSynonymesL. pergamenus selon certains auteursL. pergamenus selon certains auteurs L. piperatus var. glaucescens (Crossland) Hesler & A.H. Sm. 1979fiche complétée
20/10/2013Lactifluus glaucescensRéférencesBon p. 95 ; CD 1511 ; Cetto 1931 ; BK 6 25 ; Galli p. 283 ; Marchand 503 ; FE 7 723 ; Eyssartier et Roux p. 114Bon p. 95 ; CD 1511 ; Cetto 1931 ; BK 6 25 ; Galli p. 283 ; Marchand 503 ; FE 7 723 ; Eyssartier et Roux p. 114 ; IH1 617 ; Phillips (NA) p. 91fiche complétée
20/10/2013Lactifluus glaucescensChapeau Description-3,5-8 cm de diamètre, uniformément blanc crème à roux, avec des plages glacées et comme micacées-brillantes. Cuticule lisse, non veloutée; consistance ferme. Chapeaux jeunes non déprimés, finement ponctués d'ocre jaunâtre, avec souvent des micro-gouttelettes de latex (à la loupe) séchant en vert olive. Vieux chapeaux déprimés à cuticule teintée d'ocre de plus en plus foncé.fiche complétée
20/10/2013Lactifluus glaucescensLames Description-extrêmement serrées (20/cm), comme piperatus, de couleur crème chair, décurrentes au moins par un filet. Latex verdissant assez lentement (15'-30') et faiblement sur les lames à la blessure, grisâtre sale puis olivacé ; KOH jaune orangé pâle rapide sur lame de verre, mais nulle au Formol.fiche complétée
20/10/2013Lactifluus glaucescensStipe Description-4-8(-15), appointi à la base (quasi conique), blanchâtre, brunissant à la manipulation. fiche complétée
20/10/2013Lactifluus glaucescensChair Description-Chair ferme, jaunâtre sale au grattage et dans les morsures, verdissant lentement; Réaction lente au formol (cerne violet en 20-30 minutes), bleu clair après 3 heures, bleu foncé en 24 h. fiche complétée
20/10/2013Lactifluus glaucescensSpores Description-subglobuleuses à subovales, de 6,5-8 x 5,5-,7 µm, subtilement verruqueuses, avec de fines crêtes reliés en filet. Basides tétrasporiques de 35-40 x 9-11 µm. Cheilocystides de 55-60 x 5,5-7 µm. Epicutis composé d'un tapis peu serré de touffes d'hyphes minces et enchevêtrées.fiche complétée
20/10/2013Lactifluus glaucescensHabitat Description-Assez rare en été-automne sous feuillus, dans tout l'hémisphère nord. Parfois aussi sous Pinus et Abies au Japon.fiche complétée
20/10/2013Lactifluus glaucescensPhoto-Lactarius_glaucescens_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius glaucescens, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
20/10/2013Mucidula brunneomarginataPhoto-Oudemansiella_brunneomarginata_2001_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Oudemansiella brunneomarginata, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
19/10/2013Paralepistopsis acromelalgaCommentaires-Deux espèces connues à ce jour provoquent, 3 jours environ après ingestion, une érythermalgie (rougissement et élévation de température) des extrémités (doigts, orteils, pénis) avec paresthésie (sensation de fourmillement) et œdèmes, puis des douleurs aiguës sous forme de sensations de brûlures intolérables, réalisant une véritable torture au fer rouge, résistant aux antalgiques, mais temporairement soulagées par l'eau glacée. La marche, le sommeil et peu à peu tous les actes de la vie normale étant empêchés ou perturbés, l'hospitalisation est nécessaire. Les troubles, généralement non mortels, régressent lentement au bout de plusieurs mois (3-6 mois pour la douleur, jusqu'à un an pour les paresthésies). Toxines : une douzaine de toxines ont été isolées au Japon, dont des acides aminés proches de l'acide kaïnique, agoniste du glutamate : acide acromélique A et B, clitidine, etc.toxicologie
19/10/2013Tricholoma albumPhoto-Tricholoma_album_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tricholoma album, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
19/10/2013Tricholoma stiparophyllumPhoto-Tricholoma_pseudoalbum_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tricholoma pseudoalbum, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
18/10/2013Mycena stipataPhoto-Mycena_stipata_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Mycena stipata, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
17/10/2013Amanita neoovoideaPhoto-Amanita_neoovoidea_1987_ht_1.jpgAjout photo type Dessin pour Amanita neoovoidea, Copyright (c) 1987 Hongo Tsuguo
17/10/2013Amanita neoovoideaPhoto-Amanita_neoovoidea_1975_ht_1.jpgAjout photo type Dessin pour Amanita neoovoidea, Copyright (c) 1975 Hongo Tsuguo
16/10/2013Amanita volvataChapeau Description5-10 cm de diamètre, conique-arrondi à convexe puis étalé, orné de mèches ou de flocons vélaires puis foncés sur fond blanc au début, brun rougeâtre avec l'âge, à marge entière ou courtement sillonnée à maturité.5-10 cm de diamètre, conique-arrondi à convexe puis étalé, orné de mèches ou de flocons vélaires plus foncés sur fond blanc au début, brun rougeâtre avec l'âge, à marge entière ou courtement sillonnée à maturité.amend Habitat, répartition, micrographie etc
16/10/2013Amanita volvataStipe Description8-14 x 1-1,5 cm, bulbeux, squamuleux, blanc puis brunâtre, anneau absent, émergeant d'une volve épaisse.6-14 x 0,5-1,5 cm, bulbeux, squamuleux, blanc puis brunâtre, anneau absent, émergeant d'une volve épaisse.amend Habitat, répartition, micrographie etc
16/10/2013Amanita volvataSpores DescriptionElliptiques, lisses, amyloîdes, 7-10 (-14) x (4,5-)6-7,5 µm. Basides à 4 stérigmates. Elliptiques, lisses, amyloïdes, 7-12 (-14) x (4,5-)6-7,5 µm. Basides à 4 stérigmates. amend Habitat, répartition, micrographie etc
16/10/2013Amanita volvataSynonymesAgaricus volvatus Peck 1872 Amanitopsis volvata ( Peck ) Sacc. 1887 Amidella volvata ( Peck ) E.J.Gilbert 1940Agaricus volvatus Peck 1872 Amanitopsis volvata ( Peck ) Sacc. 1887 Amidella volvata ( Peck ) E.J.Gilbert 1940 Amanita agglutinata (Berk. & M.A. Curtis) Lloyd 1898 ss. auct. jpn.-
16/10/2013Amanita volvataRéférencesChampignons du Québec T 2Champignons du Québec T 2 ; IH1 219 ; IOH p. 161-
16/10/2013Amanita volvataCommentairesRare. A.volvata se diffère de pseudovolvata par sa taille et ses spores plus grandes.Rare en Amérique du Nord où A. volvata diffère de pseudovolvata par sa taille et ses spores plus grandes. Pas rare en Extrême-Orient où elle se distingue, parfois difficilement, de formes ou variétés mal débrouillées comme A. avellaneosquamosa (S. Imai) S. Imai, A. clarisquamosa (S. Imai) S. Imai in E.-J. Gilbert, et A. duplex Corner & Bas.-
16/10/2013Amanita volvataChapeau Description5-10 cm de diamètre, conique-arrondi à convexe puis étalé, orné de mêches ou de flocons veliques puis foncés sur fons blanc au début, brun rougeâtre avec l'âge, à marge entière ou courtement sillonnée à maturité.5-10 cm de diamètre, conique-arrondi à convexe puis étalé, orné de mèches ou de flocons vélaires puis foncés sur fond blanc au début, brun rougeâtre avec l'âge, à marge entière ou courtement sillonnée à maturité.-
16/10/2013Amanita volvataHabitat DescriptionMycorhizique sur sol des vieilles forêts de feuillus, Querçus, Tilia etc..Mycorhizique sur sol des vieilles forêts de feuillus, Querçus, Tilia etc..; Amérique du Nord orientale, Chine, Japon, littoral russe extrême-oriental-
14/10/2013Tricholoma fulvumPhoto-Tricholoma_fulvum_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tricholoma fulvum, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
14/10/2013Tricholoma fulvumPhotoTricholoma_fulvum_1989_dg_1.jpg-Suppression photo : date erronée
14/10/2013Tricholoma fulvumAuteur(Bull. : Fr.) Saccardo(Fr.) Bigeard & H. Guill. 1909auteurs mis à jour selon Mycobank etc.
14/10/2013Tricholoma fulvumSynonymesflavobrunneumT. flavobrunneumauteurs mis à jour selon Mycobank etc.
