Amanita pseudogemmataHongo (1974) |
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Fausse amanite jonquille, Fausse amanite à pierreries |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Amanitaceae
Amanita pseudogemmata Hongo (1974), Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, numéro spécial, 43, p. 189 (Basionyme)
blanche, jaunâtre sous la cuticule piléique, mince, odeur nulle.
hyalines, subglobuleuses, 7,5-10 x 6-8,5 µm, lisses, non amyloïdes. Basides tétrasporiques. Cellules marginales 29-35 x 13-14 µm, ellipsoïdes, piriformes ou clavées, à cloisons minces.
Inconnu
BSLL 43 p. 189 (Hongo, T. 1974. Two new species of Amanita from Castanopsis forests in Japan. Bulletin Mensuel de la Société Linnéenne de Lyon. 43:189-193) ; IH1 199 ; Bibliographie de Jacques Trimbach
Amanita junquillea est plus claire, ses verrues sont de couleur blanche (sauf chez Amanita junquillea var. amici), à un anneau blanc plus fugace, possède des hyphes bouclées et des spores plus grandes.
Amanita orientigemmata
Amanita citrina possède des spores amyloïdes et une odeur de rave.
Ressemble à l'amanite citrine par ses couleurs et l'aspect de sa volve, mais se distingue facilement par ses spores non amyloïdes et l'absence d'odeur de rave. Amanita gemmata (junquillea) est taxonomiquement la plus proche, mais pseudogemmata se distingue par des verrues de couleur plus foncée (et non blanches) sur le chapeau, un anneau jaune et plus persistant, et des spores plus petites.
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