14/10/2013Tricholoma fulvumPhoto-Tricholoma_fulvum_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tricholoma fulvum, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
14/10/2013Tricholoma fulvumPhotoTricholoma_fulvum_1989_dg_1.jpg-Suppression photo : dominante jaune à corriger
14/10/2013Tricholoma fulvumPhoto-Tricholoma_fulvum_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tricholoma fulvum, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
13/10/2013Lactifluus corrugisCommentairesL. volemus diffère par sa grande taille et son chapeau plus orangé..Diffère de L. volemus par son chapeau plus sombre et très veiné, ainsi que ses spores plus grandes. Toutefois ces trois caractères différentiels sont inconstants sur les récoltes Nord-Américaines de L. corrugis, comme si elles étaient à mi-chemin entre L. volemus et le L. corrugis nippon.Différences avec volemus erreur de case cochée pour couleur des lames corrigée
13/10/2013Lactifluus corrugisLames CouleurBlanc, BrunBlanc, Brun, Crème, OrangeDifférences avec volemus erreur de case cochée pour couleur des lames corrigée
13/10/2013Lactifluus corrugisSpores Descriptionsubglobuleuses, crêtées-réticulées, amyloïdes, 8,5-11 x 10 µmsubglobuleuses, crêtées-réticulées, amyloïdes, 8,5-12 x 9-11 µmDifférences avec volemus erreur de case cochée pour couleur des lames corrigée
13/10/2013Lactifluus corrugisPhoto-Lactarius_corrugis_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius corrugis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
12/10/2013Mycena amictaPhoto-Mycena_amicta_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Mycena amicta, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
12/10/2013Mycena crocataPhoto-Mycena_crocata_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Mycena crocata, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
12/10/2013Hygrocybe chlorophanaPhoto-Hygrocybe_chlorophana_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Hygrocybe chlorophana, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
11/10/2013Russula densifoliaPhoto-Russula_densifolia_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula densifolia récolte nippone (ni mauvaise, mais imbus), Copyright (c) 1990 Daniel Guez
11/10/2013Russula densifoliaPhoto-Russula_densifolia_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula densifolia, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
11/10/2013Russula viridirubrolimbataPhoto-Russula_viridirubrolimbata_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula viridirubrolimbata, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
10/10/2013Calvatia cyathiformisCommentairesEspèce américaine. Le vrai Calvatia d'Europe doit être appelé fragilis.Espèce américaine et asiatique. Le Calvatia d'Europe doit être appelé fragilis.répartition de l'espèce étendue à l'Asie
10/10/2013Russula senecisCommentairesRappelle R. illota Romagn. mais diffère par le revêtement piléique ridé, et l'ornementation sporale fortement ailée.Comme illota, les lames sont ponctuées de brun noir, Henri Romagnesi nous avait prévenu que ce taxon de Imai était prioritaire sur le sien en cas d'identité... Mais nous avons comparé les autres caractères différentiels, notamment le revêtement piléique ridé (aspect de vieillard de l'épithète) et plus tourmenté, et l'ornementation sporale fortement ailée. Reste la punctipes de Singer 1935, récoltée en Chine par Rolf... qui serait aussi la même espèce selon lui (1975, 1984).différences avec illota
10/10/2013Russula senecisStipe Réaction au phénolBanale-différences avec illota
10/10/2013Russula senecisPhoto-Russula_senecis_1989_dg_5.jpgAjout photo type Macro pour Russula senecis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
10/10/2013Russula senecisPhoto-Russula_senecis_1989_dg_4.jpgAjout photo type Macro pour Russula senecis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
10/10/2013Russula senecisPhoto-Russula_senecis_1989_dg_3.jpgAjout photo type Macro pour Russula senecis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
10/10/2013Russula senecisSynonymesRussula senis dixit Romagn. 1989; R. subfoetens ss. Matsumura 1933; ? R. punctipes Singer 1935R. subfoetens ss. Matsuura 1933 ; ? R. punctipes Singer 1935 ; ? R. illota Romagn. ss. Singer 1975 ; ut Russula senis selon Romagn. 1989-
10/10/2013Russula senecisComestibilité-Toxique-
10/10/2013Russula senecisCommentairesfiche à compléter...Rappelle R. illota Romagn. mais diffère par le revêtement piléique ridé, et l'ornementation sporale fortement ailée.-
10/10/2013Russula senecisChapeau Description-5-10 cm, brun jaunâtre, fauve roussâtre à ocre sale, Revêtement fortement ridé, parfois presque cérébriforme, et plus ou moins strié radialement à la périphérie, cutis souvent rompu-fendillé à lacéré par temps sec et laissant alors apparaître la chair jaune sale. Brun rougeâtre au centre qui est lubrifié et souvent imbu, mais granulé-chagriné sous la loupe. -
10/10/2013Russula senecisLames CouleurBlanc, CrèmeBlanc, Crème, Jaune-
10/10/2013Russula senecisLames Description-sublibres, assez serrées à (6/cm à un cm de la marge), assez épaisses, larges de 0,6-1 cm, blanc jaunâtre à beige sordide, tachées de brun rouge ça et là, arête érodée, brun rouille sombre. Reflet vineux-purpurin des taches selon l'incidence.-
10/10/2013Russula senecisStipe CouleurBlanc, CrèmeJaune-
10/10/2013Russula senecisStipe Description-5-10 x 1-1,5 cm, subcylindrique, souvent épaissi et courbé à la base, caverneux puis creux, jaune sale, plus ou moins roussâtre par détersion.-
10/10/2013Russula senecisChair ImmuableOui ou NonOui-
10/10/2013Russula senecisChair Description-odeur faible, saveur âcre à très âcre. FeSO4 brun et lent sur le stipe. Gaïac vert bleu sombre très rapide (moins de 5 secondes). R56 sur lame entière début en 10 sec, diffuse 20 sec mais longtemps limité à la périphérie, ne termine avant 10 minutes, -
10/10/2013Russula senecisSaveurDouceAcre-
10/10/2013Russula senecisOdeurDésagréableDésagréable, Faible/Nulle-
10/10/2013Russula senecisCouleur de la sporéePallidosporéeLeucosporée-
10/10/2013Russula senecisSpores Description-globuleuses, 7-5-9 µm, remarquablement ailées de fortes crêtes peu connexées. Sporée blanche. -
10/10/2013Russula senecisHabitat DescriptionGrégaire et commune en été-automne en forêts à Castanopsis, Quercus etc., rarement sous conifères. Japon, Corée du Sud, Chine, Nouvelle-Guinée, Grégaire et commune en été-automne en forêts à Castanopsis, Quercus etc., rarement sous conifères. Japon, Nouvelle-Guinée (Hongo 1973), Extrême-orient russe( ? Vassilieva 1973), Corée du Sud (Hongo 1976), Chine (1979).-
09/10/2013Russula senecisPhoto-Russula_senecis_1989_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Russula senecis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
09/10/2013Russula senecisCommentaires-fiche à compléter...-
09/10/2013Russula senecisHabitat DescriptionGrégaire et commune en été-automne en forêts à Castanopsis, Quercus etc., rarement sous conifères. JaponGrégaire et commune en été-automne en forêts à Castanopsis, Quercus etc., rarement sous conifères. Japon, Corée du Sud, Chine, Nouvelle-Guinée, -
09/10/2013Russula senecisPhoto-Russula_senecis_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula senecis, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
07/10/2013Cryptoporus volvatusPhoto-Cryptoporus_volvatus_1988_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Cryptoporus volvatus, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
07/10/2013Cryptoporus volvatusCommentairesNous l'avons toujours trouvé hébergeant des coléoptères xylophages (Scolytinae) dans la crypte, qui semblent se régaler de l'hyménium, à en juger par le vacarme que font leurs mandibules la nuit suivant la récolte et sur les tables d'exposition. Transformée en mangeoire dès l'ouverture, la résonance semble être très amplifiée par la cavité, tendue d'une membrane souple comme une peau de tambour. Le champignon semble étroitement associé à ces insectes qui creusent des galeries, provoquant la « carie blanc-grisâtre de l'aubier », ils facilitent certainement la propagation du mycélium, l'ouverture de la crypte coïncidant avec la maturité des spores.Nous l'avons toujours trouvé hébergeant des coléoptères xylophages (Scolytinae) dans la crypte, qui semblent se régaler de l'hyménium, à en juger par le vacarme que font leurs mandibules la nuit suivant la récolte et sur les tables d'exposition. Transformée en mangeoire dès que l'ouverture le permet, la résonance semble être très amplifiée par la cavité, tendue d'une membrane souple comme une peau de tambour. Le champignon semble étroitement associé à ces insectes qui creusent des galeries, provoquant la « carie blanc-grisâtre de l'aubier », ils facilitent certainement la propagation du mycélium, l'ouverture de la crypte coïncidant avec la maturité des spores.-
07/10/2013Cryptoporus volvatusChair Descriptionassez mince, blanchâtre, assez souple, élastique à consistance de cuir, puis de liège dans le chapeau. Saveur amarescente; odeur composite de résine et de poisson séché.0,5-1,5 cm, blanchâtre, assez souple, élastique à consistance de cuir, puis de liège dans le chapeau. Saveur amarescente; odeur composite de résine et de poisson séché.-
06/10/2013Queletia mirabilisRéférencesCD 1722 ; Bulletin FMBDS 119 p. 20IH1 869 ; CD 1722 ; Bulletin FMBDS 119 p. 20 ; BSMF 107(3) p. (92)ajouté deux réf bibl.
06/10/2013Queletia mirabilisCommentaires Epoque d'apparition comprise entre 2 ou 3 jours ,à la mi-Août. Détermination Marianne Meyer. Voir l'article de R.C.Azema ( très intéressant ) Espèce très rare. PS/ Maire et Dumée ont certainement récolté Q. mirabilis à la tannerie de "La Tombe " 77130 Suite à l'article de R.C. Azema, nous avions publié ensemble dans le BSMF 107(3) p.(92) une note à propos de la première récolte nipponne par S. Koyama le 3 septembre 1986, une demi-douzaine de spécimens à terre parmi les débris d'une réserve de bois à Komoro (Nagano) Epoque d'apparition comprise entre 2 ou 3 jours ,à la mi-Août. Détermination Marianne Meyer. Voir l'article de R.C.Azema ( très intéressant ) Espèce très rare. PS/ Maire et Dumée ont certainement récolté Q. mirabilis à la tannerie de "La Tombe " 77130 Suite à l'article de R.C. Azema, nous avions publié ensemble dans le BSMF 107(3) p.(92) une note à propos de la première récolte nipponne par S. Koyama le 3 septembre 1986, une demi-douzaine de spécimens à terre parmi les débris et copeaux d'une réserve de bois à Komoro (Nagano)ajouté deux réf bibl.
06/10/2013Queletia mirabilisCommentaires Epoque d'apparition comprise entre 2 ou 3 jours ,à la mi-Août. Détermination Marianne Meyer. Voir l'article de R.C.Azema ( très intéressant ) Espèce très rare. PS/ Maire et Dumée ont certainement récolté Q. mirabilis à la tannerie de "La Tombe " 77130 Epoque d'apparition comprise entre 2 ou 3 jours ,à la mi-Août. Détermination Marianne Meyer. Voir l'article de R.C.Azema ( très intéressant ) Espèce très rare. PS/ Maire et Dumée ont certainement récolté Q. mirabilis à la tannerie de "La Tombe " 77130 Suite à l'article de R.C. Azema, nous avions publié ensemble dans le BSMF 107(3) p.(92) une note à propos de la première récolte nipponne par S. Koyama le 3 septembre 1986, une demi-douzaine de spécimens à terre parmi les débris d'une réserve de bois à Komoro (Nagano)-
06/10/2013Queletia mirabilisPhoto-Queletia_mirabilis_1986_th_1.jpgAjout photo type Macro pour Queletia mirabilis, Copyright (c) 1986 T. Hongo
06/10/2013Queletia mirabilisPhoto-Queletia_mirabilis_1986_sk_1.jpgAjout photo type Macro pour Queletia mirabilis, Copyright (c) 1986 S. Koyama
06/10/2013Amanita rufoferrugineaRéférences-IH1 198 ; Mem. Shiga Univ. Vol.17 p. 27-28 (1967)syntaxe et habitat
06/10/2013Amanita rufoferrugineaSpores Descriptionhyalines, globuleuses à subglobuleuses, 7-9 µm, lisses, non amyloïdes. Basides tétrasporiques. Boucles absentes. Cellules marginales globuleuses, ellipsoïdes ou un peu piriformes, 14-25 µm de large, étroitement cloisonnées, très abondantes, formant une large marge stérile le long de l'arête des lames. Granulations du chapeau constituées de courtes chaînes de cellules globuleuses à courtement ellipsoïdes de 17-47 µm de large, à sécrétion mielleuses.hyalines, globuleuses à subglobuleuses, 7-9 µm, lisses, non amyloïdes. Basides tétrasporiques. Boucles absentes. Cellules marginales globuleuses, ellipsoïdes ou un peu piriformes, 14-25 µm de large, étroitement cloisonnées, très abondantes, formant une large marge stérile le long de l'arête des lames. Granulations du chapeau constituées de courtes chaînes de cellules globuleuses à courtement ellipsoïdes de 17-47 µm de large, à sécrétion mielleuse.syntaxe et habitat
06/10/2013Amanita rufoferrugineaHabitat Descriptionen été-début d'automne, assez rare, vient surtout en forêts mixtes de Pinus densiflora-Quercus serrata, au Japon (à l'ouest du Kantô). Également signalée en Chine occidentale et en Corée du Sud.Au sol, solitaire ou épars, en été-début d'automne, assez rare, vient surtout en forêts mixtes de Pinus densiflora-Quercus serrata, au Japon (à l'ouest du Kantô, principalement Hiroshima, Kyôto et Shiga). Également signalée en Chine occidentale et en Corée du Sud.syntaxe et habitat
03/10/2013Marasmius maximusNoms françaisオオチョウライタケ (Marasme Grand Phénix)オオホウライタケ (Marasme Grand Phénix)typographie
03/10/2013Marasmius maximusPhoto-Marasmius_maximus_1965_th_1.jpgAjout photo type Dessin pour Marasmius maximus, Copyright (c) 1965 Tsuguo Hongo
03/10/2013Russula alboareolataCommentairesRussule pallidosporée entièrement blanche, fréquente sous les chênes verts. Japon, Taïwan. Très proche de R. eburneoareolata Hongo, à chair plus ferme et stipe ivoirin. Russule pallidosporée caractérisée par sa couleur entièrement blanche, et son pied pruineux aréolé comme R. virescens, fréquente sous les chênes verts. Japon, Taïwan et signalée dans la péninsule de Malaisie (selon Watling et Lee, 1998 en association avec certaines espèces de Dipterocarpaceae). Très proche de R. eburneoareolata Hongo, à chair plus ferme et stipe ivoirin. Complément sur l'habitat et répartition
03/10/2013Lactifluus gerardiiRéférencesBulletin Buffalo Society ; Mille et un Champignons du QuebecBulletin Buffalo Society ; IH1 624 ; Mille et un Champignons du Québec ; IOH p. 384Complément sur l'habitat et la distribution 'à suivre)
03/10/2013Lactifluus gerardiiCommentairesRare. Août à septembre. PS: Fiche suivant l'adaptation de Rolland Labbé.( Cercle des Mycologues de Montréal.)Rare en Amérique du Nord, Août à septembre. Assez commun dans tout le Japon de juillet à début septembre. PS: Fiche suivant l'adaptation de Rolland Labbé.(Cercle des Mycologues de Montréal) et Nagasawa & Hongo.Complément sur l'habitat et la distribution 'à suivre)
03/10/2013Lactifluus gerardiiSpores DescriptionEllipsoïdes à subglobuleuses, réticulées, amyloïdes, 8-10 x 7-9µm.Cheilocystides discrètes.Ellipsoïdes à subglobuleuses, réticulées, amyloïdes, 8-10 x 7-9µm. Cheilocystides discrètes.Complément sur l'habitat et la distribution 'à suivre)
03/10/2013Lactifluus gerardiiHabitat DescriptionMycorhizique sur sol sous feuillus et conifères, surtout en particulier Fagus et Querçus. Mycorhizique sur le sol dans les bois de Fagaceae (Castanopsis, Quercus, etc.) et bois mixtes conifères (Pinus-Quercus)Complément sur l'habitat et la distribution 'à suivre)
03/10/2013Marasmius maximusNoms françaisオオチョウライタケ (Marasme オオチョウライタケ (Marasme Grand Phénix)-
03/10/2013Marasmius maximusSynonymesオオチョウライタケ (Grand Phénix)-Commentaires sur le nom associé aux caractères de l'espèce
03/10/2013Marasmius maximusNoms français-オオチョウライタケ (Marasme Commentaires sur le nom associé aux caractères de l'espèce
03/10/2013Marasmius maximusCommentairesDiffère de M. oreades par l'habitat et le chapeau fortement strié.Diffère de M. oreades par l'habitat et le chapeau fortement strié. Le nom japonais de "Grand Phénix" évoque la grande taille et la reviviscence propre aux marasmes.Commentaires sur le nom associé aux caractères de l'espèce
03/10/2013Lactarius gracilisChapeau Description1-2,5 cm, conique à plan, puis un peu déprimé en entonnoir, mais toujours avec un mamelon conique saillant au centre. Revêtement sec, sans zones concentriques, finement granuleux à feutré, brun à brun grisâtre au disque, brun pâle vers la marge. Poils rudes sur la marge, parfois groupés en mèches coniques dressés. 1-2,5 cm, conique à plan, puis un peu déprimé en entonnoir, mais toujours avec un mamelon conique saillant au centre. Revêtement sec, sans zones concentriques, finement granuleux à feutré, rompu-craquelé sous la loupe en squamules, brun à brun grisâtre au disque, brun pâle vers la marge. Poils rudes sur la marge, qui apparait dentelée dans la jeunesse par des mèches coniques dressées.détails complémentaires sur la cuticule
01/10/2013Tricholoma muscariumCommentairesBien que contenant de l'acide tricholomique et étourdissant les mouches comme l'amanite panthère, cette espèce endémique est consommée et réputée savoureuse. En grande quantité, elle cause toutefois des nausées comparables à celles dues à l'excès d'alcool.Bien que contenant de l'acide tricholomique et iboténique, étourdissant ou tuant les mouches comme l'amanite panthère, cette espèce endémique est consommée et réputée savoureuse. En grande quantité, elle cause toutefois des nausées comparables à celles dues à l'excès d'alcool.orthographe et acide iboténique
01/10/2013Tricholoma muscariumChapeau Description4-6 cm, convexe ou conique puis plus ou moins plan, toujours avec un mamelon saillant au centre. Cuticule à peine lubrifiée, glacée luisante, presque entièrement séparable, olivâtre sur fond jaune pâle, discrètement rayée radialement de fibrilles apprimées surtout visible vers la marge, plus foncé au disque (gris brun fuligineux). Marge involutée, puis étalée, sauf la marginelle qui reste longtemps incurvée4-6 cm, convexe ou conique puis plus ou moins plan, toujours avec un mamelon saillant au centre. Cuticule à peine lubrifiée, glacée luisante, presque entièrement séparable, olivâtre sur fond jaune pâle, discrètement rayée radialement de fibrilles apprimées surtout visibles vers la marge, plus foncé au disque (gris brun fuligineux). Marge involutée, puis étalée, sauf la marginelle qui reste longtemps incurvéeorthographe et acide iboténique
01/10/2013Tricholoma muscariumNoms françaisハエトリシメジ (Haé-tori-shimédji) ; Tricholome tue-mouchesハエトリシメジ (Haé-tori-shimédji) ; Tricholome attrape-mouches-
01/10/2013Tricholoma muscariumPhoto-Tricholoma_muscarium_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Tricholoma muscarium, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
30/09/2013Lactarius gracilisPhoto-Lactarius_gracilis_1998_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Lactarius gracilis, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
30/09/2013Russula japonicaCommentairesUn sosie nippon de Russula delica, à lames extrêmement serrées et étroites, un pied toujours très court et appointi à la base(comme la R. flavispora de Blum ex Romagnesi) et chair insipide ou très légèrement amère. Hongo la décrit comme espèce nouvelle en 1954, puis la synonymise à la pseudodelica de Lange en 1965. En 1982, elle retrouve son statut d'espèce endémique, Donnée comme comestible en 1965 (IHx vol. 2 p. 193), puis la toxicité est dite "variable selon les individus" en 1989 (IOH 579). Or, en juin 2001 à Kumamoto, il a suffi à deux ramasseurs d'en goûter et de recracher un petit morceau pour souffrir pendant 10 jours d'un œdème de la langue et de la bouche, accompagné de paresthésies de tout le corps avec affaiblissement général. Comble de traîtrise, la saveur était agréable! Ces récoltes toxiques évoque l'existence de "races chimiques" dans le "complexe Russula japonica"! Un sosie nippon de Russula delica, à lames extrêmement serrées et étroites, un pied toujours très court et appointi à la base(comme la R. flavispora de Blum ex Romagnesi) et chair insipide ou très légèrement amère. Se distingue de R. delica par: - diamètre du chapeau supérieur (20 cm), moins creusé et contrastant avec le pied très court - marge souvent festonnée-ondulée - serrage extrême des lames (au point de simuler une surface unie) - lames très étroites (1-4 mm), vite tachées d'ocre-rouille - jamais de reflets bleuâtre dans les lames - sporée plus foncée, ocre, visible dans la couleur des lames à maturité. Hongo la décrit comme espèce nouvelle en 1954, puis la synonymise à la pseudodelica de Lange en 1965. En 1982, elle retrouve son statut d'espèce endémique, Donnée comme comestible en 1965 (IHx vol. 2 p. 193), puis la toxicité est dite "variable selon les individus" en 1989 (IOH 579). Or, en juin 2001 à Kumamoto, il a suffi à deux ramasseurs d'en goûter et de recracher un petit morceau pour souffrir pendant 10 jours d'un œdème de la langue et de la bouche, accompagné de paresthésies de tout le corps avec affaiblissement général. Comble de traîtrise, la saveur était agréable! Ces récoltes toxiques évoquent l'existence de "races chimiques" dans le "complexe Russula japonica"! comparatif avec delica habitat plus précis, etc
30/09/2013Russula japonicaSpores Descriptionsporée crème à ocre pâle. Spore ovoïdes 6-7(8) x 4,7-6 µm, ornées de verrues minuscules plus ou moins coniques, parfois reliées entre elles. Cheilocystides et pleurocystides cylindriques, atténuées en pointe au sommet, très allongées, minces et mucronées. sporée crème à ocre pâle. Spore ovoïdes 6-7(8) x 4,7-6 µm, ornées de verrues minuscules plus ou moins coniques, parfois reliées entre elles. Cheilocystides et pleurocystides 40-60 x 9-10 µm, cylindriques à fusiformes ou en massue, atténuées en pointe au sommet, très allongées, minces et mucronées. comparatif avec delica habitat plus précis, etc
30/09/2013Russula japonicaHabitat DescriptionÉté-automne, pas rare en sous bois sous divers feuillus, surtout chênes et Castanopsis. JaponÉté-automne, pas rare en forêts tempérées à chaude et humides, formant des rond-de-fées sous divers feuillus, surtout Quercus serrata, Q. acutissima et Castanopsis cuspidata. Japon.comparatif avec delica habitat plus précis, etc
29/09/2013Russula alboareolataNoms français-ヒビワレシロハツ (Russule blanche aréolée)réactions macrochimiques
29/09/2013Russula alboareolataStipe Réaction au sulfate de ferVertOrange, Rose pâleréactions macrochimiques
29/09/2013Russula alboareolataStipe Description2-5,5 x 1-1,7 cm, subégal ou atténué à la base, blanc, ridulé à strié, farci ou creux.2-5,5 x 1-1,7 cm, subégal ou atténué à la base, blanc, ridulé à strié, farci ou creux. FeSO4 réaction faible, saumoné pâle. Gaïac rapide vert glauque sombre.réactions macrochimiques
28/09/2013Piptoporellus soloniensisSynonymesUngulina soloniensis (Dubois) Bourdot & Galzin ; Tyromyces sambuceus (Lloyd) Imaz. ; Polyporus sambuceus Lloyd ss. Imaz. & Hongo 1989 ; Polyporus trichrous ; P. irpex ; P. appendiculatus ; P. sambuceus ; P. pseudosulphureus ; P. komatsuzakii ; P. angolensis ; P. medullae ; P. irpex ; P. armeniacus ; P. imbricatus Ungulina soloniensis (Dubois) Bourdot & Galzin ; Tyromyces sambuceus (Lloyd) Imaz. ; Polyporus sambuceus Lloyd ss. Imaz. & Hongo 1989 ; Polyporus trichrous ; P. irpex ; P. appendiculatus ; P. pseudosulphureus ; P. komatsuzakii ; P. angolensis ; P. medullae ; P. armeniacus ; P. imbricatus doublons synonymes et répartition reformulée
28/09/2013Piptoporellus soloniensisCommentairesUne espèce cosmopolite rare, mais plutôt commune au Japon et dans le sud des États-Unis. Très rare en Europe où elle semble limitée à la partie centrale et non signalée en Europe du Nord ni en région méditerranéenne. Une espèce cosmopolite rare, mais plutôt commune au Japon et dans le sud des États-Unis. Bien que décrite de France, elle est très rare en Europe où elle semble limitée à la partie centrale et non signalée depuis en Europe du Nord ni en région méditerranéenne. doublons synonymes et répartition reformulée
28/09/2013Amanita abruptaPhoto-Amanita_abrupta_1993_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita abrupta, Copyright (c) 1993 Daniel Guez
28/09/2013Amanita abruptaPhoto-Amanita_abrupta_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Amanita abrupta, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
28/09/2013Russula subnigricansPhoto-Russula_subnigricans_1999_dg_2.jpgAjout photo type Micro pour Russula subnigricans, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
28/09/2013Russula subnigricansCommentairesSi les Européens n'ont pas couru grand danger jusqu'ici avec les russules, c'est aussi peut-être parce qu'elles sont dédaignées par les ramasseurs, surtout le sous-genre Compacta qui est le plus suspect sur le plan toxicologique. Hélas, non seulement les russules mortelles existent bien, mais elles ont la chair douce! En 1954, le mycologue japonais Tsuguo Hongo, chargé d'enquête à la suite du décès d'une personne à Kyoto, retrouve des russules blanches dans les restes du repas. En 1958, deux nouveaux décès, dans des localités différentes près d'Osaka, permettent de préciser le lieu de récolte, et une russule ressemblant à Russula nigricans, est incriminée. La forme et la couleur sont très semblables, mais cette nouvelle espèce rougit sans jamais noircir à la coupe. Hongo la nommera Russula subnigricans, mais le russulologue Toshiho Ueda distingue aujourd'hui trois ou quatre "variétés" inédites dans le "complexe subnigricans". Pour la première fois au monde une russule figure sur la liste des espèces mortelles. Toutefois, la rareté de ces espèces aidant, aucune intoxication n'a été signalée depuis. On songe alors à d'éventuels pesticides, mais en 1992 les chimistes Takahashi et coll. isolent six éthers chloro-phényl (Russupheline A-F) dans le champignon et mettent en évidence leur toxicité sur la cellule. Puis à Taïwan en 1998, neuf personnes souffrent de nausées, vomissements et diarrhées avec agitation deux heures après avoir partagé une soupe aux russules. Deux d'entre elles présentent, en plus, une rhabdomyolyse et une insuffisance rénale sévère. Russula subnigricans est incriminée une fois de plus, mais cette fois avec une affection encore inconnue en mycotoxicologie: la nécrose des muscles striés ou rhabdomyolyse, qui fera encore parler d'elle peu de temps après avec les intoxications causes par le bidaou en France. La dernière intoxication remonte à août 1995 à Toyohashi, qui fut fatale à un couple de mycophages sexagénaires. Si les Européens n'ont pas couru grand danger jusqu'ici avec les russules, c'est aussi peut-être parce qu'elles sont dédaignées par les ramasseurs, surtout le sous-genre Compacta qui est le plus suspect sur le plan toxicologique. Hélas, non seulement les russules mortelles existent bien, mais elles ont la chair douce! En 1954, le mycologue japonais Tsuguo Hongo, chargé d'enquête à la suite du décès d'une personne à Kyoto, retrouve des russules blanches dans les restes du repas. En 1958, deux nouveaux décès, dans des localités différentes près d'Osaka, permettent de préciser le lieu de récolte, et une russule ressemblant à Russula nigricans, est incriminée. La forme et la couleur sont très semblables, mais cette nouvelle espèce rougit sans jamais noircir à la coupe. Hongo la nommera Russula subnigricans, mais le russulologue Toshiho Ueda distingue aujourd'hui trois ou quatre "variétés" inédites dans le "complexe subnigricans". Pour la première fois au monde une russule figure sur la liste des espèces mortelles. Toutefois, la rareté de ces espèces aidant, aucune intoxication n'a été signalée ensuite dans l'archipel jusqu'en 1993. On songe alors à d'éventuels pesticides, mais en 1992 les chimistes Takahashi et coll. isolent six éthers chloro-phényl (Russupheline A-F) dans le champignon et mettent en évidence leur toxicité sur la cellule. Puis à Taïwan en 1998, neuf personnes souffrent de nausées, vomissements et diarrhées avec agitation deux heures après avoir partagé une soupe aux russules. Deux d'entre elles présentent, en plus, une rhabdomyolyse et une insuffisance rénale sévère. Russula subnigricans est incriminée une fois de plus, mais cette fois avec une affection encore inconnue en mycotoxicologie: la nécrose des muscles striés ou rhabdomyolyse, qui fera encore parler d'elle peu de temps après avec les intoxications causes par le bidaou en France. La dernière intoxication remonte à août 1995 à Toyohashi, qui fut fatale à un couple de mycophages sexagénaires. dates précises nécrologie
27/09/2013Russula subnigricansPhoto-Russula_subnigricans_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula subnigricans, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
27/09/2013Russula subnigricansPhoto-Russula_subnigricans_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula subnigricans, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
27/09/2013Piptoporellus soloniensisPhoto-Piptoporus_soloniensis_1990_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Piptoporus soloniensis, Copyright (c) 1990 Daniel Guez
27/09/2013Porodisculus pendulusNoms françaisPolypore cupuliformePolypore cupuliforme ; ヌルデタケ (Polypore du Sumac)complément
27/09/2013Porodisculus pendulusRéférencesIH1 775IH1 775 ; IOH p. 465complément
27/09/2013Porodisculus pendulusChapeau/Dessus CouleurBrunBrun, Crème, Griscomplément
27/09/2013Porodisculus pendulusChapeau/Dessus DescriptionCupule circulaire pendante de 2-5 mm de diamètre, 5-10 mm de hauteur totale, circulaire à ellipsoïde, farineux, non zoné, blanc cendré, à marge arrondie, également farineuse, surface fertile porée infère, brun pâle à brun tabac. Cupule circulaire pendante de 2-5 mm de diamètre, 5-10 mm de hauteur totale, circulaire à ellipsoïde, farineux, non zoné, brun jaunâtre à tabac, grisonnant avec l'âge, à marge arrondie, également farineuse. complément
27/09/2013Porodisculus pendulusPores/Dessous CouleurCrème, GrisBrun, Crème, Griscomplément
27/09/2013Porodisculus pendulusPores/Dessous Descriptionsurface poroïde convexe. Pores minuscules, serrés, 5-6 par mm. Tubes distincte, semblant cartilagineuse au sec, chamois rosâtre, jusqu'à 1 mm de longueurSurface fertile porée infère,chamois rosâtre ou brun pâle à brun tabac. Pores minuscules, serrés, 5-6 par mm. Couche de tubes distincte, semblant cartilagineuse au sec, jusqu'à 1 mm de long.complément
27/09/2013Porodisculus pendulusStipe DescriptionBase dorsale ou latérale stipitiforme, dans le prolongement du chapeau et de mêmes caractères que ce dernier.Base dorsale ou latérale stipitiforme, dans le prolongement du chapeau et de mêmes caractères et couleurs que ce dernier.complément
27/09/2013Porodisculus pendulusHabitat DescriptionAnnuel venant en troupe sur bois mort de feuillus divers, Est de l'Amérique du Nord, Québec, Japon, Australie, Nouvelle Zélande.Annuel, fructifiant en été-automne, en troupe sur bois mort de feuillus divers. Est de l'Amérique du Nord, Québec, Japon, Australie, Nouvelle Zélande. Les premières récoltes japonaises ayant été faites sur Rhus, l'espèce a été nommée Polypore du sumac.complément
27/09/2013Porodisculus pendulusNoms français-Polypore cupuliforme-
27/09/2013Porodisculus pendulusCommentaires-Basidiome annuel, piléé, souvent pendant en forme de nez humain à partir d'une base dorsale ou latérale stipitiforme, formé d'une lenticelle ou d'une masse mycélienne rompant l'écorce. -
27/09/2013Porodisculus pendulusChapeau/Dessus Description-Cupule circulaire pendante de 2-5 mm de diamètre, 5-10 mm de hauteur totale, circulaire à ellipsoïde, farineux, non zoné, blanc cendré, à marge arrondie, également farineuse, surface fertile porée infère, brun pâle à brun tabac. -
27/09/2013Porodisculus pendulusPores/Dessous CouleurGrisCrème, Gris-
27/09/2013Porodisculus pendulusPores/Dessous Description-surface poroïde convexe. Pores minuscules, serrés, 5-6 par mm. Tubes distincte, semblant cartilagineuse au sec, chamois rosâtre, jusqu'à 1 mm de longueur-
27/09/2013Porodisculus pendulusChair Description-presque blanche, 1-2 mm d'épaisseur, ferme et subéreuse. -
27/09/2013Porodisculus pendulusStipe Description-Base dorsale ou latérale stipitiforme, dans le prolongement du chapeau et de mêmes caractères que ce dernier.-
27/09/2013Porodisculus pendulusSpores Description-en saucisse, 3-4 x 1 µm, hyalines. Sporée blanche. Spores et mycélium non-amyloïdes.-
27/09/2013Porodisculus pendulusHabitat Description-Annuel venant en troupe sur bois mort de feuillus divers, Est de l'Amérique du Nord, Québec, Japon, Australie, Nouvelle Zélande.-
26/09/2013Porodisculus speciesPhotoPorodisculus_species_1989_dg_1.jpg-Suppression photo : pas la bonne espèce
26/09/2013Porodisculus speciesPhoto-Porodisculus_species_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Porodisculus species, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
26/09/2013Stereopsis burtianaChair Description-Très mince, blanche, douce à mentholée. Odeur d'humus.complément
26/09/2013Stereopsis burtianaPhoto-Stereopsis_burtiana_2010_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Stereopsis burtiana, Copyright (c) 2010 Daniel Guez
25/09/2013Russula japonicaNoms françaisシロハツモドキ (fausse シロハツモドキ (fausse russule sans lait)mots manquants
25/09/2013Chlorophyllum molybditesPhoto-Chlorophyllum_molybdites_1998_dg_1.jpgAjout photo type Dessin pour Chlorophyllum molybdites, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
25/09/2013Chlorophyllum molybditesPhoto-Chlorophyllum_molybdites_1999_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Chlorophyllum molybdites, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
24/09/2013Ripartites metrodiiPhoto-Ripartites_metrodii_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Ripartites metrodii, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusCommentairesSynonyme de Pleurotus djamor (Rumph. ex Fr.) Boedijn, cette espèce est désormais considérée au sens (trop?), synonymisant P. eous aux lames blanc à crème (Inde, très thermophile), la var. roseus Corner à sporée blanche, etc. Note sur les récoltes japonaises: Vient sur saules, peupliers, charmes... ici fructifiant sur blessure d'un tronc de glycine. Facile à cultiver, cf. Japan Times 94-97 et G. Fourré et D. Guez in Bull. Féder. Mycol. Dauphiné-Savoie 129 p. 5-7, cette espèce n'est plus commercialisée au Japon en raison de sa couleur dissuasive et sa comestibilité douteuse. Synonyme de Pleurotus djamor (Rumph. ex Fr.) Boedijn, cette espèce est désormais considérée au sens (trop?) large, synonymisant P. eous aux lames blanches à crème (Inde, très thermophile), la var. roseus Corner à sporée blanche, etc. Note sur les récoltes japonaises: Vient sur saules, peupliers, charmes... ici fructifiant sur blessure d'un tronc de glycine. Facile à cultiver, cf. Japan Times 94-97 et G. Fourré et D. Guez in Bull. Féder. Mycol. Dauphiné-Savoie 129 p. 5-7, cette espèce n'est plus commercialisée au Japon en raison de sa couleur dissuasive et sa comestibilité douteuse. syntaxe!
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusPhoto-Pleurotus_salmoneostramineus_2001_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Pleurotus salmoneostramineus, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusAuteurVasil.Vasil. 1973-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusSynonymes-Pleurotus djamor (Rumph. ex Fr.) Boedijn 1959 [nom prioritaire] ; P. leptogrammus ; P. eous ; P. ostreatoroseus ; P. incarnatus -
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusNoms français-Pleurote saumon et paille-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusRéférencesCD 150IH1 5 ; CD 150 ; IOH p. 17 ; DM 100 p. 242-243-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusCommentaires-Synonyme de Pleurotus djamor (Rumph. ex Fr.) Boedijn, cette espèce est désormais considérée au sens (trop?), synonymisant P. eous aux lames blanc à crème (Inde, très thermophile), la var. roseus Corner à sporée blanche, etc. Note sur les récoltes japonaises: Vient sur saules, peupliers, charmes... ici fructifiant sur blessure d'un tronc de glycine. Facile à cultiver, cf. Japan Times 94-97 et G. Fourré et D. Guez in Bull. Féder. Mycol. Dauphiné-Savoie 129 p. 5-7, cette espèce n'est plus commercialisée au Japon en raison de sa couleur dissuasive et sa comestibilité douteuse. -
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusChapeau Couleur-Jaune, Saumon-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusChapeau Description-4-14 cm, d'abord convexe conchoïde, puis spatuliforme à réniforme en s'étalant, plus ou moins déprimé et festonné vers la fin, à cuticule lisse de couleur rose saumoné, plus ou moins prononcée, nuancé de jaune-paille pâle par endroits. Marge incurvée et souvent fortement ondulée, de couleur nettement plus pâle, voire blanchâtre. -
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusChair Description-assez épaisse, douce, aromatique à vaguement farineuse-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusLames Couleur-Blanc, Crème, Jaune, Saumon-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusLames Description-étroites et serrées, décurrentes, à nombreuses lamelles et lamellules, subconcolore au chapeau, jaune paille pâle à rosâtre saumoné (inde nomen).-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusStipe Couleur-Crème, Jaune, Saumon-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusStipe Anneau-Non-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusStipe Description-excentré, très court ou rudimentaire et coudé, subconcolore.-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusOdeur-Aromatique-
24/09/2013Pleurotus salmoneostramineusHabitat Description-été-automne sur souches et branches mortes de feuillus divers et arbustes d'agrément, souvent parasite de blessure. -
23/09/2013Russula japonicaNoms français-シロハツモドキ (fausse complément de description
23/09/2013Russula japonicaComestibilité-Comestiblecomplément de description
23/09/2013Russula japonicaCommentairesUn sosie nippon de Russula delica, à lames extrêmement serrées et étroites, un pied toujours très court et appointi à la base(comme la R. flavispora de Blum ex Romagnesi) et chair insipide ou très légèrement amère. Hongo la décrit comme espèce nouvelle en 1954, puis la synonymise à la pseudodelica de Lange en 1965. En 1982, elle retrouve son statut d'espèce endémique, Donnée comme comestible en 1965 (IHx vol. 2 p. 193), puis la toxicité est dite "variable selon les individus" en 1989 (IOH 579). Or, en juin 2001 à Kumamoto, il a suffi à deux ramasseurs d'en goûter et de recracher un petit morceau pour souffrir pendant 10 jours d'un oedème de la langue et de la bouche, accompagné de paresthésies de tout le corps avec affaiblissement général. Comble de traîtrise, la saveur était agréable! Ces récoltes toxiques évoque l'existence de "races chimiques" dans le "complexe Russula japonica"! Un sosie nippon de Russula delica, à lames extrêmement serrées et étroites, un pied toujours très court et appointi à la base(comme la R. flavispora de Blum ex Romagnesi) et chair insipide ou très légèrement amère. Hongo la décrit comme espèce nouvelle en 1954, puis la synonymise à la pseudodelica de Lange en 1965. En 1982, elle retrouve son statut d'espèce endémique, Donnée comme comestible en 1965 (IHx vol. 2 p. 193), puis la toxicité est dite "variable selon les individus" en 1989 (IOH 579). Or, en juin 2001 à Kumamoto, il a suffi à deux ramasseurs d'en goûter et de recracher un petit morceau pour souffrir pendant 10 jours d'un œdème de la langue et de la bouche, accompagné de paresthésies de tout le corps avec affaiblissement général. Comble de traîtrise, la saveur était agréable! Ces récoltes toxiques évoque l'existence de "races chimiques" dans le "complexe Russula japonica"! complément de description
23/09/2013Russula japonicaChapeau Description6-14(20)cm, convexe mais avec le centre déjà déprimé, puis en entonnoir. Surface sèche, lisse ou finement poudrée, d'abord blanc puis jaune sordide à brun sale.6-14(20)cm, convexe mais avec le centre déjà déprimé, puis en entonnoir (mais moins creusé que R. delica qui est dite "en liseron"). Surface sèche, lisse ou finement poudrée, d'abord blanc puis jaune sordide à brun sale. Marge souvent ondulée.complément de description
23/09/2013Russula japonicaLames Descriptionlibres puis décurrenteslibres puis, le chapeau s'ouvrant, souvent décurrentes, blanches puis crème ocracé pâle (mais plus foncé que R. delica), enfin beige sordide (jamais de reflet bleuâtre), vite tachées d'ocre-rouille très serrées, étroites (1-4 mm).complément de description
23/09/2013Russula japonicaStipe Descriptiontrapu, 3-6 x 1,2-2 cm, cylindrique ou atténué à la basetrapu, 3-6 x 1,2-2 cm, cylindrique ou atténué à la base, surface ridulée ou ruguleuse, blanc, plein puis spongieux.complément de description
23/09/2013Russula japonicaSpores Descriptionsporée crème à ocre pâle. Spore 6-7(8) x 4,7-6 µm.sporée crème à ocre pâle. Spore ovoïdes 6-7(8) x 4,7-6 µm, ornées de verrues minuscules plus ou moins coniques, parfois reliées entre elles. Cheilocystides et pleurocystides cylindriques, atténuées en pointe au sommet, très allongées, minces et mucronées. complément de description
23/09/2013Russula japonicaHabitat DescriptionSous feuillus, surtout chênes et Castanopsis. JaponÉté-automne, pas rare en sous bois sous divers feuillus, surtout chênes et Castanopsis. Japoncomplément de description
23/09/2013Russula exalbicansPhoto-Russula_exalbicans_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Russula exalbicans, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
22/09/2013Russula compactaRéférences-IH1 584 ; IOH 360 ; Phillips (NA) p. 109Ajout références iconographie
22/09/2013Russula alboareolataCommentaires-Russule pallidosporée entièrement blanche, fréquente sous les chênes verts. Japon, Taïwan. Très proche de R. eburneoareolata Hongo, à chair plus ferme et stipe ivoirin. -
22/09/2013Russula alboareolataChapeau Description-5-8 cm, d'abord convexe puis plan, enfin déprimé en entonnoir, surface visqueuse par temps humide, finement pruineuse, peu séparable, blanche, blanc d'ivoire sordide au disque, souvent rimeuse aréolée. Marge devenant cannelée-tuberculeuse avec l'âge.-
22/09/2013Russula alboareolataLames Description-blanches, presque libres, rarement décurrentes par la dent, subdistantes, souvent fourchues, égales, interveinées, 4-7 mm de large, assez épaisses et fragiles.-
22/09/2013Russula alboareolataStipe Description-2-5,5 x 1-1,7 cm, subégal ou atténué à la base, blanc, ridulé à strié, farci ou creux.-
22/09/2013Russula alboareolataChair Description-plutôt mince, blanche. Saveur douce, odeur subnulle.-
22/09/2013Russula alboareolataSpores Description-crème pâle en masse, 6,5-8,5 x 5,5-7 µm, sphériques à ovales, ornées de verrues isolées ou parfois caténulées, reliées par un réticulum plus ou moins complet.-
22/09/2013Russula alboareolataHabitat Description-Solitaire, mais fréquente en forêts de Castanopsis et chênes verts.-
22/09/2013Russula alboareolataPhoto-Russula_alboareolata_1999_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Russula alboareolata, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
22/09/2013Russula alboareolataPhoto-Russula_alboareolata_1996_dg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Russula alboareolata, Copyright (c) 1996 Daniel Guez
22/09/2013Gymnopilus liquiritiaePhoto-Gymnopilus_liquiritiae_1989_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Gymnopilus liquiritiae, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
22/09/2013Gymnopilus liquiritiaePhoto-Gymnopilus_liquiritiae_2000_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Gymnopilus liquiritiae, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
21/09/2013Ganoderma neojaponicumCommentairesSe distingue aisément de G. lucidum par ses spores plus élancées, ses carpophores noir brillant, son stipe plus long et mince et son habitat limité aux conifères.Se distingue aisément de G. lucidum par ses spores plus élancées, ses carpophores plus sombres, son stipe plus long et mince et son habitat limité aux conifères.-
21/09/2013Ganoderma neojaponicumChapeau/Dessus DescriptionChapeau dimidié à réniforme, plan, 3-11 x 4-11 cm. Marge mince et incurvée, ; Surface rouge brun très sombre, presque noire, glabre, brillante comme laquée, rayée radialement.Chapeau dimidié à réniforme, plan, 3-11 x 4-11 cm. Marge mince et incurvée. Surface rouge brun très sombre, presque noire, glabre, brillante comme laquée, rayée radialement.-
21/09/2013Ganoderma neojaponicumChair Descriptionmincee, jusqu'à 8 mm, fibreuse à subéreuse, blanc crème sous la surface piléique, surface, brun cannelle au dessus des tubes.mince, jusqu'à 8 mm, fibreuse à subéreuse, blanc crème sous la surface piléique, brun cannelle au dessus des tubes.-
21/09/2013Gymnopilus liquiritiaePhoto-Gymnopilus_liquiritiae_1989_dg_1.jpgAjout photo type Mixte pour Gymnopilus liquiritiae, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
21/09/2013Gymnopilus liquiritiaePhoto-Gymnopilus_liquiritiae_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Gymnopilus liquiritiae, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
20/09/2013Inonotus vallatusPores/Dessous CouleurJauneBrun, Jaune, Rouge-
20/09/2013Inonotus vallatusPores/Dessous DescriptionTubes courts, 2mm de profondeur, Fauve à brun ferrugineux, Tubes courts, 3 mm de profondeur. Pores serrés, 6-7/mm, fauve à brun ferrugineux, -
20/09/2013Inonotus vallatusStipe DescriptionBase courtement stipitée, centrale ou latérale, épaissi vers les pores, cannelle à brun madère, consistant et fermeBase courtement stipitée, centrale ou latérale, épaissi vers les pores, cannelle à brun madère, consistant et ferme.-
20/09/2013Inonotus vallatusPhoto-Inonotus_vallatus_1988_dg_4.jpgAjout photo type Macro pour Inonotus vallatus, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
20/09/2013Inonotus vallatusPhoto-Inonotus_vallatus_1988_dg_3.jpgAjout photo type Macro pour Inonotus vallatus, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
20/09/2013Inonotus vallatusPhoto-Inonotus_vallatus_1988_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Inonotus vallatus, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
20/09/2013Ganoderma neojaponicumPhotoGanoderma_neojaponicum_1989_dg_1.jpg-Suppression photo : double trop pâle
20/09/2013Ganoderma neojaponicumPhoto-Ganoderma_neojaponicum_1989_dg_2.jpgAjout photo type Micro pour Ganoderma neojaponicum, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
20/09/2013Coltricia montagneiCommentairesLa variété "greenii" se distingue de la variété "montagnei" son hyménophore composés de lamelles concentriques, non radiales.La variété "greenii" se distingue de la variété "montagnei" par son hyménophore composé de lamelles concentriques, non radiales.-
20/09/2013Coltricia montagneiRéférencesJülich p. 274Jülich p. 274 ; IH1 781 (var. greenii)-
20/09/2013Coltricia montagneiCommentaires-La variété "greenii" se distingue de la variété "montagnei" son hyménophore composés de lamelles concentriques, non radiales.-
20/09/2013Coltricia montagneiPhoto-Coltricia_montagnei_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Coltricia montagnei var. greenii, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
20/09/2013Lentinus substrictusPhoto-Polyporus_ciliatus_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Polyporus ciliatus, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
20/09/2013Postia tephroleucaPhoto-Postia_tephroleuca_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Postia tephroleuca fo. pinicola, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
20/09/2013Postia tephroleucaSynonymes-Tyromyces lacteus-
20/09/2013Inonotus hispidusPhoto-Inonotus_hispidus_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Inonotus hispidus, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
19/09/2013Lentinus arculariusPhoto-Polyporus_arcularius_1986_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Polyporus arcularius, Copyright (c) 1986 Daniel Guez
18/09/2013Pseudoaustroboletus valensSynonymesBoletus albellus Massee non Peck ; Boletus valens var. macrosporus ; オオベニシロアシイグチ Boletus albellus Massee non Peck ; Boletus valens var. macrosporus ; ホオベニシロアシイグチ -
18/09/2013Pseudoaustroboletus valensComestibilitéSans intérêtComestible-
18/09/2013Pseudoaustroboletus valensChair Description-Saveur non amère, acidule-
18/09/2013Pseudoaustroboletus valensSaveurAmère/PiquanteDouce-
18/09/2013Pseudoaustroboletus valensHabitat BiotopeSous feuillusSous feuillus, Sous conifères, Chênes, Pins-
18/09/2013Marasmius maximusSynonymes-オオチョウライタケ (Grand Phénix)-
18/09/2013Marasmius maximusPhoto-Marasmius_maximus_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Marasmius maximus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
16/09/2013Marasmius purpureostriatusStipe DescriptionStipe 4-11 x 0,1-0,4 cm, concolore aux lames au sommet, violet ailleurs et recouvert d'un feutrage dense et pruineux blanchâtre par le sec chez le jeune. Devenant lisse et brunissant puis noircissant avec l'âge. Base guêtrée de longs poils, souvent coudée par un bourrelet de coton mycélien agglutinant des débris végétaux variés, feuilles et brindilles.Stipe 4-11 x 0,1-0,4 cm, concolore aux lames au sommet, violet ailleurs, recouvert d'une pruine blanchâtre chez le jeune, bientôt lisse et brunissant, puis noircissant avec l'âge. Base guêtrée de longs poils, souvent coudée par un bourrelet de coton mycélien agglutinant des débris végétaux variés, feuilles et brindilles.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusChapeau DescriptionChapeau conique à campanulé, 1,5 ~ 2,5 cm, blanchâtre, remarquablement strié de brun violacé sombre, surligné au dessus de chaque lame (de sorte que l'on peut les compter par transparence sans retourner le champignon). Mamelon central saillant, noir violacé. Marge droite et crénelée. Chapeau conique à campanulé, 1,5 ~ 2,5 cm, blanchâtre, remarquablement strié de brun violacé sombre, surligné au dessus de chaque lame (de sorte que l'on peut les compter par transparence sans retourner le champignon). Mamelon central saillant. Marge droite et crénelée. -
16/09/2013Marasmius purpureostriatusChapeau DescriptionChapeau 1,5 ~ 2,5 cm, remarquablement strié de brun violacé sombre, surligné au dessus de chaque lame, de sorte que l'on peut les compter par transparence sans retourner le champignon). Mamelon central saillant, noir violacé.Chapeau conique à campanulé, 1,5 ~ 2,5 cm, blanchâtre, remarquablement strié de brun violacé sombre, surligné au dessus de chaque lame (de sorte que l'on peut les compter par transparence sans retourner le champignon). Mamelon central saillant, noir violacé. Marge droite et crénelée. -
16/09/2013Marasmius purpureostriatusChair Description-Très mince, insipide, saveur nulle.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusLames DescriptionLames étroites, très espacées, blanc crème jaunâtre, tiquetées de rouille.Lames émarginées ou libres, étroites, très espacées, crème jaunâtre à grisâtre pâle, tiquetées de rouille, finement pubescentes à la marge.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusStipe DescriptionStipe 11 x 0,5 cm, fauve orangé, recouvert d'un feutrage dense et pruineux, blanchâtre par le sec. Base guêtrée de longs poils, coudée par un bourrelet de coton mycélien agglutinant des débris végétaux variés, feuilles et brindilles.Stipe 4-11 x 0,1-0,4 cm, concolore aux lames au sommet, violet ailleurs et recouvert d'un feutrage dense et pruineux blanchâtre par le sec chez le jeune. Devenant lisse et brunissant puis noircissant avec l'âge. Base guêtrée de longs poils, souvent coudée par un bourrelet de coton mycélien agglutinant des débris végétaux variés, feuilles et brindilles.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusSpores DescriptionHyménium coriace d'hyphes entrelacées 4 ~ 7 µm de large, aspect gélifié rendant les coupes assez floues. Spores rares sur nos spécimens, en cigare ou cystidiformes, 1,5 x 7 µm, brun sous le microscope.Hyménium coriace d'hyphes entrelacées 4 ~ 7 µm de large, aspect gélifié rendant les coupes assez floues. Spores rares sur nos spécimens, en cigare ou cystidiformes, de grande taille: 21–30 × 5-7 µm, brun sous le microscope. Cheilocystides largement clavées à fusoïdes ou utriformes.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusHabitat DescriptionLitière de feuilles mortes et brindilles.Printemps-Automne, sous feuillus dans la litière de feuilles mortes et brindilles. Longtemps endémique au Japon, des récoltes lui ont été rapportées de Malaisie, Thaïlande, Corée et Nouvelle Guinée.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusChapeau Description-Chapeau 1,5 ~ 2,5 cm, remarquablement strié de brun violacé sombre, surligné au dessus de chaque lame, de sorte que l'on peut les compter par transparence sans retourner le champignon). Mamelon central saillant, noir violacé.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusLames Description-Lames étroites, très espacées, blanc crème jaunâtre, tiquetées de rouille.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusStipe Description-Stipe 11 x 0,5 cm, fauve orangé, recouvert d'un feutrage dense et pruineux, blanchâtre par le sec. Base guêtrée de longs poils, coudée par un bourrelet de coton mycélien agglutinant des débris végétaux variés, feuilles et brindilles.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusSpores Description-Hyménium coriace d'hyphes entrelacées 4 ~ 7 µm de large, aspect gélifié rendant les coupes assez floues. Spores rares sur nos spécimens, en cigare ou cystidiformes, 1,5 x 7 µm, brun sous le microscope.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusHabitat Description-Litière de feuilles mortes et brindilles.-
16/09/2013Marasmius purpureostriatusPhoto-Marasmius_purpureostriatus_2000_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Marasmius purpureostriatus, Copyright (c) 2000 Daniel Guez
16/09/2013Marasmius purpureostriatusPhoto-Marasmius_purpureostriatus_1998_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Marasmius purpureostriatus, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
16/09/2013Marasmius purpureostriatusPhoto-Marasmius_purpureostriatus_1998_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Marasmius purpureostriatus, Copyright (c) 1998 Daniel Guez
15/09/2013Boletus fraternusChair DescriptionChair rose, lentement bleuissante à l'air.Chair rose, lentement bleuissante à l'air. Saveur douce, odeur rappelant le "Kôji", ferment de saké ou "malt" de riz (Aspergillus oryzae)-
15/09/2013Baorangia pseudocalopusChapeau Description4 - 10(18)cm, convexe puis plan-convexe, subvisqueux par temps humide, subtomenteux, brun cannelle à fauve olivacé. Marge d'abord incurvée à infractée.4 - 10 (18)cm, convexe puis plan-convexe, subvisqueux par temps humide, subtomenteux, brun cannelle à fauve olivacé. Marge d'abord incurvée à infractée.-
15/09/2013Baorangia pseudocalopusSpores Description-Jaune de miel pâle sous le microscope, subcylindracées à subfusiformes, 10 - 14,5 x 3,5 - 4,5 µm. Basides tétrasporiques. Cystides sphéro-pédonculées ou clavées, à paroi mince, 20 - 30 x 10 - 13µm. Trame des lames bilatérale, typique du genre.-
15/09/2013Baorangia pseudocalopusHabitat DescriptionEté, endémique (Japon)Pas rare sous feuillus en solitaire ou disséminés, de l'été au début de l'automne, endémique (Japon central)-
15/09/2013Boletus fraternusPhoto-Boletus_fraternus_1989_dg_2.jpgAjout photo type Mixte pour Boletus fraternus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
15/09/2013Suillellus luridusPhoto-Boletus_luridus_1985_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Boletus luridus, Copyright (c) 1985 Daniel Guez
15/09/2013Cortinarius malicoriusPhoto-Cortinarius_malicorius_1987_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Cortinarius malicorius, Copyright (c) 1987 Daniel Guez
15/09/2013Amanita rubrovolvataNoms françaisAmanite à volve rouge ; ヒメベニテングタケAmanite à volve rouge ; ヒメベニテングタケ (petite amanite rouge)-
15/09/2013Amanita rubrovolvataRéférencesIH 197IH1 197-
15/09/2013Amanita rubrovolvataChapeau Description2,5 - 4cm de diamètre, convexe puis plan ou faiblement creusé, rarement mamelonné, orangé vif à rouge vermillon dans les deux-tiers de la partie discale, pâlissant à jaunâtre orangé vers la marge, recouvert de restes de volve farineux ou granuleux rouge orangé à jaune ; marge longuement striée jusqu'à mi-rayon, non appendiculée; 2,5 - 4 cm de diamètre, convexe puis plan ou faiblement creusé, rarement mamelonné, orangé vif à rouge vermillon dans les deux-tiers de la partie discale, pâlissant à jaunâtre orangé vers la marge, recouvert de restes de volve farineux ou granuleux rouge orangé à jaune; marge longuement striée jusqu'à mi-rayon, non appendiculée.-
15/09/2013Amanita rubrovolvataChair DescriptionMince et blanchâtre à isabelle.Mince, blanchâtre à isabelle.-
15/09/2013Amanita rubrovolvataStipe Description4,5 - 11 x 0,4 - 0,7 cm, subcylindrique ou atténué au sommet, revêtement blanc crème au dessus de l'anneau, de plus en plus jaune vers la base. Bulbe basal subsphérique, 10 - 1,5 cm, recouvert de débris de volve pulvérulents ou floconneux de couleur rouge, rouge orangé à jaunâtre. Anneau persistant, membraneux, blanc sur la face supérieure, jaunâtre à la face inférieure, l'arête étant souligné de rouge.4,5 - 11 x 0,4 - 0,7 cm, subcylindrique ou atténué au sommet, revêtement blanc crème au dessus de l'anneau, de plus en plus jaune vers la base. Bulbe basal subsphérique, 1 - 1,5 cm, recouvert de débris de volve pulvérulents ou floconneux de couleur rouge, rouge orangé à jaunâtre. Anneau persistant, membraneux, blanc sur la face supérieure, jaunâtre sur la face inférieure, l'arête étant soulignée de rouge.-
15/09/2013Amanita rubrovolvataSpores DescriptionSpores globuleuses 7 - 8,5 x 6 - 7,5µm, non amyloïdes. Boucles absentes.Spores globuleuses 7 - 8,5 x 6 - 7,5 µm, non amyloïdes. Boucles absentes.-
14/09/2013Mutinus elegansPhoto-Mutinus_elegans_2000_gn_1.jpgAjout photo type Micro pour Mutinus elegans, Copyright (c) 2000 Guez & Nagasawa
12/09/2013Pseudocolus fusiformisPhoto-Colus_schellenbergiae_1989_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Colus schellenbergiae, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
12/09/2013Pseudocolus fusiformisPhoto-Colus_schellenbergiae_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Colus schellenbergiae, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
12/09/2013Phallus rugulosusPhoto-Phallus_rugulosus_1989_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rugulosus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
12/09/2013Phallus rugulosusPhoto-Phallus_rugulosus_1999_dg_4.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rugulosus, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
12/09/2013Phallus rugulosusPhoto-Phallus_rugulosus_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rugulosus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
12/09/2013Phallus rugulosusPhoto-Phallus_rugulosus_1999_dg_3.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rugulosus, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
12/09/2013Phallus rugulosusPhoto-Phallus_rugulosus_1999_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Phallus rugulosus, Copyright (c) 1999 Daniel Guez
12/09/2013Phallus luteusPhoto-Phallus_luteus_1989_dg_4.jpgAjout photo type Macro pour Phallus luteus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
09/09/2013Paralepistopsis acromelalgaPhoto-Clitocybe_acromelalga_2001_dg_1.jpgAjout photo type Micro pour Clitocybe acromelalga, Copyright (c) 2001 Daniel Guez
09/09/2013Calvatia cyathiformisPhotoCalvatia_cyathiformis_1988_dg_2.jpg-Suppression photo : double erreur envoi
09/09/2013Calvatia cyathiformisPhoto-Calvatia_cyathiformis_1988_dg_3.jpgAjout photo type Macro pour Calvatia cyathiformis, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
09/09/2013Calvatia cyathiformisPhoto-Calvatia_cyathiformis_1988_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Calvatia cyathiformis, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
09/09/2013Calvatia cyathiformisPhoto-Calvatia_cyathiformis_1988_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Calvatia cyathiformis, Copyright (c) 1988 Daniel Guez
09/09/2013Phallus luteusPhoto-Phallus_luteus_1989_dg_3.jpgAjout photo type Macro pour Phallus luteus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
09/09/2013Phallus luteusPhoto-Phallus_luteus_1989_dg_2.jpgAjout photo type Macro pour Phallus luteus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
09/09/2013Phallus luteusPhoto-Phallus_luteus_1989_dg_1.jpgAjout photo type Macro pour Phallus luteus, Copyright (c) 1989 Daniel Guez
09/10/2010Paralepistopsis acromelalgaNoms françaisPoison des Sasa (Doku-sasa-ko), Champignon aux brûlures (Yakédo-kin), Clitocybe Poison des Sasa (Doku-sasa-ko), Champignon aux brûlures (Yakédo-kin)-
08/10/2010Paralepistopsis acromelalgaCommentaires-Chapeau: 3-10 cm, en entonnoir à dépression centrale large et peu profonde. Cuticule entièrement séparable sur le frais, glabre, lisse, jaune orangé à rouge brique, visqueuse par l'humidité, recouverte d'une pruine blanchâtre sur le sec. Marge longtemps enroulée puis étalée, costulée, hygrophane. Marginelle subconcolore à blanchâtre. Lames: Serrées à très serrées (12-16 L/cm), longuement décurrentes, minces, inégales (autant de lamellules que de lames à la marge). Couleur blanchâtre à crème orangé pâle. Arête concolore. Pied: 3-7 x 0,7-1,5cm, cylindrique, sinueux, atténué à la base, de consistance fibreuse, plein puis fistuleux. Revêtement concolore d'apparence lisse, mais givré par endroits et plus ou moins pubescent de fibrilles longitudinales sous la loupe. Base pruineuse bien enfoncée dans la litière. Chair: Mince, fibreuse dans le pied, odeur fruitée agréable, saveur fongique de Shii-také, voire amariuscule. Couleur jaunâtre sale. Gaiac nul sur la chair, vert sombre rapide sur les revêtements, lent sur les faces mais immédiat sur l'arête des lames. Spores: 1,6-4/2-3 µ, subglobuleuses, blanches, lisses, guttulées. Habitat: Terricole. Cespisteux ou en cercles sous ormes, bambous, Japon. -